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Les aiponees, réclames, ete., tmnrtmant Paris et les Départements scmt recoes directement aux bureaux dBjeorâu. ■VaiKmàKtnc» des matière» novr ebügt^à ajourner m proekain numéro la suite de notre intéressant feuilleton : Aa coin d’âne O ot, par LiOK de Tinseau. BULLETIN S ttU it, la 7 Lècambra 1901 . Jeudi, à la Chambre, suite de la dis cussion générale du budget de 1002 : à M. Merlou, rapporteur général, qui a plaidé les circonstances atténuantes en faveur du projet arrêté par la commis sion, M. Ribot, dans un discours qui a causé une vive impression, a opposé .de sévères, mais justes critiques touchant la mauvaise gestion financière de la pré sente législature et le péril qu’élle crée pour un avenir imminent. Sur la question du budget des cultes, M. Ribot a déclaré laisser le soin de le défendre à M. Wal- deck-Rousseau, c qui compte sans doute, a-t-ii ajouté, sur la sagesse de ceux qui ne suivent pas sa politique *. L’extrême gauche s’est livré, pendant ce discours, é une petite débauche de manifestations antimilitaristes. On continuera lundi. — Hier, suite de la discussion sur la crise viticole. Mercredi, au Sénat, le général André, ministre de la guerre, questionné par M. Delpech sur la légalité de la situation maintenue dans l’armée aux généraux Saussier et Billot, a répondu en invo quant une décision du Conseil d’Ëtat laquelle il espérait être à l’abri des cnmiaations de la vigilance jacobine. On a béanconp goûté le ton presque t mili- t ^ t e > et c nationaliste * de la réponse m'inistérielle, qui contredit cependant les déclarations que le même général André émettait l’autre jour au sujet des parts de prises, pour lesquelles il eût bien pu consulter aussi le Conseil d’Ëtat, avant de retirer aux officiers des parts régulièrement acquises. — Hier, le Sénat a adopté par 225 voix contre 40 le projet de loi voté par la Chambre et relatif à l’emprunt de Chine. M. le professeur Hervé, qui se vit ap pliquer par le conseil académique de Bÿon une peine de dix-huit mois de sus pension pour avoir écrit des articles anti militaristes dans un journal local, faisait, hier, appel de cet arrêt devant le conseil supérieur de l’instruction publique. Par 83 voix contre 18, M. Hervé a été mis en retrait d’emploi, ce qui constitue ^ne aggravation considéraUe de la peine pre mière. Jsngs»«oaéitions. Du passage de fAsHe-Pepin- court, où se troBvent les eteliers'du foadenr, jusqu’au Graod-Palais des Champs-Elysées, Ver- ciDgétoriz a traversé tout Paris, l’épée hante, au miUeu d’une foule aussi uomhreuse que sympa thique. Ce fut une vraie promenade triomphaie. A plusieurs reprises, et notamment place de pbisé-ilë M rK Bôïrpréïn'aï'bori seiis'ëFaë'f’n âft^ ce qui s’impiesent aux nations cominé la Concorde, le fler goeirier a vaillamment aap' pûo*------ de l’après-L ;„, _____ ^ _ _____ Grand-Palalsl ITy restera pendant tonte la durée pottè l’assmit des photographes. Teri tmis heu res de l’après-inim, il faisa^ son enpée an del’Ezpoiition: puis; Vers lé SO dé ce,mois, le même teuf-teuf le conduira jusqu’i Cferment- Feaand. bipassant par Corheil, FontainAlean, Hontirgts, Oien, Bourges et Hontlnçon. Selon tontes prévisions, 11 accomplira ce trajet en tme vingtaine de jours. Tirage d’obligations. Ville de Paris 1898. Jeudi, a eu lieu le tirage des obligations de la Ville de Paris,, emprunt de 1898. Le numéro 13t8S? gagne 600.000 francs. Lé numéro S39947 gagne 60.000 francs.^ Les quatre numéro, suivants gagnent chacun 10.000 francs ; 6g 86éO — 188301 - 361044- 850537. Les quatre noméros stfivants gagnent ehacnn 6.000 francs ; S62061 - 600264 - 44051 — 1S6474. ______ Le mari de la reine. Une dépêche d’Amsterdam adressés à i’sgenCe Havas rapporte qu’une petite altercation entre la reine et le prince aurait ô i lieu-pendant nn dîner en ch&teau de Loo. La reine s’étant formalisée d’une marqué d’inattention du prince, loi aurait dit un mot désagréable, sur quoi le pnnce, s’em portant, aurait offensé la reine. , M, Van Tets ayant fait remarquer an prince l’inconvenance de sa manière d’agir, tme provo cation s’ensnivit, On croit que le prince, qui revenait d’une par- lit hn nn peu plus que de con- tie de chasse, avai tufs. Incident, nn duel avec un antre personnage de la cour, qui reçut une blessure insignifiante. Il parait que depuis, les choses se sont arran- { [ées et grâce à l’intervention de la reine mère, a paix est revenue dans le jeune ménage. Un tableau cher. C’est, «roit-on, le duc de Harlhorough qui pos- agg, le tableau le pins cher du monde. Ce ta- brean, connu sons le nom de la Madone de BUnHim, figurait dans lacollectioa du premier due de Harlhorough Raphaël l’exéonU en 1607, et il vaudrait actuellement soixante-dix mille livres sterling, soit nn million sept cent cin quante mille francs. L’œuvre représente la Madone portant l’Enfant Jésus, assise sur un tréne, avec saint Jean-Üp- tiste à sa gauche et saint Nicolu de Bari i ta droite.. La fobniense valeur dece tableau est due à ce me, de tous les Raphaëls connus, la Madone de ' "tlietm est le mieux conservé. patriotisme. c Son discours sur le budget, affirme l’un d’eux, est un pur discours réaction naire; il a, comme les financiers de la droite, agité .le ^ectre du déficit, parlé de- la nécessité de rassurer les intérêts, protesté coiifrc les innosSatîons et les ex périences dangereuses Cet orateur qui parle d'arrêter l’exode. des - capilaux. à l’étranger, et qui conseille, de. ne pas se risquer en de périlleuses folies, apparait eii effet d’opinions bien suspectes. Et un autre organe ultra-ministériel en conclut < qu’il s’est révélé le- chef de l’opposition du centre, de la droite et du nationa lisme, en faisant, au milieu des applau dissements de cette coalition, à la veille élections, le discours dudé&it..’ » C’est toujours le mémesjstème consis tant à classer parmi les réiactionntüres efr les cléricaux'quiconque ffest 'pas-minis tériel et dénonce au pays les dangers de la politique du cabinet actuel. Notre confrère Maurice Spronck, de la Liberté; rappelle dans cet ordre d'idées une cu rieuse anecdote. c Je me souviens, dit-il, il y a deux ans, au milieu des bagarres tumultueuses qui agitèrent les rues, d’un vieux mon sieur qui répondait avec persistance, aux hurlements des anarchistes, par le cri de : « "Vive la République honnête ! A bas les voleurs 1 » Un brigadier de gar diens de la paix finit par s’approcher, et, d’un ton impérieux, lui commanda de se taire : c Si vous continuez à eng...er le gouvernement, vous savez, vous, je vous f... dedans 1 » Ce brave agent avait évi demment de la politique actuelle une conception générale très exacte. Aux yeux des ministériels, quand on conseille de se garer de la banqueroute, on est un réac tionnaire ; quand on n’appartient pas ù la catégorie des professeurs qui excitent les soldats à la révolte et qui proposent de jeter sur le fumier le drapeau tricolore, on est un plébiscitaire, un clérical et un césarien ; quand on proteste, au nom de la probité républicaine, contre les voleurs, on est un insulteur du gonverhement. C'est bizarre ; mais c’est comme cela ». <aBx individus, ces denx soldats, atteints par -la limité d’âge et éloignés du service actif, iont'éfé pourvus chacun d’une mission tem poraire qui permet au ministre de la guerre :de donner à chacun d’eux une retraite hono -rable. : Cela offusque té farouche sénateur Del pech, pt comme la haine aveugle lés gens au point dé ne pas leur laisser voir la vilenie dé cermins actes où la passion les poUsse, ica pèn conscrit est venu l’antre jour, en plein' Sénat, sommer le général André de déèerher aux généraux Billot et Sâussier une preuve éclatante d’ingratitude nationale, en leur retirant la mission dont ils sont in- vèstis et rindémnité qui y est attachée par les rëglèments. Ml lé Ministre de la guerre — c’est la pre mière' fois que nOns avons le plaisir ao le féliciter — s est très nettement refusé à com mettre l’acte qui aurait soulevé la réproba tion de l’armée et de la nation; M. Delpech, seul de tous ses collègues, n’a pas compris les raisons du refus que lui opposait le mi nistre de la guerre. Il est inutile d’essayer de les lui faire comprendre; il n'y a qu’â plaindre ce séna teur dont le radicalisme est déridémeni in curable. M* Labori et rAiTaire. INFORMATIONS Député démissionnaire. A une des dernières séances de la Chambre, M. DeMhanel, président de la Chambre, a donné connaissance a ses cellègoes de la démission de H, Lemasson, dépnté de Haine-et-Leire. M. Lemasson avait été, paralt-il, prête l Eclair, obligé de qniiter précipitamment la France, il y a quelque temps, à la snite d’affaires Balhenrenses.'^On avait cependant continué â trdnver ses bnlletins de vote parmi ceux de la majorité ministérielle. L’enlnmineor dn protocole. Le protocole, dont quelques députés méditent la suppression, possède an nombre de ses agents le dernier représentant de cet art aUqnel les vieux manuscrits les plus précieux doivent leur valeur, et qu’on appelle l’enluminure. Cet agent, sous le titre modeste de commis eipédidonnaire du protocole, est un véritable artiste. C’est lui qui est chargé de ealUgrapbier et de décorer de somptueuses eulnminures, do rées, rouges et bleues, les fameuses lettres dites autographes, adressées par le chef de l’Etat aux souverains étrangers, et qui n’ont d’autographe que la signature présidentielle. Ces lettres, ainsi historiées, constituent de véritables oeuvres d’art qui sont conservées par les Cours étraDgères, aussi soigoeusement que nos archives du quai d'Orsay gardent, de leur côlé, les lettres adressées an Président par les autres chefs d’Etat. Pour se faire nn nez. Il nous arrive d’Autriche une bien eurieuse nouvelle. Le chirurgien Gersimy, de Vienne, se se contente pas pour refaire un nez on telle autre partie du visage humain de recourir à la greffe animale, comme le. faisait le docteur du « Nez d’un notaire >; i| injecte simplement sous la peau, avec une seringue de Pravaz, deux eu trois centimètres cubes de vaseline paraffinée, préala- blemeat liquéfiée par la chaleur. Et comme la paraffine redevient solide i 37 '/„ c’est-è-dire à la température du corps humain, on n’a qu’à la façoimer pendant qu'elle refroidit sous la peau et à donner au nez la forme qu’en désire. Dn Uasque de Fer t Deux habitants des faubeurgs sortent do Théâtre-Français, où ils étaient venus pour la première fais. ^eau disûe, Patrie! fait l’un,'et comme c’est joué I L’autre, avec conviction ; 1 mieux rendu... à Belleviilel Les failiis et le droit de vote. M. Georges Berry a déposé la proposition sui vante : . « Le commerçant qui aura été déeiaré en fail- ute ne pourra plus être privé désormais du droit de vote dans Tes élections législatives, départe mentales et communales. < Ce droit sera restitué à celui qui ne l’avait perdu que-par suite de faillite. » Statistique attristante. Il y a des statistiques gaies, par exemple celles qui nous racontent que dans telle commune il hait quinze enfants et demi par an, et qu’il en meurt douze et quart. Cette fois, on noos eu donne une lamentable : c’est celle de la popula'Ioa française eu 1900. Il y a en, cette année-là. en France, 827.297 Saissaeces contre 853.285 décès, soit 25 988 dé cès de plus que le nombre des naissances I El pourtant c’était l’année de l’Exposition. On n’a cependant pas exposé les enfants. Comme Moïse, sur les flots. D* 1896 * la popalaiion avait légèrement iDgmenté, 31.314 en 1899. Pourquoi cette diffé- fonce avec l’année de l’Exposition? déficit, voiiâ le fait brutal, udéaiable et attrisunt. C’est le déficit partent. l.ft voyage du héros. Vorclngélorix, le bon chef gaulois, doit faire ïesrand** ** 8» P»ris à Cteimont- Mais, avant de se rendre au pays des Arver- Jos, l’héroïque défeaseur des Gaules est iavité â prendre part, avec son véhicule, â l’Exposition °e lAntomohile-Cluh, qui doit, comme on sait • ouvrir tout prochainement. Le grand voyage devait donc être précédé « no pftit veyage d’essaf, qui, â la grande joie ws Parisien», virât s’OTeetner dans les mefl- LE FAIT DU JOUR XJxx dispoxAx*s d e ]VÆ. J R i b o ’fc. M. Ribot a prononcé jeudi, à la Chambre, un remarquable discours sur la situation financière. Lui, dont la parole est si claire, il avait bien qualité pour reprocher au gouver nement l’obscurité voulue et le brouillard artificiel qui s’accumule autour des finan ces publiques. Il n’y a pas manqué, et, en faisant ainsi la critique du projet de budget de M. Caillaux et du rapport de M. Merlou, il s’est trouver amené, à tra cer de notre gestion financière depuis 1870 un tableau qui restera comme une page d’histoire. La comparaison qu’U a faite entre la situation budgétaire à la fin de la dernière législature et la situation présente cons titue la partie maîtresse de cet admirable discours. Rien de plus-éloquent que ce parallèle : en 1898, le budget était en équi libre et l’amortissement fonctionnait ré gulièrement. En 1901, le budget est en déficit et les sommes que l’on pourrait inscrire .à l’amortissement sont dévorées d’avance par les suppléments de dépense. C’est en vain que, pour masquer cette situation, le gouvernement a imaginé une fantasmagorie de chifires destinés à faire illusion. M. Ribot, en quelques mots, a dissipé ce mirage et montré les choses telles qu’elles sont» sous le jour cru de la réalité. En terminant, au milieu des applau dissements de tous ceux qui ne sont pas inféodés à la politique ministérielle, il a montré que c’était, pour rappeler une formule bien connue, à une mauvaise politique, celle du cabinet, que nous de vions en grande partie ces mauvaises finances. Il est curieux de constater l’accueil que font les journaux ministériels ù cet èx- Le Budget D’APRÈS UN MINISTÉRIEL Loraqne le budget a fait son apparition l’ordre do jonr de la Chambre, il a été accnellli par uoe explosion de galié : on tronvait très drêle de commencer le 2 décembre une discus sion qui, pour bien faire, devrait être terminée le 16 du même mois. Pourtant, l’aventure est plniêl triste, non pour le budget, qnl se moqne d’ètré honelé pins têt on pins tard, mais pour la Chambre, qui, sur la fin de son existence, va donner eaoere an pays le spectacle d’nne lamentable impuissance et d’une plus lamentable inenrie. Personne, bien entendu, ne s’imagine qne le budget puism être voté cette année, fût-ce à la dernière heure. On est dono résigné d’avance aux douzièmes provisoires, â cet expédient qnl devrait êfrc réservé pour les cas exceptionnels, imprévus, mettent réellement le Parlement dans l’Impossibilité de terminer â temps sa tâcha d’administrateur des deniers publics, Commè, une fois ie 31 décembre passé, il n’y a point de raison pour que ie budget soit voté un jour plutôt qu’tm autre, il y a gros â parier qtl’on ne se pressera pas plus qu’on ne s’est pressé jusqu’ici, et que tout un trimestre s’écou lera avant qne l’année des élections génitr.i.| soit dotée de son budget... C’est â tu laisser-aller généra] qn’U faut attri buer le sort fâcheux réservé an budget de 1802, Il est trop tard, assurément, pour que le mal puisse être évité. Encore vandrait-ii la peine de le réduire an minimum én menant les débats aussi rapidement que possible, et en ies termi nant dans le plus bref délai. n est 'Importent que la Chambre n’use pas, â voter le budget, tont le temps qui lui reste à siéger : elle a encore d’autres questions â régler. Pour cela, qu’elle ne tolère pas, comme hier, des discours qui durent deux séancesl S. L. (fiadieal dn 6 décembre.) L., c’est M. Sigismond Lacroix, nn minis tériel de marque. Un incurable. La hune de certains sectaires contre l’ar mée et surtout contre ses chefs se tradiüt suas les formes les plus divërses. La plus récente, que vient de découvrir et de s’ap proprier les énateur Delpech, c’est l’oubli des services rendus à la patrie et Tingratitade â l’égard de ses meilleurs et de ses plus glo rieux serviteurs. An nombre de ces derniers se placent deux soldats. Le premier, c’est Billot, un des plus brillante lienlenante de Chanzy â l’armée de la Loire, un de ceux qui, plus tard, oiit con- tnbué â reconstituer notre organisation mi litaire, dans les assemblées législatives, dans les grands comités du ministère de la guerre, à la tête de ce département ministériel, ou, enfin, dans les fonctions de général eii chef d’une des armées appelées éventuellement â la défense du territoire. L’aotre, c’est Saussier, celui qui,.ën i 871. a refait ia conquête de l’Algérie, qui à cdn- tribcé, comme son camarade Billot, à là re constitution de la défense nationalé et atfi. pendant ^ t d’années,, a été le génér^t- sime désigné pour ,1 e commtmdetnent su-" S réme de toutes les armées frafiimisésèn dit e guette. :* léréeottà Ce n’est pas sans tme certaine surprise qu’en a lu dans le Journal, le deuxième article de M’La- bôri ; le premier et les propos antérieurs de l’an- cieii avec de Dreyfus et de H. Joseph Reinach faisaient tont prévoir ; où s’attendait non seule- ^lënt à des « explications » mais â des révéla tions sensationaelles. Aujourd’hui M' Labori se ■contente d’affirmer sa foi en l’inncoence de Drey fus ; il déplore que le condamné ait demandé sa grâce, on ne l’a jamais consulté â ce sujet et il a combatrn de toutes ses forces l’amnistie. H' Labori se plaint douloureusement de cette légende qui s’est établie que l’Affaire a été pour lui le Pactole : < Qu’on dise, s’écrie-t-il, comment e suis entré dans l’affaire; comment je n’ai accepté d’abord qne d’y être un avocat d’office; cesamentj’al renoncé à cette sauvegarde par dé férence confraternelle, â uoe heure où il n’était plus possible qu’on s’adressât à un autre. Qu’on fasse connaître les modestes honoraires qn’onm’a alors imposés, parce que mon confrère les avait reçns.» Il se fait fort de prouver que la plupart de ses andens cliente lui ont retiré leurs dossiers et que l’Affaire « loi coûte » des sommes considérables. Ces déclarations tristes,, ces piaintes amères de H' Ldori n’étaient pas ce qu’on attendait... A titre documentaire, pent-être est-il utile de signaler avec tontes les réserves qu’elles compor tent les deux versions qui circulent aujourd’hui. Au Palais, quelqu’un prétendait que la rupture entre H* Labori et M. Joseph Reinach n’était que de la mise en scène. Ce serait une préface de la reprise de l’Affaire que M’Labori conduirait ainsi très habilement après en avoir éliminé ies élé ments trop impopnlalres, c’est-à-dire M. Reinach. D'antre part, des esprits plus simplistes et plus maiveillants répétaient le mot de M. Rochefort : < Il ne s’agit pas de lumière, mais d’éclairage 1 » M. Fa-aiick Chàuveau cheA le prince Oupoussof. Le prince Ouroussof, ambassadeur de Russie; a donné aujourd’hui un grand dé jeuner en l’honneur de Leurs Altesses Impériales le grand-duc et la grande- duchesse 'Wladimir, oncle et tante du Tzar. M. Franck Ghauveau, vice-président du Sénat, assistait à ce déjeuner. Votes de M ill. les Sénateurs de l’Oise. Séance du vendredi 6 décembre. Scrutin sur le projet de loi, adopté par la Chambre des députés, ayant pour objet une émission de renies 3 0/0 perpétuelles et la régularisation des dépenses de l’expédition de Chine. Pour l’adoption .... S25 Contre........................... iO Le Sénat a adopté. Ont voté pour ; MM. Chovet et Cuvinot. N'a pas pris part au vote : M. Franck Chauveau. La confépeBce des sucres. Les sénateurs et députés délégués par la réunion des représentants des régions su- crières ont été reçus jeudi matin par le pré sident du conseil et le ministre de l’agricul ture, et leur ont transmis les vœux émis par la réunion au sujet de la prochaine confé rence internationale de Bruxelles. MM. Waldeck-Rousseau et Dupuy ont ré pondu que le gouvernement conférera â ce sujet dans la prochaine réunion du conseil des ministres. Tôfiém-nt'incoHipîète ; ellè serait, du reste, sn- psrllQB rcar la plupart d'entre vous, qui me coünàissez, et avec lesquels j ’ai toujours vécn en ‘ parfaite' communion d’idées. Quant à ceux, plus jeunes, qni m’ignorent, je » * * ConfeméinentA la loi, aiix ti l’esprit de juttiice et éoi deyofri Depuis, nne polémique s’est élevée entre H. Bernard Lazare et H’ Labori. A la snite des renseignements que H. Bernard Lazare avait fournis â un rédacteur de l’ffcfio de Paris sur certains incidents dn procès de Rennes relatifs à M’ Labori et sur les causes de la brouille — apparente ou réelle — survenue entre le dé fenseur de Dreyfus et la famille dé celui-ci, H* Labori a pris â partie, dans le Journal, H. Bernard Lazare. Celni-ei répond par une lettre adressée M'Labori. Il se défend d’avoir voulu donner de la pnblicité â ses appréciations snr le rôle de H' Labori et ses différends avec M. Reinach, et il déclare que, d’ailleurs, ses paroles ont été inexactement rapportées par l’interviewer. H. Beænàrd Lazare ajoute que, pour juger équita blement le rôle de son contradicteur, il Ini suffi rait « de dire toute la vérité », mais il ne le fera que si ceiui-ei « prend â tâche de la déguiser d’une façon trop offensante et pour elle et pour ceux qui furent les compagnons de lutte de H' Labori ». H. Bernard Lazare accompagne l’envoi de sa lettre de documents d’une nature assez obscure mais desquels il semble ressortir : 1* que M. Jo^ seph Reinach est étranger aux révéiatlons pu bliées par VEcho de Paris; 3’ que H. Bernard Lazare n'était pas le mandataire de la famille Dreyfus quand il donna à notre confrère des renseignements sur les incidents Reinach-Labori- Ficquart-Dreylds. A cette lettre. H’ Labori objecte, dans le Journal, qu’il trenve singulière l’attitude de Bernard Lazare faisant des confidences â un reporter et s’étonnant qne ces confidences soient reproduites, constatant qu’elles sont dén»tm-Ai, mais négligeant de rétablir la vérité. Revenant â l’occasion de ces ioterviews, snr la rupture qnl s’est produite entre la famiii. Dreyfus et lui, M' Labori noos apprend qn’ayant, â deux reprises, reçu de Dreyfus nne demande'de rendéz-vbns, il y acquiesça mais â la wmuittnn que l’«-coIonel Picqnart serait présent. DreÿfU accepta. Ce qui se passa dans cette entrevue. H* Labori n’en dit rien ;-ii'se coutente d’affirmer à nouveau que H, Bernard Lazare est bien le mandataire de la famille Dreyfus et qu’il est prêt à en faire la preuve. Après les allégations voilées de M' Labori, on s’attendait à tout antre chose, et l’on se en quoi tout ce potinage peut bien intéresser le public. Nüuvellôô^îîitaipôs. Lea' gsuais dsnis la cavalerie. II.' Gehfildemahdërn, lorsdelAdlscusaion . la guerre, le voté' d’iin crédit de SoO.'OOO frabcs, peur ràrmettre an mi nistre de la guerre de rétaolir et maintenir le port journalier du gant de peau chamoisée dani Iw troopM mefftfltr' Les Instituteurs au Conseil départemental. Circulaire de U. Francohn, instituteur d Crépy-en- Valois. A Messieurs les Instituteurs, éiectenrs an Con seil départemental de l’Oise ; Mes chers Collègues, Deux fois déjà, vous m’avez accordé votre confiance, et depuis six ans, j’ai eu i’bonneur d’être, an Conseil départemental, l’on de vos re présentants. Très sensible au bon accueil qu’ont fait au compte-rendu de mon mandat et à ma candida- ture cenx de nos c o lite s qui se sont réuais di manche dernier â Creih je me présente de noU' veau à vos suffrages. Mes actes vous sont suffisamment connus. Je me suis toujours inspiré, dans l’accomplisse ment de mon mandat, de ce qui touche aux inté rêts del’eople. Toujours aussi, j’ai mis au rang de mes constantes préoccupations tont ce qui peu; affermir la situation morale de i’institatenr et eontribner â l’amélioration de sa situation maté rielle. D’accord en cela avec mes collègues, j’ai non,4 que nous devions pins particulièrement solliciter, parmi ies réfermes qui sont réaiisables, celies qui résument nn senument général, qui répon dent à d’unanimes aspirations. Sous forme de vœnx, nous avons demandé an cours de notre mandat : r L’extension de l’bonorariat (que cette dis tinction pnissse être conférée aux mstituteurs et aux insututriees dont la.earrière a été dignement remplie). 2* Le rétablissement de la gratuité des frais d’étndes dans les lycées elles callèges, en faveur des fils et des filles des membres de l’enseignC' ment primaire. 3' L’abolition du pourcentage dont l’expérienoa a produit de si funestes effets, et son remplace ment par un mode d’avancement plus équitable, plus rapide et plus certain. 4' La suppression de ia 3* période d’exercices miUtalres a laquelle les insutnteurs étaient as treinte. 6' La maintian des deux semaines de vacances supplémentaires accordées â i’occasion des œu vres post-scolaires. ;8' L’inscription au budget départemental d’nn crédit qui servira désormais â faire l’avanoe de leur pensien aux instituteurs et anx institutrices 3 ni, réunissant ies conditions d’âge et d’années e service, sollicitent leur admission â la retraite. 81 ces actes, mes chers Collègues, vous inspi rent de suffisantes garanties pour l’avenir, il vous appartient de le dire au aoruiin du 10 courant. Permettez-fflol de pouvoir compter snr un nou veau témoignage de votre confiance, comme vous pouvez compter sur mon entier dévouement. Veuiilez agréer, mes chers collègues, l’assu rance de mes meilleurs sentiments. H. Fbancolin, Instituteur à Cripy-en-Yalois. 3 décembre 1901. M. Magnier, instituteur à Noyon, adresse aux iustilnleurs de l’Oise la circulaire sui vante : Mes chers Collègues, Cédant aux instances de nombreux collègues, je me suis décidé, à la réunion de Creil de di manche dernier, à poser ma candidatnre anx S rochaines élections dn Conseil départemental e l’Oise. Elle signifie union, sans distinction d’origine, entre tous nos collègues de l’Oise, dans une Amicale d’Institntenrs qai pourra elle-même comprendre des Sons-Amicales. Ma candidatnre est encore significative de dé mocratie et de libéralisme dans tontes les ques tions qui pourront nous intéresser, ainsi qne de bienveillance et d’équité pour tous, dans tous les cas et dans toutes les circonstances. Si je pnis vous être de quelque utilité; soÿez assurés, mes chers Collègues, que mon dévoue ment vous est acquis. Tetra dévoué collègue, J. MAONISn, Instituteur à Eoyon (OiseJ. M. Haguier se présente en remplacement de M. Roguet, qui n’est plus candMat. V * * Circulaire de M. . V. Délie, instituteur à Ctermont. Clermont, le 6 décembre. 1901. Messieurs et A e rs Collègues, M. Rognet ayant pris la résolutitm de ne êtrecandidat anConsmidépartementaL je solliciter l’honucnr devons y représenter. Une. longue cfrculairè, rempfieA'grandbs èx- pUèiflônt M dc tiekiiooap dt proatmê; ssndt blique avec le même dévouement et le mêine désiniéressemeet; que, depuis vinrâ ans. comme délégaé de mes ooliégues ou de l’Aummistration. dans les Congrès efflelele et libres, j’ai servi notre cause â tous en défendant énergiquement nos aspirations légitimes, que, partont et tou jours, j’al été l’on des premiers collaborateurs des Initiatives généreuses et fraternelles, qnl tendent à faire réguer l'esprit de solidarité parmi nous ; que, dans toutes nos réunions, j’al dé fendu sans cesse les causes qni me paraissaient luttes, en écartant toute question de personna lité : qu'à plosieors reprises, j’ai attire la bien veillante attention de nos délégués départemen taux sur les intérêts de quelques-uns de nos ooilègues et sur les matières soumises an Con seil départemental : vacances, amélioration des programmes, choix des délégnés cantonaux, protection des maîtres, etc... Si ces explications sont siiffisantes pour méri ter le mandat qne je sollicite de votre confiance, et si vous me faites l’honneur d’être votre élu, je vous affirme que tont mon dévouemeat sera entièrement acquis â tontes les amélioratiens désirables et à la prospérité de l’école publique. Veuillez agréer, Messieurs et chers Cofiègues, 1assurance de mes sentiments-les pins dévoués. T. dûue, Instituteur â Clermont. Circulaire de if“* Prévost, institutrice à Creil. Madame et chère Collègue. Je dois tout d’abord exprimer mes sentlmetiU de gratimde aux InMitnirices qnl, à la réunion de Creil, ont bien voulu me désigner pour défendre leurs Intérêts au selu du Conseil départemental. J’étais loin de m’attendre è un pareil honneur; mais ce témoignage de sympathie m’a vivement tonchée et je vous prie. Madame et chère Collè gue. de bien vouloir le confirmer par votre vote dn 10 décembre prochain. Je ne vous ferai pas de promesses illnsclres, mais vous pouvez avoir la certitude qne je m’as socierai tonjours â toutes les proposifions tendant à améliorer notre sltnation matérielle et à donner satisfoction à nos légitimes désirs. Tem'llez agréer, Madame et chere Collègue, l’assurance de mon entier dévouement. E. Pbûvost, Institutrice â CrelL L’histoire locale. Un mouvement de sympathie se dessine actuellement dans la plupart de nos départe ments, en faveur de renseignement de l’his toire locale â l’école primaire. ércbivistes de préfectures, historiens, ins pecteur d’académie, directeurs de collèges ou de lycées, professeurs et instituteurs viennent de commencer une campagne ten dant â faire décréter par les pouvoirs publies que cette étude soit admise, en bonne piace. dans les programmes de l’enseignement. Les blés. La température froide et sèche que noué subissons depuis quelque temps, est favora ble aux blés faits aussitôt après la moisson, mais elle est absolument défavorabié pour ceux ensemmencés tardivement. Et, comme ceux-là sont assez nombreux dans un grand nombre de centrées, la levée se fait dans de mauvaises conditions, et on réclame de l’eau pour les jeunes blés. Les maladies coni du bétail dams l’< , iëusea ise. Statistique du mois décem bre. Fièvre aphteuse, — 10 cantons, 15 com munes, 27 exploitations. C’est le chiffre lû plus bas enregistré depuis quatre ans. Clavelée. — Un troupeau infecté à Précy- sur-Oise. Charbon symptomatique, Un nnimgi mort sur six a Sully, canton de Songeons. Rouget du porc.— Une ferme infectée I Vrocourt, canton de Songeons, et quatre animaux saisis dans ies abattoirs. Tuberculose. — Trois vaches saisies daht les abattoirs. Le Vétérinaire départemental, Andrieu. iliu popn dama l’Oise en 1 9 0 0 . Le Journal officiel publie le tableau du mouvement de la population en 1900. Neué relevons les chiffres suivante pour le dépar tement de l’Oise ; Population légale (dénombrémant 1896) : i05.S11. Mariages : 8.172. — Divorces : 139. Naissances légitimes : sexe mascnlifi. â.030 : sexe féminin, 3.873. — Total des naissances légitimes : 7.903. Naissances naturelles : sexe masculin, i06 ; sexe féminin : 393. — Total des nais sances naturelles : 799. Total des naissances : 8.702. Morts-nés : sexe masculin, 194; sexe fé- miniu, 164. — Total des morte-nés : 358. Décès : sexe masculin, 4.777 ; sexe fâui- nin, 4.706. — Total des décès : 9.483. Excédent des décès (sexe masculin) : 341, Excédent des décès (sexe féminin) ; 440. Excédent total des décès : 781. D’après ce tableau, le départemmt dé l’Oise occupe le 35* rang pour la populatiMi, le 41* rang pour le nombre des m afen« ], 11* rang pour le nombre des divorces, le 29* rang pour les naissances et ie 30* raiic pour le nombre des décès. On voit que malbeureusemeut le neihbré des divorces est très élevé dans le départe-" ment de l’Oise et qn’il dépasse beaucoup la moyenne. Ainsi, d’après, cette statistique R" y a, dans le départemént, 1 divorèe'rrar/ 23-mariages, tandis que la pqHtlalioB/ piiir l’ensemble de ia France, estdel'dlTiMoesw*" 42 mariages. . ’• '""'nrt— .............. .. Santé, fraiekeur, jem «es»,itkti , U Congo, dorme tout cota.

