Desván 150 mundo digital

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La revista escolar del Colegio Arturo Soria de Madrid

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Mundo Digital

C R É D

I T O S

Octubre 2014

contenidos

Mariano Herrera. Vicente

Gonzalo. Julia Insausti. Cur-

sos de Infantil. Cursos Pri-

maria. ESO. Seminario de

Inglés. Club de lectura. Aula

de Francés. Aula de Ale-

mán. Taller de plástica. Bi-

blioteca. Carmen García

Iglesias. Cristina Masiá. Mar-

ta Marugán… y más gente

que ha compartido sus cono-

cimientos técnologicos con

la revista el Desván.

Portada

Créditos y contenidos (2)

Editorial (3)

Infantil 2 (4)

Infantil 3 (6)

Primero (8)

Segundo (10)

Tercero (12)

Cuarto (14)

Quinto (16)

Sexto(18) )

English for everyone (20)

Ducoin de l´oeil (22)

Deutsche Seite (23)

Plástica (24)

¡Cuidado con la tecnología! (26)

Club de lectura (27)

Temporada de exposiciones (28)

Digital stories for tablets (29)

Cine y ordenadores (30)

Contraportada

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EDITORIAL

En este primer número de la revista El Desván, hemos propuesto a nuestros colabora-

dores que nos cuenten sus experiencias con las nuevas tecnologías.

El colegio ha comenzado este curso sustituyendo los libros de texto de toda la vida

por los Ipad, en los cursos de 5º y 6º de primaria y en 1º de ESO. No cabe duda que

es un reto para todos, profesores, familias y alumnos, pero que es un paso necesario y

forzado por la rápida implantación de la tecnología digital en nuestra vida cotidiana.

Por ello hemos querido hacer un pequeño sondeo sobre nuestra experiencia con orde-

nadores, tablet, teléfonos, pantallas digitales y otras tecnologías. No cabe duda que

nuestros alumnos más pequeños nos llevan ventaja a todos, porque ellos tienen total-

mente incorporado en su día a día el uso y disfrute de todos estos aparatos.

A muchos puede asustarnos estos cambios que a veces son rapidísimos, no nos da

tiempo a adaptarnos a uno, cuando ya está apareciendo otro que lo supera en presta-

ciones y velocidad. Todos tenemos en la mente la duda ( y por qué no, la pena) de si

desaparecerán los libros impresos. No cabe duda que las cosas cambiarán y mucho,

pero no podemos ni debemos resistirnos, pues el futuro es para todos y si queremos

ayudar en el presente a nuestros hijos en sus estudios y en la conformación de su mun-

do personal y social y en el futuro mantenernos conectados a sus intereses debemos

hacer el esfuerzo de adaptarnos y aprender para ser parte activa del cambio que se nos

avecina.

La única formula que nos guiará para hacerlo bien, es aplicar “el sentido común”, eso

siempre ha funcionado en educación y en la vida diaria. No nos dejemos llevar tanto

por el consumo de tecnología (que es lo que buscan los mercados) como en la utilidad

que puede brindarnos para lograr nuestros objetivos, bien sean educativos, de ocio,

culturales etc…

¡Bienvenida sea la tecnología!

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Yo

tengo...

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Papá y mamá

me dejan...

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Tecnología del

futuro

Grupo

A

Vega

Grupo

A

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Primaria

Grupo

B

Grupo

B

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Clarisa

La tecnología

que me gusta

Grupo

A

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Primaria

2º Martín

Grupo

B

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Primaria

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IPAD

en clase

¿SI o NO?

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Grupo

B

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Primaria

Primaria

4º B

Mundo

Tecnológico

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Nos gusta

la

tecnología

Grupo

A

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Primaria

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Primaria

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Les nouvelles technologies, une menace à la vie privée?

A vec l’avènement d’Internet sont apparues diverses technologies révolutionnaires. Ces technologies, com-

prenant entre autres la biométrie, les « smart phones », les cartes à puce RFID et les réseaux sociaux,

étaient qualifiées de futuristes il y a de cela une quinzaine d’années; on ne voyait cela que dans les films de sci-

ence-fiction. Aujourd’hui, elles font généralement partie de notre quotidien. Qui dit quotidien, dit vie privée, et

cette « incrustation » grandissante devient un problème de plus en plus préoccupant pour certains. Chers lec-

teurs de la section « Pouvoir des mots » du site Web du ministère de l’Éducation, du Loisir

et du Sport, faut-il craindre les effets des nouvelles technologies sur la vie privée? Je crois

que non, et je tenterai de vous convaincre du bien-fondé de mon opinion dans les para-

graphes suivants. Pourquoi non? Tout d’abord, parce qu’il n’y a aucune obligation à utilis-

er ces technologies, ensuite, parce qu’elles ne constituent pas un réel danger pour l’utilis-

ateur moyen.

