Ademe - InfoTerreinfoterre.brgm.fr/rapports/RR-39703-FR.pdf · 2008. 1. 17. · TBC de la marque...

Société de Géothermie de Sucy en Brie - S O G E S U B7 et 9 rue Cambronne75739 Paris Cedex 15

Ademe

TéléSuivi des opérations géothermiquesde la région parisienne

Opération pilote de Sucy en Brie

Rapport final

H. Lesueur, F. Jaudin

août 1997R 39703

BRGMl'INTBIPlUll AU ItUVKI Dl LU HBB1

TéléSuivi géothermique de la région parisienneOpération pilote de Sucy en Brie - 1996-1997

Mots clés : Géothermie, Bassin de Paris, Télésuivi, Dogger

En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante :

Jaudin F., Lesueur H. (1997) - Télésuivi des opérations géothermiques de la régionparisierme. Opération pilote de Sucy en Brie. Rapport final.

© BRGM, 1997, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l'autorisation expresse du BRGM.

Rapport BRGM R 39703


Mots clés : Géothermie, Bassin de Paris, Télésuivi, Dogger

En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante :

Jaudin F., Lesueur H. (1997) - Télésuivi des opérations géothermiques de la régionparisierme. Opération pilote de Sucy en Brie. Rapport final.

© BRGM, 1997, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l'autorisation expresse du BRGM.



Avant-propos

La présente étude s'inscrit dans le cadre d'un projet de réhabilitation du réseau TéléSuivid'acquisition et d'archivage des données d'exploitation du réser\'oir Dogger dans lebassin de Paris.

Ce projet se présente globalement en trois phases :

- Phase 1 - Diagnostic des installations, (Rapport BRGMR 39449 d'Avril 1997).- Phase 2 - Opération Pilote des test des différentes solutions de remplacement,- Phase 3 - Remise à niveau des équipements.

La présente étude correspond à la phase 2.

La mise en place et le suivi d'une opération Pilote sur le site de Sucy-en-Brie a conduit à

la mise en place de deux conventions entre la SOGESUB (Société de Géothermie de

Sucy en Brie) d'une part et l'ADEME ^ et 1'ARENE2 - Ile-de-France d'autre part.

La réalisation des travaux a été confiée au BRGM/CITEG^ , avec ¡'appuis sur site de laCFG4.

Pour la Phase 3, les conditions et moyens de la remise à niveau des équipements serontdiscutés et établies entre les différents partenaires (ADEME, ARENE, Maîtresd'ouvrage, etc.), à l'issue des deux phases précédentes.

' ADEME: Agence de l'Environnement et de la Maitrise de l'Energie2 ARENE: Agence Régionale de l'Environnement et des Nouvelles Energies^ Le CITEG (Centre d'Information Technique sur l'Energie Géothermique) est un service du BRGM,rattaché au Centre de Gestion des Données Géologiques et Géophysiques (C3G) du Service GéologiqueNational.^ CFG: Compagnie Française de Géothermie

Rapport BRGM R 39703 3


Avant-propos

La présente étude s'inscrit dans le cadre d'un projet de réhabilitation du réseau TéléSuivid'acquisition et d'archivage des données d'exploitation du réser\'oir Dogger dans lebassin de Paris.

Ce projet se présente globalement en trois phases :

- Phase 1 - Diagnostic des installations, (Rapport BRGMR 39449 d'Avril 1997).- Phase 2 - Opération Pilote des test des différentes solutions de remplacement,- Phase 3 - Remise à niveau des équipements.

La présente étude correspond à la phase 2.

La mise en place et le suivi d'une opération Pilote sur le site de Sucy-en-Brie a conduit à

la mise en place de deux conventions entre la SOGESUB (Société de Géothermie de

Sucy en Brie) d'une part et l'ADEME ^ et 1'ARENE2 - Ile-de-France d'autre part.

La réalisation des travaux a été confiée au BRGM/CITEG^ , avec ¡'appuis sur site de laCFG4.

Pour la Phase 3, les conditions et moyens de la remise à niveau des équipements serontdiscutés et établies entre les différents partenaires (ADEME, ARENE, Maîtresd'ouvrage, etc.), à l'issue des deux phases précédentes.

' ADEME: Agence de l'Environnement et de la Maitrise de l'Energie2 ARENE: Agence Régionale de l'Environnement et des Nouvelles Energies^ Le CITEG (Centre d'Information Technique sur l'Energie Géothermique) est un service du BRGM,rattaché au Centre de Gestion des Données Géologiques et Géophysiques (C3G) du Service GéologiqueNational.^ CFG: Compagnie Française de Géothermie



Résumé descriptif et principaux résultats

Cadre du projet et objectif

Le projet s'inscrit dans le cadre de la réhabilitation du réseau TéléSuivi d'acquisition etd'archivage des données d'exploitation du réservoir Dogger dans le bassin de Paris. Lescentrales Acquitel (Napac) d'acquisition de données sont en place depuis une dizained'années et leur remise à niveau (maintenance, réparation) n'est pas toujours possible et

serait probablement plus coûteuse qu'un remplacement par du matériel plus modeme et

plus performant. Après une première phase du projet durant laquelle un état des lieux a

été dressé, une solution pour la modernisation des équipements a été proposée. C'est

cette solution qui fait l'objet de l'opération pilote à Sucy en Brie.

L'objectif général du Télésuivi est maintenu, à s'avoir l'acquisition homogène des

paramètres d'exploitation du réservoir en tant que ressource commune, complété par laconservation centralisée et la mise à disposition des données.

L'objectif de la présente phase Pilote est d'évaluer et de définir de nouvelles prérogativestirant parti des nouvelles capacités des matériels modemes; notamment en terme de

performance et de convivialité pour les utilisateurs sur site.

Installation pilote

Les travaux réalisés durant la phase pilote ont principalement porté sur :

- L'expérimentation des nouveaux équipements sur le site de Sucy en Brie.- La prise en compte de ces nouveaux équipements pour l'acquisition et l'archivage

centralisé à Orléans (aménagements logiciels).

Après une étude des options commerciales disponibles et en s'appuyant sur le constat dubon potentiel des capteurs déjà implantés sur les différents sites géothermiques dubassin parisien, il a été décidé de tester en priorité une centrale d'acquisition de typeTBC de la marque Napac.

L'implantation par CFG (Compagnie Française de Géothermie) de la centrale TBC enremplacement de la centrale Acquitel a eu lieu à l'automne 1996. Dans le même temps,il a été décidé du remplacement des capteurs de température (sonde Pt-1000) par des

sonde Pt-100 qui sont moins sensibles aux perturbations et qui présentent l'avantage depouvoir être connectées à l'aide d'un câble à deux fils au lieu d'un câble à trois ou quatrefils.



Résumé descriptif et principaux résultats

Cadre du projet et objectif

Le projet s'inscrit dans le cadre de la réhabilitation du réseau TéléSuivi d'acquisition etd'archivage des données d'exploitation du réservoir Dogger dans le bassin de Paris. Lescentrales Acquitel (Napac) d'acquisition de données sont en place depuis une dizained'années et leur remise à niveau (maintenance, réparation) n'est pas toujours possible et

serait probablement plus coûteuse qu'un remplacement par du matériel plus modeme et

plus performant. Après une première phase du projet durant laquelle un état des lieux a

été dressé, une solution pour la modernisation des équipements a été proposée. C'est

cette solution qui fait l'objet de l'opération pilote à Sucy en Brie.

L'objectif général du Télésuivi est maintenu, à s'avoir l'acquisition homogène des

paramètres d'exploitation du réservoir en tant que ressource commune, complété par laconservation centralisée et la mise à disposition des données.

L'objectif de la présente phase Pilote est d'évaluer et de définir de nouvelles prérogativestirant parti des nouvelles capacités des matériels modemes; notamment en terme de

performance et de convivialité pour les utilisateurs sur site.

Installation pilote

Les travaux réalisés durant la phase pilote ont principalement porté sur :

- L'expérimentation des nouveaux équipements sur le site de Sucy en Brie.- La prise en compte de ces nouveaux équipements pour l'acquisition et l'archivage

centralisé à Orléans (aménagements logiciels).

Après une étude des options commerciales disponibles et en s'appuyant sur le constat dubon potentiel des capteurs déjà implantés sur les différents sites géothermiques dubassin parisien, il a été décidé de tester en priorité une centrale d'acquisition de typeTBC de la marque Napac.

L'implantation par CFG (Compagnie Française de Géothermie) de la centrale TBC enremplacement de la centrale Acquitel a eu lieu à l'automne 1996. Dans le même temps,il a été décidé du remplacement des capteurs de température (sonde Pt-1000) par des

sonde Pt-100 qui sont moins sensibles aux perturbations et qui présentent l'avantage depouvoir être connectées à l'aide d'un câble à deux fils au lieu d'un câble à trois ou quatrefils.



Dans un premier temps, la centrale a été programmée pour offrir les même lesfonctiormalités que la précédente centrale Acquitel. Petit à petit, les paramètres de

fonctiormement et les réglages ont évolués pour aboutir à une définition qui devraitconvenir à la plupart des autres sites géothermiques du bassin parisien.

Principales conclusions

En définitive, la mise en oeuvre puis l'exploitation pendant près d'un an d'une centraled'acquisition TBC sur un site géothermique ne semble pas poser de problème particulier.Le seul et unique incident durant la phase pilote est imputable à la piètre qualité de ladocumentation qui, lors du changement d'horaire printanier par l'exploitant, a entraîné laperte de quelque jours de données.

L'intégration des TBC dans l'actuelle réseau TéléSuivi s'est fait sans rencontrer de

difficulté notoire et l'archivage centralisé des données est parfaitement opérationnel. Onpeut même envisager de réduire la fréquence des appels nocturne (actuellement tous les

2 jours) en raison de la profondeur mémoire des centrales d'acquisition (près de 2

semaines).

Ce choix de matériel est donc adapté. Les fonctionnalités techniques offertes sont en

effet conformes aux besoins exprimés. Seule l'offre d'accompagnement de Napac(logiciels, modem, ordinateur) mérite d'être revue ou complétée afin d'apporter auxutilisateurs occasionnels ou mal familiarisés avec ce type de produit des outils de

consultation et d'exploitation des données à la fois simples et d'un coût acceptable.

Bilan des actions

Le matériel TBC de NAPAC ainsi que les capteurs Pt-1000 qui ont été implantés à Sucyen Brie, ayant donnée entière satisfaction, restent en service sur le site en remplacementde l'ancierme centrale d'acquisition Acquitel.

Les outils logiciels développés ou mis à niveau sont parfaitement opérationnels aussibien en ce qui concerne l'archivage centralisé qu'en ce qui concerne une éventuelleutilisation "individuelle".

L'intégration dans le dispositif TéléSuivi a été réalisée en respectant les règles en

vigueur. Ainsi, les procédures ont été développées de manière a pouvoir être aisémenttransférable.



Dans un premier temps, la centrale a été programmée pour offrir les même lesfonctiormalités que la précédente centrale Acquitel. Petit à petit, les paramètres de

fonctiormement et les réglages ont évolués pour aboutir à une définition qui devraitconvenir à la plupart des autres sites géothermiques du bassin parisien.

Principales conclusions

En définitive, la mise en oeuvre puis l'exploitation pendant près d'un an d'une centraled'acquisition TBC sur un site géothermique ne semble pas poser de problème particulier.Le seul et unique incident durant la phase pilote est imputable à la piètre qualité de ladocumentation qui, lors du changement d'horaire printanier par l'exploitant, a entraîné laperte de quelque jours de données.

L'intégration des TBC dans l'actuelle réseau TéléSuivi s'est fait sans rencontrer de

difficulté notoire et l'archivage centralisé des données est parfaitement opérationnel. Onpeut même envisager de réduire la fréquence des appels nocturne (actuellement tous les

2 jours) en raison de la profondeur mémoire des centrales d'acquisition (près de 2

semaines).

Ce choix de matériel est donc adapté. Les fonctionnalités techniques offertes sont en

effet conformes aux besoins exprimés. Seule l'offre d'accompagnement de Napac(logiciels, modem, ordinateur) mérite d'être revue ou complétée afin d'apporter auxutilisateurs occasionnels ou mal familiarisés avec ce type de produit des outils de

consultation et d'exploitation des données à la fois simples et d'un coût acceptable.

Bilan des actions

Le matériel TBC de NAPAC ainsi que les capteurs Pt-1000 qui ont été implantés à Sucyen Brie, ayant donnée entière satisfaction, restent en service sur le site en remplacementde l'ancierme centrale d'acquisition Acquitel.

Les outils logiciels développés ou mis à niveau sont parfaitement opérationnels aussibien en ce qui concerne l'archivage centralisé qu'en ce qui concerne une éventuelleutilisation "individuelle".

L'intégration dans le dispositif TéléSuivi a été réalisée en respectant les règles en

vigueur. Ainsi, les procédures ont été développées de manière a pouvoir être aisémenttransférable.



Principales recommandations sur les caractéristiques du (futur) dispositif

Les principales options de fonctiormement qui doivent être retenues (en plus des

fonctions de base) pour im cahier des charges de remplacement de toutes les centralesd'acquisition sont les suivantes (liste non exhaustive) :

Options nécessaires

Console Minitel

La console Minitel a été préférée comme interface de consultation des données sursite aux autres options plus sophistiquées. La simplicité et la rusticité compensentlargement les modestes performances.

Deux bases de temps en simultané

Il a été constaté que deux familles de dormées présentaient un intérêt :

1) L'historique du fonctionnement

2) Les dormées instantanées qui peuvent être utilisées par l'opérateur commedonnées d'exploitation. L'acquisition et le stockage de cette seconde famille dedonnées n'étaient pas prévue au cahier des charges initial. La centrale TBC a doncété configurée pour acquérir des données qui sont moyermées puis archivées dans

des fichiers, respectivement, avec vm pas de temps d'une demi-heure et avec unpas de temps de 5 minutes. Cette demière fréquence a été déterminée après

quelques essais.

Outils logiciels de base pour micro-ordinateur

Les centrales d'acquisition TBC de Napac ne sont livrées avec aucun autre logicielque celui intégré dans la centrale. Il nous est apparu nécessaire que deux logicielspour micro-ordinateur PC soient inclus dans l'offre :

1) Un logiciel de rapatriement automatique des données et des configurations de

la centrale

2) Un logiciel de consultation rapide des fichiers de données et de configurationrapatriés.

L'offre logicielle de Napac seule n'est pas suffisante.



Principales recommandations sur les caractéristiques du (futur) dispositif

Les principales options de fonctiormement qui doivent être retenues (en plus des

fonctions de base) pour im cahier des charges de remplacement de toutes les centralesd'acquisition sont les suivantes (liste non exhaustive) :

Options nécessaires

Console Minitel

La console Minitel a été préférée comme interface de consultation des données sursite aux autres options plus sophistiquées. La simplicité et la rusticité compensentlargement les modestes performances.

Deux bases de temps en simultané

Il a été constaté que deux familles de dormées présentaient un intérêt :

1) L'historique du fonctionnement

2) Les dormées instantanées qui peuvent être utilisées par l'opérateur commedonnées d'exploitation. L'acquisition et le stockage de cette seconde famille dedonnées n'étaient pas prévue au cahier des charges initial. La centrale TBC a doncété configurée pour acquérir des données qui sont moyermées puis archivées dans

des fichiers, respectivement, avec vm pas de temps d'une demi-heure et avec unpas de temps de 5 minutes. Cette demière fréquence a été déterminée après

quelques essais.

Outils logiciels de base pour micro-ordinateur

Les centrales d'acquisition TBC de Napac ne sont livrées avec aucun autre logicielque celui intégré dans la centrale. Il nous est apparu nécessaire que deux logicielspour micro-ordinateur PC soient inclus dans l'offre :

1) Un logiciel de rapatriement automatique des données et des configurations de

la centrale

2) Un logiciel de consultation rapide des fichiers de données et de configurationrapatriés.

L'offre logicielle de Napac seule n'est pas suffisante.



Options utiles

Modem pour micro-ordinateur

Il semble important de proposer aux exploitants une offre d'accompagnement pourtm modem au standard Hayes et des logiciels de mise en oeuvre de ce modem.Depuis 1992, le BRGM utilise pour le Télésuivi des modem français de marqueOLITEC qui donne entière satisfaction. Outre leur coût très bas, un de leurs atoutsest le logiciel OLICOM-PRO, qui est livré en standard, et qui, simplement, prenden charge par programmation la totalité des fonctions d'im modem au standardHayes. Le rapatriement des données stockées dans les centrales TBC est alorsparticulièrement aisé.

Manuel adapté au Télésuivi

La mise en oeuvre de la centrale d'acquisition est particulièrement simple pour improfessionnel. En revanche, le paramétrage de la centrale et, surtout, laconsultation des dormées au travers d'une console peut dérouter plus d'unepersonne. Paradoxalement, c'est surtout au moment de lancer une phase de

consultation sur le Minitel directement cormecté au TBC que les problèmes se

posent. Une fois la communication établie, les opérations deviennent relativementintuitives. Puisqu'il n'est pas envisageable de demander à Napac de repenser sa

procédure, il faut songer à rédiger ime courte brochure très didactique afin de

permettre à tout néophyte de pouvoir, sur place, se cormecter et consulter les

données.