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£ < t man m r k t , imtM$ e u nan,M Mot poë rw dur.

ADREæE TELEGRAPHIQUEJOURNAL-SENUS L’OISE ' .TÉLÉPHONE AVEC PARIS,

LA FRANGE & L’ÉTRANGER

B U a E A T U XRédaction et Administration:

9 et 11, place de l*Hdtel*4«-yiîle,9ttlt SBNLIS

Le JoimNAL SB S b n lb est détoné pour publie»' dans Cart'ondissem/mt Us I n s e r t i o n s JUDICIAIRES.

PRIX DES INSERTIONS ÂDQOQoes létfàloü . . . . 0,20 o. fat ligné. Ânaoaces voloutaii’es. 0,25 —Réclames.................. 0, ^ —Faits divers...'. 1 fr.On a'accepte pas d*î&sertioa an-dessou

de 1 franc.

Les aiponees, réclames, ete., tmnrtmant Paris et les Départements scmt recoes directement aux bureaux dBjeorâu.

■VaiKmàKtnc» des matière» novr ebügt^à ajourner m proekain num éro la suite de notre intéressant feu illeton : A a c o i n d ’â n e O o t , par LiOK de T inseau.

BULLETINS ttU it, la 7 Lècambra 1901 .

Jeudi, à la Chambre, suite de la dis­cussion générale du budget de 1002 : à M. Merlou, rapporteur général, qui a plaidé les circonstances atténuantes en faveur du projet arrêté par la commis­sion, M. Ribot, dans un discours qui a causé une vive impression, a opposé .de sévères, mais justes critiques touchant la mauvaise gestion financière de la pré­sente législature et le péril qu’élle crée pour un avenir imminent. Sur la question du budget des cultes, M. Ribot a déclaré laisser le soin de le défendre à M. Wal- deck-Rousseau, c qui compte sans doute, a-t-ii ajouté, sur la sagesse de ceux qui ne suivent pas sa politique *. L’extrême gauche s’est livré, pendant ce discours, é une petite débauche de manifestations antimilitaristes. On continuera lundi. — Hier, suite de la discussion sur la crise viticole.

Mercredi, au Sénat, le général André, ministre de la guerre, questionné par M. Delpech sur la légalité de la situation maintenue dans l’armée aux généraux Saussier et Billot, a répondu en invo­quant une décision du Conseil d’Ëtat laquelle il espérait être à l’abri des cnmiaations de la vigilance jacobine. On a béanconp goûté le ton presque t mili- t ^ t e > et c nationaliste * de la réponse m'inistérielle, qui contredit cependant les déclarations que le même général André émettait l’autre jour au sujet des parts de prises, pour lesquelles il eût bien pu consulter aussi le Conseil d’Ëtat, avant de retirer aux officiers des parts régulièrement acquises. — Hier, le Sénat a adopté par 225 voix contre 40 le projet de loi voté par la Chambre et relatif à l’emprunt de Chine.

M. le professeur Hervé, qui se vit ap­pliquer par le conseil académique de Bÿon une peine de dix-huit mois de sus­pension pour avoir écrit des articles anti­militaristes dans un journal local, faisait, hier, appel de cet arrêt devant le conseil supérieur de l’instruction publique. Par 83 voix contre 18, M. Hervé a été mis en retrait d’emploi, ce qui constitue ^ne aggravation considéraUe de la peine pre­mière.

Jsngs»«oaéitions. Du passage de fAsHe-Pepin- court, où se troBvent les eteliers'du foadenr, jusqu’au Graod-Palais des Champs-Elysées, Ver- ciDgétoriz a traversé tout Paris, l’épée hante, au miUeu d’une foule aussi uomhreuse que sympa­thique. Ce fut une vraie promenade triomphaie.

A plusieurs reprises, et notamment place de

pbisé-ilë M rK B ô ïrp ré ïn 'a ï 'b o r i s e iis 'ë F a ë 'f ’n â f t ^ c e qui s’impiesent aux nations cominé

la Concorde, le fler goeirier a vaillamment aap' pûo*------

de l’après-L ;„ , _____ ^ _ _____Grand-Palalsl ITy restera pendant tonte la durée

pottè l’assmit des photographes. Teri tmis heu­res de l’après-inim, il faisa^ son enpée an

del’Ezpoiition: puis; Vers lé SO dé ce,mois, le même teuf-teuf le conduira jusqu’i Cferment- Feaand. bipassant par Corheil, FontainAlean, Hontirgts, Oien, Bourges et Hontlnçon.

Selon tontes prévisions, 11 accomplira ce trajet en tme vingtaine de jours.

Tirage d’obligations.Ville de Paris 1898.Jeudi, a eu lieu le tirage des obligations de la

Ville de Paris,, emprunt de 1898.Le numéro 13t8S? gagne 600.000 francs.Lé numéro S39947 gagne 60.000 francs.^Les quatre numéro, suivants gagnent chacun

10.000 francs ; 6g86éO — 188301 - 361044- 850537.

Les quatre noméros stfivants gagnent ehacnn6.000 francs ; S62061 - 600264 - 44051 — 1S6474. _ _ _ _ _ _

Le mari de la reine.Une dépêche d’Amsterdam adressés à i’sgenCe

Havas rapporte qu’une petite altercation entre la reine et le prince aurait ô i lieu-pendant nn dîner en ch&teau de Loo. La reine s’étant formalisée d’une marqué d’inattention du prince, loi aurait dit un mot désagréable, sur quoi le pnnce, s’em­portant, aurait offensé la reine.

, M, Van Tets ayant fait remarquer an prince l’inconvenance de sa manière d’agir, tme provo­cation s’ensnivit,

On croit que le prince, qui revenait d’une par- lit hn nn peu plus que de con-tie de chasse, avai

tu fs .

Incident, nn duel avec un antre personnage de la cour, qui reçut une blessure insignifiante.

Il parait que depuis, les choses se sont arran-

{[ées et grâce à l’intervention de la reine mère, a paix est revenue dans le jeune ménage.

Un tableau cher.C’est, «roit-on, le duc de Harlhorough qui pos-

agg, le tableau le pins cher du monde. Ce ta- brean, connu sons le nom de la Madone de BUnHim, figurait dans lacollectioa du premier due de Harlhorough Raphaël l’exéonU en 1607, et il vaudrait actuellement soixante-dix mille livres sterling, soit nn million sept cent cin­quante mille francs.

L’œuvre représente la Madone portant l’Enfant Jésus, assise sur un tréne, avec saint Jean-Üp- tiste à sa gauche et saint Nicolu de Bari i ta droite..