Premièrement, personne ne vous oblige à faire usage des nouvelles technologies. Vous n’êtes aucunement obligés

d’avoir un compte Facebook, un téléphone intelligent ou une carte à puce. Chacune de ces technologies « hi-

tech » a son équivalent « low-tech ». Même si cela peut sembler archaïque dans notre société hautement tech-

nologique, le bon vieux téléphone fixe existe toujours, de même que les billets d’autobus ou de métro imprimés,

et les réseaux sociaux « réels » car Facebook est un réseau virtuel. Vous voulez rencontrer des gens? Allez faire

un tour dehors. Si, malgré tout, vous souhaitez tout de même posséder un téléphone portable ou un compte Fa-

cebook, vous pouvez la plupart du temps les paramétrer pour éviter de diffuser vos données. Ne pas insérer de

carte SIM, désactiver le réseau mobile et/ou GPS, éviter de télécharger des applications ayant accès aux données

ou encore ne pas connecter l’appareil à Internet sont toutes des solutions pour un appareil mobile. Pour Face-

book, il suffit de ne pas mettre n’importe quoi sur son profil. Saviez-vous, chers lecteurs, que les seules infor-

mations obligatoires pour s’inscrire sur Facebook sont votre nom, votre adresse courriel et votre âge à des fins

de sécurité? Les autres informations et les photos sont donc ajoutées par les utilisateurs de leur plein gré, et il est

tout à fait possible d’éviter de diffuser quoi que ce soit. Bref, je ne crois pas qu’il faille craindre les effets des

nouvelles technologies sur la vie privée, puisqu’on peut tout simplement s’en passer.

Deuxièmement, il ne faut pas exagérer quant à l’usage des données recueillies par Facebook,

Google et d’autres compagnies. Oui, elles peuvent les vendre à des publicitaires pour se faire

de l’argent, oui, on ne sait pas trop ce qu’elles en font sinon, mais ce qui est vraiment préoc-

cupant, ce sont les pirates informatiques opérant dans l’ombre. Mais, encore là, il est facile

de s’en protéger. Il suffit de faire attention à ce que vous laissez comme information sur Internet et à ce que

vous téléchargez. Vous allez probablement me dire qu’on laisse tout de même des traces sans le vouloir, et c’est

vrai, mais ces traces, par exemple votre adresse IP, sont souvent insuffisantes pour savoir qui vous êtes. De toute

façon, tant que vous n’allez pas sur des sites douteux, le risque que vos traces soient analysées est minime. Après

tout, vous n’êtes qu’un visiteur parmi des milliers. Ceci m’amène à d’autres technologies pouvant paraître terrifi-

antes : la vidéosurveillance, la géolocalisation et la biométrie. En théorie, elles peuvent vous voir, vous localiser

et vous identifier, où que vous soyez. En pratique, pas vraiment. Il n’y a pas des caméras

partout, le système GPS suit des millions de personnes en même temps, et la biométrie n’est

encore que très peu présente. Par exemple, la borne biométrique Nexus de l’aéroport Mont-

réal-Trudeau permet d’identifier 400 000 utilisateurs canadiens et états-uniens note de bas

de page. 400 000 personnes sur 300 millions, soit environ 0,1 % de la population des deux

pays réunis. De plus, ces gens ont en grande majorité accepté volontairement d’utiliser le système biométrique.

Donc, pourquoi s’en faire? Le risque minime pour l’utilisateur moyen est donc une autre raison pour laquelle je

crois qu’il ne faut pas avoir peur de l’impact des nouvelles technologies sur la vie privée.

En conclusion, je pense que les effets des nouvelles technologies sur la vie privée ne sont pas à craindre puisqu’il

n’y a aucune obligation à les utiliser, et que les risques réels de ces technologies pour l’utilisateur ordinaire sont

quasi inexistants. Après tout, chers lecteurs, qui voudrait d’une société contrôlée de partout, comme celle du

roman de George Orwell, 1984?

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Vorteile

Für uns hat die neue Technologie mehr Vor- als Nachteile. Zum Beispiel das

Handy. Mit dem Handy können wir mit unseren Freunden und mit der Familie

sprechen.

