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  • 7/26/2019 Papers 6 Cuerpo Hablante

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    PAPERS N 6

    COMIT DE ACCIN

    AMP 2014-2016

    Patricio Alvare !EO"#

    $il%a Cocco !E"P#

    &or'e (or)e* !E+P#

    Clara ,ol'i. !NE"#

    Clotil/e "e'il !EC(#

    Mariio Maotti !coor/i.a/or# !S"P#

    Na**ia "i.ar/o !N"S#

    Re*o.*a)le /e la e/ici.

    Marta Davi/ovic !E"P#

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    E/itorial

    Al'.a* .ota* ara co%o.er la *i.3o.a /el 5cero a)la.te

    Clara M7 ,ol'-4.

    El Paper 6 nos ofrece una serie de notas diferentes para la sinfona que nos empeamos encomponer hacia el prximo congreso. Al contrario de hacernos cantar al unsono, lostextos que componen este Paper proponen aan!ar por el camino sinuoso que implica elde"arnos inadir por la presencia angustiante del o#"eto.$i el poder medi%tico de las im%genes que repercute en el cuerpo &imaginario m%s all% de los

    refle"os ' las som#ras( sit)a un real contempor%neo ', la Psiquiatra moderna ' la *eliginreducen el cuerpo a lo #iolgico ' lo sagrado, respectiamente+ el Psicoan%lisis apo'ado enel Arte, que siempre llea la delantera, pone en cuestin el modo de escucha para hacernosor el ruido que no de"a la m)sica en pa! ', a#re una a diferente a la de la de#ilidad propiadel ser ha#lante, que intenta reducir el goce al sentido ' lo isi#le, para introducir un nueocogito, Pienso luego $e go!a, goce de lalengua solo percepti#le en las resonancias que lapala#ra produce en el cuerpo, ' que en Psicoan%lisis llamamos pulsiones. orma ' decir,que ofrecen elementos noedosos para esta sin-fona.

    Nota 1. En la imagen que percute, il /aro! se interroga cmo a#ordar el real

    contempor%neo que emerge a la proliferacin de im%genes porno que descri#en un m%sall% del Edipo. /omo signo de lo real, la atrocidad de las im%genes 0insosteni#les- que danla uelta al mundo, operan como un $1 solo que se inscri#en en el cuerpo del 2tro. /aro!propone con ehemencia inmiscuirse en la dan!a del e"e imaginario de la #uena manera 'comprometer la interpretacin analtica frente a estos fenmenos, como ha sealado 3iller.Nota 2. u' 4riole en su texto,El cuerpo dentro de los muros,demuestra la falsedad de laPsiquiatra actual 0psiquiatrera- que al sustituir los muros del asilo&asilo clnico(, porlos protocolos ' los hospitales-c%rceles, condenan el cuerpo del loco a un cuerpo #iolgico,o#serado ' igilado as como dcil a la experimentacin. Es necesario, ha#lar a lasparedesporque no son los muros los que impiden entender, es el modo de escucha el queest cuestionado.

    Nota 3. $i los psi, como dice 4riole, han perdido la ra!n ' se han ueltos f#icos a latransferencia, el discurso religioso, tal como demuestra *eginald 4lanchet, en Gozar delcuerpo de ios,encuentra una solucin f#ica frente a la intrusin real del cuerpo que latecnociencia reela. 5a nominacin cuerpo de ios efect)a la sacrali!acin del cuerpopara hacer de este, un cuerpo trascendente, inmuta#le e intoca#le. e!ensa de lasu"#eti$idad contempornea promo$ida por la %glesia cat&lica.

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    7/omo escapar de la de#ilidad mental8 Es la pregunta que orienta la nota 9 de 3assimo:ermini,'a e"ilidad de lo imaginario.Adem%s de su#ra'ar la condena del ser ha#lante ala de#ilidad de hacer del cuerpo ;no ' con ello ocultar el silencio reelado en la pulsiones,propone la alternatia de reducir ' de#ilitar la #ur#u"a imaginaria locali!ando un real delgoce que agu"eree el sentido, #a"o el hilo que une el sa"er-hacer con el partenaire con el

    sa"er-hacer con la imagen.

    Es aqu donde parece imprescindi#le la nota (, que a pesar de lo disonante ' ruidosa oprecisamente por ello hace parte de esta sin-fona. El )uido de *choen"erg, de 3ara

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    "8i%a'e 9i ercte

    :il Caro

    orce est de constater que lCimaginaire ne se r>duit plus au seul registre des D om#res etreflets 1que 5acan lui attri#uait au d>#ut de son enseignement. 5a primaut> actuelle delCimage dans la ciilisation, si d>plor>e par ceux qui rFent dCun monde quCon pourraitmettre en marche arriGre, t>moigne plutHt de la consistance de lCimaginaire. 5es effets queles images m>diatiques exercent sur les opinions et sur les corps, marquent une certainedisparition des limites entre imaginaire, s'm#olique et r>el. 5a parole peut aoir lCimagecomme support et ice ersa, produisant des effets r>els manifestes. Ainsi, lCimage ducamion r>frig>r> stationn> sur la #ande dIarrFt dIurgence dIune autoroute en Autriche, ascand> notre routine par un >>nement aec un aant et un aprGs. /ette image en cachaitplus quCelle ne montrait. Jous nCaons pas u de cadares. 3ais les dessins des poulets,saucisses et tranches de iande fum>e qui ornaient ce camion, ainsi que le la#el de la soci>t>sloaque de iandes de poulet /+za, en disaient long. Kls a"outaient L lCinformation quesoixante et on!e femmes, enfants et hommes ont >t> trou>s asph'xi>s dans ce camion, unegamme trGs large de significations associ>es. Cailleurs, Angela 3erMel sCest empress>edCassimiler ce noueau drame L un Daertissement L lIEurope, en appliquant en Allemagnela politique dCouerture aux r>fugi>s quCon connaNt. /e qui paraNt Ftre ici un effet dCimage,est en fait un effet de r>sonnances signifiantes sur le r>el, se d>plo'ant par la m>taphore etla m>ton'mie.