La fobniense valeur dece tableau est due à ce me, de tous les Raphaëls connus, la Madone de ' "tlietm est le mieux conservé.

patriotisme.c Son discours sur le budget, affirme

l’un d’eux, est u n p u r discours réaction­n a ire ; il a, comme les financiers de la droite, agité .le ^ectre du déficit, parlé de- la nécessité de rassurer les in térêts, protesté coiifrc les innosSatîons e t les ex ­

périences dangereuses Cet orateur qui parle d'arrêter l’exode. des - capilaux. à l’étranger, et qui conseille, de. ne pas se risquer en de périlleuses folies, apparait eii effet d’opinions bien suspectes. Et un autre organe ultra-ministériel en conclut < qu’il s’est révélé le- chef de l’opposition du centre, de la dro ite et du nationa­lisme, en faisant, au milieu des applau­dissements de cette coalition, à la veille élections, le discours dudé&it..’ »

C’est toujours le mémesjstème consis­tant à classer parmi les réiactionntüres efr les cléricaux'quiconque ffest 'pas-minis­tériel et dénonce au pays les dangers de la politique du cabinet actuel. Notre confrère Maurice Spronck, de la Liberté; rappelle dans cet ordre d'idées une cu­rieuse anecdote.

c Je me souviens, dit-il, il y a deux ans, au milieu des bagarres tumultueuses qui agitèrent les rues, d’un vieux mon­sieur qui répondait avec persistance, aux hurlements des anarchistes, par le cri de : « "Vive la République honnête ! A bas les voleurs 1 » Un brigadier de gar­diens de la paix finit par s’approcher, et, d’un ton impérieux, lui commanda de se taire : c Si vous continuez à eng...er le gouvernement, vous savez, vous, je vous f... dedans 1 » Ce brave agent avait évi­demment de la politique actuelle une conception générale très exacte. Aux yeux des ministériels, quand on conseille de se garer de la banqueroute, on est un réac­tionnaire ; quand on n’appartient pas ù la catégorie des professeurs qui excitent les soldats à la révolte et qui proposent de jeter sur le fumier le drapeau tricolore, on est un plébiscitaire, un clérical et un césarien ; quand on proteste, au nom de la probité républicaine, contre les voleurs, on est un insulteur du gonverhement. C'est bizarre ; mais c’est comme cela ».

<aBx individus, ces denx soldats, atteints par -la lim ité d’âge et éloignés du service actif, iont'éfé pourvus chacun d’une mission tem­poraire qui perm et au m inistre de la guerre :de donner à chacun d’eux une retraite hono -rable. ■: Cela offusque té farouche sénateur Del­pech, pt comme la haine aveugle lés gens au poin t dé n e pas leur laisser voir la vilenie d é cermins actes où la passion les poUsse, ica p è n conscrit est venu l’antre jour, en plein' Sénat, sommer le général André de déèerher aux généraux Billot et Sâussier une preuve éclatante d’ingratitude nationale, en leu r retirant la mission dont ils sont in - vèstis e t rindém nité qui y est attachée par les rëglèments.

Ml lé Ministre de la guerre — c’est la p re­mière' fois que nOns avons le plaisir ao le féliciter — s est très nettement refusé à com­mettre l’acte qui aurait soulevé la réproba­tion de l’armée et de la nation; M. Delpech, seul de tous ses collègues, n ’a pas compris les raisons du refus que lui opposait le mi­nistre de la guerre.

Il est inutile d ’essayer de les lui faire comprendre; il n 'y a qu’â plaindre ce séna­teur dont le radicalisme est déridémeni in­curable.

M* Labori et rAiTaire.

INFORMATIONSDéputé démissionnaire.A une des dernières séances de la Chambre,

M. DeMhanel, président de la Chambre, a donné connaissance a ses cellègoes de la démission de H, Lemasson, dépnté de Haine-et-Leire.

M. Lemasson avait été, paralt-il, prête l Eclair, obligé de qniiter précipitamment la France, il y a quelque temps, à la snite d’affaires Balhenrenses.'^On avait cependant continué â trdnver ses bnlletins de vote parmi ceux de la majorité ministérielle.

L’enlnmineor dn protocole.Le protocole, dont quelques députés méditent

la suppression, possède an nombre de ses agents le dernier représentant de cet art aUqnel les vieux manuscrits les plus précieux doivent leur valeur, et qu’on appelle l’enluminure.

Cet agent, sous le titre modeste de commis eipédidonnaire du protocole, est un véritable artiste. C’est lui qui est chargé de ealUgrapbier et de décorer de somptueuses eulnminures, do­rées, rouges et bleues, les fameuses lettres dites autographes, adressées par le chef de l’Etat aux souverains étrangers, et qui n’ont d’autographe que la signature présidentielle.

Ces lettres, ainsi historiées, constituent de véritables oeuvres d’art qui sont conservées par les Cours étraDgères, aussi soigoeusement que nos archives du quai d'Orsay gardent, de leur côlé, les lettres adressées an Président par les autres chefs d’Etat.

Pour se faire nn nez.Il nous arrive d’Autriche une bien eurieuse

nouvelle. Le chirurgien Gersimy, de Vienne, se se contente pas pour refaire un nez on telle autre partie du visage humain de recourir à la greffe animale, comme le. faisait le docteur du « Nez d’un notaire >; i| injecte simplement sous la peau, avec une seringue de Pravaz, deux eu trois centimètres cubes de vaseline paraffinée, préala- blemeat liquéfiée par la chaleur. Et comme la paraffine redevient solide i 37 '/„ c’est-è-dire à la température du corps humain, on n’a qu’à la façoimer pendant qu'elle refroidit sous la peau et à donner au nez la forme qu’en désire.

Dn Uasque de Fer tDeux habitants des faubeurgs sortent do

Théâtre-Français, où ils étaient venus pour la première fais.

^ e a u disûe, Patrie! fait l’un,'et comme c’est joué I

L’autre, avec conviction ;1 mieux rendu...à Belleviilel

Les failiis et le droit de vote.M. Georges Berry a déposé la proposition sui­

vante : .« Le commerçant qui aura été déeiaré en fail-

ute ne pourra plus être privé désormais du droit de vote dans Tes élections législatives, départe­mentales et communales.

< Ce droit sera restitué à celui qui ne l’avait perdu que-par suite de faillite. »

Statistique attristante.Il y a des statistiques gaies, par exemple celles

qui nous racontent que dans telle commune il hait quinze enfants et demi par an, et qu’il en meurt douze et quart.

Cette fois, on noos eu donne une lamentable : c’est celle de la popula'Ioa française eu 1900.

Il y a en, cette année-là. en France, 827.297 Saissaeces contre 853.285 décès, soit 25 988 dé­cès de plus que le nombre des naissances I

El pourtant c’était l’année de l’Exposition.On n’a cependant pas exposé les enfants.

Comme Moïse, sur les flots.D* 1896 * la popalaiion avait légèrement

iDgmenté, 31.314 en 1899. Pourquoi cette diffé- fonce avec l’année de l’Exposition?

déficit, voiiâ le fait brutal, udéaiable et attrisunt. C’est le déficit partent.

l.ft voyage du héros.Vorclngélorix, le bon chef gaulois, doit faire

ïesrand** ** 8» P»ris à Cteimont-Mais, avant de se rendre au pays des Arver-

Jos, l’héroïque défeaseur des Gaules est iavité â prendre part, avec son véhicule, â l’Exposition °e lAntomohile-Cluh, qui doit, comme on sait • ouvrir tout prochainement.

Le grand voyage devait donc être précédé « no pftit veyage d’essaf, qui, â la grande joie ws Parisien», virât dé s’OTeetner dans les mefl-

LE F A I T DU J O U RX J x x d i s p o x A x * s

d e ]VÆ. J R i b o ’fc.

M. Ribot a prononcé jeudi, à la Chambre, un remarquable discours sur la situation financière.

Lui, dont la parole est si claire, il avait bien qualité pour reprocher au gouver­nement l’obscurité voulue et le brouillard artificiel qui s’accumule autour des finan­ces publiques. Il n’y a pas manqué, et, en faisant ainsi la critique du projet de budget de M. Caillaux et du rapport de M. Merlou, il s’est trouver amené, à tra­cer de notre gestion financière depuis 1870 un tableau qui restera comme une page d’histoire.

La comparaison qu’U a faite entre la situation budgétaire à la fin de la dernière législature et la situation présente cons­titue la partie maîtresse de cet admirable discours. Rien de plus-éloquent que ce parallèle : en 1898, le budget était en équi­libre et l’amortissement fonctionnait ré­gulièrement. En 1901, le budget est en déficit et les sommes que l’on pourrait inscrire .à l’amortissement sont dévorées d’avance par les suppléments de dépense.

C’est en vain que, pour masquer cette situation, le gouvernement a imaginé une fantasmagorie de chifires destinés à faire illusion. M. Ribot, en quelques mots, a dissipé ce mirage et montré les choses telles qu’elles sont» sous le jour cru de la réalité.

En terminant, au milieu des applau­dissements de tous ceux qui ne sont pas inféodés à la politique ministérielle, il a montré que c’était, pour rappeler une formule bien connue, à une mauvaise politique, celle du cabinet, que nous de­vions en grande partie ces mauvaises finances.

Il est curieux de constater l’accueil que font les journaux ministériels ù cet èx-

Le BudgetD’APRÈS UN MINISTÉRIEL

Loraqne le budget a fait son apparition l’ordre do jonr de la Chambre, il a été accnellli par uoe explosion de galié : on tronvait très drêle de commencer le 2 décembre une discus­sion qui, pour bien faire, devrait être terminée le 16 du même mois.

Pourtant, l’aventure est plniêl triste, non pour le budget, qnl se moqne d’ètré honelé pins têt on pins tard, mais pour la Chambre, qui, sur la fin de son existence, va donner eaoere an pays le spectacle d’nne lamentable impuissance et d’une plus lamentable inenrie.

Personne, bien entendu, ne s’imagine qne le budget puism être voté cette année, fût-ce à la dernière heure. On est dono résigné d’avance aux douzièmes provisoires, â cet expédient qnl devrait êfrc réservé pour les cas exceptionnels, imprévus, mettent réellement le Parlement dans l ’Impossibilité de terminer â temps sa tâcha d’administrateur des deniers publics,

Commè, une fois ie 31 décembre passé, il n’y a point de raison pour que ie budget soit voté un jour plutôt qu’tm autre, il y a gros â parier qtl’on ne se pressera pas plus qu’on ne s’est pressé jusqu’ici, et que tout un trimestre s’écou­lera avant qne l’année des élections génitr.i.| soit dotée de son budget...

C’est â tu laisser-aller généra] qn’U faut attri­buer le sort fâcheux réservé an budget de 1802, Il est trop tard, assurément, pour que le mal puisse être évité. Encore vandrait-ii la peine de le réduire an minimum én menant les débats aussi rapidement que possible, et en ies termi­nant dans le plus bref délai.

n est 'Importent que la Chambre n’use pas, â voter le budget, tont le temps qui lui reste à siéger : elle a encore d’autres questions â régler. Pour cela, qu’elle ne tolère pas, comme hier, des discours qui durent deux séancesl

S. L.(fiadieal dn 6 décembre.)L., c’est M. Sigismond Lacroix, nn minis­

tériel de marque.

Un incurable.La h u n e de certains sectaires contre l’ar­

mée et surtout contre ses chefs se tradiüt suas les formes les plus divërses. La plus récente, que vient de découvrir et de s’ap­proprier les énateur Delpech, c’est l’oubli des services rendus à la patrie e t Tingratitade â l ’égard de ses meilleurs e t de ses plus glo­rieux serviteurs.

An nombre de ces derniers se placent deux soldats. Le premier, c’est Billot, un des plus brillante lienlenante de Chanzy â l’armée de la Loire, un de ceux qui, plus tard, oiit con- tnbué â reconstituer notre organisation mi­litaire, dans les assemblées législatives, dans les grands comités du ministère de la guerre, à la tête de ce département ministériel, ou, enfin, dans les fonctions de général eii chef d’une des armées appelées éventuellement â la défense du territoire.

L’aotre, c’est Saussier, celui qui,.ën i 871. a refait ia conquête de l’Algérie, qui à cdn- tribcé, comme son camarade Billot, à là re­constitution de la défense nationalé e t atfi. pendant ^ t d’années,, a été le g é n é r^ t- sime désigné pour ,1e commtmdetnent su-"

Sréme de toutes les armées frafiimisésèn d i t e guette.

■ :*léréeottà

Ce n’est pas sans tme certaine surprise qu’en a lu dans le Journal, le deuxième article de M’La- bôri ; le premier et les propos antérieurs de l’an- cieii avec de Dreyfus et de H. Joseph Reinach faisaient tont prévoir ; où s’attendait non seule- ^lënt à des « explications » mais â des révéla­tions sensationaelles. Aujourd’hui M' Labori se ■contente d’affirmer sa foi en l’inncoence de Drey­fus ; il déplore que le condamné ait demandé sa grâce, on ne l’a jamais consulté â ce sujet et il a combatrn de toutes ses forces l’amnistie.

H' Labori se plaint douloureusement de cette légende qui s’est établie que l’Affaire a été pour lui le Pactole : < Qu’on dise, s’écrie-t-il, comment e suis entré dans l’affaire; comment je n’ai

accepté d’abord qne d’y être un avocat d’office; cesamentj’al renoncé à cette sauvegarde par dé­férence confraternelle, â uoe heure où il n’était plus possible qu’on s’adressât à un autre. Qu’on fasse connaître les modestes honoraires qn’onm’a alors imposés, parce que mon confrère les avait reçns.»

Il se fait fort de prouver que la plupart de ses andens cliente lui ont retiré leurs dossiers et que l’Affaire « loi coûte » des sommes considérables.

Ces déclarations tristes,, ces piaintes amères de H' Ldori n’étaient pas ce qu’on attendait...

A titre documentaire, pent-être est-il utile de signaler avec tontes les réserves qu’elles compor­tent les deux versions qui circulent aujourd’hui.

Au Palais, quelqu’un prétendait que la rupture entre H* Labori et M. Joseph Reinach n’était que de la mise en scène. Ce serait une préface de la reprise de l’Affaire que M’Labori conduirait ainsi très habilement après en avoir éliminé ies élé­ments trop impopnlalres, c’est-à-dire M. Reinach.

D'antre part, des esprits plus simplistes et plus maiveillants répétaient le mot de M. Rochefort :< Il ne s’agit pas de lumière, mais d’éclairage 1 »

M . F a - a i i c k C h à u v e a u c h e A l e p r i n c e O u p o u s s o f .

Le prince Ouroussof, ambassadeur de Russie; a donné aujourd’hui un grand dé­jeuner en l’honneur de Leurs Altesses Impériales le grand-duc et la grande- duchesse 'Wladimir, oncle et tante du Tzar.

M. Franck Ghauveau, vice-président du Sénat, assistait à ce déjeuner.

Votes de M i l l . les Sénateurs de l’Oise.

Séance du vendredi 6 décembre.Scrutin sur le projet de loi, adopté par la

Chambre des députés, ayant pour objet une émission de renies 3 0/0 perpétuelles et la régularisation des dépenses de l’expédition de Chine.

Pour l’a d o p tio n .... S25Contre........................... iO

Le Sénat a adopté.Ont voté pour ; MM. Chovet et Cuvinot. N'a pas pris part au vote : M. Franck

Chauveau.

La confépeBce des sucres.Les sénateurs et députés délégués par la

réunion des représentants des régions su- crières ont été reçus jeudi matin par le pré­sident du conseil e t le ministre de l ’agricul­ture, et leur ont transmis les vœux émis par la réunion au sujet de la prochaine confé­rence internationale de Bruxelles.

MM. Waldeck-Rousseau et Dupuy ont ré­pondu que le gouvernement conférera â ce sujet dans la prochaine réunion du conseil des ministres.

Tôfiém-nt'incoHipîète ; ellè serait, du reste, sn- psrllQB rcar la plupart d'entre vous, qui me coünàissez, et avec lesquels j ’ai toujours vécn en ‘ parfaite' communion d’idées.

Quant à ceux, plus jeunes, qni m’ignorent, je

» * *

ConfeméinentA la loi, aiix ti l’esprit de juttiice e t é o i deyofri

Depuis, nne polémique s’est élevée entre H. Bernard Lazare et H’ Labori.

A la snite des renseignements que H. Bernard Lazare avait fournis â un rédacteur de l’ffcfio de Paris sur certains incidents dn procès de Rennes relatifs à M’ Labori et sur les causes de la brouille — apparente ou réelle — survenue entre le dé­fenseur de Dreyfus et la famille dé celui-ci, H* Labori a pris â partie, dans le Journal, H. Bernard Lazare.

Celni-ei répond par une lettre adressée M'Labori. Il se défend d’avoir voulu donner de la pnblicité â ses appréciations snr le rôle de H' Labori et ses différends avec M. Reinach, et il déclare que, d’ailleurs, ses paroles ont été inexactement rapportées par l’interviewer. H. Beænàrd Lazare ajoute que, pour juger équita­blement le rôle de son contradicteur, il Ini suffi­rait « de dire toute la vérité », mais il ne le fera que si ceiui-ei « prend â tâche de la déguiser d’une façon trop offensante et pour elle et pour ceux qui furent les compagnons de lutte de H' Labori ».

H. Bernard Lazare accompagne l’envoi de sa lettre de documents d’une nature assez obscure mais desquels il semble ressortir : 1* que M. Jo^ seph Reinach est étranger aux révéiatlons pu­bliées par VEcho de Paris; 3’ que H. Bernard Lazare n'était pas le mandataire de la famille Dreyfus quand il donna à notre confrère des renseignements sur les incidents Reinach-Labori- Ficquart-Dreylds.

A cette lettre. H’ Labori objecte, dans le Journal, qu’il trenve singulière l’attitude de

Bernard Lazare faisant des confidences â un reporter et s’étonnant qne ces confidences soient reproduites, constatant qu’elles sont dén»tm-Ai, mais négligeant de rétablir la vérité.

Revenant â l’occasion de ces ioterviews, snr la rupture qnl s’est produite entre la famiii. Dreyfus et lui, M 'Labori noos apprend qn’ayant, â deux reprises, reçu de Dreyfus nne demande'de rendéz-vbns, il y acquiesça mais â la wmuittnn que l’«-coIonel Picqnart serait présent. DreÿfU accepta.

Ce qui se passa dans cette entrevue. H* Labori n’en dit rien ;-ii'se coutente d’affirmer à nouveau que H, Bernard Lazare est bien le mandataire de la famille Dreyfus et qu’il est prêt à en faire la preuve.

Après les allégations voilées de M' Labori, on s’attendait à tout antre chose, et l’on se en quoi tout ce potinage peut bien intéresser le public.

Nüuvellôô^îîitaipôs.Lea' gsuais dsnis la cavalerie.II.' Gehfildemahdërn, lorsdelAdlscusaion

. la guerre, le voté' d’iin créditde SoO.'OOO frabcs, peur ràrm ettre an mi­nistre de la guerre de rétaolir et m aintenir le port journalier du gant de peau chamoiséedani Iw troopM m eff tf ltr '

Les Instituteurs au Conseil départemental.

Circulaire de U. Francohn, institu teur d Crépy-en- Valois.

A Messieurs les Instituteurs, éiectenrs an Con­seil départemental de l’Oise ;

Mes chers Collègues,Deux fois déjà, vous m’avez accordé votre

confiance, et depuis six ans, j ’ai eu i’bonneur d’être, an Conseil départemental, l’on de vos re­présentants.

Très sensible au bon accueil qu’ont fait au compte-rendu de mon mandat et à ma candida- ture cenx de nos c o l i t e s qui se sont réuais di­manche dernier â Creih je me présente de noU' veau à vos suffrages.

Mes actes vous sont suffisamment connus.Je me suis toujours inspiré, dans l’accomplisse­

ment de mon mandat, de ce qui touche aux inté­rêts del’eople. Toujours aussi, j ’ai mis au rang de mes constantes préoccupations tont ce qui peu; affermir la situation morale de i’institatenr et eontribner â l’amélioration de sa situation maté­rielle.