Auch können wir mit dem Computer oder dem Laptop surfen. Das geht sehr

schnell und man kann gleichzeitig mit vielen Personen in Kontakt sein.

Das Surfen des Ipads funktioniert wie am Computer, aber es ist noch beque-

mer, weil man ihn irgendwo mitnehmen kann. Er ist mehr dünner und

leichter als der Computer. Die Schüler finden ihn sehr interessant, weil sie

damit ganz schnell Information finden können.

Nachteile

Ein Nachteil der Handys ist, dass man es immer am Ohr hat, und deshalb

finden die Ärzte es gefährlich, weil man viele Krebswellen bekommt.

Briefe schreibt man mit Gefühlen. Sie brauchen mehr Zeit als die E-Mails zu

schreiben. Die E-Mails sind immer kürzer.

Außerdem muss man mit dem Internet sehr vorsichtig sein, weil man viel

Information finden kann, die nicht real ist. Wir müssen nicht viel private

Information stellen.

VOR- UND NACHTEILE

1º BACHILLERATO A y B

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¡Cuidado con las nuevas tecnologías!

E n los últimos años se han dedicado varios estudios a los efectos que tienen en nuestro cerebro las

nuevas tecnologías. A pesar de que nuestra vida es más fácil gracias a Internet y los dispositivos

electrónicos, estos tienen también su lado perjudicial, ya que son responsables de al menos ocho nuevas

enfermedades reconocidas.

El síndrome de la llamada imaginaria. Hasta el 70% de los usuarios de dispositivos móviles han sufrido

alguna vez la alucinación de que su celular había sonado o vibrado sin que en realidad lo hubiera hecho.

La explicación es que nuestro cerebro ha empezado a asociar al teléfono móvil cualquier impulso que

recibe, especialmente si estamos estresados.

Nomofobia. Este término, derivado de las tres palabras 'no', 'móvil' y 'fobia', habla por sí mismo. Descri-

be la angustia causada por no tener acceso al celular, y puede variar desde una ligera sensación de inco-

modidad hasta un ataque grave de ansiedad. Efectivamente, muchos son propensos a experimentar mie-

do al darse cuenta que su móvil no está donde debería estar.

Cibermareo. Esta palabra fue acuñada en los años 90, cuando aparecieron los primeros dispositivos de

realidad virtual. Hace referencia al mareo que sienten los usuarios de aparatos de realidad virtual, y que

son parecidos a los que algunas personas sufren cuando viajan en un medio de transporte. Solo que per-

maneciendo inmóviles.

Depresión del Facebook. Algunas personas se deprimen porque tienen muchos contactos en las redes

sociales, otros por la falta de ellos. Lo más habitual es entrar en Facebook para alabar a los amigos, subir

fotos o escribir sobre acontecimientos agradables. Pero los usuarios que pasan mucho tiempo en las pá-

ginas de redes sociales de otras personas suelen sentirse deprimidos por su vida cotidiana.

Dependencia de Internet. Se trata de la necesidad enfermi-

za de estar todo el tiempo conectado a la Red. Puede lle-

gar a afectar seriamente la vida privada y social de los

adictos a Internet.

Dependencia de videojuegos en línea. Esta dependencia

está muy extendida. Recientemente, para rehabilitar a los

que padecen esta enfermedad, se han creado varios pro-

gramas consistentes en 12 fases, igual que la terapia de

alcohólicos anónimos.

Cibercondria. Otro trastorno muy común. Los que lo su-

fren se convencen de que padecen alguna o varias enfer-

medades de cuya existencia se han enterado en Internet.

El problema es que uno puede empezar a encontrarse real-

mente mal a causa del efecto nocebo, lo contrario al efec-

to placebo.

Efecto Google. Es cuando nuestro cerebro se niega a recordar información como consecuencia de la po-

sibilidad de acceder a ella en cualquier momento. ¿Para qué aprender algo de memoria si los buscadores

nos permitirán encontrar cualquier dato cuando lo necesitemos? El problema es que esta enfermedad

pueden padecerla no solamente los que no tienen ganas de memorizar, sino que todos los usuarios de

Internet son susceptibles de sufrirla.

Pincha aquí para ver el Texto completo y su fuente.

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Un espacio para disfrutar, hablar y reflexionar sobre libros.

Charlas mensuales, sin formalidades ni timidez.

Lee el libro del mes y participa. ¡Así de simple!