    5Cimage du corps dCA'lan, le petit immigrant Murde >chou> sur une plage turque, a eu uneffet de r>eil et de mo#ilisation sur les discours am#iants, que maintes images de r>fugi>sauparaant nCont eu. Kci, le retentissement de lCimage d>pend de lCo#"et plutHt que dusignifiant. *appelons une autre image dCun enfant mort, celle du "eune 3ohammed al-urah L a!a, dans les #ras de son pGre qui tente en ain de le prot>ger lors dCun >changede tirs entre des palestiniens et une position de lCarm>e isra>lienne en lCan ?OOO. 5Coriginedes tirs qui ont atteint 3ohammed, est tou"ours su"et L controerse, mais personne neconteste le rHle que cette image a "ou> dans lCalimentation des >meutes dites D la deuxiGmeKntifada au lendemain de sa diffusion. uelles que soient les causes complexes de ces

    0$0nements-crises, on ne peut exclure la part "ou>e par ces images dans le d>clenchementdes >>nements. 5eur force est due L la production dCun effet de masse par lCactiation dCunfantasme collectif de lCenfant malmen> ou mort, ersion r>elle de D on #at un enfant .5Cenfant comme o#"et aha#ill> par le fantasme, prooque une >motion puissante. 5e faitquCelle soit commune L des situations totalement diff>rentes nCest quCune signature delCindiff>rence de lCo#"et de la pulsion. JCimporte quel enfant malmen>, dans nCimporte

    15A/AJ minaire sur 5a lettre ol>e ,Ecrits, 1Q66, Paris, $euil, p. 11.

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    quelle situation, >oque tou"ours le mFme affect accroch> L ce fantasme. /ela ne signifiepas que lCimage D ment . En soutenant que lCimage est truqu>e ou instrumentalis>e, on nefait que confirmer quCelle d>oile tou"ours ce qui fait >rit> pour quelquCun. 2n a #eaususpecter la D manipulation par lCimage du corps no'> dCA'lan, celle-ci a produitquelques effets r>els non n>gligea#les. 5CFtre parlant nCa dCailleurs pas attendu les images

    pour pratiquer la manipulation. /elle-ci nCest quCun nom donn> L un retentissement que lesignifiant produit dans le discours, quand ce retentissement est perRu comme maleillant.

    2r, que ce soit lCeffet du signifiant ou de lCo#"et dans le fantasme, ces images ne portent pasatteinte L la #onne forme du corps. En tant que telles, elle ne contiennent aucunetransgression des lois du langage et se prFtent L la r>gulation phallique par lasignificantisation. Autrement dit, ces images transforment lChorreur en message par letruchement dCun au!he"ungdu r>el quCelles repr>sentent. Kl ' a lieu dC>oquer ici la tensionque propose fini par 5acan, le #aroque iserait lar>gulation de lCSme par la ision des corps, la scopie corporelle. *ien de tel dans le porno,nulle r>gulation, plutHt une perp>tuelle infraction ?.

    /Cest L partir de lCeffet du porno que nous pouons saisir les effets des d>capitations misesen scGne et diffus>es par la propagande de aesch, mais aussi des images diffus>es par desorganismes dont les o#"ectifs sont plutHt pacifistes. Ainsi, au mois de mars dernier, uneexposition de trente photos a >t> sponsoris>e par quin!e Etats mem#res de lC2J;, sous letitre D aesar hotos %nside *+rian uthorities 4./ette exposition pr>sentait les tortures etles atrocit>s commises dans les prisons du r>gime de 4ashar al-Assad. es photos

    particuliGrement insoutena#les ' montraient des femmes, des enfants, et surtout deshommes, tortur>s, mutil>s, affam>s, morts. 5Cexposition a >t> install>e dans un couloir trGsfr>quent> du #Stiment de lC2J; L JeT-UorM, et ceci dans le #ut d>clar> dCo#liger lesd>put>s, diplomates, "ournalistes et repr>sentants dC2J qui traersaient ce couloir, L nepas d>tourner le regard de ces horreurs. Et en effet, la ision de lCinsupporta#le laisse unetrace sans m>diation dans le corps. /e trou#le dont la dur>e d>passe lCinstant du regard nCestpas un message, mais comme lCangoisse, cCest un signe du r>el qui ne ment pas. En mFmetemps, il est suscepti#le dC>eiller lCadoration duparl5trepour la #onne forme du corps,@

    qui se traduit L lCoccasion par une mo#ilisation dans une action de soin et de r>paration.

    Jous >ta#lissons donc un lien dC>quialence entre ces images insoutena#les des corpsmutil>s et la pornographie. En effet, comme le note el que la profusion imaginaire de corpssCadonnant L se donner et L se prendre 9. 2r, que la pornographie montre le mieux le non

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    rapport sexuel, cela reient L dire que la pornographie est lCimage qui nous conduit au plusprGs du r>el. $auf quCL la diff>rence de la pornographie qui est un forRage dCun plus-de-"ouirau su"et par la oie du regard, ce quC>oquent les images des humains r>ellement castr>s estde lCordre de lCangoisse, celle de la cession de lCo#"et, de D lCexp>rience corporelle oY seproduit la coupure de lCo#"et X.5Cimage opGre ici comme un $1 tout seul, un signifiant hors

    sens qui ne sCadresse pas L un $? pour une production dCune signification, mais qui enreanche ient sCinscrire sur le corps comme Autre. 5Ceffet dCexposition L lCimage est plutHttraumatique, et quand cet >>nement sCinstalle dans la dur>e, quand le su"et peine L sCend>#arrasser, il fait s'mptHme.

    Au fond, ces images sont une production de notre temps de l7apr8s 9edipeen tant quecelui-ci a#rite dCune part un capitalisme effr>n>, et dCautre part une identification L un pGrefondamentaliste. Ainsi, aux cHt>s de la chirurgie qui restaure des corps d>figur>s, o'ons-nous >merger une face o#scure de la m>decine qui, pouss>e L lCo#sc>nit>, fait monter lacoupure signifiante sur la scGne. Jous pensons aux scandales >mergeant de temps L autrequand des t>moignages affluent de la /hine, concernant le #usiness florissant pratiqu> dansce pa's aec des organes pr>le>s sur les corps des condamn>s L mort. Par ailleurs, la figureplus r>cente du d"ihadiste se fait elle aussi amie de la coupure incarn>e, en sCidentifiant LlCagent de la olont> de lCAutre mettant en scGne le $1 en #ourreau, en train de d>capiter le$? en ictime agenouill>e 6.

    Pour terminer, plorant les effets nocifs de la prolif>ration des images dans la ciilisationcontemporaine, il nous reient dCengager lCinterpr>tation anal'tique face L ces ph>nomGnes.Par ailleurs, plutHt que de #ouder cette nouelle organisation du monde autour de lCaxeimaginaire, il nous sem#le plus pertinent de sC' immiscer en entrant dans cette danse de la#onne faRon afin dCa#order le r>el contemporain.