Options facultatives

Fonctions de GTC / GTB

La possibilité d'intégration de la centrale d'acquisition dans le réseau de mesure etde commande de l'exploitation et, éventuellement, la prise en charge par le TBCd'un certain nombre de fonctions de commande sont apparues comme"intéressantes" mais n'ont pas suscité l'expression de besoins particuliers durant laphase pilote. Seules les fonctions d'alarme semblent, pour l'instant, pouvoir donnerlieu à des développement. Néanmoins, ces fonctions doivent continuer à figurer aucahier des charges car elle peuvent permettre, par exemple, de gérer des dispositifstemporaires lors d'opérations de maintenance ou d'expérimentation scientifique.

8 Rapport BRGM R 39703


Options utiles

Modem pour micro-ordinateur

Il semble important de proposer aux exploitants une offre d'accompagnement pourtm modem au standard Hayes et des logiciels de mise en oeuvre de ce modem.Depuis 1992, le BRGM utilise pour le Télésuivi des modem français de marqueOLITEC qui donne entière satisfaction. Outre leur coût très bas, un de leurs atoutsest le logiciel OLICOM-PRO, qui est livré en standard, et qui, simplement, prenden charge par programmation la totalité des fonctions d'im modem au standardHayes. Le rapatriement des données stockées dans les centrales TBC est alorsparticulièrement aisé.

Manuel adapté au Télésuivi

La mise en oeuvre de la centrale d'acquisition est particulièrement simple pour improfessionnel. En revanche, le paramétrage de la centrale et, surtout, laconsultation des dormées au travers d'une console peut dérouter plus d'unepersonne. Paradoxalement, c'est surtout au moment de lancer une phase de

consultation sur le Minitel directement cormecté au TBC que les problèmes se

posent. Une fois la communication établie, les opérations deviennent relativementintuitives. Puisqu'il n'est pas envisageable de demander à Napac de repenser sa

procédure, il faut songer à rédiger ime courte brochure très didactique afin de

permettre à tout néophyte de pouvoir, sur place, se cormecter et consulter les

données.

Options facultatives

Fonctions de GTC / GTB

La possibilité d'intégration de la centrale d'acquisition dans le réseau de mesure etde commande de l'exploitation et, éventuellement, la prise en charge par le TBCd'un certain nombre de fonctions de commande sont apparues comme"intéressantes" mais n'ont pas suscité l'expression de besoins particuliers durant laphase pilote. Seules les fonctions d'alarme semblent, pour l'instant, pouvoir donnerlieu à des développement. Néanmoins, ces fonctions doivent continuer à figurer aucahier des charges car elle peuvent permettre, par exemple, de gérer des dispositifstemporaires lors d'opérations de maintenance ou d'expérimentation scientifique.



Sommaire

1. LE TELESUIVI - RAPPELS 13

1.1 Environnement 13

1.2 Paramètres mesurés par le Télésuivi 14

1.3 Paramétrage de l'acquisition des données 14

1.4 Utilisation et consultation des données 15

1.5 Situation générale du réseau TéléSuivi 115

1.5.1 Les quatre points clé de l'actuel TéléSuivi 16

1.5.2 Bref diagnostic au 1er janvier 1997 (rappel de la phase 1) 16

2. LE SITE GEOTHERMIQUE DE SUCY EN BRIE 19

2.1 Phasage de l'étude 19

2.2 Situation du site 21

2.2.1 Données administratives 21

2.2.2 Diagnostic succinct de l'état du TéléSuivi (1996) 21

2.2.3 Informations techniques sur le doublet de Sucy en Brie 21

2.3 Exemple d'exploitation des données de l'ancien TéléSuivi de Sucy en Brie 22

3. EQUIPEMENT EXISTANT D'ACQUISITION ET D'ARCHIVAGECENTRALISE 25

3.1 Brève description du réseau TéléSuivi 25

3.1.1 Rappel des objectifs initiaux et des évolutions récentes 253.1.2 Définition du matériel recommandé et schéma de principe 263.1.3 Bilan des communications via le réseau RTC 273.1.4 Archivage dans les fichiers mensuels 283.1.5 Mise en oeuvre du système d'appel et d'archivage 29

3.2 Obsolescence des centrales d'acquisition Acquitel 30



Sommaire

1. LE TELESUIVI - RAPPELS 13

1.1 Environnement 13

1.2 Paramètres mesurés par le Télésuivi 14

1.3 Paramétrage de l'acquisition des données 14

1.4 Utilisation et consultation des données 15

1.5 Situation générale du réseau TéléSuivi 115

1.5.1 Les quatre points clé de l'actuel TéléSuivi 16

1.5.2 Bref diagnostic au 1er janvier 1997 (rappel de la phase 1) 16

2. LE SITE GEOTHERMIQUE DE SUCY EN BRIE 19

2.1 Phasage de l'étude 19

2.2 Situation du site 21

2.2.1 Données administratives 21

2.2.2 Diagnostic succinct de l'état du TéléSuivi (1996) 21

2.2.3 Informations techniques sur le doublet de Sucy en Brie 21

2.3 Exemple d'exploitation des données de l'ancien TéléSuivi de Sucy en Brie 22

3. EQUIPEMENT EXISTANT D'ACQUISITION ET D'ARCHIVAGECENTRALISE 25

3.1 Brève description du réseau TéléSuivi 25

3.1.1 Rappel des objectifs initiaux et des évolutions récentes 253.1.2 Définition du matériel recommandé et schéma de principe 263.1.3 Bilan des communications via le réseau RTC 273.1.4 Archivage dans les fichiers mensuels 283.1.5 Mise en oeuvre du système d'appel et d'archivage 29

3.2 Obsolescence des centrales d'acquisition Acquitel 30



4. NOUVEL EQUIPEMENT SUR LE SITE DE SUCY EN BRIE 33

4.1 Résume du Cahier des Charges 33

4.2 Comparaison des 3 options initiales de remplacement (rappel) 34

4.3 Critères de sélection retenus pour l'opération de Sucy en Brie 36

4.4 Equipement sélectionné pour l'opération pilote de Sucy en Brie 37

4.5 Eléments de coût 38

4.5.1 Coûts des matériels 384.5.2 Coûts d'installation et de mise en oeuvre 404.5.3 Eléments de coûts pour le suivi, la maintenance et lerapatriement des données 40

5. IMPLANTATION DE LA CENTRALE TBC MINI-RACK 43

5.1 Caractéristiques générales de la centrale TBC Mini-Rack (sources NAPAC) 43

5.5.1 Généralités 43

5.1.2 Caractéristiques techniques 44

5.2 Notes sur l'implantation de la centrale sur le site de Sucy en Brie 45

6. COMMENTAIRES SUR L'UTILISATION DE LA CENTRALE TBCA SUCY EN BRIE 47

6.1 Ergonomie d'utilisation 47

6.2 Documentation 47

6.3 Utilisation pour le Télésuivi 47

6.4 Possibilités supplémentaires 48



4. NOUVEL EQUIPEMENT SUR LE SITE DE SUCY EN BRIE 33

4.1 Résume du Cahier des Charges 33

4.2 Comparaison des 3 options initiales de remplacement (rappel) 34

4.3 Critères de sélection retenus pour l'opération de Sucy en Brie 36

4.4 Equipement sélectionné pour l'opération pilote de Sucy en Brie 37

4.5 Eléments de coût 38

4.5.1 Coûts des matériels 384.5.2 Coûts d'installation et de mise en oeuvre 404.5.3 Eléments de coûts pour le suivi, la maintenance et lerapatriement des données 40

5. IMPLANTATION DE LA CENTRALE TBC MINI-RACK 43

5.1 Caractéristiques générales de la centrale TBC Mini-Rack (sources NAPAC) 43

5.5.1 Généralités 43

5.1.2 Caractéristiques techniques 44

5.2 Notes sur l'implantation de la centrale sur le site de Sucy en Brie 45

6. COMMENTAIRES SUR L'UTILISATION DE LA CENTRALE TBCA SUCY EN BRIE 47

6.1 Ergonomie d'utilisation 47

6.2 Documentation 47

6.3 Utilisation pour le Télésuivi 47

6.4 Possibilités supplémentaires 48



Liste des annexes

Al- Centrale TBC Mini-Rack 49

A 1.1 Fiches NAPAC 50

Al. 2 Principales commandes de la centrale TBC (documentation napac) 51

Al. 3 Corrmiandes d'automatisation du transfert des dormées 53

A2 - Utilisation et Programmation du modem Olicom pour le TéléSuivi 55

A2.1 Procédure SUCYDETA.PRO de transfert du fichier détaillé 56

A2.2 Pocédure SUCYSYNT.PRO de transfert du fichier de synthèse 58

A3 - Conversion des données 61

A3.1 Principe de codage 62

A3.2 Programme BASIC de conversion des dormées 63

A4 - Importation des données dans un tableur 75

A4.1 Généralités 76

A4 .2 Particularités et procédure à suivre pour importer les données 76

A5- Exemples 79

A5.1 Exemples de fichier de données du Télésuivi de Sucy en Brie 80

A5.2 Exemples de bilan mensuel obtenu à partir du Télésuivi de Sucy en Brie 81

Rapport BRGM R 39703 1 1


Liste des annexes

Al- Centrale TBC Mini-Rack 49

A 1.1 Fiches NAPAC 50

Al. 2 Principales commandes de la centrale TBC (documentation napac) 51

Al. 3 Corrmiandes d'automatisation du transfert des dormées 53

A2 - Utilisation et Programmation du modem Olicom pour le TéléSuivi 55

A2.1 Procédure SUCYDETA.PRO de transfert du fichier détaillé 56

A2.2 Pocédure SUCYSYNT.PRO de transfert du fichier de synthèse 58

A3 - Conversion des données 61

A3.1 Principe de codage 62

A3.2 Programme BASIC de conversion des dormées 63

A4 - Importation des données dans un tableur 75

A4.1 Généralités 76

A4 .2 Particularités et procédure à suivre pour importer les données 76

A5- Exemples 79

A5.1 Exemples de fichier de données du Télésuivi de Sucy en Brie 80

A5.2 Exemples de bilan mensuel obtenu à partir du Télésuivi de Sucy en Brie 81



1. Le TéléSuivi - Rappels

1.1 ENVIRONNEMENT

L'AFEME, consciente de la nécessité de collecter et d'archiver les donnéesd'exploitation de toute ressource commune, avait étudié et implante le réseau TéléSuividès 1986 sur chaque doublet géothermique exploitant l'eau chaude du Dogger.

L'accès aux informations relatives à ce réservoir situé à près de 2 km de profondeur n'estpas aisé. Aussi, les données qui sont collectées en permanence concementessentiellement les paramètres mesurables en surface et qui constituent des indicateursvis-à-vis des phénomènes qui surviennent en profondeur. De cette façon, avec des coûtsmodérés, on dispose d'informations suffisantes pour diagnostiquer les changementsimportants dans le comportement de la ressource géothermale. Le cas échéant, desinvestigations complémentaires peuvent être déclenchées.

De manière schématique, les évolutions du comportement peuvent survenir à plusieursniveaux le long de la boucle de circulation des fluides, respectivement dans le sens de

l'écoulement :

- 1 au niveau du réservoir coté production- 2 dans le puits de production- 3 dans les installations de surface- 4 dans le puits de réinjection- 5 au niveau du réservoir coté injection

Les évolutions détectées peuvent être locales ou concemer im ensemble de doublets. Cedemier point, à lui seul, justifie un archivage centralisé et homogène des donnéescollectées : le réseau Télésuivi. On a ainsi pu montrer qu'un certain nombre dephénomènes étaient répartis par groupes de doublets. C'est, par exemple, le cas des

interférences entre doublets ou des évolutions de la corrosivité des fluides qui se

traduisent par des dépôts de sulfiires de fer entraînant de significatives pertes de chargedans les conduites.

Dans la pratique, le dispositif TéléSuivi d'acquisition des données sur une bouclegéothermal est indépendant et sensiblement différent du système de commande de lachaufferie géothermale. En effet, le système de régulation exploite les informafions entemps réel (généralement en analogique) alors que le dispositif TéléSuivi a pour butd'archiver les dormées représentatives du comportement du doublet en fonction desparamètres d'exploitation.



1. Le TéléSuivi - Rappels

1.1 ENVIRONNEMENT

L'AFEME, consciente de la nécessité de collecter et d'archiver les donnéesd'exploitation de toute ressource commune, avait étudié et implante le réseau TéléSuividès 1986 sur chaque doublet géothermique exploitant l'eau chaude du Dogger.

L'accès aux informations relatives à ce réservoir situé à près de 2 km de profondeur n'estpas aisé. Aussi, les données qui sont collectées en permanence concementessentiellement les paramètres mesurables en surface et qui constituent des indicateursvis-à-vis des phénomènes qui surviennent en profondeur. De cette façon, avec des coûtsmodérés, on dispose d'informations suffisantes pour diagnostiquer les changementsimportants dans le comportement de la ressource géothermale. Le cas échéant, desinvestigations complémentaires peuvent être déclenchées.

De manière schématique, les évolutions du comportement peuvent survenir à plusieursniveaux le long de la boucle de circulation des fluides, respectivement dans le sens de

l'écoulement :

- 1 au niveau du réservoir coté production- 2 dans le puits de production- 3 dans les installations de surface- 4 dans le puits de réinjection- 5 au niveau du réservoir coté injection

Les évolutions détectées peuvent être locales ou concemer im ensemble de doublets. Cedemier point, à lui seul, justifie un archivage centralisé et homogène des donnéescollectées : le réseau Télésuivi. On a ainsi pu montrer qu'un certain nombre dephénomènes étaient répartis par groupes de doublets. C'est, par exemple, le cas des

interférences entre doublets ou des évolutions de la corrosivité des fluides qui se

traduisent par des dépôts de sulfiires de fer entraînant de significatives pertes de chargedans les conduites.

Dans la pratique, le dispositif TéléSuivi d'acquisition des données sur une bouclegéothermal est indépendant et sensiblement différent du système de commande de lachaufferie géothermale. En effet, le système de régulation exploite les informafions entemps réel (généralement en analogique) alors que le dispositif TéléSuivi a pour butd'archiver les dormées représentatives du comportement du doublet en fonction desparamètres d'exploitation.



Pour information, la commande de régulation du fonctionnement peut s'effectuersimplement en ajustant le débit d'eau géothermale (pompes électriques) en fonction de

la demande d'énergie (matérialisée par la température de retour du réseau de

distribution) et par une pression de consigne imposée dans les conduites de surface. Endessous de cette pression, la chimie du fluide géothermique risque de se modifier(dégazage) et, notamment, de compliquer la réinjection. D'autres paramètres de

fonctionnement sont surveillés pour détecter les incidents mécaniques ou l'encrassementdes échangeurs de chaleur.

Il faut noter à ce niveau que rares sont les systèmes de régulation ou de gestioncentralisée qui archivent les dormées de fonctionnement sur de longues périodes. C'estce que fait le Télésuivi.

1.2 PARAMETRES MESURES PAR LE TELESUIVI

Tel qu'il a été défini au milieu des aimées 80, le système TéléSuivi collecte, en plus de

la date et de l'heure, simuhanément sur chacun des doublets un ensemble de 8 grandeursphysiques mesurées en surface, respectivement dans le sens de l'écoulement :

Pasp Pression d'aspiration en amont de la pompe de productionPp Pression de production en amont de l'échangeur de chaleurTp Température de production en amont de l'échangeur de chaleurTi Pression d'injection en aval de l'échangeur de chaleurQ Débit d'eau géothermalePa Pression d'aspiration en amont de la pompe d'injectionPi Pression d'injection en aval de la pompe d'injectionText Température extérieure

La surveillance de la pression en amont de la pompe immergée de production (Pasp) a

longtemps été souhaitée mais il n'a pas économiquement été trouvé de solution fiable.La mesure de cette grandeur n'a été conservée que sur les sites artésiens qui nepossèdent donc pas de pompe immergée.

1.3 PARAMETRAGE DE L'ACQUISITION DES DONNEES

Il a également fallu définir les paramètres d'acquisition et d'archivage des dormées. Avecl'expérience, il est appam que l'archivage des valeurs moyermées sur 30 minutes étaitreprésentative du comportement des doublets et permettait de filtrer les fluctuationsinopinées.

Cette fréquence relativement faible conduit cependant à la collecte d'un nombre déjàrespectables de données qu'il faut être capable de traiter et d'interpréter.

1 4 Rapport BRGM R 39703


Pour information, la commande de régulation du fonctionnement peut s'effectuersimplement en ajustant le débit d'eau géothermale (pompes électriques) en fonction de

la demande d'énergie (matérialisée par la température de retour du réseau de

distribution) et par une pression de consigne imposée dans les conduites de surface. Endessous de cette pression, la chimie du fluide géothermique risque de se modifier(dégazage) et, notamment, de compliquer la réinjection. D'autres paramètres de

fonctionnement sont surveillés pour détecter les incidents mécaniques ou l'encrassementdes échangeurs de chaleur.

Il faut noter à ce niveau que rares sont les systèmes de régulation ou de gestioncentralisée qui archivent les dormées de fonctionnement sur de longues périodes. C'estce que fait le Télésuivi.