Próxima sesión: viernes 28 de Noviembre,

Horario: de 17 a 18:30,

Lugar: la Biblioteca del Colegio Arturo Soria

Libro: Frankenstein

De la escritora Mary Shelley

¡Club de lectura para adultos!

¡Este es nuestro tercer año leyendo y compartiendo!

Un libro que te sorprenderá y te tendrá enganchado hasta el último momento. Nada que ver

con las versiones de las películas sobre este personaje llamado FRANKENSTEIN.

Escrito por una mujer en el 1816 forma parte de la novela gótica y a su vez refleja claramente

las características del Romanticismo.

Desde el punto de vista del tema de este número en cierta forma Frankenstein es una alegoría de

la perversión que puede traer el desarrollo científico; concebido y escrito durante las fases tem-

pranas de la revolución industrial, una época de cambios dramáticos, detrás de los experimentos

de Víctor Frankenstein está la búsqueda del poder divino: ¿qué mayor poder que el propio acto

de creación de la vida? Así, el total desprecio que muestra Frankenstein por la naturaleza puede

ser considerado como símbolo de las fuerzas imperiosas que desata el permisivo capitalismo na-

ciente, que no respeta la dignidad básica del ser humano. De hecho, la rebelión de la criatura

contra su creador es un claro mensaje del castigo que deriva del uso irresponsable de la tecnolo-

gía.

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A pesar del título, algunas de las exposiciones que voy a comentar no están recién estrenadas, pero preci-

samente por eso debemos intentar no perdérnoslas.

Es muy interesante la titulada Mediterráneo. Del mito a la razón que se inau-

guró este verano en Caixa Forum y que estará hasta enero. En ella se van expo-

niendo los mitos como historias que nos permitan entender el mundo a través de

los dioses y de su relación con los hombres. Para ello se expone una hermosísima

colección de cerámicas que dibujan esos mitos. Son tan extraordinarias y tan bien

conservadas que aunque sólo fuera por verlas ya merecería la pena ir, pero además

la información y el resto de las piezas son también muy interesantes, ¡que mosai-

cos!, y pueden ser apreciadas por todos (la aconsejo para los alumnos de secunda-

ria y bachillerato). Para completar se está impartiendo un ciclo de conferencias

que se desarrollarán hasta diciembre y en ese mismo mes tendrá lugar un semina-

rio sobre el mismo tema. Para informarse de todo esto pincha aquí.

Y ahora una propuesta sorprendente: la exposición titulada Metamorfosis que podemos visitar de forma

gratuita en La casa Encendida hasta el 11 de enero. El pionero de las películas de animación con la técnica

de stop motion fue un ruso llamado Ladislas Starevitch que en realidad era antropólogo, naturalista y ento-

mólogo y que en cierta ocasión quiso filmar la pelea de dos insectos. Como no pudo hacerlo diseñó unas

réplicas de insectos y fue fotografiando cada movimiento para conseguir la película. Hasta su muerte, olvi-

dado por todos, se dedicó a este tipo de cine. Puedes ver su película, pinchando en el título “Le Rat des vi-

lles et le rat des champs “ que es preciosa, teniendo en cuenta que fue filmada en 1926. Otro gran ci-

neasta de películas de animación fue Svankmajer, más moderno, bastante surrealista, pinchando puedes ver

su película “Historia Naturae” que encantará sobre todo a

profesores y alumnos de Ciencias Naturales y una versión de

Alicia muy curiosa. Los más contemporáneos son los hermanos

Quay que además de películas, construyen cajas, dioramas y

que también resultan surrealistas y algo tenebrosos. La obra de

estos autores es la que se recoge en esta Exposición donde po-

demos ver marionetas, dibujos, figuras, fotografías, objetos,

referidos a sus películas. Es una oportunidad para ver algo to-

talmente diferente.

Por último un artista que también resulta muy especial:

Fortunato Depero (1892-1962). Este pintor italiano que

fue muy importante en el movimiento futurista, resulta un

auténtico precursor del arte y la concepción artística más

actual: propuso el arte como trabajo multimedial y colecti-

vo, la “autopublicidad” del artista y tiene obras que se pue-

den relacionar perfectamente con el más moderno diseño

gráfico: “I Miei Balli Plastici” parece mentira que sea una obra de ¡1918! La Fundación también nos permi-

te ver sus exposiciones de forma gratuita y asistir a conferencias y conciertos. Además ahora se pueden hacer

reservas desde Internet.

Atentos a las demás Fundaciones que también están a punto de inaugurar excelentes exposiciones

sobre los artistas y temas más variados como la del modisto Hubert Givenchy en el Museo Thyssen.