    55A/AJ

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    El cero /e.tro /e lo* %ro*

    :-; +riole

    5os muros detr%s de los cuales 5acan pronuncia sus harlasW

    son los del ospitalpsiqui%trico $ainte-Anne en Pars. 3uros en los cuales hi!o su internado, donde se encontrcon Aim>e ' donde ino todas las semanas, hasta el final de su ida, a conersar conpacientes durante las presentaciones de enfermos, este e"ercicio que consiste en escuchar alos pacientes, algo que eidentemente no les ocurre a la uelta de cada esquina. Q

    5a psiquiatrera1O es el halla!go de 5acan para ha#lar de la posicin de falsedad de lospsiquiatras cuando se entregan a toda suerte de contorsiones para encontrar una causalidad ala psicosis que les eitara confrontarse a la locura ' al sericio social 11que contiene sufuncin. 5a dimensin cientfica que dan las perspectias gen>ticas ' las de la

    nanomedicina, aca#aron por precipitar los psi fuera de la clnica. #icos de latransferencia, se olieron so#re el cuerpo del enfermo.

    Los cuerpos encerrados

    Para 3ichel oucault1?,el hospital ' la c%rcel son ante todo lugares disciplinarios. Es enestos espacios, cercados so#re ellos mismos, que se e"erce la disciplina por el intermediariode los cuerpos. 5a tesis central de oucault es que los enfermos, los locos ' los prisioneros,son cuerpos encerrados. Estos cuerpos han, cada uno a su manera, infringido la le', rotocon un equili#rio #iolgico o social. 5os protocolos, m>dicos, penitenciarios, etc., apuntan areintegrar los cuerpos en las normas de un funcionamiento predefinido. Es un erdadero

    cuerpo a cuerpoque est% comprometidoentre el poder del cuerpo m>dico -'o carcelario- 'aquel que tiene a sucargodisciplinar. El cuerpo m>dico usa su sa#er para e"ercer un poderen el centro del cual se encuentra una mirada particular lleada so#re los cuerpos. Es apartir de este punto, ' retomando el dispositio panptico inentado por anticipacin so#re una eolucin de la psiquiatra que se ha replegado so#re lo #iolgicopara participar me"or en la accin poltica de la puesta en orden. Aspuede explicarse la

    8Lacan J., Hablo a las paredes, BA, Paids, 2012, p. 9.9Ibid.,p. 101. Nota del ato!" es i#po!tante $a!da! la t!adccin #%s ce!cana a la &!ase de Lacan. 'n la

    (poca en la cal la p!onnci ), a*n #%s +o), los en&e!#os psii%t!icos est%n en la calle, en cada esina.10

    Ibid., p. 18.11

    Ibid.12

    -ocalt ., El poder psiquitrico. /!es cantos, ad!id. Aal 'diciones, 2005, 391 p.13

    Ibid., p. 226.

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    reintegracin de la enfermedad mental en las enfermedades som%ticas todo es enfermedaddel cuerpo.All donde los psi permanecan como un punto de resistencia, de contestacin para lospoderes, los emos ahora comprometidosa la puesta en orden de los cuerpos locos, cuerposfuera de las normas 5os responsa#les polticos no espera#an tantoB

    El su"eto 'a no es el interlocutor de los psiquiatras. 5a locura est% circunscrita al espacio deun cuerpo #iolgico ' los muros del protocolo se han sustituido a los muros del asilo. 19Elpsiquiatra no est% interesado en sa#er a qui>n pertenece este cuerpo. $in em#argo, se sienteconcernido por lo que hace en el campo social $e ha conertido en un asunto de polica, de"usticia ' de psiB

    El enfermo mental se encuentra en los pasillos ' en las celdas de las prisiones. Es unanoedad de nuestra >poca. espliega all su locura a la cual no puede enfrentarse el personalpenitenciario.

    $ufrimiento, iolencia, estigmati!aciones, castigos, a#usos de tratamientos neurol>pticos,

    ausencia de tratamiento coherente a largo t>rmino, son la cotidianidadde estos su"etos.

    Esta uelta a la prisin-asilo est% marcada por el fracaso del seguimiento que de#a asegurarla psiquiatra de sector1X,fuera de los muros. Esto es concomitante con el aumento de losenfermos mentales en la calle ', por consiguiente, en las c%rceles. El enfermo mental est% ensituacin de precariedad en la calle -pero curado seg)n los criterios actuales aunque notenga unseguimiento regular- en riesgo de cometer, m%s que cualquiera, delitos o crmenesque lo llear%n a prisin. Elri!o se ri!a so#re lo que algunos admiten como la solucin demal menor, el encarcelamiento del enfermo mental.

    El cuerpo en el hospital-crcel

    U es aqu que la idea ha llegado a un poder alcan!ado por su deria hacia la seguridad deconstruir, con la a'udaactia de los psiquiatras, el hospital c%rcel. En rancia, se llama:nit0 /ospitali8re *p0cialement m0nag0e&;$A(16donde est%n encerrados los detenidosque presentan trastornos psiqui%tricos+ nuee unidades est%n 'a en funcionamiento, #ienrepartidas so#re todo el territorio.

    e aqu los cuerpos no slo constreidos, encerrados, #iologi!ados, sino tam#i>n,retomando en esto a oucault, cuerpos o#serados, igilados ' castigados. *ecoga elcar%cter parad"ico de los leantamientos en las prisiones en los aos =O que no eran tantolas protestas so#re la precariedad carcelaria como una reuelta contra las prisionesmodelos, los guardianes, los psiquiatras se trata#a realmente de una re#elin, al niel de

    14B!iole ., Le ene Lacan , in " Lacan au miroir des sorcires. La Cause freudienne, Pa!is, Naa!in, 2011,

    p. 98.15

    Ps)c+iat!ie de secte! " no#!e de los l$a!es en los cales, en -!ancia, se +ace el t!ata#iento desp(s

    del +ospital.16

    A" nidad ospitala!ia 'special#ente Acondicionada.

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    5a raz&n de los muros, es lo que se ha dilapidado, engullido por el retroceso de aquellos quehan desdeado la transferencia para entregarse a un enfoque supuesto racional ' cientficode la psiquiatra. e hecho, no es m%s que una ilusin, la locura siempre ser% locura ' lasterapias g>nicas o nanomoleculares no regular%n los desrdenes de los hom#res. :odoestando despo"ados de la clnica que de un sa#er hacer, ' le"os de ser animados por un deseo

    de ir al encuentro de los pacientes, les queda aplicar protocolos que deciden los ingenieros,#ilogos ' especialistas de los enfoques cognitios del iiente.

    5o que ha sido sacrificado es lo que este sintagma, asilo clnico?O, contena de respeto ' deinter>s por el paciente ', m%s all% de la dimensin humanista, de una >tica de la pr%ctica enpsiquiatra.

    Para 5acan, no son los muros los que impiden entender, es el modo de escucha el que est%cuestionado?1.