1.2 PARAMETRES MESURES PAR LE TELESUIVI

Tel qu'il a été défini au milieu des aimées 80, le système TéléSuivi collecte, en plus de

la date et de l'heure, simuhanément sur chacun des doublets un ensemble de 8 grandeursphysiques mesurées en surface, respectivement dans le sens de l'écoulement :

Pasp Pression d'aspiration en amont de la pompe de productionPp Pression de production en amont de l'échangeur de chaleurTp Température de production en amont de l'échangeur de chaleurTi Pression d'injection en aval de l'échangeur de chaleurQ Débit d'eau géothermalePa Pression d'aspiration en amont de la pompe d'injectionPi Pression d'injection en aval de la pompe d'injectionText Température extérieure

La surveillance de la pression en amont de la pompe immergée de production (Pasp) a

longtemps été souhaitée mais il n'a pas économiquement été trouvé de solution fiable.La mesure de cette grandeur n'a été conservée que sur les sites artésiens qui nepossèdent donc pas de pompe immergée.

1.3 PARAMETRAGE DE L'ACQUISITION DES DONNEES

Il a également fallu définir les paramètres d'acquisition et d'archivage des dormées. Avecl'expérience, il est appam que l'archivage des valeurs moyermées sur 30 minutes étaitreprésentative du comportement des doublets et permettait de filtrer les fluctuationsinopinées.

Cette fréquence relativement faible conduit cependant à la collecte d'un nombre déjàrespectables de données qu'il faut être capable de traiter et d'interpréter.

1 4 Rapport BRGM R 39703


1/2 heure

Ijour1 semaine

1 mois1 an

quantité de données pour1 doublet

10

240

16807 200

87 600

quantité dormées pour 30 doublets

3007 200

50 400216 000

2 628 000

1.4 UTILISATION ET CONSULTATION DES DONNEES

L'acquisition et l'archivage des données serait sans intérêt si des moyens de consultationn'étaient pas disponibles. Si la consultation des dormées anciennes (archives) peuts'envisager sur la base de fichiers informatiques, il est vite apparu nécessaire deproposer une consultation des données actuelles. Dans les années 80, seule la formule"MINITEL" présentait tous les atouts d'une solution économique et fiable.

Aujourd'hui, cette formule conserve encore bien des avantages et ses possibilités ont été

grandement accrues, comme par exemple la possibilité des présenter des graphiques à

l'écran. Pour cela, les centrales d'acquisition modemes sont capable de conserver enmémoire plus de 15 jours de données.

D'une manière générale, les centrales d'acquisition qui sont implantées sur les sitesgéothermaux possèdent donc la double capacité de présenter des résultats via lesconsoles MINITEL et de communiquer avec des ordinateurs. Dans ce demier cas, ondispose de la possibilité de transférer à grande vitesse la totalité du contenu des

mémoires (fichiers).

Tout en conservant des prix raisormables, les centrales modemes (comme celle qui a étéimplantée à Sucy en Brie) possèdent également la capacité de dialoguer avec lessystèmes de régulation des sites, voire même d'assurer des fonctions de GTC (gestiontechnique centralisée) et de gérer les alarmes.

1.5 SITUATION GENERALE DU RESEAU TELESUIVI

Les centrales d'acquisition Acquitel implantées depuis une dizaine d'années en moyermesur les sites exploitants la géothermie du Dogger dans le bassin de Paris ont toutesatteint la limite d'âge théorique. Il faut donc s'attendre à des paimes de plus en plusfréquentes et, à terme, à la dégénérescence du TéléSuivi.



1/2 heure

Ijour1 semaine

1 mois1 an

quantité de données pour1 doublet

10

240

16807 200

87 600

quantité dormées pour 30 doublets

3007 200

50 400216 000

2 628 000

1.4 UTILISATION ET CONSULTATION DES DONNEES

L'acquisition et l'archivage des données serait sans intérêt si des moyens de consultationn'étaient pas disponibles. Si la consultation des dormées anciennes (archives) peuts'envisager sur la base de fichiers informatiques, il est vite apparu nécessaire deproposer une consultation des données actuelles. Dans les années 80, seule la formule"MINITEL" présentait tous les atouts d'une solution économique et fiable.

Aujourd'hui, cette formule conserve encore bien des avantages et ses possibilités ont été

grandement accrues, comme par exemple la possibilité des présenter des graphiques à

l'écran. Pour cela, les centrales d'acquisition modemes sont capable de conserver enmémoire plus de 15 jours de données.

D'une manière générale, les centrales d'acquisition qui sont implantées sur les sitesgéothermaux possèdent donc la double capacité de présenter des résultats via lesconsoles MINITEL et de communiquer avec des ordinateurs. Dans ce demier cas, ondispose de la possibilité de transférer à grande vitesse la totalité du contenu des

mémoires (fichiers).

Tout en conservant des prix raisormables, les centrales modemes (comme celle qui a étéimplantée à Sucy en Brie) possèdent également la capacité de dialoguer avec lessystèmes de régulation des sites, voire même d'assurer des fonctions de GTC (gestiontechnique centralisée) et de gérer les alarmes.

1.5 SITUATION GENERALE DU RESEAU TELESUIVI

Les centrales d'acquisition Acquitel implantées depuis une dizaine d'années en moyermesur les sites exploitants la géothermie du Dogger dans le bassin de Paris ont toutesatteint la limite d'âge théorique. Il faut donc s'attendre à des paimes de plus en plusfréquentes et, à terme, à la dégénérescence du TéléSuivi.



1.5.1 Les quatre points clé de l'actuel TéléSuivi

- Le réseau TéléSuivi est actif depuis 1986.

Cela signifie que les équipements en place risquent, pour partie, d'être atteints par lelimite d'âge. En effet, on considère que les matériels électroniques ont une durée de vied'environ 10 ans.

- Les centrales d'acquisition Acquitel sont contemporaines des premiers Minitels.

Les possibilités offertes à cette époque étaient donc relativement modestes et/oun'avaient pas encore été exploitées. Ainsi, la consultation des données émises par lesAcquitels sont plutôt fmstres.

- Il n'y ajamáis eu de politique de maintenance des matériels.

Les équipements installés étaient de bonne qualité. Aussi, les aspects "maintenance"n'avaient pas fait l'objet d'vme attention particulière. De plus, les responsabilités à plusou moins long terme n'ont pas été définies à l'origine du programme.

- L'archivage des données est fait d'abord à l'AFME puis, depuis 1990, au BRGM.

Le BRGM n'est pas à l'origine du programme qui était, dans sa phase exploratoire,entièrement réalisé par l'AFME. Le BRGM a ensuite assuré le rapatriement etl'archivage centralisé des données. Par ailleurs, un certain nombre de travauxscientifiques réalisés au BRGM ont utilisé ces dormées.

1.5.2 Bref diagnostic au l^** janvier 1997 (rappel de la phase 1)

La phase de diagnostic avait pour but de réaliser une "photographie" instantanée de

l'état du réseau TéléSuivi. Globalement, il faut conclure à un potentiel des matérielsencore en place assez satisfaisant. Cependant, ces équipements encore opérationnelssont en nombre très insuffisant ; ce qui traduit un manque d'intérêt quasi-généralisé pourle dispositif, voire même un ignorance la plus totale sur certains sites.

Il est particulièrement évident que, dans ces conditions, la maintenance des matériels nepeut pas être envisagée notamment en raison de l'absence de source de financement.

Les trois points suivants résument de manière succincte les principales conclusions del'enquête

I) Perception du dispositif sur les sites géothermiques

Le TéléSuivi n'est pas consulté par les professionnels.Les nouvelles équipes en place ignorent même l'existence dispositif.



1.5.1 Les quatre points clé de l'actuel TéléSuivi

- Le réseau TéléSuivi est actif depuis 1986.

Cela signifie que les équipements en place risquent, pour partie, d'être atteints par lelimite d'âge. En effet, on considère que les matériels électroniques ont une durée de vied'environ 10 ans.

- Les centrales d'acquisition Acquitel sont contemporaines des premiers Minitels.

Les possibilités offertes à cette époque étaient donc relativement modestes et/oun'avaient pas encore été exploitées. Ainsi, la consultation des données émises par lesAcquitels sont plutôt fmstres.

- Il n'y ajamáis eu de politique de maintenance des matériels.

Les équipements installés étaient de bonne qualité. Aussi, les aspects "maintenance"n'avaient pas fait l'objet d'vme attention particulière. De plus, les responsabilités à plusou moins long terme n'ont pas été définies à l'origine du programme.

- L'archivage des données est fait d'abord à l'AFME puis, depuis 1990, au BRGM.

Le BRGM n'est pas à l'origine du programme qui était, dans sa phase exploratoire,entièrement réalisé par l'AFME. Le BRGM a ensuite assuré le rapatriement etl'archivage centralisé des données. Par ailleurs, un certain nombre de travauxscientifiques réalisés au BRGM ont utilisé ces dormées.

1.5.2 Bref diagnostic au l^** janvier 1997 (rappel de la phase 1)

La phase de diagnostic avait pour but de réaliser une "photographie" instantanée de

l'état du réseau TéléSuivi. Globalement, il faut conclure à un potentiel des matérielsencore en place assez satisfaisant. Cependant, ces équipements encore opérationnelssont en nombre très insuffisant ; ce qui traduit un manque d'intérêt quasi-généralisé pourle dispositif, voire même un ignorance la plus totale sur certains sites.

Il est particulièrement évident que, dans ces conditions, la maintenance des matériels nepeut pas être envisagée notamment en raison de l'absence de source de financement.

Les trois points suivants résument de manière succincte les principales conclusions del'enquête

I) Perception du dispositif sur les sites géothermiques

Le TéléSuivi n'est pas consulté par les professionnels.Les nouvelles équipes en place ignorent même l'existence dispositif.



II) Disponibilité des Centrales d'acquisition (age moyen : 10 ans)

- 6 centrales fournissent des données valides,- 14 Acquitels à peu près actifs,- 25 sites au total encore raccordés.

Sites

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

Date des dernières donnéesarchivées

ActifNovembre 94Novembre 92Septembre 93

Octobre 94Février 96

ActifActifActifActif

Octobre 93

Octobre 95ActifActifActif

Juillet 93

ActifMai 95

Actif

Sites

2021

22

23

24

25

26

2728

29

30

31

32

33

34

35

36

37

Date des demières donnéesarchivées

ActifActifActif

Septembre 92Actif

Septembre 93

Novembre 93

ActifMai 93

Janvier 93

ActifAvril 92

ActifMars 95

Septembre 95

Septembre 92

Octobre 92

Janvier 93

III) Inventaire succinct des principaux cas d'indisponibilité

Inventaire succinct des principaux cas d'indisponibilité des dispositifs sur site

Indisponibilités de la centrale d'acquisition Indisponibilités des capteursDispositif partiellement ou totalement démontéMatériel (capteurs) partiellement détournéCapteurs en paime

Centrale opérationnelle mais non raccordéeCentrale opérationnelle mais accès téléphonique impossibleCentrale opérationnelle mais déconfiguréeCentrale hors service (processeur, modem ou accumulateur)



II) Disponibilité des Centrales d'acquisition (age moyen : 10 ans)

- 6 centrales fournissent des données valides,- 14 Acquitels à peu près actifs,- 25 sites au total encore raccordés.

Sites

1

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Date des dernières donnéesarchivées

ActifNovembre 94Novembre 92Septembre 93

Octobre 94Février 96

ActifActifActifActif

Octobre 93

Octobre 95ActifActifActif

Juillet 93

ActifMai 95

Actif

Sites

2021

22

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29

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Date des demières donnéesarchivées

ActifActifActif

Septembre 92Actif

Septembre 93

Novembre 93

ActifMai 93

Janvier 93

ActifAvril 92

ActifMars 95

Septembre 95

Septembre 92

Octobre 92

Janvier 93

III) Inventaire succinct des principaux cas d'indisponibilité

Inventaire succinct des principaux cas d'indisponibilité des dispositifs sur site

Indisponibilités de la centrale d'acquisition Indisponibilités des capteursDispositif partiellement ou totalement démontéMatériel (capteurs) partiellement détournéCapteurs en paime

Centrale opérationnelle mais non raccordéeCentrale opérationnelle mais accès téléphonique impossibleCentrale opérationnelle mais déconfiguréeCentrale hors service (processeur, modem ou accumulateur)


TéléSuivi géothermique de la région parisienneOpération pilote de Sucy en Brie -1996-1997

2. Le site géothermique de Sucy en Brie

L'objet de ce rapport n'est pas de détailler les caractéristiques de fonctionnement de lacentrale géothermique de Sucy en Brie. Aussi, les informations et les quelques exemplesqui figurent dans ce document ne sont donnés qu'à titre d'illustration.

2.1 PHASAGE DE L'ETUDE

Pilote Sucy en BrieNégociations, conventions

Préparation, cahier descharges

installation des centralesSynthèse intermédiaires

Aménagements éventuels

Opérations ponctuellesSuivi et contrôle sur site

Télésuivi à distance

Synthèse finale

H ü

09/96 10/96

• • • H

1iümflSSSSSSSÍS

11/96

•

12/9Í

Hflü

01/97

mm

02/97 03/97

, .9S

Hissag ¡I

11

SSES

04/97

ü m ü• • B

05/97

¡11111

36/97

Négociations, conventions

La contribution des maîtres d'oeuvre et exploitant du site pilote est évidente et uneconvention est signée avec S O G E S U B (Société de Géothermie de Sucy en Brie). Cetteopération de démonstration prend également en compte l'aspect "service public" duTéléSuivi. Des conventions avec des organismes institutionnels ( A D E M E et A R E N E )sont donc signées.

Préparation, cahier des charges

Le cahier des charge présente 2 volets : le volet matériel et le volet opération et suivi. L eprogramme de travail détaillé est défini en fonction de l'évolution des travauxpréliminaires. Deux centrales ont été présélectionnées :

Centrale T B C de N A P A C . Ce modèle est présenté par N A P A C c o m m e le remplaçantdu modèle Acquitel qui occupe actuellement tous les sites.

Centrale O S I R I S de IRIS Instrument. Cette société produit des matériels de terrainbien connus et appréciés des membres du groupe B R G M . Les performances desmatériels disponibles sont sur-dimensionnées mais IRIS envisage de réaliser unecentrale spécifique sur la base d'une sélection de fonctionnalités.



Installation des centrales

L'installation d'une centrale ne pose pas en soit de problème particulier.

La mise en oeuvre des logiciels de rapatriement des dormées et de configuration à

distance des centrales nécessite des développements spécifiques ; surtout si l'approcheest faite dans le sens d'un traitement simultané de 20 sites industriels.

Synthèse intermédiaires

La synthèse intermédiaire est surtout utile pour identifier intégrer les premièresremarques et suggestions.


Ce poste est prévu dans le but de prendre en compte les éventuels impondérables etaussi d'envisager des modifications (temporaires ou définitives) souhaitées par tel ou telintervenant.

Opérations ponctuelles

Le cas échéant, les capacités de la centrale d'acquisition peuvent être mise à contributionlors de la réalisation d'interventions ponctuelles comme, par exemple, une opération demaintenance. Un suivi affiné du comportement du site avant, pendant et après ces

interventions est souvent riche d'enseignement. On prévoit également que l'exploitantet/ou le maître d'ouvrage puissent utiliser ponctuellement la centrale à des fins qui leurssont propres.

Suivi et contrôle sur site

Il est prévue une possibilité d'assistance et d'intervention d'un technicien BRGM, soitpour des opérations de contrôle soit pour effectuer des modifications prévues à l'avance.Ces interventions peuvent éventuellement être couplées avec les opérations ponctuelles.


Ce poste intègre notamment les opérations d'archivage des données au BRGM et lesaménagements nécessaires des logiciels préalablement utilisés.

Synthèse fínale

La principale conclusion du rapport concerne les aptitudes des centrales d'acquisition etles recommandations qui en découlent pour la phase de réhabilitation. Les autresconclusions intègrent les commentaires des différents intervenants.



Installation des centrales

L'installation d'une centrale ne pose pas en soit de problème particulier.

La mise en oeuvre des logiciels de rapatriement des dormées et de configuration à

distance des centrales nécessite des développements spécifiques ; surtout si l'approcheest faite dans le sens d'un traitement simultané de 20 sites industriels.

Synthèse intermédiaires

La synthèse intermédiaire est surtout utile pour identifier intégrer les premièresremarques et suggestions.


Ce poste est prévu dans le but de prendre en compte les éventuels impondérables etaussi d'envisager des modifications (temporaires ou définitives) souhaitées par tel ou telintervenant.

Opérations ponctuelles

Le cas échéant, les capacités de la centrale d'acquisition peuvent être mise à contributionlors de la réalisation d'interventions ponctuelles comme, par exemple, une opération demaintenance. Un suivi affiné du comportement du site avant, pendant et après ces

interventions est souvent riche d'enseignement. On prévoit également que l'exploitantet/ou le maître d'ouvrage puissent utiliser ponctuellement la centrale à des fins qui leurssont propres.

Suivi et contrôle sur site

Il est prévue une possibilité d'assistance et d'intervention d'un technicien BRGM, soitpour des opérations de contrôle soit pour effectuer des modifications prévues à l'avance.Ces interventions peuvent éventuellement être couplées avec les opérations ponctuelles.