ESTRENAMOS LIBROS, CUADERNOS, IPAD Y

TEMPORADA DE EXPOSICIONES.

Carmen García Iglesias

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DIGITAL STORIES FOR TABLETS

Goldilocks and the three little bears by Estelle Corke

Age guide: 3 years +

A classic tale with delightful illustrations and a simple text. It is

ideal for reading aloud and for sharing with preschoolers.

The ebook format allows us to combine the past and the future,

a well-known story retold in a new way.

Star Wars: Clone Wars Adventures

Age guide: 8 years +

Based on The Clone Wars cartoons, this comic shows Obi- Wan Ke-

nobi, Anakin Skywalker, Mace Windu or Yoda using the Force to

fight against the Separatist and the battledroids. Full of action, with

stylish illustrations and interesting stories this book is written on a

level that allows children to read on their own. Great for kids who

are going through “Star Wars Phase”.

The secret Diary of Adrian Mole Age 13 ¾ by Sue Townsend

Age guide: 12 years +

At thirteen years old, Adrian Mole has lots of problems: spots, bad

health, parents who want to get divorced, rejections of his poetry…

and he writes about all of it with brilliant humor in his diary.

It is said about this book that is a satire of our times, an exquisite so-

cial comedy, a cult book just like The Catcher In the Rye and that

Mole, his main character, is one of the literature’s most endearing

figures. You will have such fun reading it that sometimes you will

have to wipe your eyes so you will be able to go on.

Forever Young by Paul Rogers

Age guide: 6 years +

Forever young is one of the most famous songs written by Bob

Dylan. The artist Paul Rogers has illustrated those lyrics with

images from Dylan’s words and pieces of his life. I think it is a

beautiful tribute to a song that many people consider an anthem.

This is the animation of the book: Animation Forever Young

Go away big green monster by Ed Emberly

Age guide: 3 years +

Caldecott Award-winning author Ed Emberly has created an

original way for kids to chase away their night fears.

With the digital version the children just have to touch the

screen to see the big green monster grow. Then, they will

show him who is in charge by making him disappear.

This video will give you an idea of the story:

Go Away Big Green Monster Animation

Marta Marugán

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Hemos entrado de lleno en la era de los superordenadores, los ordenadores personales, internet, los blogs, los co-

rreos electrónicos, el chateo y las redes sociales.

Máquinas que se desmandan, hackers dispuestos a entrar en los sistemas de seguridad de sitios sensibles, identi-

dades robadas... Hay muchas películas que abordan la paranoia que provoca en la sociedad la posibilidad de que las

nuevas tecnologías sean mal usadas.

Pero también hay películas para hablar del nacimiento de Facebook, el conocimiento de tu media naranja a través de

la red, la posibilidad de comprar armas o cualquier otra cosa en internet, los blogs sobre los temas más variados,

las adicciones, o la posibilidad de contactar con mil y un psicópatas.

Nueva York. Joe y Kathleen conviven con sus respectivos novios. Pero no

están satisfechos. En cuanto aquéllos salen de casa, enchufan sus ordena-

dores via Internet, y mantienen una peculiar relación, cada uno bajo un

seudónimo personal. Se cuentan preocupaciones, gustos, aficiones...

¿Estarán hechos el uno para el otro? Quién sabe. Pero mientras este amor

incipiente gana intensidad, los dos se encuentran por casualidad en el

mundo real. Y con bastante mala fortuna. Pues Kathleen regenta "The

Shop Around the Corner" (guiño a la película de Ernst Lubitsch), tienda

especializada en libros infantiles; y Joe es propietario de una enorme ca-

dena de librerías, extendidas a lo largo y ancho de los Estados Unidos,

que planea abrir una nueva justo enfrente del local de Kathleen.

Sam es un astronauta que lleva tres años en la Luna, como

supervisor de unas cosechadoras que recolectan un gas

que se usa como energía en la Tierra. Una avería en un

satélite le impide comunicarse en directo, aunque a veces

recibe mensajes en vídeo de sus superiores o de su esposa,

en los que también puede ver a su hija de tres años. Pero

su única compañía real es Gerty, un robot programado

para ayudarle a sobrevivir. Durante una misión de rutina,

Sam sufre un accidente con el vehículo lunar...