D’accord en cela avec mes collègues, j’ai non, 4 que nous devions pins particulièrement solliciter, parmi ies réfermes qui sont réaiisables, celies qui résument nn senument général, qui répon­dent à d’unanimes aspirations.

Sous forme de vœnx, nous avons demandé an cours de notre mandat :

r L’extension de l’bonorariat (que cette dis­tinction pnissse être conférée aux mstituteurs et aux insututriees dont la.earrière a été dignement remplie).

2* Le rétablissement de la gratuité des frais d’étndes dans les lycées elles callèges, en faveur des fils et des filles des membres de l’enseignC' ment primaire.

3' L’abolition du pourcentage dont l’expérienoa a produit de si funestes effets, et son remplace­ment par un mode d’avancement plus équitable, plus rapide et plus certain.

4 ' La suppression de ia 3* période d’exercices miUtalres a laquelle les insutnteurs étaient as­treinte.

6' La maintian des deux semaines de vacances supplémentaires accordées â i’occasion des œu­vres post-scolaires.

;8' L’inscription au budget départemental d’nn crédit qui servira désormais â faire l’avanoe de leur pensien aux instituteurs et anx institutrices

3ni, réunissant ies conditions d’âge et d’années e service, sollicitent leur admission â la retraite. 81 ces actes, mes chers Collègues, vous inspi­

rent de suffisantes garanties pour l’avenir, il vous appartient de le dire au aoruiin du 10 courant.

Permettez-fflol de pouvoir compter snr un nou­veau témoignage de votre confiance, comme vous pouvez compter sur mon entier dévouement.

Veuiilez agréer, mes chers collègues, l’assu­rance de mes meilleurs sentiments.

H. Fbancolin,Instituteur à Cripy-en-Yalois.

3 décembre 1901.

M. Magnier, instituteur à Noyon, adresse aux iustilnleurs de l’Oise la circulaire sui­vante :

Mes chers Collègues,Cédant aux instances de nombreux collègues,

je me suis décidé, à la réunion de Creil de di­manche dernier, à poser ma candidatnre anxSrochaines élections dn Conseil départemental

e l’Oise.Elle signifie union, sans distinction d’origine,

entre tous nos collègues de l’Oise, dans une Amicale d’Institntenrs qai pourra elle-même comprendre des Sons-Amicales.

Ma candidatnre est encore significative de dé­mocratie et de libéralisme dans tontes les ques­tions qui pourront nous intéresser, ainsi qne de bienveillance et d’équité pour tous, dans tous les cas et dans toutes les circonstances.

Si je pnis vous être de quelque utilité; soÿez assurés, mes chers Collègues, que mon dévoue­ment vous est acquis.

Tetra dévoué collègue,J. MAONISn,

Instituteur à Eoyon (OiseJ.

M. Haguier se présente en remplacement de M. Roguet, qui n ’est plus candMat.

V * *

Circulaire de M .. V. Délie, institu teur à Ctermont.

Clermont, le 6 décembre. 1901.Messieurs et A ers Collègues,

M. Rognet ayant pris la résolutitm de ne êtrecandidat anConsmidépartementaL je solliciter l’honucnr devons y représenter.

Une. longue cfrculairè, rempfieA'grandbs èx- pUèiflônt M dc tiekiiooap d t p ro a tm ê; ssndt

blique avec le même dévouement et le mêine désiniéressemeet; que, depuis vinrâ ans. comme délégaé de mes ooliégues ou de l’Aummistration. dans les Congrès efflelele et libres, j ’ai servi notre cause â tous en défendant énergiquement nos aspirations légitimes, que, partont et tou­jours, j ’al été l’on des premiers collaborateurs des Initiatives généreuses et fraternelles, qnl tendent à faire réguer l'esprit de solidarité parmi nous ; que, dans toutes nos réunions, j ’al dé­fendu sans cesse les causes qni me paraissaient luttes, en écartant toute question de personna­lité : qu'à plosieors reprises, j ’ai attire la bien­veillante attention de nos délégués départemen­taux sur les intérêts de quelques-uns de nos ooilègues et sur les matières soumises an Con­seil départemental : vacances, amélioration des programmes, choix des délégnés cantonaux, protection des maîtres, etc...

Si ces explications sont siiffisantes pour méri­ter le mandat qne je sollicite de votre confiance, et si vous me faites l’honneur d’être votre élu, je vous affirme que tont mon dévouemeat sera entièrement acquis â tontes les amélioratiens désirables et à la prospérité de l’école publique.

Veuillez agréer, Messieurs et chers Cofiègues,1 assurance de mes sentiments-les pins dévoués.

T. dûue, Instituteur â Clermont.

Circulaire de if“ * Prévost, institutrice à Creil.

Madame et chère Collègue.Je dois tout d’abord exprimer mes sentlmetiU

de gratimde aux InMitnirices qnl, à la réunion de Creil, ont bien voulu me désigner pour défendre leurs Intérêts au selu du Conseil départemental. J’étais loin de m’attendre è un pareil honneur; mais ce témoignage de sympathie m’a vivement tonchée et je vous prie. Madame et chère Collè­gue. de bien vouloir le confirmer par votre vote dn 10 décembre prochain.

Je ne vous ferai pas de promesses illnsclres, mais vous pouvez avoir la certitude qne je m’as­socierai tonjours â toutes les proposifions tendant à améliorer notre sltnation matérielle et à donner satisfoction à nos légitimes désirs.

Tem'llez agréer, Madame et chere Collègue, l’assurance de mon entier dévouement.

E. Pbûvost, Institutrice â CrelL

L’histoire locale.Un mouvement de sympathie se dessine

actuellement dans la plupart de nos départe­ments, en faveur de renseignement de l’his­toire locale â l’école primaire.

ércbivistes de préfectures, historiens, ins­pecteur d’académie, directeurs de collèges ou de lycées, professeurs et instituteurs viennent de commencer une campagne ten­dant â faire décréter par les pouvoirs publies que cette étude soit admise, en bonne piace. dans les programmes de l’enseignement.

Les blés.La température froide et sèche que noué

subissons depuis quelque temps, est favora­ble aux blés faits aussitôt après la moisson, mais elle est absolument défavorabié pour ceux ensemmencés tardivement. Et, comme ceux-là sont assez nombreux dans un grand nombre de centrées, la levée se fait dans de mauvaises conditions, et on réclame de l ’eau pour les jeunes blés.

Les maladies coni du bétail dams l’<

, iëusea ise.

Statistique du mois d é c e m b r e .Fièvre aphteuse, — 10 cantons, 15 com­

munes, 27 exploitations. C’est le chiffre lû plus bas enregistré depuis quatre ans.

Clavelée. — Un troupeau infecté à Précy- sur-Oise.

Charbon symptomatique, Un nnimgi mort sur six a Sully, canton de Songeons.

Rouget du porc.— Une ferme infectée I Vrocourt, canton de Songeons, et quatre animaux saisis dans ies abattoirs.

Tuberculose. — Trois vaches saisies dah t les abattoirs.

Le Vétérinaire départemental, Andrieu.

iliu

p o p ndama l’Oise en 1 9 0 0 .

Le Jo u rn a l officiel publie le tableau du mouvement de la population en 1900. Neué relevons les chiffres suivante pour le dépar­tement de l’Oise ;

Population légale (dénombrémant dé 1896) : i05.S11.

Mariages : 8.172. — Divorces : 139. Naissances légitimes : sexe mascnlifi.

â.030 : sexe féminin, 3.873. — Total des naissances légitimes : 7.903.

Naissances naturelles : sexe masculin, i06 ; sexe féminin : 393. — Total des nais­sances naturelles : 799.

Total des naissances : 8.702.Morts-nés : sexe masculin, 194; sexe fé-

m iniu, 164. — Total des morte-nés : 358.Décès : sexe masculin, 4.777 ; sexe fâ u i-

n in, 4.706. — Total des décès : 9.483.Excédent des décès (sexe masculin) : 341,Excédent des décès (sexe féminin) ; 440.Excédent total des décès : 781.D’après ce tableau, le départem m t dé

l’Oise occupe le 35* rang pour la populatiMi, le 41* rang pour le nombre des m a fe n « ] , 11* rang pour le nombre des divorces, le 29* rang pour les naissances e t ie 30* raiic pour le nombre des décès.

On voit que malbeureusemeut le neihbré des divorces est très élevé dans le départe-" m ent de l’Oise et qn’il dépasse beaucoup la moyenne. Ainsi, d ’après, cette s ta tistique R" y a , dans le départemént, 1 d ivorèe'rrar/ 23-mariages, tandis que la pqHtlalioB/ p i ii r l’ensemble de ia France, estdel'dlTiM oesw*" 42 mariages. .

’ • '" " 'n r t— .............. ..

Santé, fraiekeur, jem «es»,itk ti, U Congo, dorme tout cota.

Page 2: L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1901/bms_js_1901_12_08_MRC.pdfdeck-Rousseau, c qui compte sans doute, a-t-ii ajouté, sur la sagesse de ceux qui ne suivent pas sa politique *. L’extrême

SS N U Sx m s k t

Am éiée lu r le lieu d a sappUce, «»n père la i trancha la tê te ; il dat s’y repren tee à troU fois. MaU à peine 1® 4«l™“ il porté qa’il tom bût In i-m êm étoppé P « "

U asigo ne tarda pas i s’é tab te saiatelÈu-be dans fes m p s d o r a ^ , p w .pen à péa, tontes lesconfrénes dont l» ™ ® nres, pa r leur profession, étaient «*P® ^ ®J* " fe u ^ r i e r ». se «»«*F®“ ‘ *»• lement sons sa bannière : les canonniers, puis les artiU enrs, les nii- neQrs.àcause d a coup de P?®®®: i canse d a coup de m ine; enfla les pom piers à cause des incendlM. ,- , :„ n e

An ionr eù les sapeurs fêtent leu r anüqne patronne, il pouvait être intéressant de rap­peler par quelle suite de curieuses traquons ra corps d’élite a adopté poM protectrice la touchante vierge du III* siècle.

. E E ^ L I SÉlections consulaipes.

C e e t dem ain dim anche qa’a w n t Ueu le s électionsTellement des mandats de

p é H x i ^ e m o l n e * p ^ d e n t ,« • « • n e , ju g e t i tu la i r e ;« a f M m n e n é e l , j u » suppléan t,

un T ribunal de Commerce de Senlis. n n ’e s t pas question , e t ü ne

ê t r e Question d’opposer des coneimrents l ^ e s ^ P o n n a U t e V q u i . o n t r e m p U ^m andat avec la science g r i té e t , disons le m ot, le ta c t appo^dsPm mm . E * m o t n e , S o a a l l e et^ a f t o o n n e n t e l , dans 1 exercice de le u rs délicates fonctions.

IVfM» il convien t que les d lecteuw consulaires se p o rten t en nom bre aux u rn e s , afin d’év ite r u n ballo ttage e t de p rouver qu’i ls apprécien t, « ® ^ ® , *^® le m érite , la ju rid ic tio n nouvelle qu euxm êm es o n t réclam ée.

Donc, demain, votons tous pour MM.F é l i x l i e m ® l « e , p r u d e n t ,S o w u iM ie t j t tg e t i tu la ir e D o f t o u r m e n t e l , ju g e su p p lé a n t.

a u tr ib u n a l de Commerce de Semis-

V I L L E DE S E N L I S

C o n t p i b a t i o n » d i r e c t e s . - _________ ,lU flarationt à faire par lespostetseurt de ig«nuê des gelées coatinaes et la neige ren-

e t^ o i tu r e s .e t par les î r f f i u s difflcilelàcirculaüpn desen^^^^^ DToprÛtaires de Billards, Yéloetpèdes et jj^bitent à une assez grande distance des

iRAüeDBATION DES CAHimSS SC O Li^S.— Dans notre dernier numéro, nous avons annoncé que des cantines

î s ' S d S u * s e tT a ’el“ *

“ a e Æ S ï ï ç s i . » ; ^ j j

%B«i Bâcler d’Albe, Démelin e t Paothier. MM. Pavette, inspecteur des Ecoles ; Çagny, délégué cantonal et conseiller m unicipal, Lenetit et Mouy, conseillers mumcipaux Paothier, médecin des Ecoles, assistaient également à cette petite cérémenie

Plus de <50 écouers, bien que latem péra-

a w lien le deuxième jeudi du mois,-»oii le~

* î ? o ^ du jour étant épuisé, la séance est levée i dix h earw et demie; ’ ^

La SomiK nu PAraoNAOE Sai«t-B im )i.. — Le compte-rendu de ia soirta donnée par le Patronage Saint-Rieul, qn}®PfT*;W ® le-lourtM l de Sentis du * " trouvé écourté par une erreu r de page. Nous rétabUssons le p a s ^ e m i i j * L a Bomoncc de UfebtTe et le M e n ^ t J e Romeau, ont été brillamment M“« Jeanne Charpentier, sur la nouvelle harpe chromatique Lyon, obhgeammem mise à la disposition de I’".»®»® son Pleyel. Ou a pu apprécier à la fois et le u le n t de l’exécutante e t les belles quaîjjés de son merveilleux instrument “qui permet l'exécution de morceaux absolument m - iouables sur l ’ancienne harpe. On su t, en effet, que dans la harpe p r ^ a i i o , 1®* « ® ‘- tons n ’existent pas tout faits ; il faut les pro- duire au moyen de pédales. Jt®, œuvre de ces pédales, toujours dfflcile, n w possible que dans certaines conditions. P ar suite, les compositeurs ne pouvaient destiner à la harpe qu’une musique toute »Pé«®l®i écrite en évitant le plus possible les dièses e t les bémols.

C o n c o n m s i d ê l ’id c o D l.Un concours international de moteurs et................... .. . X }n

woduction de la force motrice,-de ^m de la chaleur, sera ouvèrt^à Paris, dans le courant du mois dé mai <902.

Le concours s e n su iri d’une exposition '^oblique.

1 entière i[■ pas sous: t o s '^ u i la collectii pieds. A noter une curieuse Dirarrene : sur un Bayard, une fleur s’est m ontrée ini- b laad ie, . ^ r Ç i e ; leS doux coméuis absolu- m tiü tran^ésis;

“On peuipius krin, sous un n ia boriwnica, les Paadi coéna dressent leurs , fënill

Plustare ne soit pas encore nos nrennent déjà leur repas do midi dans nos Ecoles. Ce nombre s’accroîtra certainement

las encore très rigoureuse.

’ La harpe Lyon, chromatique sans pédales, possède autant de cordes qu’il y a de notes, demi-tons compris, au clavier d un piano. Elle est donc venue combler une grande lacune en donnant toute liberté à ia compo-

^ l^ous profitons de la ^rectification ci- dessus pour renouveler nos rives félicitations à tous fes artistes en général qui ont c ra tri- bué au succès de cette soirée, ét en pm^ioo- lier au principal organisateur, M. ia rcb i- prêtre Dourlent, qui dirige avec tant de dévouement le Patronage Saint-Rieul.

Voitures automobiles Le Maire de ia yiUe de Senlis, chevalier

d e la Légion d’honneur.R appelle aux contribuables passibles des

taxet sw les ® û » . a®r les chevaux et les ^ t u r e s , sur les billards, vélocipèdes et vo - tores automobiles, les déclaration* qu il on t à faire, conformément aux lois qui ré - (risiant ces taxes : . . « - _

<» Déclarations à faire avant le <6 jan-

au <“ janvier

^'L^fsoupe et les mets servis dans chacune de nos“K s ont été goûtés par 1®* per­sonnes présentes et trouvés d u n e prépara-

™i * nam très touchée de

i c O V R S D ’ É D Ü C A T I O N dirigé pair Madame veuye A. SEITZ,

CLASSE ENEAKTINE

Leçons de françaû et de piano.

7 , Qiemih latéral au chemin de fer, SENLIS

M a r c k é d e S e m l i eDD MARDI i DÉCEMBRE <90<.

véaioMATiaK ■as •xinm

Fromant.11" qual-•Ir* =

Seigle. - Avoine-. 1"

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Marofen

lonse Lata-lés Dra-

lui^àntes, . étranges ; Geteus, d etoiit auteur, une couronne d|

toiatet nuances e t de toutes variétés, form ent une éclatante bordure-

Cet ensemble avait été arrangé avec beau­coup de goût par M- Jouanet, iardinier-chel du Parc des Fontaines.

Plus modestes, mais plus utiles, sur une table voisine, des légumes d’|ino saine et vigoureuse culture, destinés aux hôpitaux de Berck et do Gouvieux, laissaient deviner que chez M“ * la baronne James|de Rothschild lo* pauvres ne sont pas oubliés ÿ ils ont leur potager qui est dirigé par M Horem, ja r­dinier. ]

Deux corbeilles de Pommes de terre mons- truenses, provenaient de la propriété de M- Aumont ; variétés : Saucisse et Géante sans

(Asuvore:,

Tombola d a s V é tA ra n o .M. le Préfet do l’Oise a autorisé, la-<S5fi*

section des Vétérans (Crépy), à ouvrir, une tombola dont le m ontant servira à 1 acquisi­tion du monument à élever à U ménwire des entants du canton morts sous les dra­peaux.

Le prix dos billets, qui vont être m is en vente incessamment, sera de 0 fr. 25.

Jeudi dernier, à PEcola des garçons, a en iieu la première conféreace de photograsMe.

Ces conférences continueront à être faites le premier jeudi de chaque mois, par IL Bonneau.

Il ne sera plus adressé do convocations.

15 391 lé-13 86 Id-10 50|H .,0,50o. 10 75!Sans var- 9 40 Id.

Prix du Pain du 1" au 15 déo.

Blanc. . . 0,33 la k. Bis-blane 0,30 —

Sans var. Id.

lpE1fTA\l TAILLEUR tùaBÜIIyC o m p l e t o u P a r d e s s u s AH f

s u r m e s u r e | *•floée* et Uanteawe : P r ia modérés.

Il circule en ville un bruit d ’après leq u e l. l’agitateur K... serait sur le point de revenir i Crépy. . ^

Selon les uns, il aurait l’intention de sou­tenir aux prochaines élections la candidrturo du député sortant. D’après les autres, il pré­senterait un candidat socialiste ouvrier, et, pour le cas où il ne p ira îtra it pas devoir réussir, ce candidat se désisterait en faveur du député sortant.

Varine : les 166kfleg., S 9 1 60. - Sans variation.

BARBERYP ar décret présidentiel en date du 28 no­

vembre, M. Louis Roland a été nommé sous- lieutenant des sapeurs-pompiers de Barbery.

suspendues destinées

vier :Pour les chiens

4902 ;Pour les voitures

au transport des personnes ;Pour les chevaux de se lle ,Pour les chevaux servant à atteler les

voitures imposables^.S» Déclarations à faire avant le 31 jan

^ P a n r les billards pubUcs ou privés ;P w r tas vélocipède» à

dIm Ï Ï ou à moteur, e t voitures automobiles,Pn* déclarations ne doivent pas être re-

n o n f e l^ S ® ®0 “ éa; mais elles doivent W f a t i^ s «actem ent par les nouveaux im - n o b l e s e t pour toaa les changemeûts sur-

p r W d » » d .0 . 1 »

M— Boucoment, qui a paru très ,cette attention délicate. D es compliments charmants ont aecompai

“ D e*^*’côté, M“ * Bpucomont, «l®®* ,|.® cœur est bien connu de tous, a pris 11®**'®" tive de grossir le menu de la î®®™^®. offrant aux enfants des fruits et / ’’*®® ^®® nui lenr ont été distribués par les dames orésentes. Nous n ’avons pas besoin d ajouter combien cet actenar de» marques non équivoques de sympa-

I thie à l’égard de la généreuse et aimable

'^°p £ ' m . le Sous-Préfet, après avoir r ^ mercié les enfants, a tenu à rendre un hom­mage mérité aux organisateurs des “ “ tines scolaires senlisiennes : MM. Tbirm®. Çagnv, Lepetit, Mouy, Démelin, lent exemple d ’initiative privée q u ils ontdonné m érite d’être encouragé.