Ce poste intègre notamment les opérations d'archivage des données au BRGM et lesaménagements nécessaires des logiciels préalablement utilisés.

Synthèse fínale

La principale conclusion du rapport concerne les aptitudes des centrales d'acquisition etles recommandations qui en découlent pour la phase de réhabilitation. Les autresconclusions intègrent les commentaires des différents intervenants.



2.2 SITUATION DU SITE

2.2.1 Données administratives

Maître d'ouvrageSOGESUB7 & 9, me Cambronne75739 Paris Cedex 15

Tel : 01 45 66 30 00Fax: 01 45 66 30 60Adresser le courrier deSOGESUB à la CGECA. ADAM(Ing. Chargé d'affaires)

Exploitant chauffageCGEC95, Bd. F. FAURE93300AUBERVILLIERSTel :0148 1143 00Fax: 01 48 34 47 06

M. POILLET

Situation du siteAv. Georges Pompidou94 Sucy en BrieTéléSuivi: 01 45 90 81 62

CONTACT :

Mr. ADAMTel : 01 48 11 43 24Fax : 01 48 34 47 06

2.2.2 Diagnostic succinct de l'état du TéléSuivi (1996)

Sucy en Brie Date de la visite de diagnostic : 5 août 1996

Etat général : L'état général du TéléSuivi est très satisfaisant

Etat de la centrale AcquitelBien que le processeur soitchaud, la cenfrale d'acquisition(Acquitel N°134) semble en bonétat général. Une réinitialisationa cependant été nécessaire lorsdu passage du technicienBRGM.

Etat du câblageR.A.S.Certains connecteurs n'ontjamais été démontés et

semblent coincés.

Etat des capteursDeux capteurs detempératuresupplémentaires sontinstallés au niveau del'échangeur.

TéléSuivi (Interrogation des Acquitels et Qualité des données)Les indications des compteurs d'impulsion (puissances électriques) sont à multiplier par 2.La pression aval échangeur est saturée. Le capteur (ou sont raccordement) semble en cause.

2.2.3 Informations techniques sur le doublet de Sucy en Brie

Le doublet géothermique a été réalisé à partir d'une plate-forme situé en centre ville, aunord du château de Sucy en Brie. La plate-forme est aménagée à l'altitude de 89 m audessus du niveau de la mer.



2.2 SITUATION DU SITE

2.2.1 Données administratives

Maître d'ouvrageSOGESUB7 & 9, me Cambronne75739 Paris Cedex 15

Tel : 01 45 66 30 00Fax: 01 45 66 30 60Adresser le courrier deSOGESUB à la CGECA. ADAM(Ing. Chargé d'affaires)

Exploitant chauffageCGEC95, Bd. F. FAURE93300AUBERVILLIERSTel :0148 1143 00Fax: 01 48 34 47 06

M. POILLET

Situation du siteAv. Georges Pompidou94 Sucy en BrieTéléSuivi: 01 45 90 81 62

CONTACT :

Mr. ADAMTel : 01 48 11 43 24Fax : 01 48 34 47 06

2.2.2 Diagnostic succinct de l'état du TéléSuivi (1996)

Sucy en Brie Date de la visite de diagnostic : 5 août 1996

Etat général : L'état général du TéléSuivi est très satisfaisant

Etat de la centrale AcquitelBien que le processeur soitchaud, la cenfrale d'acquisition(Acquitel N°134) semble en bonétat général. Une réinitialisationa cependant été nécessaire lorsdu passage du technicienBRGM.

Etat du câblageR.A.S.Certains connecteurs n'ontjamais été démontés et

semblent coincés.

Etat des capteursDeux capteurs detempératuresupplémentaires sontinstallés au niveau del'échangeur.

TéléSuivi (Interrogation des Acquitels et Qualité des données)Les indications des compteurs d'impulsion (puissances électriques) sont à multiplier par 2.La pression aval échangeur est saturée. Le capteur (ou sont raccordement) semble en cause.

2.2.3 Informations techniques sur le doublet de Sucy en Brie

Le doublet géothermique a été réalisé à partir d'une plate-forme situé en centre ville, aunord du château de Sucy en Brie. La plate-forme est aménagée à l'altitude de 89 m audessus du niveau de la mer.



Le démarrage doublet a eu lieu en novembre 1984.

Le débit d'eau géothermale excède rarement 200 m'/h.La température géothermale est de l'ordre de 78°C.

Pour mémoire : Caractéristiques utiles des 2 puits de SUCY en BRIENom du puitsRéférence du puitsZs Côtes de la surface (IGN 1/5000, St MAUR S-

0)XsYsZo Côtes du toit (IGN 1/25000, Brie CompteRobert)XoYoProfondeur déviée sabot du tubage 13"3/8(-> 11/91)Profondeur déviée sabot du tubage 10"3/4(11/91 ->)Position du sabot de la pompe dans le 10"3/4Profondeur déviée du sabot du tubage 7"Longueur déviée au sabot du tubage ??

Profondeur du sabot du tubage

Profondeur barycentriqueSalinitéTempératiire au toit du réservoir

Sucy 2

GSUC2+89 m ngf

613 600

119 050

-1 642 ngf

614 125

118 690

/

/

/1885.3 m1890 m1732 m1767 m--g^78.rc

Sucy 1

GSUCl+89 m ngf

613 600119 050-1 634 ngf

613 225119 360344.6 m

342 m

211.94 m1811m1817m1723 m1760 m26.1 g/1

78.2°C

2.3 EXEMPLE D'EXPLOITATION DES DONNEES DE L'ANCIEN TELESUIVISUR SUCY EN BRIE

L'exemple sélectiormé en illustration (voir graphique ci-après) a pour but de montrerl'intérêt d'un archivage des doimées sur de longues périodes.



Le démarrage doublet a eu lieu en novembre 1984.

Le débit d'eau géothermale excède rarement 200 m'/h.La température géothermale est de l'ordre de 78°C.

Pour mémoire : Caractéristiques utiles des 2 puits de SUCY en BRIENom du puitsRéférence du puitsZs Côtes de la surface (IGN 1/5000, St MAUR S-

0)XsYsZo Côtes du toit (IGN 1/25000, Brie CompteRobert)XoYoProfondeur déviée sabot du tubage 13"3/8(-> 11/91)Profondeur déviée sabot du tubage 10"3/4(11/91 ->)Position du sabot de la pompe dans le 10"3/4Profondeur déviée du sabot du tubage 7"Longueur déviée au sabot du tubage ??

Profondeur du sabot du tubage

Profondeur barycentriqueSalinitéTempératiire au toit du réservoir

Sucy 2

GSUC2+89 m ngf

613 600

119 050

-1 642 ngf

614 125

118 690

/

/

/1885.3 m1890 m1732 m1767 m--g^78.rc

Sucy 1

GSUCl+89 m ngf

613 600119 050-1 634 ngf

613 225119 360344.6 m

342 m

211.94 m1811m1817m1723 m1760 m26.1 g/1

78.2°C

2.3 EXEMPLE D'EXPLOITATION DES DONNEES DE L'ANCIEN TELESUIVISUR SUCY EN BRIE

L'exemple sélectiormé en illustration (voir graphique ci-après) a pour but de montrerl'intérêt d'un archivage des doimées sur de longues périodes.



20

18

Pi(bar)

Figure 1 - Moyennes mensuelles de la pression d'injection en tête de puits partranche de débit de 20 m3/h à Sucy en Brie entre 1990 à 1994

Il faut noter que le doublet de Sucy en brie fonctionne très rarement en dessous de100 m 3 / h . Aussi, les (rares) données en question sont sans réelles signification.

Par ailleurs, en période estivale, la température de réinjection est très élevée (>75°C).Ceci explique en partie certaines évolutions (à la hausse) de la pression de réinjection.


TéléSuivi géothenvique de la région parisienneOpération pilote de Sucy en Brie - 1996-1997

3. Equipement existant d'acquisition etd'archivage centralisé

3.1 BREVE DESCRIPTION DU RESEAU TELESUIVI

3.1.1 Rappel des objectifs initiaux et des évolutions récentes

Le dispositif d'archivage centralisé des données du TéléSuivi a aujourd'hui pour rôleprincipal la constitution, l'archivage et la mise à disposition des fichiers mensuels de

dormées bmtes. Les données bmtes résultent de l'interrogation des centralesd'acquisition implantées sur les différents sites, via le réseau téléphonique commuté(RTC).

Ces données brutes sont à la disposition des professionnels habilités.

Au début des armées 1990, afin de satisfaire l'objectif d'une plus large diffusion auprèsdes professiormels concemés, le système a fait l'objet d'une refonte complète tant aupoint de vue des matériels qu'au niveau des outils informatiques.

Initialement, le système avait été développé en suivant les recommandations de lasociété Napac, conceptrice des centrales d'acquisition sur site (Acquitels-24). Pour lerapatriement centralisé des données, une carte informatique de communication de

marque Kortex était enfichée dans im ordinateur de type PC XT ou AT. Les logicielsétaient spécifiques.

Devant les problèmes rencontrés par ce dispositif au niveau de la compatibilité avec lesmatériels plus récents comme par exemple les ordinateurs portables, il a été rendunécessaire de concevoir un système dont la pérennité ne pourrait être remise en causelors des évolutions futures des équipements informatiques.

- Compte tenu du fait que les centrales d'acquisition de type Acquitel, actuellement enservice, communiquent en utilisant, l'un après l'autre, deux standards decommunication (7 bits avec parité paire puis 8 bits sans parité), il était impératif de

choisir un modem capable d'effectuer ce changement en cours de communication.D'autre part, pour des raison évidentes de polyvalence, le modem devait être conformeavec la norme Hayes qui est la norme la plus répandue (en France et dans le monde).



3. Equipement existant d'acquisition etd'archivage centralisé

3.1 BREVE DESCRIPTION DU RESEAU TELESUIVI

3.1.1 Rappel des objectifs initiaux et des évolutions récentes

Le dispositif d'archivage centralisé des données du TéléSuivi a aujourd'hui pour rôleprincipal la constitution, l'archivage et la mise à disposition des fichiers mensuels de

dormées bmtes. Les données bmtes résultent de l'interrogation des centralesd'acquisition implantées sur les différents sites, via le réseau téléphonique commuté(RTC).

Ces données brutes sont à la disposition des professionnels habilités.

Au début des armées 1990, afin de satisfaire l'objectif d'une plus large diffusion auprèsdes professiormels concemés, le système a fait l'objet d'une refonte complète tant aupoint de vue des matériels qu'au niveau des outils informatiques.

Initialement, le système avait été développé en suivant les recommandations de lasociété Napac, conceptrice des centrales d'acquisition sur site (Acquitels-24). Pour lerapatriement centralisé des données, une carte informatique de communication de

marque Kortex était enfichée dans im ordinateur de type PC XT ou AT. Les logicielsétaient spécifiques.

Devant les problèmes rencontrés par ce dispositif au niveau de la compatibilité avec lesmatériels plus récents comme par exemple les ordinateurs portables, il a été rendunécessaire de concevoir un système dont la pérennité ne pourrait être remise en causelors des évolutions futures des équipements informatiques.

- Compte tenu du fait que les centrales d'acquisition de type Acquitel, actuellement enservice, communiquent en utilisant, l'un après l'autre, deux standards decommunication (7 bits avec parité paire puis 8 bits sans parité), il était impératif de

choisir un modem capable d'effectuer ce changement en cours de communication.D'autre part, pour des raison évidentes de polyvalence, le modem devait être conformeavec la norme Hayes qui est la norme la plus répandue (en France et dans le monde).



Coirune pour tout réseau de capteur et toute centrale d'acquisition, il était impératif de

prendre en compte l'éventualités d'incidents techniques et donc de prévoir des routinesde diagnostic des acquisitions et des procédures de sécurité afin de garantir, dans lamesure du possible, le rapatriement des données.

Le principal objectif était ici de proposer une automatisation des procédures d'appel etd'archivage. Pour des raisons de poly\'alence et de maintenabilité, nous avionségalement souhaité l'utilisation, autant que faire se peut, de composants standard dumarché.

La définition d'un nouveau format de fichier pour l'archivage les données s'étaitégalement révélé comme im objectif prioritaire.

Toutes ces récentes évolutions du système TéléSuivi présentées ci-avant restentopérationnelles et compatibles avec la modernisation envisagée (et recommandée) duréseau de centrales d'acquisition sur site. Aussi, la définition des matériels qui avaientété définie il y a quelques aimées pour pouvoir accéder directement aux dormées descentrales d'acquisition reste valide.

3.1.2 Définition du matériel recommandé et schéma de principe

Le matériel recommandé pour effectuer les appels à partir d'vm site central est im micro-ordinateur de type PC équipé d'im disque dur et raccordé par son port série RS232 à unmodem compatible avec la norme "Hayes". Le modem d'entrée de gamme de la sociétéfrançaise OLITEC (modeme OLITEC-75) associé à son language de communicationOLICOM+ donne entière satisfaction.

On notera que tous les programmes spécifiques de gestion, contrôle, traduction etarchivage des données ont volontairement été développés en langage BASIC de chezMicrosoft. Ils peuvent ainsi facilement faire l'objet d'une personnalisation car celemgage est systématiquement distribué avec tous les ordinateurs de type PC.



Coirune pour tout réseau de capteur et toute centrale d'acquisition, il était impératif de

prendre en compte l'éventualités d'incidents techniques et donc de prévoir des routinesde diagnostic des acquisitions et des procédures de sécurité afin de garantir, dans lamesure du possible, le rapatriement des données.

Le principal objectif était ici de proposer une automatisation des procédures d'appel etd'archivage. Pour des raisons de poly\'alence et de maintenabilité, nous avionségalement souhaité l'utilisation, autant que faire se peut, de composants standard dumarché.

La définition d'un nouveau format de fichier pour l'archivage les données s'étaitégalement révélé comme im objectif prioritaire.

Toutes ces récentes évolutions du système TéléSuivi présentées ci-avant restentopérationnelles et compatibles avec la modernisation envisagée (et recommandée) duréseau de centrales d'acquisition sur site. Aussi, la définition des matériels qui avaientété définie il y a quelques aimées pour pouvoir accéder directement aux dormées descentrales d'acquisition reste valide.

3.1.2 Définition du matériel recommandé et schéma de principe

Le matériel recommandé pour effectuer les appels à partir d'vm site central est im micro-ordinateur de type PC équipé d'im disque dur et raccordé par son port série RS232 à unmodem compatible avec la norme "Hayes". Le modem d'entrée de gamme de la sociétéfrançaise OLITEC (modeme OLITEC-75) associé à son language de communicationOLICOM+ donne entière satisfaction.

On notera que tous les programmes spécifiques de gestion, contrôle, traduction etarchivage des données ont volontairement été développés en langage BASIC de chezMicrosoft. Ils peuvent ainsi facilement faire l'objet d'une personnalisation car celemgage est systématiquement distribué avec tous les ordinateurs de type PC.



Centrales d'acquisition sur site

\/_

Réseau téléphonique commuté

OLICOM+, Programme

de communicationRoutines d'appel enlanguage OLICOM+

/\

\/

Fichiers binaires ^Identification

des sites à appeler

7F\¿_

Base des paramètres decommunication des sites

Programmes de contrôle et

d'archivage des données brutes

\/_

Fichiers mensuelsdes données brutes

Base des paramètresd'archivage des sites

N/

Ecran de contrôle des

bilans de communication

Architecture générale du système centralisé d'acquisition et d'archivage

Il est important de rappeler que le réseau TéléSuivi n'est pas conçu pour effectuer imesurveillance quantitative des données numériques ni en temps réel ni même en légerdifféré. Ce rôle est dévolue aux professionnels sur site qui disposent (en principe)d'outils de gestion technique centralisée (GTC) mieux adaptés à cette fonction.Néanmoins, les données du TéléSuivi sont très utiles pour expliquer, à posteriori, desphénomènes inhérents au sous-sol.

3.1.3 Bilan des communications via le réseau RTC

Afin de garantir autant que faire se peut la qualité des données archivées dans le cadredu service public, le BRGM a développé des procédures sommaire de diagnostic descentrales d'acquisition s'appuyant sur le bilan des commimications téléphoniques. Eneffet, les problèmes rencontrés proviennent souvent des centrales d'acquisition Acquitelqui sont de l'ancienne génération.



Centrales d'acquisition sur site

\/_

Réseau téléphonique commuté

OLICOM+, Programme

de communicationRoutines d'appel enlanguage OLICOM+

/\

\/

Fichiers binaires ^Identification

des sites à appeler

7F\¿_

Base des paramètres decommunication des sites

Programmes de contrôle et

d'archivage des données brutes

\/_

Fichiers mensuelsdes données brutes

Base des paramètresd'archivage des sites

N/

Ecran de contrôle des

bilans de communication

Architecture générale du système centralisé d'acquisition et d'archivage

Il est important de rappeler que le réseau TéléSuivi n'est pas conçu pour effectuer imesurveillance quantitative des données numériques ni en temps réel ni même en légerdifféré. Ce rôle est dévolue aux professionnels sur site qui disposent (en principe)d'outils de gestion technique centralisée (GTC) mieux adaptés à cette fonction.Néanmoins, les données du TéléSuivi sont très utiles pour expliquer, à posteriori, desphénomènes inhérents au sous-sol.