    ;raducci&n /elena ;orres

    &oir / cor* /e Die

    Rt>ro . Elle est tout L lafois h>t>rogGne, h>t>ronome et h>t>roclite h>t>rogGne au su"et du signifiant, h>t>ronome ence quCelle serait sans loi, h>t>roclite en ce quCelle d>coupe le corps en une pluralit> de !onesde satisfactions partielles. Elle est donc L tenir, enseigne 5acan, comme la manifestationdCun r>el, soit de ce qui, de sa nature, reste forclos pour le su"et.?@/e r>el, cCest celui de lasu"stance #ouissante du corps comme su#stance "ouissante.

    /Cest de mFme lCintrusion du r>el du corps qui prooque le d>sarroi des discours >ta#lisdeant les manipulations technologiques qui interiennent d>sormais dans la procr>ation.

    5e sem#lant de ladite D loi naturelle qui organise traditionnellement en 2ccident lerapport entre les sexes &la D diff>rence sexuelle ( et lCordre procr>atif &la con"onction

    20Ibid.,p. 96.

    21Ibid.,p. 100.

    22 e s! le s)#pt?#e , Bloc!otes de la psyc"analyse, N@ 5, 1985, p.13.

    23Le (#inai!e, li!e :;, Cn At!e = lCat!e , Pa!is, eil, 2006, p. 321D322.

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    sexuelle des corps( d>faille. 5CaGnement du corps de la techno-science?9 rend caduquelCancienne D loi naturelle fond>e sur un corps dont le fonctionnement restait, pourlCessentiel "usquCil ' a peu, hors dCatteinte de la manipulation humaine. /Cest L la su#ersiondu sem#lant de la loi naturelle et de sa normatiit> &les pratiques et institutions quCelleautorise( que ient r>pondre la promotion de noueaux sem#lants appropri>s L lCGre du

    D technocorps .?XPour ce qui est du discours actuel de lCEglise catholique, il sCagit, L raidire, dCun remodelage de sem#lants s>culaires rendus compati#les aec le cours actuel dumouement des sciences et technologies de la reproduction et, de faRon plus g>n>rale, dufaRonnage des corps.

    3ixtes de signifiants et de modes normatifs de "ouissance isant L faire aec le r>el de lasu"stance #ouissante, ces sem#lants en constituent une nomination. /Cest une tellenomination quCeffectue la sacralisation du corps prHn>e par le catholicisme romain. Elleient r>pondre aux mutations soci>tales qui ont cours dans le domaine de la con"ugalit> &lemariage homosexuel( et la procr>ation &dite m>dicalement assist>e(.?6 A lCinstar de lan>rose pho#ique de ans qui procGde L la cr>ation dCun o"#et hors-corps &le cheal enplace dCo#"et pho#ique( condensateur de la "ouissance qui prooque son angoisse, lediscours religieux procGde aec la fonction D corps sacr> L la localisation dans un o#"ethors-corps, le corps-de-ieu, dCun r>el qui, par nature, ne fait pas rapport L lCAutre. /e r>elest celui de lasu"stance #ouissante, et le corps-de-ieu la nomination ou>e L lCagrafer.

    5a norme quCentend faire aloir lCEglise sCautorise en effet de la transcendance. /ettetranscendance est celle du corps. Kl est sacr>, cCest-L-dire intoucha#le, et tout dCa#ord danssa nature sexu>e. /elle-ci d>finit lCordre oulu par ieu >ternel et immua#le. Elle dicte la

    loi de ce qui doit Ftre de la con"ugalit> &seulement h>t>rosexuelle( et de la procr>ation&exclusiement selon les oies de la con"onction sexuelle dCun homme et dCune femme(. /ecorps sexu> oulu par ieu est encore le D corps de ieu en une autre acception. Kldeient le diin incarn>, lCinstance en nous, pour ainsi dire, du corps de ieu. 5es inariantsanthropologiques inoqu>s par le discours religieux pour asseoir ses positions doctrinalesconstituent autant de manifestations de cet ordre diin pr>sent en nous. Kl en a ainsi de ladiff>rence sexuelle. /onRue primordialement comme diff>rence corporelle, notons-le,&D la diff>rence corporelle appel>e sexe , dit >loquemment le /ardinal ne sauraitcontreenir sans porter atteinte L son Ftre mFme. ans le discours L is>e unierselle du

    3agistGre, on le notera aussi, la transcendance du r>el anthropologique du corps sexu> est

    24e!( Jin, LCa>ne#ent d co!ps , Pa!is, alli#a!d, 2005, c+apit!e 2 La p!odction d co!ps .

    25B!i$itte nie! Esos la di!ection deF, /ec+noco!ps , La sociolo$ie d co!ps = lC(p!ee des noellestec+nolo$ies, 'ditions -!anGois Bo!in, Pa!is, 2013.26

    oi! le !eceil d

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    inoqu>e L la place mFme de ieu dont le nom nCest pas prononc>. Autant dire que ce r>elanthropologique se troue promu au rang de su#stitut du nom de ieu. Kl en r>alise commela m>taphorisation. 5e corps-de-ieuest cette m>taphore.

    5e corps-de-ieunomme donc le r>el du corps pour lCEglise. 3ais il fait plus. Kl effectue un

    traitement de ce r>el. En faisant du corps un o#"et sacr>, immua#le et intoucha#le, il lemaintient L lCa#ri de ce qui d>naturerait et corromprait lCordre essentiel des choses, soit lacon"onction de la sexualit> et de la procr>ation, dCune part, de la diff>rence sexuelle et de la"ouissance sexuelle, dCautre part. 5e corps-de-ieuconstitue dGs lors lCo#"et fantasmatiqueappel> L Ftre le condensateur dCune "ouissance qui, autrement, ne connaNtrait ni ieu nimaNtre. /Cest dire quCL lCinstar de lCo#"et pho#ique il forme la d>fense de la su#"ectiit>contemporaine promue par lCEglise face au r>el de la "ouissance. /Cest pr>cis>ment L lCeffetde r>guler lCordre de la "ouissance laiss>e au pouoir du fantasme impr>dicti#le de tout unchacun que le 3agistGre fomente cette n>o-formation fantasmatique. Elle ne repr>senteguGre que le remodelage de lCo#"et de la "ouissance religieuse comme telle, soit de ieu lui-mFme. Elle remplit de fait la fonction >ternelle du diin, soit de parer L la d>tresse du su"etface L lCAutre qui nCexiste pas et qui ne saurait acc>der L lCexistence que par la "ouissanceque lCon en a. quent la modalit> de "ouissanceappel>e L faire rapport sexuel L lCAutre auquel aspire lCEglise.