Ceo ix -R oü6E F ba k ç a ise . - - La réunion mensuelle du Comité de» Dames de Senlis de la Croix-Rouge française aura lieu m ardi prochain,

<0 décembre (2* m ardi du mois), à une heure, au lieu ordinaire des séance», déh» une des salles de l’ancien Evéché.

c r t E i i - .L’Union départementale des Sapeurs-

Pompiers de l’Oise est autorisée à faire, au profit de sa caisse de secours, une grande tombola de 5.000 billets, an prix 0,50 cen­times le billet.

MELLOUn vol d’une montre en or e t d’une autre

montre en argent avec sa chaîne en même métal, a été com m is^u préjn|lice des époux Saubon, par une femme nommée Jeanne Dupont, qui logeait chez eux et qui, avant de disparaître, le 30 novembrejdernier, a fait main basse sur ces objets.

mONTATAlREUn procès-verbai pour ivresse a été dressé

le 3 décembre dernier contre le sieur René Devos, âgé de 28 ans, suje^ belge, ouvner métallurgiste, qui a été trouyé couché dan» l’avenue des Marronniers, enifacele château de Montataire.

Le Cercle artistique serait sur le point d’offrir un bal à ses sociétaires.

Ce bal, qui doit avoir lieu le 22 courant, d»tm la salle de l’hôtel des Trois-Pigeons, a dû être décidé dans la réunion du Comité de vendredi soir.

Peut-être ce bal sera-t-il agrémenté a un concert.

Comme nous l’avions annoncé, l’affaire des détritus des abattoirs est terminée.

^ l S K V o T t û 7 e s a u t o m o ^ I n ^ ^ V e i b analogues, doivent en faire la M t t a r i ê W i d e 3 0 j o u r s .

Fait à l’Hôtel-de-Ville de S en lis , le8 décembre <90<. .9 ^ Ua%re,

A . nE ■Wa r o .

^ t z * a v e x * 8 S e z a l x s

^trNTu-TiÀRBE. — Au moment où n â ï ï i U«S>. l . (« » de 1. SUnle-Bu-b.

" C S m ™ . 1. c m m e l . M •» -lièreVe réùnira à l’Hôtel-de-Vüle, où M. le Maire recevra lesles officiers de pompiers et les ;

Pois aura lieu le banquet, à précises, dans la grande salle de 1 ancien

® t f f i 's te des convives a dù être close dèsMer soir, le nombre en ayant atteint U b et la salle étant insuffisante ® contenir pins de nersonnes. Le succès, cette fois, d ép are to i t e prévision, et jamaU nos bj-aves pom- oiars déjà si populaires cependant de tout? ^ p i , n ’avaient été l’objet de pareilles ma-jlifestations de sympathie.

Aorèè le banquet aura lieu le bal au thêa tr« Les abords et l’in té r ie u r^ u monument s o n t cepistisement décorés et avec un goù

*’® n fên tre ra par la porte de gauche qui est orécédé d’une sorte de vestibule 'rehaussé de lanternes vénitiennes. A gauche de l’escalier se trouve le contrôle dans un foli S accolé de denx P®®®?^® : îîftra nn m i r o i r . L’escalier principal, lui- m f m e estTrné de verdures, de fleurs, à'oTi-flammes ; an fond du palier un grand miroir, qui multiplie et renvoit Tifi®®',®®®®^^»3 inmiAre d es lampes fournies par M. Ginart.

On tourne à droite pour pénétrer dans la

’* î l l Æ , l ï n ' S S S ’. S S ; . p l . . a W « :in o n d é fd r ia pleine lumière du lustre et des cirandoles de gaz, les couleurs crues des d r w e a u t de® bannières, l’acier des pano- nlies y éclatent joyeusement. ^®'de®s®® de* Lges de premières est une panoplie ®ï®bo- l ilu e portant tous les ® b j e l s nécessaires à

saoeur au moment de l’rocendie : clairon, casque, lance, boyau, hache, etc.

lie r situé en face de celui d e n tré e , on se tt“ u v H alors dans le couloir du P®);®f ®- aussi élégamment décoré et éclaire que le prem ier et conduisant au second escalier de

^* ™ fd to n s ici tons ceux, officiers, sons-Æ T w » . , w s — r S "o ro ^ t io L ^ tlu î ont reconstUué définitive­m ent la Compagnie, dont l’*°di®R®®*J'°“ 4® l’excellent M. Berthelot avait pendant quel- ju e temps réduit les cadres.

E ntre le banquet et le bal, le ®®P‘®'4® Mahieux recevra ses invités dan» la sal d ’honneur de la Compagnie.

Nous pourrions donner encore la ^ » c n p - Gnn de Fartistiqne décoration de cette salle,

n o Æ o n » ®i®®*,®“ 1®!®®® 1®

^ ^ A l l o n ^ M * ! ^ ’^®® galons de ®°‘re état-m ajor de sapeurs seront g®‘®.™®f"‘ f dignement fê’tés, comms c e s t, d ailleurs, de toute justice.

— A ce propos, connaît-on la légende m la-îeUne martyre que les artilleurs, les pom-

^ D S d’état ont pris pour patronne?Livre d 'o r de la chrétienté raconte que

fa ra ^ h e païen, la dénonça et » of-

Sport VàLoaPéniQüE Seklbien . - J eudi soir a eu lieu, au siège social, caié Cher- Ami. la réunion mensuelle ordinaire du S Y S , sous la présidence de M. Turquei

et FaDjal - a t admia an nombre des membres de la Société, après avis conforme de la commission des présen-

*^Le°président, parlant du dernier ra lly ^ oaoer adresse à la presse des compliments F ro rila lteu rs pour* l ’exactitude de sescomptes-rendus.^Ilestdécidé qu’un souvenirsera remis au prenuer arrivé, M. Gaston

^*Sur une observation d’un membre, l’ordre des arrivées est modifié, ce sociétaire ayant fait remarquer que plusieurs des coureurs dont lui-mêmè ont commis une faute en brûlant l’un des postes.

M de Parseval, vice-président, donne lecture d’une lettre du président d honneur M. de Rayssac, qui fixe un point controversé touchant la fourniture des sapins au Vélo- diome. La lettre de M. de Rayssac se ter­mine par un souvenir amical à tous les mem­bres de la Société. u , „

Il est décidé que le procès-verbal en fera mention, avec les remerciement des socié-

^ Le* secrétaire de l’Etoile sportive pari­sienne propose au S. V. S. de venir donner sur le Vélodromë un nouveau match de foot­ball, comme le précédent qui a eu tant de succès à Senlis. Les conditions seraient les mêmes : les frais de voyage de la Société pa­risienne resteraient à son compte et elle par­tagerait avec le S. V. S. le montant des en- tréssLe’président fait observer que le moment est peu propice pour une fêle de ce genre. Dès le retour du beau temps et à la première réunion de courses, on pourrait faire appel au concours de l'Etoile sport%ve p o ris ten ^ .

Il sera répondu dans ce sens à celte so -

Il est donné lecture d’une lettre de M. le Commissaire de police, réclamant 1 indem­nité due aux agents qui ont été demandés pour maintenir l’ordre au Vélodrome pen­dant les réunions sportives. _

Après un échange d’explications entre divers membres, il est décidé qu’une somme annuelle de <5 francs sera attribuée aux trois agents chargés de ce service par M. le

Le RàvEiL DE S en lis . Voici le pro­gramme de la séance du dimanche <5 dé­cembre, dont nous avons déjà parlé, et qui aura lieu, à deux heures précises, an Gym­nase du Réveil :

Prehiébs Partie.1. Exercice» mains libres, mouvements duCon-

oour* do S8i&WQst*6&*Cb&u**éèy psf lo*

2 sfrfés parallèles (facultatif), par les Adultes,3. Le Progret^te, chansonnette comique, par

M, Lequeux. ; '4. A n n e a u x , mouvements imrosés an Ccnoours

de Saint-Ja»t-en-(3iauss6e, ,6, Les Gâs de Morlaix, chanson de Ih , Botrel,

par M. A. Beaufort.6, Barre fixe (fâcuUatiÇ, par le» Adultes.7. Boxe (démonstration), par les Pupifies. ^8 Mouvements d’ensemble de la fêle fédérale de

Nice, par toute la Société, avec accompagne­ment de piano, , , . j

9, Distribution des récompenses aux lauréats de» Concours de gymnastiqne et de tir de Pont- Sainte-Maxence et de Saint-Jnst-en-Çhaüssee, et aux gymnastes et pupilles les plusméri- _ tant» de la Société pendant l’année 1801,

DEDxièME Partie.1. Anneaux (faenltalil), par les Adultes,2. Bâton, leçon, par les Adultes. S ..3. Les Pompiers de TiUey, chansonnette comUiue,

par Me JantzeDc . . . -4. Massues, par les Adultes, .5. Barres parallèli s (mouvements de concours),

p ar les Pupilles,6. Boxe, leçon, par les Adultes. ^7. Faudrait pas l areeomancer, ehansonnette

comique, par M, Charpentier. ü8. Pyramides, par les Pupilles; pyramides, par

les Adultes ; pyramides, par toute la Société.

Une grande réunion socialiste doit avoir lieu demain dimanche, à doux heures, salle G rare; presque tous les orateurs du parti qui ont fhabitude de venir discourir a Creil y sont inscrits, notamment Maxence Roldes, Andrieux, etc.

NOQENT-LES-VIERGESNogent s’amuse, ou plutôt Nogent va

s’8iaius6r. L , • jOn parle fort, en effet, d’une série de

concerta dont le premier aurait lieu, avec le concours de la musique de Nogent, le samedi prochain < 4 décembre. ,

J ’ai BU jeter un coup d qsil sur le pro- C ro ix -R ouB e fp a n ç n U n . gramme très alléchant : chansons, romances,

Assdeiation des Dames françaises. chansonnettes, scènes ®o®W®.®®,', ®'.Æ » d . M . do f L - o ü » d j .

Dames françaises se propose de faire célé- faire n r e .m p p 4 ^brer, le dimanche <5 décembre proch«®. à ! - ®“® c r o i t , traiteiroi* heure* de 1 des suiets bien locanx. Le compère, entouréSaint-Médard, un salu solennel, au prefitde 1 œuvre qu eUe propage. p-aii ni 1 n i è c e avec une verve endiablée. On y voit.

Plusieurs artistes de P ans , de Creti et | P‘®f^®j®4“"®ir;j®„.,,„ nasitroo dire, des en v iro n s, prêteront leur gracieux concours à cette importante cérémonie.

Une allocution patriotique sera prononcée par M. le chanoine Müller, curé de Saint- Leu-d’Essereht. ^

Toutes les places de l'église seront entiè­rement gratuites.

Tombola de la Compagnie d’aro.On sait que la <" Compagnie d’arc a or­

ganisé une tomboia qui sera tirée le 5 jan ­vier <902. Il reste seulement quelques billets qui certainement seront vite enlevés.

Pour m ontrer l’importance des lots 1 oi- fert», nous en donnons la nomenclature ci- après :

1. Une garaiture de cheminée enyx (Ditnschasseresse).

2. Dne jumelle, off. par M. Franck Chauveau,8. Uu sac de dame, en mouton.4. Du tabouret chauffd-pieds. .5. Une douzaine oouteaux de table, avec écrm*6. Un dessous de plai vieux chêne.7. Uue lampe métal argenté.8. Une travailleuse garnie cretonne.9. Une garnitnre de table laque. ^

10. Une lampe anjet artistique, offerte p u M,Chopinet, _ - j.

11. Un bon pour un chapeau, off. par M. Cardin.12. Une jardin ère cuivre.

C h o z lo s C poood llos,M. Parnelet, qui va quitter Crejl pour

mais j ’ai promis de n’en pasjtrop dire,Enfin, ce sera certainement un succès de

rire , et c’est une bonne occasion dont tout le monde voudra profiter, car les distractions sont rares à Nogent.

J ’ajouterai qu un concert, sera donné en janvier par la musique à ses!membres hono-

*^*Cmme on le voit, Nogent va s’amuser.H. Lahouche,

. u , rernoioi, qm va Beauvais, donnera dimanche et lundi soir, a huit heures, deux représentations extraor­dinaires et exécutera, avec se» crocodiles, le même travail sensationnel qui fit courir tout Paris à l’Olympia pendant deux mois.

Nous ne doutons pas que les amateur» de sensations neuves n ’accourent assister, di­manche e t lundi, à ces représentations ex- iraoràinaires.

Maison Buat. — L’abondance des ma­tières nous force à remettre à notre prochain numéro le oompte-rehdu d’une visite, que nous avons faite aux ateliers Buat,

Celle Maison, qui prend de jour en jour plus d’im portance, mérite d’être ®®i®®® connue encore qu’elle ne l’est, car elle fait honneur à l’industrie séùlisienne.

CH A N TILLY

C R É P Y - E N - VALOIS— - I

C a s t e l l a n d r i e s iIl serait fastidieux autantjqu’écœurant de

continuer une polémique sur le l®ro®i® ®*® personnalités où l’a placée M. Castellant. Au lieu de répondre aux questipns que j e lu i ai posées, et que lui-même à provoquées, il me consacre, dans l'Echo, deux colonnes de fielleuses injures, plus comiques encore que furibondes. Quand on songe q u e ce s t mi, l’oblique Castellant, qui acquse autrui d être payé pour c m entir, insulter et salir », que c’est lui qui parle de «- fourberies », de « jocrisses ». de « mensonges», e tc ., on croirait vraiment qu’il écrit ses articles en se m irant devant une glaCe.

J ’ai déjà dit à plusieurs reprises que lesinjures d ’un homme qui se cache derrière des jupons quand on lui enyoie des témoins, n ’atteignent personne, resterait

É t a t c i v i l r d e S e n l i sdu 30 novembre au 7 décembre <904.

Naissances.1", Magnier (Manriee-Panl-Eloi), rue des Corde-

hers, 2. _ . .Décès.

30, Bouvier (Marie-EugénieL 7 w s, demeurant à Baron, décédée a l’Hôpital. .

2. Dslarue (Julie-Atsèae), veuvenouvriète, 73 ans, demeurant à MeUo, décédée i l’Hôpital,

3. Bricogoe (Léoide-Désirée), manouyriète,49 ans 1/2, rue du Haut-Villevert, 4.

6, Drianoourt (Pauline-Adélaïde-Mélaoie), veuve Agry, propriétaire, 71 ans, rue Sainte- Geneviève, 4.

Mariages.(Néant).

Publications de Mariages,Entre Vyncke (GnstaverEngène), manonvrier,

demeara&t de fait à Seali* et de droit à Mogueville (Oise), et demoiselle Huner (Louise-Apoiiioe), sans profession, meurent à Aumont (Oise).

Rapport su r l’Exposition ' ' da Chantilly.

Voici le rapport sur l’Exposition horticole de Chantilly, que nous annoncions dans notre der­nier numéro ;

Les journées des 9, 40 et << novembre<904, seront marquées d ’un signe heureim ____________dans les annales de la Société dhorticu l- I n'otieignent personne. I l ,n e me resterait lu re de Senlis, qui recevait pour la première I j - n j piQg qu’a lai donner la fessée, commefois une hospitalité princiéro dans les dé- ji jamais je le rencon-pendances d u Château : par au torisa tio rde I chem in; nmi» parions qu enMM. les Administrateurs délégués de 1 Insu- éventualité, improbable d ailleurs, iltut, les Grandes-Ecuries nous ouvraient leurs m .y 3 i t demander protection aux «jupons portes, et l’Exposition pouvait sy instaU er, . .y^toire » qu’il vilipende anjourdhui

En s’inspirant des sentiments de bien- “ „%ntrain, , .veillance dont le duc d’Aumale a toujours ^ terré devànt mes témoin»,fait preuve pour les Sociétés de la yilia, l „ QjjteUant prétend s’abriter maintenant MM. les Administrateurs ne pouvaient que derrière M. Lasserre. En même temps, il rendre plus populairt encore, s il «®t P?®- ygut à toute force que jej lui produise un sible, le nom de ce prince si libéral, qui a jg^iigcat d’honorabilité, comme il m a servi

nop eaiionation. laErém ent et 1 a v e - I pgpiiflcat de bonne conduite, qui} a priserand soin, d’ailleurs, de rédiger lui-même — on n’est jamais si bien loué que par soi. — Cette échappatoire est idiote ; mais puisqu il

Commissaire. . , , „Le président fait connailre à la Société

que la clôture du Vélodrome tend à «éder sur certains p o ia tse tàvèrser chez le voisin. Une commissioa composée de MM. Lem- preur, conservateur du Vélodrome et ins­pecteur de la piste, Valentin, architecm, et Brenne, est désignée à l’effet d examiner les dégâts et de prendre les mesures nécessaires pour y remédier. . . .„

Le président fait connaître que trois ca . bines restent inoccupées au Vélodrome, et que la Société aurait avantage à les louer 3onr en tirer parti. M. Lempreur est chargé de prendre toute mesure utile dans ce sens.

M. Brenne, qui avait bien voulu accepter de faire des démarches près de la Municipa­lité pour obtenir le rappel de 1 ®rr*‘f disant aux cyclistes l’usage du troijoir dn faubourg Saint-Martin, rend compte de sa mission. Il dit que la demande de la S®«été n ’a pu être agreée, l’inlerdictien de ce tro l- ta f ra y n té tè V c la m é e par l'Hôpital Géné­ra l, qui appréhende des accidents P®,® *®® vieillards et les valétudinaires dont c est lelieu de promenade.

De plus, la chaussée éjant a**®® souvent occupé par les troupes sortant 4u qnartier pour leurs diverses manœuvres et ie trottoir en question reste ie seul passage des piétons. Bref, les habitants du quartier sont résolument hostiles à cette tolérance.

Dans «es conditions, l’assemblée ne peut que prendre ante de la décision municipale,

E & n , il est décidé q w 1® P™j“ ‘®j |® ?ÿ du mois de janvier tombant le lendemain même du jour de l’àn» la prpritàiu® iéaoô#

de-

P o s t e s e t T é l é g r a p h e » .Avertissement d'enquête.

(Exécntien de la Loi du 28 juillet 1885), L’Administration de» télégraphœ va taire

procéder à l’établissement de la ligne ê le ^ trique destinée à l ’extension du réseau télé­phonique de Senlis. .

Un tracé de cette ligne, indiquant les pro­priétés privées où il doit être placé des sup­porte, restera pendant trois jour»,_ à partir du 9 décembre <90<, à la Maine doSetiÜM, où les intéressés pourront en prendre con­naissance et présenter leur» observation» puréclamation», . >■

Le Directeur de l Oise,Bourdon, j

■ n ..

L’A dm inistration des télégraphes va t o e procéder à l ’établissem ent de la ligne élec­tr iq u e destinée au réseau téléphonique dé-

P '^uSdfcetiiVpriétés privées où i] doit être plaite de» rapports, restera pendant trois jours, à par­tir d u 9 décembre <90<, aux Maine» de Coye, Orry-ta-Villet P l< d lly ,L a C h a p e l^ e J s e n a l , Vaumoise, Ivors, C ré^-en -ya - lois, Boursonne, o^. l®é en prendre connaissance e t présenter fp V f observations ou réclamation».