3.1.3 Bilan des communications via le réseau RTC

Afin de garantir autant que faire se peut la qualité des données archivées dans le cadredu service public, le BRGM a développé des procédures sommaire de diagnostic descentrales d'acquisition s'appuyant sur le bilan des commimications téléphoniques. Eneffet, les problèmes rencontrés proviennent souvent des centrales d'acquisition Acquitelqui sont de l'ancienne génération.



En cas de difficulté à rapatrier les dormées, les logiciels, qui procèdent à vme cessiond'appel, cherchent à en attribuer la cause qui peut être imputée :

- au réseau téléphonique,- à une reconfiguration de la centrale par un intervenant extérieur,- à une déconfiguration totale de la centrale,- à des parmes locales d'origine électrique.

Le bilan de toutes ces investigations apparaît sur l'écran de contrôle de l'ordinateurcentral en fin de cession d'appel. Sont détaillés la taille des fichiers transmis, vm critèrede conformité avec les données attendues et un indicateur sur l'éventuelledéconfiguration des centrales. En cas d'incident et dans la mesure du possible,l'opérateur TéléSuivi cherche alors à avertir les responsables afin de faire procéder auxinterventions nécessaires.

3.1.4 Archivage dans les fichiers mensuels

Compte tenu de la possibilité laissée aux utilisateurs de modifier la configuration des

centrales d'acquisition, l'archivage doit, pour être efficace, pouvoir fonctionnerindépendanmient des variations de configuration de chacvme des centrales. Le format de

fichier qui a été défini permet cette fonctionnalité :

- Les fichiers sont des fichiers mensuels qui sont mis à jour à chaque cession d'appel.

-Chaque fichier est constitué d'enregistrements à raison d'im par demi-heure (soit1440 enregistrements pour im mois de 30 jovu"s).

- Chaque enregistrement comporte plusieurs champs séparés par des virgules etexprimés en clair (format ASCII) qui sont :

Dateaaaa/mm/jj

heurehh:mm

donnée 1

nombre...

...

donnée nnombre

(Le format retenu pour la date et l'heure a l'avantage de correspondre à l'ordrealphabétique)

- Le nombre de champs de donnée transmis par chaque Acquitel peut varier de 8 à 24selon les sites. Le séparatevir décimal pour les nombres représentant les données est lepoint (.).

On notera que chaque Acquitel mémorise seulement 4 jovirs de données(192 enregistrements) qui sont systématiquement retransmis à chaque appel sous laforme d'un fichier binaire vmique codé.



En cas de difficulté à rapatrier les dormées, les logiciels, qui procèdent à vme cessiond'appel, cherchent à en attribuer la cause qui peut être imputée :

- au réseau téléphonique,- à une reconfiguration de la centrale par un intervenant extérieur,- à une déconfiguration totale de la centrale,- à des parmes locales d'origine électrique.

Le bilan de toutes ces investigations apparaît sur l'écran de contrôle de l'ordinateurcentral en fin de cession d'appel. Sont détaillés la taille des fichiers transmis, vm critèrede conformité avec les données attendues et un indicateur sur l'éventuelledéconfiguration des centrales. En cas d'incident et dans la mesure du possible,l'opérateur TéléSuivi cherche alors à avertir les responsables afin de faire procéder auxinterventions nécessaires.

3.1.4 Archivage dans les fichiers mensuels

Compte tenu de la possibilité laissée aux utilisateurs de modifier la configuration des

centrales d'acquisition, l'archivage doit, pour être efficace, pouvoir fonctionnerindépendanmient des variations de configuration de chacvme des centrales. Le format de

fichier qui a été défini permet cette fonctionnalité :

- Les fichiers sont des fichiers mensuels qui sont mis à jour à chaque cession d'appel.

-Chaque fichier est constitué d'enregistrements à raison d'im par demi-heure (soit1440 enregistrements pour im mois de 30 jovu"s).

- Chaque enregistrement comporte plusieurs champs séparés par des virgules etexprimés en clair (format ASCII) qui sont :

Dateaaaa/mm/jj

heurehh:mm

donnée 1

nombre...

...

donnée nnombre

(Le format retenu pour la date et l'heure a l'avantage de correspondre à l'ordrealphabétique)

- Le nombre de champs de donnée transmis par chaque Acquitel peut varier de 8 à 24selon les sites. Le séparatevir décimal pour les nombres représentant les données est lepoint (.).

On notera que chaque Acquitel mémorise seulement 4 jovirs de données(192 enregistrements) qui sont systématiquement retransmis à chaque appel sous laforme d'un fichier binaire vmique codé.



Après le décodage le programme de contrôle procède alors à vme comparaison des

données déjà archivées et des données qui vierment d'être transmises. En fonction d'vm

certain nombre de règles, les nouvelles dormées sont alors archivées ou rejetées. Lesrègles tiennent notamment compte d'une dérive de l'horloge des centrales et de

l'éventuel ajout de champs. Les dormées rejetées font l'objet d'un archivage dans unfichier quotidien particulier qui peut être consulté par l'opérateur responsable dudiagnostic.

3.1.5 Mise en oeuvre du système d'appel et d'archivage

Le système complet d'appel et d'archivage est composé d'un micro-ordinateur, d'unmodem et de logiciels. Les logiciels sont disponibles sur une disquette au format MS-DOS. Dans la pratique, le disque dur du micro-ordinatevir doit contenir 3 répertoiresprincipaux concemant :

- le répertoire où sont rangés les programmes de contrôle et d'archivages,- le répertoire réservé au logiciel de communication OLICOM+,- le répertoire maître dédié à l'archivage des fichiers de données.

L'utilisateur doit définir si la procédvire d'appel est automatique ou si le déclenchementde la procédure est manuel et si vme cession d'appel concerne plusieurs sites ou un seulsite. Toutes les possibilités peuvent être mise en oeuvre de manière simple par le biaisdes procédures "BATCH" proposées par MS-DOS (fichiers *.BAT). Un fichier de

procédure permet de définir les 7 paramètres nécessaire au bon fonctiormement d'unecession d'appel :

- les noms des trois répertoires cités ci-dessus,- le nom du fichier contenant les paramètres des sites à appeler,- la fi-équence des appels (tous les 1, 2 ou 3 jovirs),- le nombre de tentatives à effectuer pour chaque site,- le nom du programme de décodage et d'archivage.

On notera que la possibilité de nommer différents programmes pour le décodage etl'archivage autorise la personnalisation des formats de fichier et des contrôles de

validité.

Les programmes sont prévus, dans le cas du choix d'une procédure automatique, pourpouvoir reprendre la cession d'appel en covirs après une coupure d'alimentationélectrique du micro-ordinateur.



Après le décodage le programme de contrôle procède alors à vme comparaison des

données déjà archivées et des données qui vierment d'être transmises. En fonction d'vm

certain nombre de règles, les nouvelles dormées sont alors archivées ou rejetées. Lesrègles tiennent notamment compte d'une dérive de l'horloge des centrales et de

l'éventuel ajout de champs. Les dormées rejetées font l'objet d'un archivage dans unfichier quotidien particulier qui peut être consulté par l'opérateur responsable dudiagnostic.

3.1.5 Mise en oeuvre du système d'appel et d'archivage

Le système complet d'appel et d'archivage est composé d'un micro-ordinateur, d'unmodem et de logiciels. Les logiciels sont disponibles sur une disquette au format MS-DOS. Dans la pratique, le disque dur du micro-ordinatevir doit contenir 3 répertoiresprincipaux concemant :

- le répertoire où sont rangés les programmes de contrôle et d'archivages,- le répertoire réservé au logiciel de communication OLICOM+,- le répertoire maître dédié à l'archivage des fichiers de données.

L'utilisateur doit définir si la procédvire d'appel est automatique ou si le déclenchementde la procédure est manuel et si vme cession d'appel concerne plusieurs sites ou un seulsite. Toutes les possibilités peuvent être mise en oeuvre de manière simple par le biaisdes procédures "BATCH" proposées par MS-DOS (fichiers *.BAT). Un fichier de

procédure permet de définir les 7 paramètres nécessaire au bon fonctiormement d'unecession d'appel :

- les noms des trois répertoires cités ci-dessus,- le nom du fichier contenant les paramètres des sites à appeler,- la fi-équence des appels (tous les 1, 2 ou 3 jovirs),- le nombre de tentatives à effectuer pour chaque site,- le nom du programme de décodage et d'archivage.

On notera que la possibilité de nommer différents programmes pour le décodage etl'archivage autorise la personnalisation des formats de fichier et des contrôles de

validité.

Les programmes sont prévus, dans le cas du choix d'une procédure automatique, pourpouvoir reprendre la cession d'appel en covirs après une coupure d'alimentationélectrique du micro-ordinateur.



De la même manière, l'utilisateur averti peut paramétrer au travers d'vm fichier BATCHde procédvire, le choix de la routine de gestion du programme de commvinication et lesprocédures de sauvegarde de sécurité (duplication). Les sauvegardes de sécuritéconcement les fichiers binaires qui résultent des appels et les fichiers ASCII mensuelsdes doimées bmtes.

Les informations qui doivent être renseignés dans le fichier des paramètres des sitessont :

- le nom complet du site,- le nom abrégé en 4 lettres qui sert d'en-tête aux fichiers de dormées,

- le nviméro de téléphone,- le code d'accès à la centrale d'acquisition limité à la consultation,-le code d'accès à la centrale d'acquisition généralisé aux modifications de

configvu-ation.

On notera qu'vm code d'accès "constmcteur", qui reste secret puisque les logiciels sontcompilés, est utilisé par le logiciel pour accéder aux centrales d'acquisition dont lesdéconfigurations sont totales comme par exemple après un orage. Ce cas ne se rencontreque quelques fois par an et concemé toujours les même sites.

Différents outils logiciels ont été développés au BRGM afin d'effectuer, par exemple :

- les opération de maintenance des fichiers contenant les paramètres des sites,- la consultation et l'édition des fichiers mensuels de données,- la concaténation de fichiers et l'extraction de dormées,

- la conversion de formats de fichiers,- l'impression sélective de tout ou partie d'vm fichier,- etc....

3.2 OBSOLESCENCE DES CENTRALES D'ACQUISITION ACQUITEL

Lors de levir mise en oeuvre, les centrales d'acquisition Acquitels étaient très modemeset, de plus, levir rapport coût/prestations était très favorable (20 kF).

Aujourd'hui, ces centrales ont atteint levu" limite de durée de vie (10 maximvim pour toutéquipement électronique). Les pannes de "vieillesse" les plus courantes sont liées auxaccvmiulateurs dont la durée de vie "constmcteur" est de 6 ans.

Ces centrales ne sont plus fabriquées et toute opération de maintenance et/ou deréparation devient relativement onéreuse. En l'absence de pièces détachées, lesréparations relèvent parfois du bricolage.



De la même manière, l'utilisateur averti peut paramétrer au travers d'vm fichier BATCHde procédvire, le choix de la routine de gestion du programme de commvinication et lesprocédures de sauvegarde de sécurité (duplication). Les sauvegardes de sécuritéconcement les fichiers binaires qui résultent des appels et les fichiers ASCII mensuelsdes doimées bmtes.

Les informations qui doivent être renseignés dans le fichier des paramètres des sitessont :

- le nom complet du site,- le nom abrégé en 4 lettres qui sert d'en-tête aux fichiers de dormées,

- le nviméro de téléphone,- le code d'accès à la centrale d'acquisition limité à la consultation,-le code d'accès à la centrale d'acquisition généralisé aux modifications de

configvu-ation.

On notera qu'vm code d'accès "constmcteur", qui reste secret puisque les logiciels sontcompilés, est utilisé par le logiciel pour accéder aux centrales d'acquisition dont lesdéconfigurations sont totales comme par exemple après un orage. Ce cas ne se rencontreque quelques fois par an et concemé toujours les même sites.

Différents outils logiciels ont été développés au BRGM afin d'effectuer, par exemple :

- les opération de maintenance des fichiers contenant les paramètres des sites,- la consultation et l'édition des fichiers mensuels de données,- la concaténation de fichiers et l'extraction de dormées,

- la conversion de formats de fichiers,- l'impression sélective de tout ou partie d'vm fichier,- etc....

3.2 OBSOLESCENCE DES CENTRALES D'ACQUISITION ACQUITEL

Lors de levir mise en oeuvre, les centrales d'acquisition Acquitels étaient très modemeset, de plus, levir rapport coût/prestations était très favorable (20 kF).

Aujourd'hui, ces centrales ont atteint levu" limite de durée de vie (10 maximvim pour toutéquipement électronique). Les pannes de "vieillesse" les plus courantes sont liées auxaccvmiulateurs dont la durée de vie "constmcteur" est de 6 ans.

Ces centrales ne sont plus fabriquées et toute opération de maintenance et/ou deréparation devient relativement onéreuse. En l'absence de pièces détachées, lesréparations relèvent parfois du bricolage.



Le rapport svir la première phase du présent programme présentait le tableau suivant surla disponibilité des centrales encore connectées :

AlfortvilleChampigny

ChatenayChelles

ChevillyCourneuve NCourneuve S

CreteilLemée

L'hay les rosesMaison Alfort 2

Meaux Beauval 2

Orly 2

Sucy

AvrilArchivées

1440

1440

1440

1440

1440

1440

842

1440

/1440

1373

1425

32

1174

Utilisables1440

1438/01440

0

1440

1426

816/00

/1434

0

0

32/0892/1174

Attendues1440

1440

1440

1440

1440

1440

1440

1440

/1440

1440

1440

1440

1440

MaiArchivées

1488

1488

1488

1488

1488

1437

52

69

1488

1488

1458

1167

41

38

Utilisables1488

1488/01486

0

1488

1473

0

69/01488/0

1466

0

0

0

38

Attendues1488

1488

1488

1487

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

Tableau - Bilan succinct des appels TéléSuivi pour avril et mai 1996(Appels noctumes effectués à partir du site centralisé du BRGM à Orléans)

On voit nettement que les dormées utilisables sont nettement moins nombrevises que lesdormées transmises et/ou attendues. Cela signifie que l'acquisition des données sur siteet/ou les centrales d'acquisition sont défectueuses.

Une rapide étude comparative des conceptions entre l'Acquitel et sont remplaçant leTBC montre vme bien meilleure maintenabilité du TBC qui est conçu en modvilesinterchangeables. Il s'en suit des coûts de fabrication et de maintenance (et donc de

commercialisation) bien plus favorable.

C'est surtout cet argument de coût qui met en exergue l'obsolescence des Acquitels. Eneffet, l'installation d'une centrale TBC neuve (15 kF) ne coûte guère plus cher que lereconditionnement d'une "vielle" centrale Acquitel.



Le rapport svir la première phase du présent programme présentait le tableau suivant surla disponibilité des centrales encore connectées :

AlfortvilleChampigny

ChatenayChelles

ChevillyCourneuve NCourneuve S

CreteilLemée

L'hay les rosesMaison Alfort 2

Meaux Beauval 2

Orly 2

Sucy

AvrilArchivées

1440

1440

1440

1440

1440

1440

842

1440

/1440

1373

1425

32

1174

Utilisables1440

1438/01440

0

1440

1426

816/00

/1434

0

0

32/0892/1174

Attendues1440

1440

1440

1440

1440

1440

1440

1440

/1440

1440

1440

1440

1440

MaiArchivées

1488

1488

1488

1488

1488

1437

52

69

1488

1488

1458

1167

41

38

Utilisables1488

1488/01486

0

1488

1473

0

69/01488/0

1466

0

0

0

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Attendues1488

1488

1488

1487

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

1488

Tableau - Bilan succinct des appels TéléSuivi pour avril et mai 1996(Appels noctumes effectués à partir du site centralisé du BRGM à Orléans)

On voit nettement que les dormées utilisables sont nettement moins nombrevises que lesdormées transmises et/ou attendues. Cela signifie que l'acquisition des données sur siteet/ou les centrales d'acquisition sont défectueuses.

Une rapide étude comparative des conceptions entre l'Acquitel et sont remplaçant leTBC montre vme bien meilleure maintenabilité du TBC qui est conçu en modvilesinterchangeables. Il s'en suit des coûts de fabrication et de maintenance (et donc de

commercialisation) bien plus favorable.

C'est surtout cet argument de coût qui met en exergue l'obsolescence des Acquitels. Eneffet, l'installation d'une centrale TBC neuve (15 kF) ne coûte guère plus cher que lereconditionnement d'une "vielle" centrale Acquitel.



4. Nouvel équipement sur le site de Sucy en Brie

Globalement, le cahier des charges initial du réseau TéléSuivi constitue une tramesolide. En tenant compte de la modernisation déjà effectué au début des armées 1990 des

procédvu-es centralisées d'archivage des données du TéléSuivi, vm nouveau cahier des

charge se limite donc à la prise en compte des nouvelles prestations offertes par lescentrales d'acquisition plus modemes.

Il est intéressant de noter que, lors de la première phase de ce programme, le maintiendu Minitel comme console de consultation a été, de manière surprenante, plébiscité.