Otoño de 2003. Mark Zuckerberg estudia en la

Universidad de Harvard. Genio de la informática,

de mente brillante, e irremediablemente asocial,

tras romper con su novia e ingerir altas dosis de

alcohol, tiene una idea para que los estudiantes

opinen sobre la alumna más maciza de Harvard,

lo que difundido viralmente colapsa el servidor de

la universidad. He ahí la semilla de Facebook, la

red social de internet que revolucionará en poco

tiempo el modo de hacer amigos y relacionarse

con ellos en el mundo entero. En efecto, la hazaña

de Zuckerberg llama la atención de los hermanos

Winklevoss, que andan ideando una red social

para Harvard, y le fichan como programador. Pe-

ro mientras les da largas en lo relativo a su tarea,

impulsa por su cuenta con su amigo Eduardo Saverin lo que va a ser Facebook. Al

ver la luz, y arrasar en la red, los Winklevoss se sentirán engañados, y no van a ser

los únicos en el entorno en que se mueve Zuckerberg.

Brillante película de David Fincher, que logra hacer apasionante la complicada na-

rración de cómo Facebook se convirtió en la extraordinaria empresa y fenómeno

social que hoy es.

Y PELÍC

ULA

S

ORD

EN

AD

ORES

Page 31: Desván 150 mundo digital

Tres pilotos del ejército estadounidense, exce-

lentes compañeros, se dedican a probar los

nuevos prototipos de caza ideados por los inge-

nieros del Pentágono. El último que se ha dise-

ñado tiene una notable peculiaridad: lo condu-

ce un sofisticado cerebro electrónico, con el

que deberán formar equipo, les guste o no.

“¿Qué pasará cuando los ordenadores sean

más inteligentes, más rápidos, más creativos,

con capacidad para regenerarse y reproducirse?

Si tienen el control de nuestra energía, de nues-

tros sistemas de comunicaciones y de nuestros

sistemas militares, ¿qué pasaría si deciden, en

su evolución, hacer su voluntad?”

El superdotado Ben es a la vez el típico pardillo acostum-

brado a ser el blanco de todas las gamberradas del institu-

to. Su día a día no resulta muy fácil que digamos. Además

es hijo de padres divorciados y no es muy comunicativo.

Así las cosas, sólo tiene un aliciente para ser feliz. Se trata

de un juego informático de rol con el que interacciona en

la red con personas de todo el mundo, y concretamente

con una jovencita con la que juega en red. Allí las cosas

son diferentes, su personaje, Ben X, es un poderoso gue-

rrero al que todo el mundo teme y respeta. Tan metido

está Ben en el juego, que la disociación entre el mundo

real y el virtual comienza a ser un problema. Pero curiosa-

mente, su confusión de las dos realidades podría salvarlo

de su desagradable vida en el mundo real.

Up in the Air arranca carcajadas, y también emo-

ciona, al mismo tiempo que hace pensar sobre la

necesidad de las relaciones humanas. Y también

es una crítica –no exenta de cierta acidez– de las

dificultades para relacionarse en el mundo mo-

derno, donde las comunicaciones se han desarro-

llado más que nunca, y sin embargo existe cierta

incomunicación. Donde se da la paradoja de que

te pueden despedir a través de las cámaras o se

puede mantener una relación o cortarla a través

de los mensajes del teléfono móvil.

Ryan Bingham (George Clooney) trabaja en una

empresa especializada en recortes financieros y

se dedica a despedir empleados. Bingham tiene respuesta para todas las

reacciones posibles del individuo despedido, y es capaz de hacerle intuir un

camino a seguir, de hacerle ver aspectos positivos. Como consecuencia de

su trabajo, Bingham se ha pasado la vida tomando aviones para recorrer la

totalidad del territorio estadounidense, lo que le ha impedido tener una

vida, pues ni está casado, ni tiene hijos, y sus únicas familiares, sus dos her-

manas, apenas le conocen. La vida de Ryan está a punto de cambiar por

completo cuando una recién llegada a su empresa, la jovencísima Natalie,

propone que a partir de ese momento despidan a la gente por videoconfe-

rencia, sin salir de la oficina.

Como a los once años ya era un

genio de la informática y causó

estragos al entrar en los códi-

gos secretos de las finanzas de

Wall Street, a Dave Murphy se

le prohibió utilizar de nuevo un

ordenador hasta que no cum-

pliese la mayoría de edad. Al

llegar ese día, Dave organiza un

equipo de “hackers” para des-

cubrir todos los entresijos del

complejo mundo de internet.

Pero en sus manejos con las

redes se topan con una peligro-

sa organización que amenaza la

paz mundial. Entretenida histo-

ria de adolescentes.

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