Le Directeur de l’Oise, Bourdon,

assuré,’par sa donation, l’agrément i n ir de Chantilly. C’est un titre de plus à la reconnaissance de tou» : pour h°}[® nous leur adressons nos plus sincères remer-

“ K * * d a n s le cadre si majestueux des Grandes-Ecuries, la tâche des ®*P®®®® n’était que plus difficile : il* devaient se surpasser et accomplir des merveilles pour que leurs œuvres “ ® P®r“ ® f P®®„ ®” *1®.® par la grandeur architecturale du monument, ils avaient à lulter avec tous les souvenir» oui ornent les lieux historiques, tant de grâces, tant, de femmes g a n t e s avaient pMsé là, dans les réceptioi pompeuras du Grand-Condé, dans les fêtes !>"} ®“ ‘*® .^®ses successeurs I Q“'_® * Ç®®“ ®A*oVnrtB de ce repas fastneux offert dans la Rotonde centrale à P au ll* '? L’Empereur ra croyait dans une sallêmagnifiquemént ornée, quand les tentures, qui fermaient à droite et a gauche les longues galeries, tombèrent toutâ coup, laissant voir 250 chevaux

Suivant de loin ce noble ®*®®ÿ®t}j,®^' mission d’organisation, composé de MM. ca ­mus Lozet (Camille), Ramns, Carreau, Flo- ?M t ®t Gros», sous l’habile d rection de r L o z e t , professeur, et ®«® cohcottrs de M. Prévost (Charles), de Vi- neuil, s’est efforcée, elle aussi, de f®ire son coup de théâtre : en quelques heuresje lle rtran sfo rm é le Manège en un parterre de

“ *Tout d’abord, il est juste d’adresser des renierciements aux personnes qui ont rontri.-

"ÏÏ'pV SÏ'i»». «composé'd® pi®®fe* ^®i'*!® F 4 î® “5}îiserres de M. le paron a Î Ï I p iÀm ilieu d’un groupe de Latania» e t de Phd*

l’attention s’arrête sur un

f a r q u e j e & d e à d e s détails aussi pué^ rils, je rappellerai que mon honorabilité et ma correction, dans les deux affaires auxquelles Lût allusion M. Cas'.ellantjont été auestées par des hommes qui s’apiiellent : Auguste ^atete^Beuve, Honoré Labande Al®. .P 'erro Signard et Paul Bntet. J ’entends bien que l’honorabilité de ces messieurs n’est pas a ta baoteor de celle de Castellant ; mai* eufln, ils jouissent en leur pays d u n e certatee considération, et, dans lajrie do ce monde, il faut savoir se contenter de peu.

Pour le surplus, ceux ^e mes amis qui sont VF’nns me voir ou m’ont écrit pour me conseiller de cesser une polémique qui n m - téresse et ne peut intéresser personne peu­vent être tranquille : je suis ®.*®“ d’accord avec eux que la Iptrsonnalité d un castellant n’a rien d’intéressant, au con­tra ire ; surtout maintenant où chacun doit être fixé sur sa valeur morale , et sur sou mode de discussien consistant à ®® P®‘“ ‘ répondre aux questions qui le gênent et a remplacer les arguments par des injures

°"^L°un éte ines correspondants me donne du Jl...-«>,oi,attanitb>ra.;aDe définition t < Un

13. Une tempe colonne métal argenté.14. Ua éventail en pinme d’antruche.1S Un porte-fleur velours, offert par »• Clair.16. Une bourse velours, offerte par M. Clair.17. Uu buvard-tampon velours, off. par M, Clair,18. Ua porte-brosse, offert par M. Clair. .19. Une hotte vide-poshe, offerte par »• Clair.20. tin service de table, 74 pièces, offert par

M. Henri Mercier. .21. Un bon pour un chapeau, off. par M. Ciruiu,22. Trois marqnes piqnet métal, offertes psT

M. Cagniard. de MorienvaL23. Denx globes oiseaux naturalisés, offerts par

M. Magnier père,24. Un timbre de table.

Un service liqueur, 2 carafons, 12 verres nplateau.

Un coffret à bijoux capitonné.27. Une ménagère 6 usages, métal nickel» »i

cristal.Une botte jeu de dominos.

29. Une statuette porcelaine de Saxe avec sasde bonbons.

30. Une paire de vases artistiques, offerte parM. Bourdillat.

31. Un vide-poche porte-montre.32. Une demi-douzaine porte-conteanx cristai,33. Denx dessous de carafe cristal St-Lpui».34. Un servlca à iiqueur en porcelaine de Saxe.35. Un nécessaire peluche soie ronge. .36. Un bon pour un chapeau, off. par M. can in .37. Un presse-papier tEpagneui, socle marbre)*38. Un encrier émail Louis SV.39. Un buvard-tampon fer artistique.40. Un service à découper viroles argent, offert

par M. Bandeu-Dnval.41. Un porta^mine métal vieil argent.42. Une boite couleurs avec accessoires pour

dessin.43 Un pèse-lettre métal. ,44. Un encrier tonkinois sur plateau meut.45. Une pipe imitatien écume, bout véritable

ambre. , - .46. Un porte-cartes cuir de Russie.47. Uae garniture de bureau.48. Un calendrier perpétuel avr e oarnet-bloo.49. Une ménagère nickelée 6 usages. „ , ,50. Une montre-iemontoir or, off. par M. leUM

de Chartres.51. Une bourse au crochet cordonnet sole,52. Une bourse cuir de Russie.53. Un sac à main marocain anglais.64. Un album. , „ u65. Un éventail gaze soie blanche.56. Un porte-montre ehâlet chêne.57. Un porte-monnaie cuir de RusstA58. Uae boite à allumettes métal vlell»genU 69. Ua service à découper dans un écrin.60. Un porte-cigare à musique, off. par Mlle ne

Monehy, de Gilloctmrt.61. Un porte-monnaie américain. .62. Un bnqnet métal Vieil argrah63 Un couvert à salade Corne bionde.64 Un canif 4 lames manche en nacre.65. Uae boite à mouchoirs velours hrorty.66. Un porte-monnaie véritable écaille.67. Un manche à gigot manche os.68. Un vase porcelame de Saxe flacon extrait

violette. ,69. Un porte-montre-glace biseauté.70. Une table à ouvrage, off. par Mme Picard,71. Une ménagère porcelaine do Saxe.72 Un verre à vin monture métal argenté.73! Un moulin à poivre en métal.74. Un rond de serviette métal argenté inté*

rieur doré.

^ q re rq tS im ï i f tous 1 4 huit jours de son égout, cepieusoment crotté, e t se secoue surles passants. » I , ,

(fest fort bien trouvé etce sera, pour cette fols, le mot de la fin. —! G. V.

CycsB circinàl’is; du cœur même de ses fron­daisons, Tiiie grosse fleur, noii encore ^ a - houie, se développe eu forme de cône. C est la nrèmlérè fois, Dous Atl M- Dura, chef jard in jerau C « , que cétté floraison se pro*

iSous un énorme fîycas revoluta, te* f® plus de 80 ans, des Chrjsanthèm w coapéM d’ùné bellé ’Véniie. lent regïetter 4* a a w t

L’a d ju d io a tle n |d» l’O e tro i.Samedi après midi, à deux heu res il a

été procédé, à la mairie! de Crépy, à 1 adju- dicatiou an plus offrantiet dernier e n c h é r^ senr, à titre de bail é *®™}®* d’octroi municipal de cette vüle, h partir du <M janvier <992 jusqu’ra3 < décembre <904.

La mise à prix était de 25.000 francs.Douze concurrents é trient »« ]?* ro®8*.'M. Labgeois a été déclaré adjudicataire,

pour le pnx de 27.000. franc», w il une auf meniation de 2,()50 ffade* *nr le. chiffre, i

75. Un service liqueurs poroelaiffe Saxe : 6 ver­res, 1 carafe, 1 plateau.

76. Une pince à snore métal argenté.77. Une Veilleuse bronze doré.78. Une lampe porcelaine décoré».79. Un stéréoscope.80. Un couvert argent, off par M. J. Magnier.81. Un coff-et tapisserie.82. Une boite j tu de dèminos.83. Une statuette Saxe avec sac bonbons.84. U n vide-poche-porte-montre.85. Un album peluche pour photographie». _86. Unedemi-donaatae porte-comean erisw .87. Deux dessous de carafe mistal Saint-Imm».88. Un service porcelaine de Saxe. .89. Un presse-papier (Epagnral) sur soein

90. Une douzaine couteaux coma blonde aveoécrin, off. par M. Cardin. .

91. Une lampe,à essence métalaveo almmoir.92. Un .buvard-tamjwn lar artistique.83. Un porte-mtoe métal vieil argent.84. Une boite eoulenr» aveo aceessoires peur

d0 *iQ*95. untêie-à-têteporeelaine,parM.4eMaf»iUai.96. Un pèse-lettre en métal.97. Un encrier tonkineis sur platean aétak98. Un porté-oarte cuir de Rnstie. ^99. Une garnitnre de bn iw i. - _ _

100. Un quart obligation 'Fille de Faris, offart parM. le prince Badzà'wiU.

101. Un calendrier perpétuel avec oarnet Moe.102. Une ménagèn nickelé, 5 usages, m Une bourse crochet cordonnet soia.1D4 Une bourse ouir de Bnssie. -liD6. Un seryioâ à caffi poredaiM* aiftrt par f. MUedelaDôÙye*

Üie Una'bum. • -^ Ua 6»o à mate, m à je M to ^ a y ^

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Page 3: L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1901/bms_js_1901_12_08_MRC.pdfdeck-Rousseau, c qui compte sans doute, a-t-ii ajouté, sur la sagesse de ceux qui ne suivent pas sa politique *. L’extrême

JOURNAL DE læfQ.IS■.i.,..viiii.ii‘iii« ' -fil

UO. Dinx Ublsaox à lltaile, offert* p tf 1 . L H m rd , ff’Orfooy. ■>' U L Un* botts^alInaiettWMtel vieil arim t.

112. Ba eervîM i «eeoper. < tu o s terin. 113^ Un eoomrt à «tlede, corne Uoade.114. Da c u it, 4 leaet, mtÉAe nacre.115. Uaè botta compas pelissenffre.116. Ua pM ^m unei* tériteble ta ille .117. m * b r ^ e t métal vieU e r f ta .118. Ba TsseporeelaiM saxe avec extrait TioletU.119. UtLiuaiishs 1 dget, Buoiebe or.150. Ua b réo » BanêAleoBS, eft. par M. Drn.151.'Uaporte-moiuiale améncala.122 Dm miaaxére poradébie de saxe.133<. Un Terre b via. moatare métal arguté.124. Dn moolia k poivre, r a métal.125. Ua baromètre u ta ïd e .136. Uapoita-aliBmettes-cendrier.dieTaletcbien. 1S7. Daa trodssa traveit.128. Dna pince i sacre, métal argenté.139. Une ehaaffaretie aidLdée. ISO.-UasarTieefameiir, offert par H. le éomte

de Karsaint.131. Un jan de dames, noyer ciré.132 Da dessoude plat.133. Dn pont., , - .134., Un sac i bonbon, jsoie.135. ÜD coassin tissa galonné or.136. Ua saebet b moachoir en soie.137. Un réticale.138' Un plateaa laqne.139. Un cadre, chevalet ponr photographie.140. Une montre remontoir argent, 10 robisj off.

par B ne de la Hante.141. .Un cadre pelacbe ponr photographie.142. Un coffret cigarettes.143. Une veillense brense doré.144. Une lampe poreeTaine décorée.145. Un service liqaear saxe, 6 verres, 1 osra-

Ibn, 1 plat<-an.146. Un stéréoscope.147'. Un jea de dames.148. Un dessou de plat.149. Un sachet b moachoir en soie.150. Uns cave à liqaears thuya cristal, offerte par

H. Henri Ht-nier.151. Un plateaa laqae.152.’ Un réticale.153. Ua sac bonbou soie.154. Un ponf.155. Un encrier fer anistitpe.156. Un coffret b cigarettes.157. Un cadre pelnche ponr photographie. ^158. Un oofh^t parfametie, 3 extraits.159. Un portefeoiUe cair msse.160. Deux tableaox décoratif, offerts par H. le

marquis de l’Aigle.161. Une chanffereite nickelée.162. Un mbnieb cigarettes.163. Une garnitare travail façon cuir, 7 pièces.164. Une table laqnée.165. Un tabouret Loois XV. .166. Un'presse-papier, cheval et Chien.167. Un porte-ailnmettes-cendrier.168. Un rond de serviette métal argenté intérieur

doré.169. un cadre chevalet pour photographie.170., Une glace Saint^bain, offerte par H; le

comte de Bertier.171. Un timbre de table.172. Da enocier émail Louis X?.173 Un porte-montre glace biseauté.174. Une lampe b essenee avec allumoir.175 Dsnx ublesnx façon ivoire sur velours, off.

par >1. Sohngt.176. Une boite à cigareuas laque dessu chinois..177. Un moule à cigarettes.178. Une garniture travail.179. Un presse-papier, cheval et chien.180. Denx tableaux décoratifs off. p. H. Al<ioli.181. Uns boite b cigarettes laiiae dessus chinois. 182 Un coffret parmmerievraielaqus. 4 extraits.183. Un abonnement d’un an an journal rffciio

tipuUieain,184. Un réiicule.185. Un écran pelnche brodé soie.186. Un lot offert non encore désigné.187. Id.188. id.189. id.190. Un fantenil Voltaire, off. par H. Halinbonrg.191. Ua lot offert non encore désigné.192. ié‘193. id.194. id. ,195. Un porte-paraplnie bambon avec glace.196. Un lot offert non encore désigné.197. id.198. id.199. id.SCO. Un bon b lot de 100 fr. du Crédit foncier, off.

par H. Sagny.Il est rappelé qu’il y a SCO carnets de 86

biliett chaque. Il est attribué un lot à cha­que carnet. Le prix du billet est de 0,60 cent.

Vol d'outlie.Chargé par son père d 'aller b Bonrsonne

Chercher des outils qui y avaient été laissés, le flls Jongbloet (Alphonse) apprit, en a rri­vant b Bonrsonne, que le nommé Delahaye (Louis-Napoléon), dit. c Bismarck », flgé de 32 uns, i W i t devancé e t s’était emparé d’une pelle et d’une pioche, qu’il s'est bien gardé de rapporter depuis.

Cette affaire a été appelée lundi dernier en police correctionnella. Delahaye, qui ne comparait p u , est condamné par défaut b trois mois d ’emprisonnem ent

A b o tto lp o de-C pA py.À nim aua abattus pendant le mets

de novembre.B œ u f s . . . . . .................Vaches .............Veaux............................Moutons. . . . . . . . . . . .P o rc s ... . . . . . . . . . . . .

Total.

Etat civil du 21 novaiMbPO au 5 déoambpa.

Naissances, — 20 : Limozin Bené-Aimé-Basile, svaana Beanséjonr. — 25 : Gsgneax Amédéé, ru> Saint-Thomas. — 30 ; Ganlard René-EM gè le. rue de Lévlgnen. — 1" : Vemet, Chris- tian-Hippolyte, rue Saint-Thomas. — 4 : Bonr* son Robert-Alphonse, place de la Répnblique.

Oéeis. — 23 : Martin Antoinette-Fernande, 4 mois.— 29 : Laplace Pierre, 59 ans, rne Saut* Lazare.

PnbKeations de mariages. — 24 : Entra Hngaet'Fernand-Uon,'emêlbyé de chemin de 4 » b Crépy, et JiUe Hieund Harie-GabrleUe, sans probssion b Villars-Saiat-Paal (Oise).

Mariages. — Kiàat.

BETHANCOURTLes Pompiers de. Béthaacenrt fêteront

Sainte-Barbeanjourd’hui samedi.

BETHiST-SAINT-MÂRTINDemain ditnanche, b h a it heures et demie

du soir, bal de Sainte-Barbe, chez H . Mar­tin , bétel dn Grand-Cerf.

Le bal de Saint-Nicolas aura lien le di­manche 45, b cinq heures, bétel Saint- H artia .

BETHISY-SAINT-PiERRELa Sainte-Barbe.

L ’Union musicale d» Béthisy-Saint-Pierre célébrera le samedi 44 décembre, la fête de Sainte-Barbe (patronne des bressiers).

A cinq heures e t demie du soir, banquet dans la salle de la Vieille-Bonteille.

A neuf heures, onverture du bal.Nous avons dit que la fête de la Coinpa-

gnie des sapeurs-pompiers avait lieu au­jourd’hui 7 décembre.

A l’occasion de la Saint-Nicolas, il y aura, demain dimanche, bai b grand orchestre chez M. Tourneur, bétel de la Vieille-Bou- teille. ^

La réunion ouvrière.On nous écrit :Dimanche 24 novembre, b trois heures de

l’après-midi, a eu lieu, dans la salle de l ’bétel de la Vieille-Bouteille; b Béthisy, la € réunion publique corporative et contradic­toire > annoncée, organisée par la Chambre syndicale des ouvriers brossiers et assimilés de Béthisy-Saiot Pierre.

T ont pris successivement la parole : les citoyens Sarouiile, délégué du Syndicat des carriers de Creii; Jules Georges, délégué du Syndicat de la brosserie de Tracy-le.'Mont, e t Ktemczynsky, secrétaire général de la Bourse du Travail de l’Oise.

Plus de cent personnes, tan t citoyens que citoyennes, assistaient b cette réunion.

Le burean était composé des citoyens Che­vreau, de SaiotiUes; Choron (Jules) etZim - mermann, de Béthisy-Saint-Pierre, et Re­met flls, de Béthisy-Saint-Martin.

M. Landigeois, de Saintines, pour témoi­gner sa reconnaissance b la garde-barriére de ’inveau, qui a fait preuve de sang-freid lors de l’accident arrivé b son cheval, lui a fait parvenir une récompense.

Nous espérons que la Compagnie du Nord n ’oubliera pas cette excellente employée et cette bonne inére de famille qui a évité une véritable catastrophe.

FRESNOY-LA-RIVIEREDemain dimanche, bal de Saint-Nicolas,

hûtel du Commerce.

CILLOCOURTLes Pompiers de Gillocourt fêteront Sainte-

Barbe deiûain dimanche.

Demoiselles de Gillocourt et des environs, rendez-vous toutes, le dimanche 8 décembre, b huit heures du soir, chez M“ * veuve Car- rigand, où les jeunes gens, en l ’honneur de la fête de Saint-Nicolas, vous offrent un bal b grand erchestre.

NERYUne médaille d’honnenr vient d’être dé­

cernée b M. Poulain, sous-lisutenant des sapeurs-pompiers de Néry, pour ses longs et dévoués services.

Nos félicitations.

ORROUYLa Sainte-Cécile d’Orrouy,

Nous recevons la commnnieation snivante : Orrouy, le 4 décembre 4904.

Monsieur le Directeur,Nous vous serions obligés d ’insérer la

note suivante :La Fanfare d’Orrouy a fêté la Sainte-

Cécile le samedi 83 novembre. Après avoir assisté b la grand'messe solennelle, où elle fut accompagnée par plusieurs membres houoraires, dont M. Georges Audigier, conseiller municipal de Senlis, tout le monde s’est réuni chez M. Basselier, ponr le déjeuner.

Au Champagne, offert par M. Audigier, deux toasts forent portés : H. Audigier a bu b la Répnblique : u . Gage (Etienne), a en­suite levé son verre b la grandeur e t b la irospérité de notre chère France. Ces toasts ’urent soulignés par les applaudissements

unanimes des convives.Le soir, plusieurs membres honoraires et

actifs, que leu rs travaux avaient empêché de venir au déjeuner, on t assisté au ban­quet, qui fut animé d’une cordiale gifllé ! plusieurs chanteurs ont charmé tout le monde ; aussi ne s’est-on séparé qu’b trois heures du matin.

Comme il n’y a pas de belle fête sans lendemain, on s’est encore réoni le di­manche 84, pour déjeuner, et le soir a eu iieu le bai offert b la jeunesse par la Société. La salle était trop petite pour Contenir la foule qui s’y pressait, e t qui a gaiement dansé jusqu’b deux heures du matin,

La féte a été empreinte, d’un bout b

l ’autre, d’une grande cordialité, e t c’est à regret que l ’ion s’est séparé, en. se. disant : < A l ’année j^ocbaine. >

^ v e d ^ p n e d e signer :On OphieUide b vapeur.