    :rouerait dGs lors L sC>lucider le m'stGre de cet D >trange mat>rialisme #iologique quigouerne, contre toute attente, nous dit la sp>cialiste, les pro#l>matiques morales ducatholicisme en matiGre de sexualit> .?W/e D mat>rialisme #iologique de la th>ologiemorale &le primat de la fonction sexuelle d>termin>e par lCanatomie corporelle( ne d>tone en

    effet que si lCon m>connaNt sa >rita#le nature. Kl nCest que lCha#illage th>orique de lCo#"etfantasmatique corps-de-ieu. Kl concerne plus exactement, au-delL du fait #iologiqueconsid>r> comme tel, lCFtre charnel. /Cest la rectification quCoppose le philosophecatholique en d>fense et illustration de la doctrine L lCencontre de ces insens>s, sectateurs dugender, dont la sp>culation est aine, qui ignore la Jature cCest-L-dire ieu. ?Q/Cest direquCil concerne le corps comme su#strat de "ouissance, et par lL comme incarnation durapport sexuel.

    Pour autant cette m>taph'sique du corps, il faudrait dire cette fantasmatique du corps, nCestnullement lCapanage du clerg>. :oute la th>matique de la dignit> intrinsGque du corps,

    D indisponi#le L la transaction@O, toute lC>lucu#ration L pr>tention de saoir28

    ani>le e!ieDL($e!, ieH inte!dits, noeaH asols " le cas de lCapp!oc+e cat+olie de la nat!e ,

    inLe sacr& "ors religions, sos la di!ection de -!anGoise

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    ps'chanal'tique qui se fait fort de d>fendre lCacte sexuel comme condition n>cessaire LlCengendrement dCun enfant ps'chiquement normal@1en participent trGs directement. 3aisde faRon plus diffuse, lCangoisse oire lC>pouante qui saisit tout un chacun, le ertigeressenti deant ce qui sC>mancipe comme modes de fa#rication des enfants L partir depiGces d>tach>es dCorganismes >pars, ne sont que les affects qui manifestent lC>mergence du

    r>el, soit de ce qui relGe du non-r>gula#le des D corps parlants que nous sommes.

    5es manifestations in>dites L ce "our de ce r>el du corps parlant mettent le d>sir dups'chanal'ste L la question. ue doit-il en Ftre de son d>sir de sorte quCil soit decons>quence pour le r>el quCil a L loger pour le su"et, r>el dont il ne saurait se d>partir de lacharge 8 5Cath>isme requis de son acte, soit sa d>prise de toute transcendance, ne sera passans sC>tendre, pour Ftre effectif, "usquCL lCirr>ligion de son >thique, soit au dire que non L lanormalisation dCune "ouissance-pour-tous au nom dCun $ens suprFme. Kl ' a lL assur>mentde lCimpossi#le dont il a L soutenir la fonction.

    31/hristian laign',$is de temp5te sur la !amille, Paris, Al#in 3ichel ?OOQ, chapitre 9 D 5Cenfant sansenfantement 8 , pp. 1O9-11Q.

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    Slla /e)ilit= /ell8i%%a'i.ario

    Ma**i%o Ter%i.i

    5a de#ilitL come dimensione intrinseca al mentale e non piY soltanto come categoria dellaclinica G quel che si incontra nellIaan!are dellIinsegnamento di 5acan. $trappata alparticolare della diagnosi, registra una ertiginosa estensione. Jon piY riserata a qualcuno,diiene quella di tutti, riguarda ogni essere parlante, la de#ilitL G ci a cui siamo destinati inragione dellIimmaginario lIuomo pensa de#ile@?. ;nIestensione del concetto dunque, maanche la sua radicali!!a!ione fino allIinelutta#ile che

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    apertura allIAltro, gli effetti di chiusura dellIimmaginario appaiono a una certa distan!a. 3ala perce!ione cam#ia se, messo sul #anco degli imputati, come nellIesperien!a analitica, ilsapere lascia intraedere la sua connien!a con lIimmaginario, resa innan!itutto dallIidea dipoter fare totalitL e operare in tal modo una chiusura del soddisfacimento@6. /osascorgere in questa idea di un tutto in grado di restituire la soddisfa!ione che sempre sfugge

    allIessere parlante se non lIeffetto della riflessione del significante nellIunitL immaginaria delcorpo8

    KKK

    $ul filo dellIargomenta!ione di

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    possa eramente s#ara!!arsi di tale dimensione, almeno non del tutto. /osa riconoscereinfatti nel suo riferimento al modello, alla teoria dei modelli, se non la necessitL di ricorrereancora allIimmaginario per farsi unIidea del reale@Q8

    w

    Jon si esce dalla de#ilitL, ma neanche si tratta di accomodarisi. 5o stesso insegnamento di5acan, in particolare il suo tratto finale, testimonia di un incredi#ile sfor!o per indiiduare ime!!i in grado di for!arne gli effetti.Per questo la messa a fuoco del sim#olico e delle sue fun!ioni si porterL ancora oltre perpuntare piY in lL della dialettica, del fare ordine, delle sue leggi, la sua capacitL diconserare qualcosa del #uco, di comportare un #uco doe riconoscere la rimo!ioneoriginaria, lI:r$erdr>ngung, di reud9O. /osy, piY che leggere tra le righe per fermarsi aintendere il senso fallico si pu cercare di locali!!are i #uchi del senso fallico, quelli chefanno da punto di interse!ione tra il sem#iante e il reale 91. Allora leggere, intelligere, mafondamentalmente leggere un sintomo, come ha proposto

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    che lega il saperci fare con il partner al saperci fare con la propria immagine pu essere cosyreso si pu allentare il morso dellIimposi!ione solo a condi!ione di ridurre la #ollaimmaginaria e situare nel reale del corpo, piuttosto che tramite lIAltro, il proprio godimentosmarrito nella de#ilitL.

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    O r/o Scoe.)er'

    Maria &o*e3i.a Sota (-e.te*

    9 artista nAo !az o que os outros

    consideram "elo, mas somente o que

    ele tem por necessrio. &$choen#erg(

    eixar-se condu!ir pela sonoridade de um dos compositores mais dram%ticos e com#atidosda histria da m)sica exige uma traessia e a suspens{o da expectatia de alento, muitodistante daquela que, em plena ascendFncia do sistema tonal, 3iguel de /erantesmanifestaa ao di!er que a m)sica comp|e os caminhos decompostos e aliia os tra#alhosque nascem do esprito.