4.1 RESUME DU CAHIER DES CHARGES

L'évolution attendue la plus sensible concernait la qualité, la maintenabilité et laprésentation du matériel. Ainsi, vme accessibilité soignée des bomiers et des cartesélectroniques était exigée. De plus, l'accent était mis svir l'ergonomie et les performancesdes logiciels de maintenance, de rapatriement des données et de suivi à distance. Onnotera que le principe de la modernisation affecte également la qualité du câblage desdifférents capteurs actuellement en place. Initialement, 3 options de modemisationavaient été envisagées :

Option 1 - Chaque centrale est remplacée par une centrale de caractéristiqueséquivalentes mais plus moderne.

Dans cette option, les caractéristiques générales (nombre de voies, qvialité de fabrication,performances, etc.) sont sensiblement équivalentes à celles des centrales en place mais sontcompatibles avec une utilisation industrielle. Les principavix efforts portent sur la qualité dumontage et svir l'accessibilité des composants.

Le coût installé sera environ de 20 à 25 kF.

Option 2 - Chaque centrale est remplacée par une centrale disposant decaractéristiques étendues.

Dans cette option, les caractéristiques générales sont revues à la hausse. Ainsi, en plvis descaractéristiques de l'option 1, la centrale doit offrir des capacités de modularité pouvantautoriser des opérations ponctuelles (suivi d'un événement scientifique par exemple) qui neremette pas en cause la tâche de fond. De la même façon, la qualité de montage (matériavix,étanchéité, isolations, etc..) doit être particulièrement soignée. La simplicité d'utilisation etl'ergonomie de logiciels sont des critères importants.

Le coût installé sera compris entre 25 et 35 kF.



4. Nouvel équipement sur le site de Sucy en Brie

Globalement, le cahier des charges initial du réseau TéléSuivi constitue une tramesolide. En tenant compte de la modernisation déjà effectué au début des armées 1990 des

procédvu-es centralisées d'archivage des données du TéléSuivi, vm nouveau cahier des

charge se limite donc à la prise en compte des nouvelles prestations offertes par lescentrales d'acquisition plus modemes.

Il est intéressant de noter que, lors de la première phase de ce programme, le maintiendu Minitel comme console de consultation a été, de manière surprenante, plébiscité.

4.1 RESUME DU CAHIER DES CHARGES

L'évolution attendue la plus sensible concernait la qualité, la maintenabilité et laprésentation du matériel. Ainsi, vme accessibilité soignée des bomiers et des cartesélectroniques était exigée. De plus, l'accent était mis svir l'ergonomie et les performancesdes logiciels de maintenance, de rapatriement des données et de suivi à distance. Onnotera que le principe de la modernisation affecte également la qualité du câblage desdifférents capteurs actuellement en place. Initialement, 3 options de modemisationavaient été envisagées :

Option 1 - Chaque centrale est remplacée par une centrale de caractéristiqueséquivalentes mais plus moderne.

Dans cette option, les caractéristiques générales (nombre de voies, qvialité de fabrication,performances, etc.) sont sensiblement équivalentes à celles des centrales en place mais sontcompatibles avec une utilisation industrielle. Les principavix efforts portent sur la qualité dumontage et svir l'accessibilité des composants.

Le coût installé sera environ de 20 à 25 kF.

Option 2 - Chaque centrale est remplacée par une centrale disposant decaractéristiques étendues.

Dans cette option, les caractéristiques générales sont revues à la hausse. Ainsi, en plvis descaractéristiques de l'option 1, la centrale doit offrir des capacités de modularité pouvantautoriser des opérations ponctuelles (suivi d'un événement scientifique par exemple) qui neremette pas en cause la tâche de fond. De la même façon, la qualité de montage (matériavix,étanchéité, isolations, etc..) doit être particulièrement soignée. La simplicité d'utilisation etl'ergonomie de logiciels sont des critères importants.

Le coût installé sera compris entre 25 et 35 kF.



Option 3 - Le cas échéant, la GTC du site supplée à la centrale obsolète.

Dans cette option, l'exploitant ou le maître d'ouvrage ne souhaite pas bénéficier de laredondance des acquisitions. Néanmoins, il s'engage à mettre à notre disposition les donnéesrequises par notre mission. Ces dormées sont, en principe, récoltées par la GTC du site. Leurformat et le mode de rapatriement sont cependant variables Les travaux portentexclusivement svir les aspects logiciels de contrôle à distance qui doivent être adaptés à

chacune de GTC distantes et homogénéisés au niveau de l'interface unique.

Les coûts d'utilisation d'une GTC à des fins de TéléSuivi ne sont pas négligeables. En effet,ces systèmes de gestion sont rarement configurés povir archiver des données (option nonretenue) et un aménagement des logiciels est alors nécessaire. Ainsi, à titre d'exemple, vm

devis de mise à niveau du logiciel nous à été proposé à 1 5 kF. Ce coût ne tient pas compte dela connexion des capteurs du TéléSuivi et du raccordement au réseau RTC par modem. On levoit, ces coûts sont comparables à ceux de l'implantation d'une nouvelle centrale avecl'inconvénient d'vme consultation des données sur site réservée avix personnes habilitées ; onne manipule pas vme GTC à la légère !

4.2 COMPARAISON DES 3 OPTIONS INITIALES DE REMPLACEMENT(RAPPEL)

Option 1 : Remplacement par une centrale équivalente plus modemeDescription succincte

- Centrale d'entrée de gamme- Limitée à la scmtation des

dormées- Accessible par Minitel ou parModem

Avantages- Installation simple- Coût raisonnable- Présentation avenante

Inconvénients- A peine moins cher qu'imdispositif plus performant

- Performances limités- Consultation des dormées

fiiistre

L'option 1 de remplacement par vme centrale de type "entrée de gamme industrielle" n'apas été jugée assez modulaire pour d'éventuelles "personnalisation" de l'installation surchaque site. La proposition de NAPAC convenait parfaitement au cahier des chargesinitial mais en confi-ontant les caractéristiques avec les remarques des opératevirs, il estappam judicievix de faire évoluer le cahier des charges vers vm niveau de performanceplus élevé tout en conservant les aspect "indvistriels" de cette option.



Option 3 - Le cas échéant, la GTC du site supplée à la centrale obsolète.

Dans cette option, l'exploitant ou le maître d'ouvrage ne souhaite pas bénéficier de laredondance des acquisitions. Néanmoins, il s'engage à mettre à notre disposition les donnéesrequises par notre mission. Ces dormées sont, en principe, récoltées par la GTC du site. Leurformat et le mode de rapatriement sont cependant variables Les travaux portentexclusivement svir les aspects logiciels de contrôle à distance qui doivent être adaptés à

chacune de GTC distantes et homogénéisés au niveau de l'interface unique.

Les coûts d'utilisation d'une GTC à des fins de TéléSuivi ne sont pas négligeables. En effet,ces systèmes de gestion sont rarement configurés povir archiver des données (option nonretenue) et un aménagement des logiciels est alors nécessaire. Ainsi, à titre d'exemple, vm

devis de mise à niveau du logiciel nous à été proposé à 1 5 kF. Ce coût ne tient pas compte dela connexion des capteurs du TéléSuivi et du raccordement au réseau RTC par modem. On levoit, ces coûts sont comparables à ceux de l'implantation d'une nouvelle centrale avecl'inconvénient d'vme consultation des données sur site réservée avix personnes habilitées ; onne manipule pas vme GTC à la légère !

4.2 COMPARAISON DES 3 OPTIONS INITIALES DE REMPLACEMENT(RAPPEL)

Option 1 : Remplacement par une centrale équivalente plus modemeDescription succincte

- Centrale d'entrée de gamme- Limitée à la scmtation des

dormées- Accessible par Minitel ou parModem

Avantages- Installation simple- Coût raisonnable- Présentation avenante

Inconvénients- A peine moins cher qu'imdispositif plus performant

- Performances limités- Consultation des dormées

fiiistre

L'option 1 de remplacement par vme centrale de type "entrée de gamme industrielle" n'apas été jugée assez modulaire pour d'éventuelles "personnalisation" de l'installation surchaque site. La proposition de NAPAC convenait parfaitement au cahier des chargesinitial mais en confi-ontant les caractéristiques avec les remarques des opératevirs, il estappam judicievix de faire évoluer le cahier des charges vers vm niveau de performanceplus élevé tout en conservant les aspect "indvistriels" de cette option.



Option 2 : Remplacement par une centrale (scientifique) très modulaireDescription succincte

- Centrale haut de gammedédiée à l'acquisition de

dormées- Qualité scientifique- Accessible par Minitel /Modem

- Composée d'vm modulemaître et de modulesdéportés jusqu'à des grandesdistances.

Avantages

- Installation très simple- Précision des mesures- Nombre de voies de mesvire- Consultation des données

aisée

- Modification des

configurations très aisée- Ajout de modules déporté

simples- Grande autonomie sur

batteries- Qualité de fabrication- Durée de vie

Inconvénients- Coût élevé- Connexion à d'autres

éléments de régulation ou deGTC impossible

- Matériel peu répandu

L'option 2 de remplacement des Acquitels par une centrale de terrain a buté svir ladisponibilité d'vm tel appareillage dans vme gamme de prix acceptable. Le projet de

centrale IRIS Instruments ne verra finalement pas le jour et la centrale OSIRIS actuelle,bien que convenant parfaitement au cahier des charges a vm coût supérieur à 40 kF. Leprincipe de la modularité de ce type de centrale à été retenu, il en est de même de lasimplicité et de l'ergonomie des logiciels.

Option 3 : Utilisation de la GTC locale implantée sur le site

Description succincte- Récupération des données

géothermales d'exploitationen se connectant sur la GTCdu site

Avantages- Installation relativement

simple- Coût raisonnable- Maintenance assvu-ée par le

site

Inconvénients- Systèmes différents d'un site

à l'autre- Modification de l'installation

de l'exploitant- Performances pas

nécessairement adaptées- Consultation des données à

distance

L'option 3 d'utilisation d'une GTC locale est sans objet à Sucy en Brie qui en estdépourvu. Notamment en raison de ce demier point, le cahier des charges final quiconstitue l'option 4 incorpore la notion de la compatibilité avec les normes indvistriellesemployées pour les GTC et les GTB (comme par exemple les bus de mesure et lareconnaissance des automates) afin de pouvoir, le cas échéant, se raccorder à la GTC oufaire fonction de GTC en cas d'absence.



Option 2 : Remplacement par une centrale (scientifique) très modulaireDescription succincte

- Centrale haut de gammedédiée à l'acquisition de

dormées- Qualité scientifique- Accessible par Minitel /Modem

- Composée d'vm modulemaître et de modulesdéportés jusqu'à des grandesdistances.

Avantages

- Installation très simple- Précision des mesures- Nombre de voies de mesvire- Consultation des données

aisée

- Modification des

configurations très aisée- Ajout de modules déporté

simples- Grande autonomie sur

batteries- Qualité de fabrication- Durée de vie

Inconvénients- Coût élevé- Connexion à d'autres

éléments de régulation ou deGTC impossible

- Matériel peu répandu

L'option 2 de remplacement des Acquitels par une centrale de terrain a buté svir ladisponibilité d'vm tel appareillage dans vme gamme de prix acceptable. Le projet de

centrale IRIS Instruments ne verra finalement pas le jour et la centrale OSIRIS actuelle,bien que convenant parfaitement au cahier des charges a vm coût supérieur à 40 kF. Leprincipe de la modularité de ce type de centrale à été retenu, il en est de même de lasimplicité et de l'ergonomie des logiciels.

Option 3 : Utilisation de la GTC locale implantée sur le site

Description succincte- Récupération des données

géothermales d'exploitationen se connectant sur la GTCdu site

Avantages- Installation relativement

simple- Coût raisonnable- Maintenance assvu-ée par le

site

Inconvénients- Systèmes différents d'un site

à l'autre- Modification de l'installation

de l'exploitant- Performances pas

nécessairement adaptées- Consultation des données à

distance

L'option 3 d'utilisation d'une GTC locale est sans objet à Sucy en Brie qui en estdépourvu. Notamment en raison de ce demier point, le cahier des charges final quiconstitue l'option 4 incorpore la notion de la compatibilité avec les normes indvistriellesemployées pour les GTC et les GTB (comme par exemple les bus de mesure et lareconnaissance des automates) afin de pouvoir, le cas échéant, se raccorder à la GTC oufaire fonction de GTC en cas d'absence.



4.3 CRITERES DE SELECTION RETENUS POUR L'OPERATION DE SUCYEN BRIE

Le bilan de la phase de diagnostic a conduit à proposer vme redéfinition du cahier descharge initial de la solution de remplacement des Acquitels.

Rappel des fonctionnalités nouvelles ou aménagéesAvis des Différents Intervenants

Système simple à consulterSystème peu onérevix

Système utile à l'exploitation de la centrale

Intégration des contextes d'exploitation actuels et futursCompatible avec les protocoles industriels (JBUS/MODBUS)Compatible avec les outils de supervisionGestion d'alarmesIndépendance des fonctions de TéléSuivi et de Régulation

En effet, les différentes entrevues avec les exploitants, les maîtres d'ouvrage et lescontacts avec les partenaires et foumisseurs nous ont permis de proposer vme solutionfinale (option 4) qui, en fait, regroupe les avantage des 3 options initialementenvisagées mais qui surtout intègre les remarques émises par les différentsinterlocuteurs lors de cette phase de diagnostic.

Option 4 : Centrale simple ayant des fonctions de GTCRegroupement des principaux avantages des trois familles d'options de base

Description succincte- Centrale d'acquisition de

dormées et de gestion deprocessus

- Reprise des avantages del'option 1

- Compromis descaractéristiques des options 2

et 3

Avantages- Consultation des dormées

très simple svir vm terminalMinitel local

- Fonctions de GTC possibles- Installation relativementmodulaire

- Commvinication sur bus RS-485

- Connexion à des élémentsexistants de GTC ou derégulation

- Maintenance prise en chargepar le site probable

Inconvénients- Configviration des voies de

mesvu-e astreignante (respectde protocoles industriels)

- Matériel mis en oeuvre etmaintenu par desprofessionnels

- Interactions possibles entreles fonctions de régulation etde TéléSviivi si les fonctionsde GTC sont exploitées



4.3 CRITERES DE SELECTION RETENUS POUR L'OPERATION DE SUCYEN BRIE

Le bilan de la phase de diagnostic a conduit à proposer vme redéfinition du cahier descharge initial de la solution de remplacement des Acquitels.

Rappel des fonctionnalités nouvelles ou aménagéesAvis des Différents Intervenants

Système simple à consulterSystème peu onérevix

Système utile à l'exploitation de la centrale

Intégration des contextes d'exploitation actuels et futursCompatible avec les protocoles industriels (JBUS/MODBUS)Compatible avec les outils de supervisionGestion d'alarmesIndépendance des fonctions de TéléSuivi et de Régulation

En effet, les différentes entrevues avec les exploitants, les maîtres d'ouvrage et lescontacts avec les partenaires et foumisseurs nous ont permis de proposer vme solutionfinale (option 4) qui, en fait, regroupe les avantage des 3 options initialementenvisagées mais qui surtout intègre les remarques émises par les différentsinterlocuteurs lors de cette phase de diagnostic.

Option 4 : Centrale simple ayant des fonctions de GTCRegroupement des principaux avantages des trois familles d'options de base

Description succincte- Centrale d'acquisition de

dormées et de gestion deprocessus

- Reprise des avantages del'option 1

- Compromis descaractéristiques des options 2

et 3

Avantages- Consultation des dormées

très simple svir vm terminalMinitel local

- Fonctions de GTC possibles- Installation relativementmodulaire

- Commvinication sur bus RS-485

- Connexion à des élémentsexistants de GTC ou derégulation

- Maintenance prise en chargepar le site probable

Inconvénients- Configviration des voies de

mesvu-e astreignante (respectde protocoles industriels)

- Matériel mis en oeuvre etmaintenu par desprofessionnels

- Interactions possibles entreles fonctions de régulation etde TéléSviivi si les fonctionsde GTC sont exploitées



On peut ainsi citer le plébiscite de la console Minitel pour visualiser sur site lesinformations de la centrale alors que l'on envisageait initialement d'utiliser vm

ordinateur. Dans cette hypothèse, les logiciels de consultation sont intégrés dans lacentrale d'acquisition mais restent de performances modestes. Ce choix se justifie par lanécessité de disposer sur site d'vm matériel peu onéreux, très simple d'utilisation mêmesi cela restreint la quantité d'information disponible à un instant donné. L'avantage enest la possibilité d'vme consultation par toute persorme même sans formation préalable.

4.4 EQUIPEMENT SELECTIONNE POUR L'OPERATION PILOTE DE SUCYEN BRIE

Le matériel qui a été choisi provient de chez NAPAC qui était déjà le foumissevir des

ACQUITEL. Le système s'articule autour d'un boîtier MiniRack (Aimexe 3) dans lequelsont insérées les cartes de mesure spécifiques qui correspondent aux besoins exprimésdans notre cahier des charge.

On note que ce choix s'accompagne d'vm remplacement des captevirs de températvirePt 100 par des Pt 1000 ; qui sont plus simples à gérer (résistance électrique plus élevéeet donc moins sensible aux parasites).