J>.-S— Ce compte-rendu fut envoyé à votre covtrèro J ’Echo r ^ b l i e a i n pa r Son dépbsitaiiè, q u ï ^ f n i de plus atudens^ exécutants, avec l^ssêntim ent de' la "Ftitr fsre ; mais YEeho â jngè b propos d’en eba ig er camplèpunant le sens, comme on a pu le voir sùr son numéro du 4 " dé­cembre. Aussi protestons-neus contre cet article, e t fusons u v o lr que notre Société n ’est, nullem ent politique. Ayant invité tous' nos membres honoraires sans exception^ c’est avec le même empressement que bous aurions reçu ceux qui sont d ’an parti opposé b.eelui de M. Audigier, e t, dans an sens on dans l ’autre, chacun de noos réservant com­plètement «en opinion. _

Agréez, Monsieur le D irecteur, l’assu- rauce de-nos sentiments distingués.

Du fait de ce déraillement, denx trains de ^y ag eu rs furent retardés^ et quinze trains, de marchandises éprouvèrent des retards variaotde cinquante m im tesbdeux heures.. Les avaries au m atériel e t b.la voie sont

peu importantes.

• Le Directeur, A. DdSBSSÀRT.

Le TrÀorier, Godef&ot.

‘ Le Sous-Directeur,A. DaiitJX.

Le Secrétaire,R. Debuvilliz.

Nos honorables correspondants font allusion è' des amèaités que l’Echo avait ern bon de laisser, glisser dans le compie-r^ndn ci-dessns. •

Noos Mlioltons ces messienrs d’avoir refusé d’accepter la resobnssbilité de'-pareils procédés..' Mais ceci h'èmpécbera pas le journal de M. Cbo- pinet d’affirmer, à la première occasion, qne c’est nous qui f»urrens la politique là où elle n’a qùe faire !.. - G. V.

SAINTINESOnnons écrit:Il existe, b Saintines, trois Sociétés sub­

ventionnées par le budget communal :4* La Compagnie dé Sapeurs-Pompiers;8* La Société de Gymnastique et de Tir

la Fraternelle;3° La Fanfare l’Avenir musical.On se demande pourquoi ces Sociétés —

toutes trois très prospère»—■ ne feraient pa» comme celles des pays voisins ; pourquoi ne somnettraient-elles pas, annuellement, leurs comptes au Conseil municipal, comme celaa lieu partout, du reste, pour les comptes de; la Fabrique de l ’Église, du Bureau de Bien­faisance et des Sociétés de secours mutuels f

Un C o n tr ib i^ le . •

Nons avons parlé autrefois d’uni projet d ’instaliation b Saintines d ’une hkhrique de cyanure de potassium.

Ce projet, nos lecteurs doivent s'en souve­n ir, rencontra beaucoup d ’opposition. Le conseil m unicipalde Saintines et les conseils municipaux de plusieurs villages voisins, par des délibérations très motivées, demandaient l'interdiction absolue de la fborication de ce produit, Interdiction qui était aussi deman­dée par les habitants en des pétitions recou­vertes de signatures. Après enquêtes et après avis du conseil d'bygiéne, M. le Préfet de l’Oise prenait un arrêté donnant raison aux opposants.

On pouvait donc croire qu’il ne serait plus question de ce projet.

Aussi est-ce avec surprise qu’on apprend qu’il n ’est nullement abandonné, et qu’au contraire, on s’en occupe plus que jam ais, ce qui est absolument exact.

Une pétition en sa faveur circule en ce moment dans la commune de Saintines « t

bliquê provoquée par ies promoteurs du pro­je t , qui y auraient convoqué députés, conseillers généraux et d’arrondissement, municipalités, se proposant d’y démontrer que le produit qu'ils veulent fabriquer ne présente aucun danger pour la santé.

Un feu de cheminée a éclaté lundi der­nier, b six heures du m atin, au ch&teau de M| Reyre, b Saintines.

Les sapeurs-pompiers de Saintines, Bé­thisy-Saint-Pierre e t Saint-Sauveur, préve­nus, n ’ont pas eu la peine de m ettre leurs pompes en natterie, car le feu a été rapide­ment éteint.

11 n ’en faut pas moins remercier les sa- penrs-pompiers de leur promptitude à porter secours.

TRUMILLYJeudi 88 novembre dernier, un accident

arrivait b la'fabrique de sucre de Beaurain. Le nommé Rappenaut (Louis), ^ é de 56 ans, charretier au service de M. Grimbert, culti- vateor b Trumilly, déchargeait une voiture de betteraves, lorsque le véhicule recula en arriére, et Rappenaut, en voulant le rete­n ir, eut le bras pris soàs cette énorme charge. Transporté de suite chez son patron, b Trumilly, on prévint eu h&te H. l e doc­teur CaiUeux, qm s’v transporta et p ro d ip a ses soins au blessé, lequel avait l’avant-bras gauche brisé et une luxation du poignet..

M. Rappenaut sera longtemps avant de reprendre son travail.

VAUMOISEDeux déraillementst

Le m ardi 86 novembre dernier, b 3 h . 35 du soir, aù cours d’une manœuvre effectuée par le train de marchandises n° 6.809, èt par suite d’un aiguillage tardif, deux 'ura- ;ons dudit train déraillèrent, obstruant les leux voies principales. Le relevage fnt effec-.

tué pa r les agents de la gare et terminé b 4 h . 4/8 du soir. Un train 'de secours, expé­dié de Crépy, pour effectuer le transborde­m ent des vtjyagenrs du train 4.456, arrivant de Crépy b 5 heures, ne fut pas utilisé.

»* • .

Lé.'surlendemain jeudi, vers 4 h. 4/8 de luprês-midi, ;Un wagon d’an train de mar- cha.qdifes chargé de.bois a déraillé dansd»s circonstances an a lo p es , occasionnant un N a r r a s siir la . veie e t un retard assez cpnsjdérable b deux trains de voyageurs, sanfwpiéfois 'causer de d é p ts trè s impor-tanu.

; ï ^ - S A m T E ^ M A X E i r C E

VERRERIE ' ' Accident d u travail.

Le-lÀnevembre, b cinq heures et demie d u iltttin , le garde-frein du train 5070, le nommé Georgea Cordonnier, est tombé de la cabine d e son frein sur la voie ferrée et s’est fait des plaies contuses au genou gauche.

; ; Le médecin de la Compagnie lui a recom­mandé un repos absolu de huit jours.

! L^ Bouquet provincial de Verberit ûU ,5 \Ç lia m p io n n a td eF ra n ce .

Nous extrayons le. passage suivant du compte-rendu officiel de la dernière réunion du Conseil supérieur de la Fédération des Compagnies d'arc de l'Ile-de-France :

; U. le Président. — Ponr 1902, il y a deux demandes ponr le 5* Championnat : la première m’a été faite le joar de la Parade de Béthisy, par M. Radeaux, capitaine de la (3>mpagnle de Ver- herie. qui m’a dit que ses sociétaires et Inl ve­naient a l’instant de décider en principe de re- preiârè 'le Bbuqiiet de Béthisy; cette décision, vous l’avez vu, fut confirmée dans le Fi'ai Che- eaRsrdo 31 mai; — la seconde, du mois de joUMt, émane de 1a Cempagaie de Ylncennes, gui. a-demandé de joindre le (ffiampionnat aa Grand Prix qu’elle offrira l’an prochain b l’occa- iion de son centenaire. Vons avez donc b décider de l’attribution du Championnat, en ayant le soin de ménager b cette épreuve le cadre le plus pro­pice b sa réassite, c’est-à-dire en tenant compte, ainsi que nons en avons parlé déjà avec Cordler, de l’importance des prix offerts et des prix d’hon­neur,, des avantages faits an champion et aax tireqrs Massés, e t enfin des facultés d’accès ponr les cbminodités des tireurs. J’ai écrit dans ce sens b M. le Capitaine de 'Verberie; je n’ai pas encore de réponse b ma lettre du 1“ novembre, mais je vais vous donner connaissance de la correspondance échangée antérieurement.

Le Président donne lecture de ces lettres et Ajoute .une le Conseil ne doit pas oublier que, en dehors des considérations dont 11 aura b tenir compte, 11 y a un droit de prio­rité eu faveur de la Compagnie de Verberie, qui, la première, a réclamé le Championnat.

Les membres du Conseil, consultés, se montrent en principe favorables b l’attrlbu- tiou du Championnat b Verberie, tout en estimant qu’il y a lieu, avant de prendre une décision ferme, d’attendre la réponse aux renseignements demandés par le Pré­sident.

Le,Conseil donne pleins pouvoirs b la Cominlssion de permanence en ce qui con­cerné la solation b Intervenir.

Etat d v i l du mois de novembre i9 0 i .Naissances. —13 : Balny Lnclenne-Marguerite.

— 25 : Racine AUx-Lonise. — 28 : Dumontier Marie;J|ladeleine-Yvonne.

PuMiêations de mariages. — 3-10: Lemaire Basile-Augoste, époox divorcé de Marie-Dsnise- HortèUSe Luc, manouvrier, et Debray Denise, veuve de Goêssens Romain, brossière. tous deux domiciliés b Verberie.

10^17 ; Léger Jean, ouvrier charron, majeur, demeurant b Verberie, et Régnier Alix, coom- rière, mineure, demeurant b Verberie.

MaHages. — 16 : Lemaire-Debray, ci-dessus dénommes.

30 : Léger-Régnier, ci-dessos dénommés.Déeis.-~ 1” : Bontemps Christine-Anaïse, âgée

de 1 mais 19 jours. — 8 : Areelains Philippe, Igé de 79 ans. veuf de Anne-Camille Mielle. — 20 : Montagne Henri-Eugène, âgé de 37 ans, époux de Julienue-Augèle Picard. — 28 : Dumonner Ma- deieine-Yvoune, âgée de 4 heures^

VERNEUILSamedi dernier 30 novembre a eu lieu,

dans la salle de bal de M. Délye, la soirée offerte aux membres honoraires par la Société de gymnastique la Jeunesse de Yerneuil, sous la présidence d ’honneur de M. Berdin, conseiller général, et m aire de Pout-Sainte-Mazence.

Beaucoup de monde avait répondu b l’in ­vitation, car la salle était comble, et nous avonf, remarqué dans l’assistance : H. Beudih, président de la Société de gymnas- tlque;la/««nesse ds Vem euil; M. Perceval,m 4 rp j .M. ,~Noêl, ad jo in t, et plusieurs conuillers m unicipaux; H. et M"* Kock, directeur de l’usine du Trem blay, et M. Bouluois, flls de M. Bouinois, institu­teur b Pont, qui est venu tenir le piane durant la soirée, etc., etc.

Nos jeunes artistea se sent fait applaudir b tour de rôle, principalement MM. Pau- nier, Lucien Heil, Henri Heil, Jules De- vanneaux, Marceau Devanneaux, Darras, etc .,etc .

Tous nos remerciements b M. Sorel, di­recteur de la Société, car c’est b lui que nous’ devons de pouvoir passer d’aussi agréables soirées.

Un assistant.

Arrondissements Toisjns.MONTREUiL-SUR-BRECIijE

One femme brûlAe vive et dévorée par son chien. |

ü u e vieille fémme de 74 ans, M " veuve Dubus, née Joséphine Lefévre, vient de trouver la mort dans des circo: stanbes par- ticuliéremeDt sffreu-es. !

Depuis deux jours, on ne l’avaitjpas vue sortir de chez elle. Mardi dernier, dans l’après-midi, u a voisin, M. Falempin, cor­donnier, alla frapper b sa porte. N’obtenant pas de réponse, il alla chercher une! échelle et ordonna b son fils Edmond d’escalader lé m ur de c'Oture et de se rendre dans les ap­partements de cette femme.

Bientôt, Edmond Falempin pénétrait dans la cuisine; mais il en sortait bien vite, â la vue de l ’affreux spectacle qui s’offrait b ses yeux II ouvrit la grand’porte, et son pére et plusienrs autres personnes pénétrèrent dans la cuisine.

Tombée sous le manteau, de la cheminée, la malheureuse femme ne préseaibit plus qu’un corps informe : la téie, le tronc, les bras et les jambes jusqu’aux genoux] étaient entièrement carbonisés. Le reste du corps, c’est-b-dire le bas des jam bes, le chien même de la victime, affamé par plusieurs jours d’abstinence, était en tram de le dé­vorer. I

Les autorités lobales, prévenues de cette macabre découverte, procédèrent aux cons­tatations d’usage; M. Tourillon, médecin, constata le décès.

La mort de l’infortunée victime remontait b plusieurs jours. Ou croit, en effet, que c’est en rentrant chez elle, le dimanche soir, b sept heures, date b laquelle elle fût aper­çue pour la dernière fois, que ce malheu­reux événement sa prodnisit. Les résultats de l’enquête semblent démontrer que cette m ort est purement accidentelle. On a re­trouvé le porte-monnaie de la victime, avec 0 fr. 55 dedans, dans le foyer de la chemi­née. Aucun désordre ne régnait dans l’ap­partement. La veuve Dubus, qffi vivait seule, n’a qu’un.flls, interné b l’Asllb d’alié­nés de Clenuont.

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334, D â c e m b p e 1 9 0 1 , hiurede midi,

Sn l’audience des criées du Tribunal cM de première instance de Sailis, séimt aa Palais de Justice de ladite ville, rue de la République.

Par suite de la surenchère du sixième, laite au Greffe dn Tribunal civil de Senlis, le trois Décembre mil neaf cent un. enregistrée, déncncée confimnémeur b la Toi;

Et â la reqoête de H. EoiUe Bon- Bamy, ancien pâtissier, propriétaire, Oemeurant b Senlis;

Surenchérisseur;Ayant pour avoué constiiné M* Louis

Iseavy, demeurant b Senlis, 7, ra» deVillevwt;

En présence ou eux dûment ap­pelés de :

1* M. Dnval, propriétaire, demeu­rant è Senlis;

2* Mademoiselle Adèle Duchauf- fonr, propriétaire, demeurant à Seu-

3‘ M. Biaise Encansse, marchand éNCiar, demeurant b Senlis ;

Adjudicataires surenchéris ;Ayant M‘Sainte-Beuve, pouravoué

constitué près le Tribtmal civil de Seidis;

4‘ Madame Juliette-Marie-Antci- nette Saucier, épouse de M. Léon- Stanislas Buat, carrossier, avec le­quel elle demeure è Senlis, route de Crépy, numéro 9, et de ce dernier tant en son nom personnel que pour assister et autoriser son épouse;

6* M. Louis-Alexandre Saucier, pâflssier. et Madame Mathilde-Zélie- Fbilipplne Barsiu, son épouse de lui assistée et autorisée. d>'meiirant en­semble è Senlis, Place Henri IV, nu­méro 17;

Ayant poursuivi la preictère vente;

Ayant pour avoué conshtué M* Sainte-Beuve, demeurant b Seubs, rua de la République, n’ 17;

6* Madaïae ètargaurite-Louise Sau­nier, m iuare émincÿée, épouse de

ph-Ghislain Lepagé, avec lequel elle demeure à Creil, rue Jnles Juillet;

7* M. Napoléon-Joseph-GbislalnLe- page, entrepreneur de menuiserie et de charpente, demeurant à Creil, rue Jules Juillet, tant en son nom per­sonnel que comme curateur b l’éman­cipation de la dame Sander, son érâuse, et pour l’assister et l’auto­riser;

8* Et H. Amédée Bomio, doreur, demeurant à Paris, rue du Cberrite- MiiU, numéro 39,

« Agissantaunometfomme< administrateur ad hoc de la< mineure Lucienne-Léontine « Saucier, è cause de l’oppo- « sition d’intérêts existant en- « tre ladite minemre et U. a Louis-Alexandre Sancier, « sonvpère, nommé â cette< fonction par jugement du< Tribunal âvil de Sentis, en< date du quatorze Septembre t mil neuf eentun,enreipstré;>

Avant poitr avoué eoiistitué^M* Mo­rand, demeurant b Smdis/rne Sbint- Hilalra,n'10; .

n sera procédé, le Mardt mngt-, quatre Décembre m il neuf cent un, heure de midi, en l’audience des criées du Tribunal dvtt de Senlis , séant au Palais de Justice, ru» de la

D ^ i e i M A T l O N

m is e s ”A PRIX VILLE DE SENLIS (Olto).

Article premier.t l a e M a i s o n , sise è Senlis,

rne anx Fromages, numéro 9 bis.Cette maison, élevée sur cave, contr

prend :Un rez-de-chaussée composé de ;

S eût salon, salle è manger, cuisine, enx chambras et cabinet de toilette.Cour couverte et couloirs, dans ies-

3nela se trou'Vent denx'escaliers «on- uisant an premier étage.Un premier étage, divisé en denx

logements : l’un b droite, composé de denx chambres, d’une cuisine et de denx cabinets; l’anUre è gauche, d’une chambre, d’nne salle a man­ger, d’une cnisme et d’an cabinet ; chambre et grenier au-dessus.

Tenant par devant b la rue, par derrière et d’ùn côté' M. Vincent, d’autre eO:é la maison ci-après.

l i s » à p r ix : 1 1 .8 0 0 £r.Article deiaiém e. :

T ln é M a ïso n ii sise b SantiS; même rue, numéro 11, comprenant z ' Aurèz-dA^chbusséh, élevé : so t' èav

vas, un vestibule dans lequel se tron-Rénablique, b la vente aux endtèrea- vanM’eseatier coadaisaat an-premier' pnbliques, sur surenchère et à l’ex- étage et l’escalier de la cave, un lege- tincUon des feux, des immeuMsi d o n t --------- -i-—tadésiguâtiOBinl

.ment composé de deux itiiaœbras, • d’OM lâlle b BMBgéretd’UMeuMiM.

Cour au fond de laquelle hangar aràc^géeuier.

An pfemier étage : deux chambres, aallé a inanger et enisine, grenier au- dessus.

Tient! par devant la rue, par der- rièrefVincait, d’un bout la maison ci-dessias; et d’antre bout les héritiws Saueiaib:. l if i f f à p r ix : B B I O f r .

Article troisième.U b XIAtinistaé sis b Senlis, rue

aux Fromages, â l’angle de la place Lavarande. composé de :

Un rez-de-chaussée élevé partie snr eaves et partie sur terre-plein; étage et.nn grenier.

Le ’tèùt ' servant dé magasin, tient par detrint à la rue aux Fromagrs, pardsrrière: les héritiers Saucier et Madame Mahienx, d’un côté Loron et d’antre côté MSdame Hahieux.

l i n à p r i x j _ 1 .6 8 5 f r .

L’adjudication aura, lieu sons les charges, clauses et conditions du e a h ia r ta ritsrges, qui a été dressé et d é ta é au Greffé pour la première adjudlbation et dent tente personne p t a éh prendre conaalssauee.

Fait et rédigé par l’avené poursal- vaal-eoaasigaé,

Senlis, le 6 Décembre 1901.Aiimé'; Louis E8CAYT.

Sf adresser pour les rensetgnsments : A M” ESCAVY, SAINTE-BEUVE

et MORAND, avoués b Senlis;Et b M’ FERTÉ, notaire à Senlis.

Pour insertion : Signé, Lons ESCA'VT.