    Jascido em 1W=9 na wiena eferescente de reud, $choen#erg sofreu com as duras crticasdo p)#lico escandali!ado com sua o#ra. Em#ora seu talento excepcional tenha sidoreconhecido no meio artstico e intelectual, n{o escapou da po#re!a de origem que oacompanhou at> 1QX1 nos Estados ;nidos, onde se exilou da perseguiR{o na!ista e morreuna mis>ria.2#stinado pelo ato de criaR{o musical, n{o fa!ia concess|es. iante da crtica respondiacom ousadia e inenR{o incessantes. A )nica coisa que > eterna > a mudanRa e o que >transitrio > a existFncia9X0 escreia no seu extenso tratado so#re/armoniadestinado aosalunos, mas so#retudo L crtica que o condenaa, comprometido com o legado dos grandes

    compositores entre os quais a histria efetiamente lhe reserou um lugar comoprotagonista da ruptura do sistema tonal e criador do dodecafonismo96.J{o se consideraa um reolucion%rio mas um eolucion%rio 9= inserido na tradiR{oestilstica tonal que regeu a m)sica na Europa por mais de trFs s>culos, denunciando suasaturaR{o. /ou#e-lhe descortinar a estrutura e as leis de uma linguagem musical, deselandoum real modulado at> ent{o conforme as >pocas e os estilos musicais.Assim, o atonalismo deu o! ao momento do a#surdo e da ausFncia de sentido que implodiana wiena angustiada com a Primeira uerra 3undial. } o que prop|e Adorno no elogio Lm)sica radical, aquela que conhece a dor n{o transfigurada do homem9W, a dor que n{oadmite o "ogo das aparFncias tamanha sua impotFncia frente ao mundo, quando a trag>dia,

    at> ent{o inserida na linguagem musical, pagaa o preRo de transfigurar-se no reconfortantedo sistema tonal.

    45$choen#er, A./armonia. $P ;nesp, ?O11, p.=?.46/f. 3ene!es, lo. ApresentaR{o. Kn/armonia.2p. cit, p.1?.47K#id., p. [email protected], :.~.Biloso!ia da no$a mCsica. $P Perspectia, 1Q=9, p. @6.

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    $choen#erg n{o utili!ou a linguagem musical para expressar uma narratia dram%tica masdesmantelou o prprio sistema criando uma harmonia capa! de a#arcar o caos, adissonSncia, o tim#re estridente e a melodia errante. uma finalidade em si, mas apenas um recurso. A nature!atam#>m > #ela quando n{o a compreendemos e quando nos parece catica. ;ma e!curados da ilus{o de imaginar que o artista cria por ra!|es de #ele!a ..., compreendemosque a inteligi#ilidade e a clare!a n{o s{o condiR|es que o artista necessita exigir da o#ra dearte, mas condiR|es que o espectador espera er satisfeitas.XO

    mCsica e seusDacordos modal e tonal

    ~isniMX1, em sua an%lise histrica das relaR|es entre 9 som e o sentido, mostra que a m)sica"% nasce como tentatia de ordenar os rudos, as interferFncias sonoras caticas e irregularespermeadas de silFncio presentes no mundo. A m)sica tem o poder de extrair, do #arulho edo silFncio, um som afinado, ordenado, como o cantar em unssono. Afinar as o!esi#rando na mesma altura e duraR{o de uma onda sonora exigiu um acordo 0 #erRo doacorde 0, no qual a o! inserida no laRo ressoa i#rante em sintonia com o 2utro social.

    Assim nasceu a m)sica modal presente nas sociedades pr>-capitalistas e nos poosselagens, onde a m)sica sempre foi associada L experiFncia do sagrado./om efeito, o poder m%gico da m)sica de colocar em sintonia a realidade inisel docorpo, que ressoa com a presenRa do 2utro numa mesma i#raR{o, pode ser lido como o")#ilo de encontrar no o#"eto sonoro comum a modulaR{o para a ang)stia frente ao silFnciodo 2utro, ou, ainda, para a presenRa inasia da lllngua, esse rudo que n{o deixa am)sica em pa!X?.2 sentido comum no caso da m)sica > modulado, segundo ~isniM, por um determinadosistema sonoro. Ja m)sica modal, distintas escalas foram utili!adas conforme aspropriedades semSnticas que se #uscaam, entre as quais prealeceu a escala de X sons que

    mantFm entre si um mesmo interalo sem tens{o, gerando o efeito de circularidade. Est%ele homogFnea, a melodia modal n{o tem comeRo, meio, nem fim, caso da m)sica chinesa ouindiana nas quais a dimens{o do tempo cronolgico, em suspens{o, > eterni!ado.

    49Kdem, p. 9O.50$choen#erg, A. 2p. cit, p. [email protected]~isniM, 3. 9 som e o sentido${o Paulo /ompanhia das 5etras, 1QWQ.52$egundo se expressa 3arcus A.wieira no /urso A presenRa do 2utro &K/P-*

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    A presenRa de instrumentos de percuss{o e distintos tim#res foram explorados em rituaisafricanos no mundo modal, mas estee ausente no canto gregoriano da Europa medieal,que desem#ocou na m)sica tonal. /antado em unssonoe sem instrumentos, este admitiu omi e osiem sua escala, a#rigando uma dissonSncia interna, o trtono, condenado pela moralcatlica que o associaa L presenRa do dia#o.

    oi somente no s>culo vwK que a mCsica das alturas esta#eleceu um pacto com o dia#o ecriaram-se formas de resoluR{o para a dissonSncia na m)sica tonal. A est%tica modal deulugar L dial>tica de tens{o e repouso do modo tonal, lograda com a cadFncia dos acordes,definida a partir de um ponto de capiton, o tom hier%rquico que esta#elece o terreno so#re oqual as tens|es se criam e se dissipamX@. A melodia, como uma narratia com um comeRo,desenole-se no tempo e clama pelo seu desfecho. 2 rudo > eitado, o conflito se admiteso# a condiR{o de resoluR{o, e o silFncio, exigido ao p)#lico, emoldura o espet%culo.

    presena do o"#eto angustiante na mCsica

    4asta ouir o primeiro poema sinfHnico de $choen#erg, aNoite trans!igurada, ou oierrotlunaire, para sentir o terreno so#re o qual aanRa o atonalismo e o sistema dodecafHnico 0 aharmoniaque $choen#erg construiu nos confins da m)sica, num campo catico regido porum sistema musical capa! de manter, como queria o compositor, o equil#rio de forRasnuma tens{o m%ximaX9.$em o eixo da tonalidade, a m)sica dodecafHnica refuta a hierarquia dos sons mantendo aequialFncia dos do!e semitons+ exacer#a as dissonSncias sem resoluR{o, desmantela osistema da m>trica dos compassos, a#usa dos rudos e das alteraR|es dos tim#res, inclusie

    na o! que perde as propriedades do canto lrico. Jem canto nem fala, o anto!aladoarre#enta com a m)sica das alturas e a pulsaR{o ordenada, fa!endo entrar em cena a o!rasgada, o rudo e o silFncio, ou se"a, a presenRa do o#"eto a angustiante que deeriamanter-se nos #astidores do espet%culo.As o#ras e personagens do compositor est{o intimamente ligados aos acontecimentos desua ida. } o que indicam seus #igrafos XX. ie GlucFiche /and &1Q1O(, que retrata odestino tr%gico de um homem solit%rio a#andonado pela mulher que se interessa por outrohomem, > a ers{o da crise matrimonial que atraessou quando sua esposa o deixou parafugir com um pintor pelo qual se apaixonara, e que se suicidou logo em seguida. 2 tematam#>m est% presente noErartung&1QOQ(, monodrama que retrata a procura desesperada

    de uma mulher pelo seu amante na floresta, onde o encontra morto so# a suspeita de que elea teria trado. 2 retrato de uma mulher hist>rica delirante leantou suspeitas de que apersonagem do li#reto do monodrama, escrito por 3arie Pappenheim, teria sido inspiradono caso Anna 2., parente da li#retista, que aca#aa de ser pu#licado.