La partie software est composé de 2 logiciels

Logiciel TBC

Inclut dans la centraleTBC

Ce logiciel placé dans la ROM du dispositif MiniRack, assureprincipalement les fonctions suivantes :

- Configurations des dispositifs- Gestion des mesures- Moyennage des mesvire par demi-hevire (par exemple)- Archivage des mesvu-es (15 jovirs à raison d'un enregistrement

chaque demi-heure)- Gestion d'un fichier historique et affichage de courbes- Consultations par vme console MINITEL (3 touches suffisent)- Transferts par liaison V23

KERMIN 4,5 kFsimple archivage des

données

KERWIN 15 kFavec options de

supervision

Ce logiciel placé sur un ordinateur PC déporté permet lerapatriement des fichiers détaillés de mesvire et des fichiershistoriques.Chaque fichier comporte 64 kB de données (vme fois décodé).Les dormées sont transcrites sous vm format ASCII lisible par destableurs comme EXCEL de Microsoft.



On peut ainsi citer le plébiscite de la console Minitel pour visualiser sur site lesinformations de la centrale alors que l'on envisageait initialement d'utiliser vm

ordinateur. Dans cette hypothèse, les logiciels de consultation sont intégrés dans lacentrale d'acquisition mais restent de performances modestes. Ce choix se justifie par lanécessité de disposer sur site d'vm matériel peu onéreux, très simple d'utilisation mêmesi cela restreint la quantité d'information disponible à un instant donné. L'avantage enest la possibilité d'vme consultation par toute persorme même sans formation préalable.

4.4 EQUIPEMENT SELECTIONNE POUR L'OPERATION PILOTE DE SUCYEN BRIE

Le matériel qui a été choisi provient de chez NAPAC qui était déjà le foumissevir des

ACQUITEL. Le système s'articule autour d'un boîtier MiniRack (Aimexe 3) dans lequelsont insérées les cartes de mesure spécifiques qui correspondent aux besoins exprimésdans notre cahier des charge.

On note que ce choix s'accompagne d'vm remplacement des captevirs de températvirePt 100 par des Pt 1000 ; qui sont plus simples à gérer (résistance électrique plus élevéeet donc moins sensible aux parasites).

La partie software est composé de 2 logiciels

Logiciel TBC

Inclut dans la centraleTBC

Ce logiciel placé dans la ROM du dispositif MiniRack, assureprincipalement les fonctions suivantes :

- Configurations des dispositifs- Gestion des mesures- Moyennage des mesvire par demi-hevire (par exemple)- Archivage des mesvu-es (15 jovirs à raison d'un enregistrement

chaque demi-heure)- Gestion d'un fichier historique et affichage de courbes- Consultations par vme console MINITEL (3 touches suffisent)- Transferts par liaison V23

KERMIN 4,5 kFsimple archivage des

données

KERWIN 15 kFavec options de

supervision

Ce logiciel placé sur un ordinateur PC déporté permet lerapatriement des fichiers détaillés de mesvire et des fichiershistoriques.Chaque fichier comporte 64 kB de données (vme fois décodé).Les dormées sont transcrites sous vm format ASCII lisible par destableurs comme EXCEL de Microsoft.



4.5 ELEMENTS DE COUT

4.5.1 Coûts des matériels

Pour information, les coûts des matériels livrés povir l'opération de Sucy en Bries'élèvent à 2 2 . 9 9 6 FHT qui se décompose en :

1) 1.936 FHT de sondes de température commandées chez TC,2) 3.800 FHT de centrale d'acquisition NAPAC,3) 4 60 FHT de petit matériel commandé chez NAPAC4) 4.750 FHT de logiciel de rapatriement de données KERWIN-NAPAC,5) 2.350 FHT de modem Anderson Jacobson commandé chez NAPAC.

Il est à noter que seuls les item 1 à 3 sont des coûts fixes par site (soit : 16.196 FHT).Les items 4 et 5 sont des coûts alloués au rapatriement des données et ne s'appliquentdonc que si cette option est prise en compte par les exploitants ou maîtres d'ouvrage.

Par ailleurs, le poste 2 doit pouvoir faire l'objet d'ime réduction de 15% povir vme

quantité de 20 unités.

A ces coûts, il convient d'envisager l'éventuel remplacement de capteurs de pressiondéfectueux (assez rare) ou dispams. De la même façon, certains sites sont dépourvus de

coffret dont le coût vmitaire est compris entre 500 FHT et 1.000 FHT selon laqualité. En principe, les alimentations 24 V des capteurs 4-20 mA sont toujoursopérationnelles et n'entraînent que rarement des coûts de remplacement.

Sondes de températureSondes Pt 1000

Quantité

4

Référence TC

16-1-6, 0-2-170-CElO-RIOOO-B

Prixunitaire

FHT

484,00

PrixTotalFHT

1936,00



4.5 ELEMENTS DE COUT

4.5.1 Coûts des matériels

Pour information, les coûts des matériels livrés povir l'opération de Sucy en Bries'élèvent à 2 2 . 9 9 6 FHT qui se décompose en :

1) 1.936 FHT de sondes de température commandées chez TC,2) 3.800 FHT de centrale d'acquisition NAPAC,3) 4 60 FHT de petit matériel commandé chez NAPAC4) 4.750 FHT de logiciel de rapatriement de données KERWIN-NAPAC,5) 2.350 FHT de modem Anderson Jacobson commandé chez NAPAC.

Il est à noter que seuls les item 1 à 3 sont des coûts fixes par site (soit : 16.196 FHT).Les items 4 et 5 sont des coûts alloués au rapatriement des données et ne s'appliquentdonc que si cette option est prise en compte par les exploitants ou maîtres d'ouvrage.

Par ailleurs, le poste 2 doit pouvoir faire l'objet d'ime réduction de 15% povir vme

quantité de 20 unités.

A ces coûts, il convient d'envisager l'éventuel remplacement de capteurs de pressiondéfectueux (assez rare) ou dispams. De la même façon, certains sites sont dépourvus de

coffret dont le coût vmitaire est compris entre 500 FHT et 1.000 FHT selon laqualité. En principe, les alimentations 24 V des capteurs 4-20 mA sont toujoursopérationnelles et n'entraînent que rarement des coûts de remplacement.

Sondes de températureSondes Pt 1000

Quantité

4

Référence TC

16-1-6, 0-2-170-CElO-RIOOO-B

Prixunitaire

FHT

484,00

PrixTotalFHT

1936,00



Centrale de mesurePoste local T B C "Mini-Rack

Carte 4 E A : 4 entrées Analogiques 4-20 m A

Carte 4 E A : 4 entrées Analogiques Pt 1000

Carte 4 E A : 4 entrées Logiques (Etat,Comptage)

Petit MatérielCable de liaison TBC/Minitel

Parafoudre ligne téléphonique

Quantité

1

2

1

1

1

1

Référence N A P A C

OTBCCMRÔ0100

OMADEEA04000

OMADEET04000

OMADEEL04000

OTBCKEM0O0OO

OTBCPPFO00OO

Prixunitaire

FHT

7 750,00

1 750,00

1 750,00

800.00

110,00

350,00

PrixTotalFHT

7 750,00

3 500,00

1 750,00

800,00

110,00

350,00

Modem pour PC compatible K E R W I NM o d e m C X R 14400 coffret

avec retournement dynamique

Quantité

1


0REVIKXOOOOl

Prixunitaire

FHT

2 350,00

PrixTotalFHT

2 350,00

Logiciels P C - Configuration min imumK E R M I N : Emulateur Minitel m o d e m V23

K E R M I N : Module de téléchargement

: • K E R W Î N : Version de base (max. 20:• centrales)

:i: iCERWïN : Module Rapatriement dos\. données

Quantité

1

1

1

1


0CPCLKE00000

OCPCLKE00010

OCPC- ' LKNÛ0O0Û

OCPCLKDO0Ô0O

Prixunitaire

FHT

1 750,00

3 000,00

11.250.00

7 500,00

PrixTotalFHT

1 750,00

3 000,00

11.250,01I

7.smm



4.5.2 Coûts d'installation et de mise en oeuvre

Pour u n site isolé, la mise en oeuvre (installation du matériel et configuration de lacentrale) nécessite environ une journée de technicien ( 3 , 2 0 0 F H T ) et une journéed'ingénieur ( 5 , 0 0 0 F H T ) soit une total de 8 , 2 0 0 F H T environ auxquels il convientde rajouter diverses petites fournitures évaluées forfaitairement à 5 0 0 F H T .

Dans l'hypothèse de l'équipement de plusieurs sites en continu, ces coûts doiventpouvoir être sensiblement révisés à la baisse

Pour information, les prix pratiqués par N A P A C pour effectuer uniquement lavérification et l'aide à la mise en route sont reportés dans la tableau suivant.

Pour information

Wime en • service: su3r::site;{là- journée). •1 Vérification câblage;• Paramétrage, Test de fonctionnement£ Formation¡Fonaatiott / Mise en Service K E R W I N§;. (la journée):

Quantité

1

ï


ÎMISFPLIÛOOO

ÎMIS FPCO00OO

Prixunitaire

FHT3=000,00

4 000.00

PrixTotalFHT

3 OOÔ^P

4 000.0

4.5.3 Eléments de coûts pour le suivi, la maintenance et le rapatriementdes données

E n se basant sur l'exploitation des centrales Acquitel pendant une dizaine d'années, ilapparaît que l'organisation du service de collecte des information (rapatriement desdonnées) doit être complété par une activité de suivi/maintenance et étalonnage desinstallations d'acquisition de données.

L a base de calcul pour l'activité de maintenance serait de 2 visites par an. Pour 20 sites,cela fait 4 0 visites. A raison de 2 visites par jour et de 5 , 0 0 0 F H T par jour, le coût desvisites est évalué à 1 0 0 , 0 0 0 F H T pour l'ensemble des installations.

L a base de calcul pour les coûts de rapatriement et d'archivage des données estconditionnée par l'existence ou non d'une interprétation des informations. Cette dernièreest d'autant plus souhaitable que, si elle est réalisé par la m ê m e entreprise que cellechargé de la collecte des données, le surcoût est limité à un journée par mois.



Dans l'hypothèse d'im expédition mensuelle d'vm bilan des acquisitions, il faut compter1 journée par mois pour les bilans et 2 journées par mois pour l'acquisition, la mise enforme des données et l'archivage. Cela fait un total de 3 journées de travail par mois auprix vmitaire de 4 , 0 0 0 FHT, soit un coût d'environ 150,000 FHT

Le coût des communications téléphoniques (2,000 FHT par mois dans le cas desappels depuis Orléans), les frais d'expédition et d'archivage (supports informatiques) etde l'éventuel remplacement des pièces défectueuses sont en sus.

Globalement, le coût de fonctiormement annuel devrait se situer entre 250,000 FHTet 300,000 FHT par an. Ces prix povirraient sans doute être réduits s'il est fait appel à

vme seule et même entreprise povir assurer l'intégralité des tâches : maintenancepréventive, rapatriement des données, archivage et édition des bilans. Dans ce demiercas, il faut établir vm contrat de foumiture mensuelle des données au BRGM ou à

l'Ademe à des fins d'archivage dans le cadre du service public.



Dans l'hypothèse d'im expédition mensuelle d'vm bilan des acquisitions, il faut compter1 journée par mois pour les bilans et 2 journées par mois pour l'acquisition, la mise enforme des données et l'archivage. Cela fait un total de 3 journées de travail par mois auprix vmitaire de 4 , 0 0 0 FHT, soit un coût d'environ 150,000 FHT

Le coût des communications téléphoniques (2,000 FHT par mois dans le cas desappels depuis Orléans), les frais d'expédition et d'archivage (supports informatiques) etde l'éventuel remplacement des pièces défectueuses sont en sus.

Globalement, le coût de fonctiormement annuel devrait se situer entre 250,000 FHTet 300,000 FHT par an. Ces prix povirraient sans doute être réduits s'il est fait appel à

vme seule et même entreprise povir assurer l'intégralité des tâches : maintenancepréventive, rapatriement des données, archivage et édition des bilans. Dans ce demiercas, il faut établir vm contrat de foumiture mensuelle des données au BRGM ou à

l'Ademe à des fins d'archivage dans le cadre du service public.



5. Implantation de la centrale TBC Mini-Rack

La centrale TBC Mini-Rack s'implante directement en remplacement de la centraleAcquitel. Il faut cependant remplacer toutes les sondes de températvire PtlOO par dessondes PtlOOO. Cette modification simplifie le câblage et permet l'utilisation d'vme cartede mesvire très simple (2 fils par sonde de température).

5.1 CARACTERISTIQUES GENERALES DE LA CENTRALE TBC MINI-RACK(SOURCES NAPAC)

Il faut noter que cette centrale d'acquisition n'appartient pas à la toute demièregénération de centrales de chez NAPAC. Si les caractéristiques globales sontrelativement similaires à cette demière génération, elle présente l'avantage d'une grandemodularité et n'a comme inconvénient que le bomier qui laisse visible les fils. Cela estrigoureusement sans importance dans la mesure où l'ambiance électromagnétique desusines géothermiques incite à monter les coffrets électroniques dans une armoiremétallique.

5.5.1 Généralités

le TBC version Mini-Rack est vme vinité locale de télégestion modulaire permettant lasupervision à distance d'installations techniques diverses, de petite à moyenne taille(jusqu'à 350 entrées/sorties). Il intègre vm modem numéroteur RTC et peut égalementgêner des liaisons type Bus de terrain. Lignes spécialisées ou Radio.

Son exploitation se fait en local ou à distance à partir d'un Minitel ou d'vm micro¬ordinateur.

Mesures - CommandesLa TBC mesure en permanence les informations logiques et/ou analogiques enprovenance des capteurs et exécute les ordres de commande et réglage des équipementspar ses propres cartes d'Entrée/Sortie ou via ses périphériques (MAD, automates,...).

TraitementLe TBC traite les signaux des capteurs, calcule les valeurs moyennes, les cumuls,diverses grandeurs de type bilan, ratios, rendements,... Il les stocke et permet de lesvisualiser sous forme de tableaux et de graphiques.

CommunicationLe TBC permet vm dialogue (relativement) convivial par l'intermédiaire d'vm Minitel oud'un ordinateur de supervision. 11 est aussi possible de rapatrier automatiquementl'historique des mesures et d'effectuer des téléchargements de configviration.



5. Implantation de la centrale TBC Mini-Rack

La centrale TBC Mini-Rack s'implante directement en remplacement de la centraleAcquitel. Il faut cependant remplacer toutes les sondes de températvire PtlOO par dessondes PtlOOO. Cette modification simplifie le câblage et permet l'utilisation d'vme cartede mesvire très simple (2 fils par sonde de température).

5.1 CARACTERISTIQUES GENERALES DE LA CENTRALE TBC MINI-RACK(SOURCES NAPAC)

Il faut noter que cette centrale d'acquisition n'appartient pas à la toute demièregénération de centrales de chez NAPAC. Si les caractéristiques globales sontrelativement similaires à cette demière génération, elle présente l'avantage d'une grandemodularité et n'a comme inconvénient que le bomier qui laisse visible les fils. Cela estrigoureusement sans importance dans la mesure où l'ambiance électromagnétique desusines géothermiques incite à monter les coffrets électroniques dans une armoiremétallique.

5.5.1 Généralités

le TBC version Mini-Rack est vme vinité locale de télégestion modulaire permettant lasupervision à distance d'installations techniques diverses, de petite à moyenne taille(jusqu'à 350 entrées/sorties). Il intègre vm modem numéroteur RTC et peut égalementgêner des liaisons type Bus de terrain. Lignes spécialisées ou Radio.

Son exploitation se fait en local ou à distance à partir d'un Minitel ou d'vm micro¬ordinateur.

Mesures - CommandesLa TBC mesure en permanence les informations logiques et/ou analogiques enprovenance des capteurs et exécute les ordres de commande et réglage des équipementspar ses propres cartes d'Entrée/Sortie ou via ses périphériques (MAD, automates,...).

TraitementLe TBC traite les signaux des capteurs, calcule les valeurs moyennes, les cumuls,diverses grandeurs de type bilan, ratios, rendements,... Il les stocke et permet de lesvisualiser sous forme de tableaux et de graphiques.

CommunicationLe TBC permet vm dialogue (relativement) convivial par l'intermédiaire d'vm Minitel oud'un ordinateur de supervision. 11 est aussi possible de rapatrier automatiquementl'historique des mesures et d'effectuer des téléchargements de configviration.



Alarme

Le TBC se caractérise par vme gestion d'alarme particulièrement performante ethautement sécurisée : rappel périodiques, fonction d'acquittement, gestion de secovirs.Chacun des quatre numéros d'appel peut être affecté à l'vm des différents support d'alertedisponible : Eurosignal, Alphapage, Minitel, Poste central.

Autres fonctions

Messagerie, Programmation calendaires. Imprimante locale. Automatismes, Calculsentre voies. Automates, etc....