Anr. S.Etude de M* Louis ESCAVY,

docteur , en droiL avoué b Sôalis, rue de Vilievert, n* 7

PURGE D’H I P O Ï Ï ^ LÉGiLESSmvant . exploit'de Neuville, huis­

sier b Grépy-en-Valois, en date du sapt Décembre mil neuf cent un;

Et b la requête de la eommime de

ladite commnne;Pour laquelle domicUe est élu b

Senlis, 7, rue de VilieverL en l’étude de M‘ Louis Escavy, avoué ;

Notification a été faite b M. le Pro­cureur de la République, près le Tribunal dvil de Senlis:

De ^expédition d’un acte ftit bu Greffé du Tribunal civil de Senlis, le deux Déodnbre présent mois, enre­gistré, constatant le d ^ t fait audit Greffe par M* Louis Escavy. avoué, de la copie coUatiohuée, tim­brée et enregistrée ;

D’US «IM RÇU pu M' nUéboul,

notaire à CrépyJ-en-Valois. les vingt «t vingt-six Octobre mil neuf cent un, enregistré, contehaat vente par Ma­dame Victorine-jLgathe Pochet, an­cienne blanchisseuse, demeurant è Dovy, veuve de M. Antoine Marchand, et Madame AdMe-Eugénie Pochet, passementière, demeurant b Paris,’ rue Saint-Spire, numéro 8, veuve de M. Joseph Richsiacdt, vente aa profit de la commimej de Duvy (Oise), ce qui a été aceeptâpoar elle par M. Le- hianc, sou maire; sas-nommé ;

D’une parcelle de terrain, en na- tuio de jardin, sjtnée au village de Duvy, prés le Moulin Nenf, d'une contenance de treize ares quarante eentiues d’aprèS le cadastre, tenant d’un côté b ta rivière Sàinte-Marie, an-delb les héritiers Poulet et Le- moine, d’autre dôté le ruisseau de décharge et an-delb la propriété des venderesses et M. Féux Lemoine, d’an bout les héritiers Lemoine. et d’autre bout la riielle Visette; cette parcelle figure an plan cadastral de ta commune souk le numéro 173 de ta section A; j

Moyennant le prix principal de deux mille francs, oa tn ies charges;

Aveo déifiarati|>n b M. le Procureur de ta République : I

1* Que ladite notification lui était Taité, én' oonlbnnité de Fartiele 2,194 du Codé av il.ji»aa q ^ ail b ®reu; f ^ d i u lé UMbldé (taux nota, !

partir de ce jour, sur l’immenble vendu, telles inscriptieas d’hypo­thèque légale qu’il aviserait, «t que faute par lui de ce féire dans ledit délai et icelui passé, rimmathle- dont s’agit passerait et demeure- . rait entre les mains de 1a commune

' S* Que les anciens outra les venderesses, étaient :

M. Iflctor-Joseph Pochet et dams Joséphine-Lonise Bouvet, sa femme;

M. Antoine-Athanase Dhnn, m t- nouvrier, et Marie-ltictoire CaiUeux, safetume;

Madame Geneviève-Elisabeth CMl- leux, veuve de M. François-Etinha Launé;

M. Vietor-Athauase Cailleux, sas- seim, et Hyacinthe Brûlant, sa fnnme;

Et Madame Marie Bouvier, veuve de M. CharlemagneCaiileux;

3* Et que ne oonnaissant ^ tons ceux du chef desquels il ponmdt être pris des inscriptimis d’h y ^ thèques légales, ta requérant» ferait publiw ladite notifleation emffinnê» m ott b'ta hti. - , v ;

Ponrlnsenfcqi:. ' S ipynC T SG E Y T ,'■

Page 4: L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1901/bms_js_1901_12_08_MRC.pdfdeck-Rousseau, c qui compte sans doute, a-t-ii ajouté, sur la sagesse de ceux qui ne suivent pas sa politique *. L’extrême

}QtJIffîÀL DE-SENLIS

Juki. S./II-i.C A iiiiia ),O T «né]

J . S k Cleriioit (OU»}: ” } MAHUN) BOtein k

( Me«jr(OU»).

V iN T E SUR U d T A T lO NDB

Sept Pièces de Terre’ P R É & B O IS '

« M f «SX M R o in d tlk lA G N T *SOE'THÉRAIK,

tnw dU »»«w td»S «BlU,AIHjT, BORT »t HBroAWTILLE,

tiroBiUg»mMt i ( Qemont.

L’tdiadUttioB t o n lien 1» ,B lw u ie h e B 9 O éeem br*

é i m u lu K n t i î r a t t é t ,Ea l’EtBd» et par le BioUtère de ■' MABTni, notaire k Mcay,

oftwkmU à €6t ^tote

d é s i g n a t i o n1* Qiatra ares dBqaante-BeDf ceii'

tUra» de terra, terroir de B aU D r

eber.fonmil, cabineU, Uraito.^ais» eoar, vacherie, buanderie, lapinieres, '^e id l.

ïaro traveraé par un eoore d’eau itomant.dung. '

Le tout, d’une contenanee, y eom- pris l’emplaceinent des bàiimenu, de troisbeetaresTingt-sept ares soixante-dix-neuf eentfares, clos de murs et de p la g e s , et tenant d’un coté Bar­bier, Proibato et autres, d’autre c8W Béstrées et la commune de Bailleval, d’un bout la route de Bdtbeneenrt- Saint-Nlcelas k Labruyère, d’autre bout en Âemin.

Mise k prix: 35.000 fr.U N B O I S

dit la Coupe de l’Aliée des Cbar- miUes, sis k Labruyère, canton de Uancourt, d’une contenance de seize | 1 beetares quinze ares trente-sept cen-1 tiares, tenant d’un côté les coupes de l’Auy, de la maUon du garde et du ehâpeau séparées par un ebemln, d’antre cO té^ le it^o lre de Catraoy,

m tbérain. lien dit la Colline, ^ n a ît d’nn eOlé pluaienrs, d’autre eOté venve Caudiots et Banssed ïïà b ^ Tassart, Prance, d’autre bont Fréroat (Jean-Marie).

M isa i p r ix : 30 ir.9» Sept ares soixante-dnq centiares

de terre, même terroir, ben dit le fend de Pérel, tenant dun rtté Irouard, d’autre côté piusieun, d’un bout la route de Meny i Pérei, d au­tre bout un inconnu.

Mise i prix : 13 Ir.3* Cinq ares soixante centiares de

bois, terroir deBalagny-snr-Thé^, lieu dit le fend de Pérei, tenant d’un eôté Bastard-Pasamery, d'autre côW plusianrs, d’un bout Bementrenii, rau tre bout plusieurs.

Mise k prix : 6 fr.4* Irente-neuf ares quatre-vingt-

eina centiares de terre, même terroir. Km dit le Hetit Franlay. tenant dun eôté Besnosse, d’autre côté plusieurs, d’nn bout Besnosse, d’autre bout Trouart.

Mise k prix i 330 fr.

de ■* tA » T I-B B « T B , avoed U i a ^

VENTE SUR U O TA T IO Nàjj PLUS orraAST

IT DEBRIBB BNCUéBISSEDBPB : r om

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MAISONHÊMB VllUI

.aede la République, n’ 107, aetnellement rue de Jeu d’Arc;

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MAISONUÊHI V1LI.B

rue de Mogent, n‘ 8; '4* IT SI lu'aatre coie leciemiuire uo uswuwji

iNeuf Pièces de TerreP R É & J A R D IN I Mise k prix: 8.000fr.

Sises terroirs de i —-IHOHTATAOX et Noosm-Lis-Tittsis. I faculté DE RÉUNION

L’adjudication aura lieu le I fa O ritu r powr tout rtnu ifu tounU :D im au n c h e » » D é c e m b r » j,. gdicharD, notaire, dé­

positaire du cahier des charges et des titres de propriété.

U tu p ÉTVtE

A T m Om à l ' A n a a M e |

Maison de RapportA P A R I S

raePaseal,n*89 atruedes Cerdelikres, | n> 84

(13' arrenfUssement).

llRllE dTVDK

MÊME ÉTBDE

d deiw heuru de rOttie,En la Mairie de Hontktalre,

Par le ministère de M* Bisabib, Betabm k Creil,

commis k cet effet.I , B O !V F O N D SS’odreMcr peur Ut ren tiignm tn tt : I S e ller ie - B ou rrellerie,

1* A M’ SAINTE-BïBTB, avoué kSenlis, poursuivant la vente ; , - _

2- A M- MORAND, avoué k SenUs, | présent k la vente ;

3’ A M* DISABIK, notaire k Creil, [dépositaire du cahier des charges

S’adresser k M'DANGER, notaire kl oiSI

IlilSOH BOORàEélStA d R X f f X i I »

rue des Cerdeliers, n* 7.

Itodede M? flBXÉ, notaire k S « B , | m e ,B e ll^ n * U .

\A .M m u 0 r m r À s n ié |M e |

CbusetrèsliflieieiisfTerritoire de SENUS.

I Etude de ■* DELAUNAY, notaire' k Senlis;

^ Q i Q E y a B E B t o BPour U fJon tU rproehain ,

|M4IS0N BOURGERISEIA S É N Ù S

me Saint-Etienne, n* 2, d 300* de la gare,

Avae JARDIN et LAVOIR bordés par la Nonette.

a Vtndre par Adjudioation..''^EaR'Utii,.

\ avec (kcullé de réunion, un •

i J A F l I D I NPlants d’arbpaé frulflém

ef eloi de murs.Sis k NANTROIL-l-R-BAIIDOinN,

Csntenant 1 B ares A O cent.,En l’Etude et par le nunistère H' MABDBUcr, notaire k Nanteuil-

lé-Hattdoubi,I le jm d red i to Dicmbrt, à ih tu r tt .

Etude de M- THIROIIIN, notaire k Aey-^n-Mnitien.

mAh e Atv b e

iT OMnaa. * HWren, 4 Frénan, I Hariclap, 1 Aaaala,

20 Dplaarda,‘ «t

Coupe de TaillisIa tout situé territoires de PontroiiR

et Rôiibvàl

A v end re n n x encliè resSur la i lieux et par Iota,

Par le ministère de M* Richàbo, notaire;

Lt Bimanekc 1S Dittmbrt JiOJ, Mure de midi.

Dans la même maison on trouve le choix dé piuiieurs systèmes de Calo- rilères i pétrole, de Cheminées genre faïence l iMriques réfraotaires. de Ca­lorifères, de Cuisinières en fonte et de fourneaux toie et fonte, petits Poêles depuis 3 francs. *S0

A L’a n u n u

Etude de M' BAUDON, notaire au Plessis-Bellevile.

A Vendra par Adjodieafloii U B im o n e M t D ie m b r e tSO t ,

A Mua Mures,A Silly-la-Loug,

an la iiUe d'Eeole des Ouçona,10.000“ de Terrain

propre kbktir au au Jardlnaga, . , mIsRués k ACT-EN-MHLTiffli, route M g Pièccs de Tcrrc

de Rosoy, et é lu d a n t de la ferme d’un B u.

Etude M* PILLEBODT, notaire k crépy-en-Valois.

liT Ê R lE L DE CULTURE8 Chevaux, 8 Vaahaa,

[ A Vendre par Adjudication PU SUITE DE CESSkTiei DE CULTURl I Appartenont d P«W«9*“

' AROCQDEMONT ' de Part».

A D J B D I ^ A T i O I VLa 16 Déaambpa 1901,

é une Mure,A A ey (Olse)i

en l’Etude de H’ THiBOUut, notaire,

199 ORMESC H Ê N E S e t P E Ü P IJ E R S

En 8 Lata,

5’ Etc,

Cas immeubles dépeudent de la de M. Adolphe-Vendredi

Prévost, en son vivant demeurant k Monf, et la vente en a été ordonnée par Jngemuit du Tribuual dviT de 0 OTont(Oise), en date du quatorze A o û t ^ neuf cent un, enregistré et signifié. -

La, loi du vingt-trois Octobre mil h u it’ cent quatre-vingt-quatre est applicable k cette vente.

Le cahier des charges, clauses et eonditioBS auxquelles aura lieu l’ad­judication est déposé en l’Etode de M'Martin, notaire k Mony (Oise), où ehaonn peut en prendre connaissanoe

Fait et rédigé par l’avoué sous-

en la ferme de M. Praquik, le Bimaneht » l Diembre 1101,

à une heure précise.Par le ministère de M' Pillebobt,

notaire k Crépy-en-Valois.Pour ie détail, to ir Ut affiehet. 614

A diermont, le cinq Décembre mil neuf cent un.

Signé : E. CAllXARD.Et enregistré.S’adresser pour les renteignementi :

A M’ CAILLARD, avoué k Cier- mont(Oise); „

A M’ MARTIN, notaire k Mony (Oise).

Four msertion :Signé : E. CAILLARD.

AST. 4.Etude de M' Paul DELAPOHTE,

licdiicié 6E droit » ftvoué à Sonlis p me de la RépubUque, n’ 22.

S é p a r a t i o j a d e B i e n s ,

D’nn jugement coatradictoirement rendu par le T/ibunai civil de Senlis, le quatre Décembre mil neuf cent un, enregistré ;

Entre Madame Blanche-Gabneile GÉEl»,-épouse de M. Anatole Godb-_ lah, manufacturier, avec lequel elle demeure à Neniiiy-en-Thelie,

Demanderesse;Et l ’ M. Gouriand, ci dessus nom­

mé: 2* et M' Morand, aveué, au nom et comme liquidateur judiciaire dudit sieur Gourlan, Défendeurs;

D résulte que Madame Gourlan a été déclMée séparés de biens d’avec son mari.

Pour extrait :Signé : PAtm DELAPORIE.

Abt. 5.ubih» de M’ BEADCHAMPS, notaire k

Pont-Sainte-Maxence.

Suivant acte reçu par M* Beau- champs, notaire k Pont-Samte- Màxence, le vingt et un Novembre mil neuf cent un, enregistré, M. et Madame Aoav, de Pont-Sainte-Ma- xence, ont vendu k Madame Lanoa, de Chantilly, ie fonds de commerce de marchand de vins, limonadier, restauntRur 6t msltro d notsl, QU ils font T*loir à Poni-Sainie^Maxence, dans ttue maisoB sise audit lisu, rue d’IusTue. dite des Vendredis, u 20, a l’enseigne « Hôtel du Lien d Ar­gent », moyennant ie prix et sous tes charges et conditions mdiqués enl’acte. . ,

Entrée en jouissance fixée au pre­mier Janvier mil neuf cent deux.

' Domicile élu en l’Etude dudit M*Beauebamps. .

Pour msertion.A. BEACCHAMPS.

ABT. 6

Sfflde de M’ DHBRBE, huissier k P o n V S a^-R » en 6 9

Suivant écrit sous signatures pri­v é» en^date k Pont Sainie-Maxence da quatre Décembre mil neuf cem n n ,¥ . et Madame TuoNinsB, de Pont- Safnte-Maxence, ont vendu a M. et Madame Sabooms, eCreiI. lefonde de commeime de «tiAffb RiApelor êt iRAFcnAiio qa

vin», qtfil» l t v m t'

i Marges et eonditiens icdiqués audit

**DÔmiclle élu en l’Etude de M’ Dherbe. pom insertion!

DHERBE

Etode de M* PILLEBODT, notaire k W py.

197 CHÊN8S, 128 BOÜIMUXET TREMBLES

et laCoupe de Taillis

sur A hectares environ,situés dans

L es B o is de L éT ignenA v e n d r e p a r a d ju d ic a t io n

le Samedi t s Décembre ifOI, à deux heures,

I A Cbépi-bn-Valois,En l’Etude et par le mimstère

de M' PiLUBOOT, notaire ‘

de Paris,Et sis sur le terroir de BOÜILLANCT,

canton de Betz (Oise). SOS

Très grande GrangeA USAGE DE MAGASIN

Sise rue du Heaume. S’adresser k M. RIVIERRE-HAVY,

3, rue du Chanceiier-Guerin. 4SI I

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Etudes de t douin;I BADDON, notaire au 1 Fiessis-Beiieviile.

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rue du Faubourg Saint-Martin, h* ff7.

MÊME ÉTUDE

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G rande PR O PRIÉTÉ

Etude de M* LOMBOIS, notaire k Préey-snr-Oise.

A Vendre par AdjBd'ieafionPerlet»,

Le Dimanche iS Déetmbre 1901, d une Mure,

l i A C R O U P E

B O IS T A IL L ISA faire sur 1 hectare environ,

lieu dit Les fistoUts,Terroir de PRÉCY-SUR-OISE

appartenant k M" Gbbvàis

Réunion sur les lieux.

S’adresser audit M' Loubois, notaire.

situées terroirs de Sllly-la-Long, Ple»»l»-Bellavllla,

Ognas, Nanteuil-Ie-Haudouln, Montagny-Sainte-Féilelté at En- manonvilla.

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iiérs, parC.G. — Eleetricitéatinos- phéri^e, par'P . Cceutdevadie. j Pyromètre k air Bristol, psr P. de M. • Lek horloges publiques, par Jéén Vézy.—Lé Transsibérieu, par J .-f .G. — ChroniqM. — Académie des sciences; séance du 25 Newahre 1901, par Ch. de TilledeaH. — Con­cours d’aviation, par N. Dsniza. - - Ce numéro contient 10 gravures et le bulletin météonriogiqne de la se­maine.

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Etude da H* MÉZIÈRE, notaire k ^ te .

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A Vendra par Adjudieation Le s Décembre, à deux heures.

En la Mairie d» Bonrsonns,Par le ministère de M* MÉziiu,

notaire k Betz.ukxi étupiI A W e n d m e à V A t n i a U e | Etude de M’ D E S ^ ;n o ta ire k Creü

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rue du Faubourg-Saint-Martin, n" 43 et 45,

rue de i’Epée et rue Qnémiset. fA 1 kil. de la forit ie ChantillÿJ.

Etude de M' FÉIIZOM , notaire k Senlis.

Maison BourgeoisevBtioHMimi'Pt.aécoBéz ;

avoo

mEmx étu d b

A T « R d i« à r A m i a U e

Maison BourgeoiseSise k BORAN, m e da Four.

Etude de M'BALEZEADX, notaire i k Chantiiiy.

A Vondre par AdjudieationEn l’Efflde et par le ministère

de M* BaiÀzxàcx, notaire k Chantilly, le Samedi V Décembre 1901,

à dix heures du matin, r üHB

Maison de RapportSise k CHANTILLY,

Avenue de la Gare, n* 23,2* DM

ÉTABLISSEMENTDE CHEVAUX DE COURRE

SiskCHANTILLY, me de La Chaussée

A D J t r o i C A T I O NEn l’Etude et par le ministère

de M' Desxbib, notaire k Creil, Le Dimanthe 1S cécmbre 1901,

à dix heures du malin.D’DM

D d l A X S O ' NSituée à C r e i l ,

Quai d’Amont, numéro 4.

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iüUiML Dl L’AGglGULtUâES O M M A IR E

JOURNAL DE L’AGRICULTURE - Rédacteur en chef: Henry Sâqbisb.— MxséosetC", éditeur, 120, boulevard S’-Germain, Paris. — Dn an, 20fr.— Sommaire du n' 1828. dn 30 Novem­bre 1901. — Henry Sagnier. Chro­nique agricole. — Wagner. La ri­chesse des pommes de terre pour ie bétail. — Pouiiiet. Droit rural. — H. S Le jubilé de M. Bertheloi(l fig.). — Blivière. Les champs d'expériences en Sûne-st-Oisa. — Despiez. Expé- rieuMS sur les betteraves k sucre. — Partis officielle. Décret sur les terri­toire phjlioxérés. — Gaudot. Expo­sition d’aviculture à Paris (2 fig.). — Tonnei. Les blés et les avoines du canton d’Orchies. — Sagnier. Congrès viticéies à Lyon. — Marsais. Société nati^iale d’agricnltnre. — Remy. Revue commerciale. — Boite aux lettres.

pm- M . F IR O N , oharrom A R ally , dem ande n a oa- w iep eéplenz. 496

«mê M . GENCE, eharon- |liep à Semli», dem nade un apprenti, 497

»*> M . É A É R E N T , quln- catllter à Senll», demiuade nn jenne hom m e aortauit d’apprentUBape, 496

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A partir du 18 Novembre 1901, la PHARMACIE CENTRAL^ sera dirigée par 3VX» X - I . B S A Q E I , Pharmacien ^e i’Ecole Supérieure.

3V i. t : a l’honneur d’informer les malades qu’ils auronttofljours chez lui des werficamenW de qualité, au mépte p r ù que dans le» grandes Pharmacies de Paris,

InregiitréèStsUi,Reçu