    53/onforme wieira &i#id(, o sistema tonal pode ser assimilado ao Jome do Pai e suas grandes narratias.54$choen#erg, A. 2p. cit., p.=9.55Aimer,

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    $e"a como for, $choen#erg n{o deixa d)idas de onde deem partir as fontes de criaR{o 2ensino pelo qual se dee educar um artista poderia consistir em, quando muito, a"ud%-lo aescutar-se a si mesmo. ... $eu ouido e seu senso de eracidade o condu!ir{o com maisseguranRa do que o fariam todas as leis artsticas.X6Ainda que sua relaR{o com reudpermaneRa o#scura, escree ao aluno de m)sica A criaR{o do artista > instintia. ... Ele

    tem a sensaR{o de algo como se o que ele fa! lhe fosse ditado. ... } somente o reali!adorde uma ontade que lhe > oculta, do instinto, do inconsciente que nele ha#ita.X=

    3as n{o foi no lugar das diindades da noite de um inconsciente romSntico, guardi{o dosentido oculto, onde $choen#er foi #uscar a mat>ria-prima para sua o#ra de arte. oi capa!de que#rar o sistema da narratia tonal e criar uma noa linguagem para alo"ar a ausFncia desentido, os choques traum%ticos do corpo estremecidoXW, t{o adorado quanto sua/armonia.Jesse noo acordo de um compositor que n{o escree o que > con!orme a arte, mas oque > con!orme o artistaXQ,eis um laRo sem concess|es que n{o sacrifica o sem-sentido.igno de notaB

    56$choen#erg, A. 2p. cit, p.X=?.57K#id., p. X=?.58/f. Adorno, op.cit., p.9?.59$choen#erg, A. 2p. cit, p.X66.

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    El cero> el /ecir ; la 3or%a

    &-a. (er.a./o Pn, ' en competencia con >sta, sit)a a la mirada. Es esa sensi#ilidad de losorificios aquello que hace posi#le que, de una parte, la o! pueda transmitir el equoco '

    60En el = de la Jota paso a paso, llamadoe un cuerpo al estilo antor. :oda la nota est% pu#licada en el$eminario ?@ de 5acan, Paids como anexo al seminario, ' el = se halla entre las p%ginas ?O6 ' ?1O. 5as doscitas de 3iller que se indican aqu en este mismo p%rrafo, se encuentran en este mismo texto, p. ?1O.61p. 1W, edicin de Paids.

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    tam#i>n llegar a resonar, ' de otra parte, que el indiiduo 6?se presente como pueda, estoes como un cuerpo que siempre ha de aparecer #a"o una forma./onfigura as dos pares #%sicos para circunscri#ir el cuerpo, los que conforman uncuaternario &un ordo quadratus, dira un medieal con cierta euforia(, los cuales permitenestudiar ' tra#a"ar con el cuerpo ha#lante de un lado la o! ' la mirada ' de otro, el decir 'la forma. Estimo que ese cuaternario orienta no pocas tesis de 5acan al considerar la teora' la clnica psicoanalticas.

    3.- La forma o un cuerpo al estilo de Cantor: {1, !

    ui!%s sea el examen del cuerpo como forma el tema m%s comple"o en las consideracionesde 5acan en el seminario ?@, en lo relatio al cuerpo. 6@5a contri#ucin de 3iller al respectoes indispensa#le, 'a que los sealamientos de 5acan acerca del cuerpo como forma est%nall propuestos con no dichos, segundas intenciones, alusiones cifradas, resonancias, 'otros in$isi"ilia.69 Es claro que algunos de ellos se hacen menos indescifra#les con 3iller.3e parece que para a#ordar el pro#lema de la forma del cuerpo coniene hacerse lasiguiente pregunta 7qu> hace que sea necesario para 5acan, al referirse a la forma delcuerpo ' al cuerpo en general, inocar la definicin de con"unto de /antor8Ua 5acan ha#a estudiado a /antor desde el seminario vKw,'a l&gica del !antasma, ' ahorarecoge en forma condensada sus conclusiones acerca del lugar que tiene su teora decon"untos en la pro#lem%tica en cuestin. /on el auxilio de 3iller mi respuesta a lapregunta es la siguiente con /antor, 5acan consigue formular con gran precisin suconcepcin especfica del cuerpo ' su diferencia con relacin al cuerpo de Aristteles, elcual marca a la ciencia moderna. $e trata entonces de situar, en t>rminos de teora decon"untos, el cuerpo en una dimensin que reco"a los resultados de la inestigacinpsicoanaltica ' que permita as definirlo, no como lo conci#e la ciencia, es decir un cuerpofundado en Aristteles, sino como una #olsa de piel, aco, por fuera ' al lado de susrganos &3iller, op. cit., p. ?OQ(, un cuerpo sin rganos.Este planteamiento puede escri#irse de la siguiente manera 1, A,4,/,,E, en locual el primer con"unto da cuenta del concepto de cuerpo para el psicoan%lisis con 5acan 'el segundo el de la ciencia, esto es como un con"unto cu'os elementos son los rganosfuncionando en un todo unificado. El primero formula entonces que el con"unto que ha'#a"o la piel est% aco, pero al lado de sus rganos. $i estas proposiciones son correctas, elcuerpo no sera para 5acan un con"unto con un n)mero especfico de elementos

    62El uso por 5acan del t>rmino indiiduo en este fragmento de#e ser considerado mu' especficamente.Parece tener al menos esta connotacin hace referencia a lo que 3iller llama en su Jota paso a paso, un 1solito &p. ?OW(, con lo cual 5acan, seg)n propone 3iller, seala que el su"eto es capa! de ser elemento de uncon"unto. $e trata entonces de uncuerpo que es capa! de hacer parte de un con"unto, 1.63

    4a"o el t>rmino forma 5acan retoma una perspectia que 'a ha#a explorado desde sus tra#a"os acerca delestadio del espe"o. /omo es sa#ido, en ese momento ha#a priilegiado el concepto de imagen, el cual ahoraes reconsiderado en diferentes lecciones del seminario ?@, con el t>rmino forma. En la leccin Kw de esteseminario, por e"emplo, 5acan uele al examen del cuerpo como forma, es decir como #olsa, para #rindar allnueos elementos de "uicio, en especial lo relatio a la consistencia del cuerpo. /on el fin de no hacer mu'comple"o el ra!onamiento en este lugar, de"o solo sealada esta referencia sin anali!arla aqu, ' remito allector interesado al texto de *am 3andil pu#licado en *Fa"HX, ' al comentario al mismo de P.-.u>guen,

    para otras consideraciones so#re el tema. e todas formas, estimo que estos textos conendra leerlos a la lu!de las anotaciones de 3iller en su = de su Jota paso a paso en el seminario [email protected] &3iller, op. cit., p. ?1O(

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    heterog>neos &una #olsa con rganos(, sino ese con"unto cu'os elementos son el 1 de la#olsa que adquiere una forma en funcin de las pulsiones ' el aco, 1, .

    ui!%s las consideraciones anteriores permitan situar algunos elementos de la concepcinde 5acan acerca del cuerpo ha#lante, que no parecen ha#er sido plenamente destacadashasta la fecha, con miras al v congreso de la A3P.

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    El co'ito laca.ia.o ; el cero

    !Pri%era arte#

    "eo.ar/o :oro*tia

    Pensar con la frente o con los pies

    ;stedes se imaginan 0dice 5acan en 5a :ercera- que el pensamiento tiene lugar en lossesos. &( Por mi parte, esto' seguro &( de que tiene lugar en el ceo, tanto en el serha#lante como en el eri!o. U luego de un diertido comentario so#re los eri!os, conclu'e$i ustedes pueden pensar con el ceo, tam#i>n pueden pensar con los pies. 6X

    7u> quiere decir 5acan con esto8 ue el pensamiento est% enrai!ado 0el ceo con lospliegues de la frente lo figura mu' #ien- en una superficie, es decir, en la imagen delcuerpo. :an es as, que >l mismo da aqu una definicin del pensamiento que no de"a lugar a

    dudas ciertas pala#ras introducen en el cuerpo algunas representaciones im#>ciles,&( aqu tienen a lo imaginario.66U por eso conclu'e afirmando que el pensamiento es lom%s em#rutecedor que ha' al agitar el casca#el del sentido. Es decir que el pensamiento, entanto efecto de lo sim#lico &las pala#ras( so#re el cuerpo como imaginario, es del orden delsentido. 7Por qu>8 Porque el sentido est% emparentado con la #uena forma, la que le da lagestaltdel cuerpo en tanto imaginario.uien ha'a recorrido el con"unto de este texto, recordar% que en una primera aproximacinel cuerpo parece entonces quedar reducido a lo imaginario. 3%s a)n, podemos decir que loprimero que salta a la ista es que lo imaginario esel cuerpo. :an es as, que 5acan llega-en el aplanamiento del nudo #orromeo que introduce arias eces- a nom#rar el redondelimaginario directamente cuerpo.6=$in em#argo, una lectura m%s atenta permite er que, al mismo tiempo, 5acan no de"a deintroducir otras referencias que indican que no todo el cuerpo se reduce a lo imaginario.Es que, tal como seal hace tiempo ste 0al igual que'amu"er- no existe.aciendo un cortocircuito podramos decir que elcuerpo no existe ' que lo que s eIisteesla su#stancia go!ante.As, ser% aan!ando en la nuea transformacin del cogito aqu tam#i>n propuesta por5acan, que se pueden atis#ar otros estatutos del cuerpo correlatios a diersos estatutos delgoce.esde esta perspectia, ' en funcin de lo que antes su#ra'%#amos so#re el pensamiento,podemos preguntarnos cu%l es el goce que reside en la interseccin del cuerpo imaginariocon lo sim#lico, es decir, con las pala#ras. *espuesta un goce ligado al hecho de ha#er

    655acan,

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    captado un sentido, de ha#er comprendido algo.6QEs decir, la satisfaccin de ha#er logradoel calce entre un pensamiento ' otro, esta#leciendo una com)n medida que hace resonar elcuerpo en tanto imaginario, en tanto #uena forma.Pero tam#i>n es cierto que el esfuer!o de cal!ar un pensamiento con otro, modalidad propiade la neurosis o#sesia, adem%s genera un plus, un exceso, 'a no rea#sor#i#le en la #uenaforma del cuerpo imaginario. Es un goce que se sit)a !uera-del-cuerpo' que 5acan nom#raen este texto como goce f%lico, el que est% presente en el sntoma pero que no agota todo elgoce del sntoma.=OPero pasemos ahora a considerar el nueo cogito aqu propuesto por 5acan.

    El ronroneo del gato y la substancia gozante

    Por extrao que pare!ca, 5acan toma como punto de apo'o para la nuea formulacin delcogitoen el ronroneo del gato. ice que el ronroneo, sin duda alguna, es el goce delgato. Jo tengo idea de si pasa por laringe o por otro lado. /uando los acaricio, parece ser detodo el cuerpo.=1Es decir, que aqu no se trata, como en el caso del eri!o del ceo, de lospliegues de una superficie, sino de lo que 5acan llama todo el cuerpo.Ahora #ien, lo que llama la atencin es que diga que esto, el goce del gato que sale de todoel cuerpo, lo introduce en aquello de lo cual quiere partir para su interencin. 7U cu%l esese punto de partida8 Precisamente el nueo cogito Pienso, luego $e go!a.}l lo dice as Pienso, luego $e go!a. *echa!o el luego &donc( usual, el que dice go!o'&Ke souis(.=?Es el modo que tiene 5acan, seg)n la traduccin al espaol, de "ugar con Kesuis &$o'( ' *e #ouit &$e go!a( 'Ke souis &o!o'(.U a continuacin agrega

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    En este sentido, esta nuea reformulacin del cogitoes la consecuencia de lo que dos aosantes, en su seminarioCn, 5acan emprendi al afirmar que no sa#emos qu> es estar ioa no ser por esto, que un cuerpo es algo que se go!a.=XEn ese $eminario 5acan de#ate una e! m%s con escartes introduciendo, frente a las dossu#stancias propuestas por el filsofo, lasu"stancia pensante' la su"stancia eItensa, lasu#stancia que supone la experiencia psicoanaltica la su"stancia gozante. Es decir, lasu#stancia que surge de la accin del significante so#re el cuerpo, del significante que es asla causa del goce.=6e esta manera se entiende por qu>, en la )ltima ersin de 5a:ercera -esta#lecida por

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