5.1.2 Caractéristiques techniques

Boîtier

Dimension : 122 x 200 x 1 18 mmPoids : 1 .2 kgFixation : rail DFN6 emplacements pour cartes Entrées/Sorties et Commimication1 emplacement pour carte d'extension Entrées/Sorties

Unité Centrale

Microcontrôlevir 8/16 bits - 18 MHzConvertissevir A/N 14 bits + signeEPROM 256 kO, RAM sauvegardée 128 kOHorloge temps réel sauvegardéeDouble Chien de gardeAlimentation 12-35 V CC ou 12-24 V CA

Communications

Modem numéroteur RTC 1200/75 Bauds3 ports série pour raccordement de périphériques(Minitel, imprimante, superviseur, automates, régulatevirs, autres modules NAPAC)Option Modem "Ligne Spécialisées", Modem "Radio"

Compatibilités

Superviseurs sous protocole JBUS/MODBUSAutomates (Télémécanique, Siemens, Klockner, ...)Divers (modules NAPAC, Régulateurs, Compteurs, ...)



Alarme

Le TBC se caractérise par vme gestion d'alarme particulièrement performante ethautement sécurisée : rappel périodiques, fonction d'acquittement, gestion de secovirs.Chacun des quatre numéros d'appel peut être affecté à l'vm des différents support d'alertedisponible : Eurosignal, Alphapage, Minitel, Poste central.

Autres fonctions

Messagerie, Programmation calendaires. Imprimante locale. Automatismes, Calculsentre voies. Automates, etc....

5.1.2 Caractéristiques techniques

Boîtier

Dimension : 122 x 200 x 1 18 mmPoids : 1 .2 kgFixation : rail DFN6 emplacements pour cartes Entrées/Sorties et Commimication1 emplacement pour carte d'extension Entrées/Sorties

Unité Centrale

Microcontrôlevir 8/16 bits - 18 MHzConvertissevir A/N 14 bits + signeEPROM 256 kO, RAM sauvegardée 128 kOHorloge temps réel sauvegardéeDouble Chien de gardeAlimentation 12-35 V CC ou 12-24 V CA

Communications

Modem numéroteur RTC 1200/75 Bauds3 ports série pour raccordement de périphériques(Minitel, imprimante, superviseur, automates, régulatevirs, autres modules NAPAC)Option Modem "Ligne Spécialisées", Modem "Radio"

Compatibilités

Superviseurs sous protocole JBUS/MODBUSAutomates (Télémécanique, Siemens, Klockner, ...)Divers (modules NAPAC, Régulateurs, Compteurs, ...)



Options de cartes d'Entrées/Sorties

4 Entrées LogiquesContacts secs auto-alimentés ou non et opto-isolésComptage temps et impulsions (maxi 50 Kz)

4 Entrées analogiques0-2 V/ 0-10 VPt 1000 Ohms (-50 + 3500°C)4-20 mA

4 Sorties logiquesRelais statiques 150 mA, 220 V

2 Sorties analogiques0-10 V

4 Sorties analogiques0-20 mA / 4-20 mA

Cartes d'extension1 6 Entrées Logiques + 6 Sorties Logiques32 Entrées Logiques64 Entrées Logiques

5.2 NOTES SUR L'IMPLANTATION DE LA CENTRALE SUR LE SITE DESUCY EN BRIE

Le matériel qui a été commandé puis installé sur le site (par CFG) contient 4 cartes. Lesréférences sont les suivantes :

EquipementPoste local TBC "Mini-Rack

Carte 4EA : 4 entrées Analogiques 4-20 mACarte 4EA : 4 entrées Analogiques Pt 1000

Carte 4EA : 4 entrées Logiques (Etat,Comptage)

Quantité1

21

1

Référence NAPACOTBC CMR60100OMAD EEA04000OMAD EET04000OMAD EEL04000

11 reste deux emplacements libres dans le boîtier povir des cartes optiormelles.

Les capteurs qui ont été raccordés sont les suivants (dans l'ordre de transmission desfichiers) :



Options de cartes d'Entrées/Sorties

4 Entrées LogiquesContacts secs auto-alimentés ou non et opto-isolésComptage temps et impulsions (maxi 50 Kz)

4 Entrées analogiques0-2 V/ 0-10 VPt 1000 Ohms (-50 + 3500°C)4-20 mA

4 Sorties logiquesRelais statiques 150 mA, 220 V

2 Sorties analogiques0-10 V

4 Sorties analogiques0-20 mA / 4-20 mA

Cartes d'extension1 6 Entrées Logiques + 6 Sorties Logiques32 Entrées Logiques64 Entrées Logiques

5.2 NOTES SUR L'IMPLANTATION DE LA CENTRALE SUR LE SITE DESUCY EN BRIE

Le matériel qui a été commandé puis installé sur le site (par CFG) contient 4 cartes. Lesréférences sont les suivantes :

EquipementPoste local TBC "Mini-Rack

Carte 4EA : 4 entrées Analogiques 4-20 mACarte 4EA : 4 entrées Analogiques Pt 1000

Carte 4EA : 4 entrées Logiques (Etat,Comptage)

Quantité1

21

1

Référence NAPACOTBC CMR60100OMAD EEA04000OMAD EET04000OMAD EEL04000

11 reste deux emplacements libres dans le boîtier povir des cartes optiormelles.

Les capteurs qui ont été raccordés sont les suivants (dans l'ordre de transmission desfichiers) :



Pasp

PpPaPi

TextTpTi

WpWi

QTl

Pression d'aspiration en amont de la pompe de productionPression de production en amont de l'échangeur de chaleurPression d'aspiration en amont de la pompe d'injectionPression d'injection en aval de la pompe d'injectionTempérature extérievire

Températvire de production en amont de l'échangeur de chalevu:

Pression d'injection en aval de l'échangevir de chaleurPuissance électrique de la pompe de productionPuissance électrique de la pompe d'injectionDébit d'eau géothermaleTempératvire intermédiaire entre les deux échangeurs

(voie fictive)4-20 mA4-20 mA4-20 mAPt 1000Pt 1000Pt 1000

ComptageComptageComptage

Pt 1000

L'intégralité des équipements a pris place dans un boîtier métallique fixé au mur dans lasalle de commande de la centrale géothermique de Sucy en Brie. La console Minitel,placée sur le bureau en contrebas, est connectée en permanence.

La centrale est alimentée en covirant continu 24 V secoum par batterie sur la mêmesource que les capteurs 4-20 mA.



Pasp

PpPaPi

TextTpTi

WpWi

QTl

Pression d'aspiration en amont de la pompe de productionPression de production en amont de l'échangeur de chaleurPression d'aspiration en amont de la pompe d'injectionPression d'injection en aval de la pompe d'injectionTempérature extérievire

Températvire de production en amont de l'échangeur de chalevu:

Pression d'injection en aval de l'échangevir de chaleurPuissance électrique de la pompe de productionPuissance électrique de la pompe d'injectionDébit d'eau géothermaleTempératvire intermédiaire entre les deux échangeurs

(voie fictive)4-20 mA4-20 mA4-20 mAPt 1000Pt 1000Pt 1000

ComptageComptageComptage

Pt 1000

L'intégralité des équipements a pris place dans un boîtier métallique fixé au mur dans lasalle de commande de la centrale géothermique de Sucy en Brie. La console Minitel,placée sur le bureau en contrebas, est connectée en permanence.

La centrale est alimentée en covirant continu 24 V secoum par batterie sur la mêmesource que les capteurs 4-20 mA.



6. Commentaires sur l'utilisation de la centraleTBC à Sucy en Brie

6.1 ERGONOMIE D'UTILISATION

Si la consultation des données est relativement aisée voire agréable, en revanche, laconfiguration (et les changements de configviration) sont relativement fastidievix. Eneffet, ses modification se font obligatoirement en respectant (en temps réel) les menusgérés par le logiciel intégré à la centrale. L'ergonomie de ce logiciel est donc plutôtfixistre.

Il n'y a pas de possibilité de préparation à l'avance sur micro-ordinateur puis detéléchargement. Cette restriction est due, parait-il, à la compatibilité avec les bvis

industriels RS-485, JBUS/MODBUS, les Supervisevu-s et les Automates qui impose vm

"adressage" des périphériques sur le bus qui ne peut pas être connu à l'avance.

6.2 DOCUMENTATION

Si l'implantation des TBC svir le réseau TéléSuivi devait se généraliser, il serait bond'éditer vme brochure spécialisée qui permettrait avix utilisateurs de ne pas tâtonner svir

les commandes de mise en route qui sont très mal docvimentées, notamment en ce quiconcemé l'utilisation du Minitel. Ce point est regrettable car vme fois initiée, lesconsultations sont remarqviablement commodes à l'aide de seulement trois touches.

6.3 UTILISATION POUR LE TELESUIVI

En ce qui concerne l'utilisation plus conventiormelle de rapatriement des données en vued'vm archivage centralisé sur l'ordinatevu: d'Orléans, il faut noter que les outils logicielsfoumis par NAPAC sont à la fois très chers et relativement peu commodes. De plus, lesfonctions de rapatriement des fichiers ne sont ni docvimentées ni accessibles par lesmenus du logiciel intégré. Ces fonctions sont cachées et imposent, en théorie l'achat deslogiciel NAPAC (à vm prix prohibitif). Cette politique est anti-commerciale, d'autantplus que le logiciel d'entrée de gamme (KERMIN - 3 kF) n'autorise pas le rapatriementautomatique des doimées (à échéances fixes ou régulières).



6. Commentaires sur l'utilisation de la centraleTBC à Sucy en Brie

6.1 ERGONOMIE D'UTILISATION

Si la consultation des données est relativement aisée voire agréable, en revanche, laconfiguration (et les changements de configviration) sont relativement fastidievix. Eneffet, ses modification se font obligatoirement en respectant (en temps réel) les menusgérés par le logiciel intégré à la centrale. L'ergonomie de ce logiciel est donc plutôtfixistre.

Il n'y a pas de possibilité de préparation à l'avance sur micro-ordinateur puis detéléchargement. Cette restriction est due, parait-il, à la compatibilité avec les bvis

industriels RS-485, JBUS/MODBUS, les Supervisevu-s et les Automates qui impose vm

"adressage" des périphériques sur le bus qui ne peut pas être connu à l'avance.

6.2 DOCUMENTATION

Si l'implantation des TBC svir le réseau TéléSuivi devait se généraliser, il serait bond'éditer vme brochure spécialisée qui permettrait avix utilisateurs de ne pas tâtonner svir

les commandes de mise en route qui sont très mal docvimentées, notamment en ce quiconcemé l'utilisation du Minitel. Ce point est regrettable car vme fois initiée, lesconsultations sont remarqviablement commodes à l'aide de seulement trois touches.

6.3 UTILISATION POUR LE TELESUIVI

En ce qui concerne l'utilisation plus conventiormelle de rapatriement des données en vued'vm archivage centralisé sur l'ordinatevu: d'Orléans, il faut noter que les outils logicielsfoumis par NAPAC sont à la fois très chers et relativement peu commodes. De plus, lesfonctions de rapatriement des fichiers ne sont ni docvimentées ni accessibles par lesmenus du logiciel intégré. Ces fonctions sont cachées et imposent, en théorie l'achat deslogiciel NAPAC (à vm prix prohibitif). Cette politique est anti-commerciale, d'autantplus que le logiciel d'entrée de gamme (KERMIN - 3 kF) n'autorise pas le rapatriementautomatique des doimées (à échéances fixes ou régulières).



Néanmoins nous avons pu développer des procédures automatisées de rapatriement etde conversion des données pour le site d'archivage d'Orléans.

L'intégration des TBC au TéléSuivi s'est donc faite sans autre problème particulier.

6.4 POSSIBILITES SUPPLEMENTAIRES

Lors de la phase pilote, aucunes des possibilités supplémentaires de la centrale TBC n'aété utilisée.



Néanmoins nous avons pu développer des procédures automatisées de rapatriement etde conversion des données pour le site d'archivage d'Orléans.

L'intégration des TBC au TéléSuivi s'est donc faite sans autre problème particulier.

6.4 POSSIBILITES SUPPLEMENTAIRES

Lors de la phase pilote, aucunes des possibilités supplémentaires de la centrale TBC n'aété utilisée.



ANNEXE A1

CENTRALE TBC MINI-RACK



ANNEXE A1

CENTRALE TBC MINI-RACK



A1.1 FICHES NAPAC

Le Tfit verun x/ai KKi m un*

Mini Rack

f̂ K Dtu £< M n w - , Liorna íwrlo» m jä ¡

»icaîw

Hfflaiii'

MesareComptage

CommandeHistorique

Aiame

TBCMini Rack

Les satellites devotre Télégestion

Le Télésuperviseitr Intégré

L> T B C ptnntl <

napac

J3, ttí-A i^ **3rfa( vsftí

W.UI4Í 252040

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A1.2 PRINCIPALES COMMANDES(DOCUMENTATION NAPAC)

DE LA CENTRALE TBC

A1.2.1 Commandes de configuration

E n principe, les commandes de configuration sont réservées au personnes habilitées.Aussi, ces informations ne sont pas reprises dans ce document mais sont détaillées dansla documentation N A P A C sur le logiciel intégré.

A1.2.2 Les commandes de consultation

Les commandes de consultation sont particulièrement simples m ê m e si l'interfaceMinitel n'autorise que peu de possibilité. Dans la pratique, une fois saisi le mot de passesur la page d'accueil, l'utilisation de seulement quelques touches (3) donne accès àtoutes les fonctions de consultation. C'est un des point forts du logiciel intégré de lacentrale N A P A C .

GEOTHERMIE SUCV 30/89 10:36:27W GEOTHERMIE SUCV 39/09 15:22:24

MENU PRINCIPflL

S Consultation

ficces reseau

** Commande

La »esure au bout du fil

rUotpft code : EH3fî/(ï9 10:36:06GEOTHERMIE SUCV 30/89 15:22:59

CQNSULTflTION

Paramétrage

Configuration

Maintenance

Page d'accueilPremière page : M e n u

principal

B Tableau de bord

» filarwes/Signalisations

- Courbes

51


Page de consultationExemple de

Touches Í335EBB ou m pour défiler238

courbe

DEBIT

30/09 30/89 39/09 30/0909:25 10:55 1?:25 13:55



AI .3 COMMANDES D'AUTOMATISATION DU TRANSFERT DES DONNEES

Ces commandes ne sont pas documentées dans les documents foumis par NAPAC. Leurexistence n'est même pas mentionnée alors que c'est la raison d'être d'une centraled'acquisition que d'autoriser le transfert des données en mémoire. NAPAC pense ainsiobliger l'acheteur à s'équiper des logiciels NAPAC (KERWIN) dont les prix sontprohibitifs.

Cependant, il faut reconnaître que la société NAPAC s'est montrée coopérative et a

accepté de nous communiquer les séquences permettant de commander le transfert desdonnées en direction d'vm ordinateur.

Trois séquences de codes peuvent être utilisées. Elles donnent commanderespectivement les transferts du fichier détaillé, du fichier de synthèse et des demièresvaleurs. Ces demières sont consultables svir le terminal Minitel.

Pour information, le protocole de transfert des données respecte la norme XMODEM.

Dans la pratique, ces séquences de codes peuvent être émises "en aveugle" à partir den'importe quelle page consultée après la saisie du code d'accès (mot de passe). Chaqueséquence comporte 9 caractères. Les séquences de codes exprimées en ASCII sont les

suivantes :

Pour le fichier détaillé

027 057 054 027 057 089 espace espace X

Pour le fichier de synthèse

027 057 054 027 057 089 espace espace X

Pour le fíchier des dernières valeurs (un seul enregistrement)

027 057 054 027 057 089 espace espace X

L'annexe 2 propose en exemple les procédures écrites à Orléans pour rapatrierautomatiquement les données à l'aide d'un modem HAYES. Ces procédiyes utilisent lelangage OLICOM développés par la société OLICOM qui nous a foumi le modem.



AI .3 COMMANDES D'AUTOMATISATION DU TRANSFERT DES DONNEES

Ces commandes ne sont pas documentées dans les documents foumis par NAPAC. Leurexistence n'est même pas mentionnée alors que c'est la raison d'être d'une centraled'acquisition que d'autoriser le transfert des données en mémoire. NAPAC pense ainsiobliger l'acheteur à s'équiper des logiciels NAPAC (KERWIN) dont les prix sontprohibitifs.

Cependant, il faut reconnaître que la société NAPAC s'est montrée coopérative et a

accepté de nous communiquer les séquences permettant de commander le transfert desdonnées en direction d'vm ordinateur.

Trois séquences de codes peuvent être utilisées. Elles donnent commanderespectivement les transferts du fichier détaillé, du fichier de synthèse et des demièresvaleurs. Ces demières sont consultables svir le terminal Minitel.

Pour information, le protocole de transfert des données respecte la norme XMODEM.

Dans la pratique, ces séquences de codes peuvent être émises "en aveugle" à partir den'importe quelle page consultée après la saisie du code d'accès (mot de passe). Chaqueséquence comporte 9 caractères. Les séquences de codes exprimées en ASCII sont les

suivantes :

Pour le fichier détaillé

027 057 054 027 057 089 espace espace X

Pour le fichier de synthèse

027 057 054 027 057 089 espace espace X

Pour le fíchier des dernières valeurs (un seul enregistrement)

027 057 054 027 057 089 espace espace X

L'annexe 2 propose en exemple les procédures écrites à Orléans pour rapatrierautomatiquement les données à l'aide d'un modem HAYES. Ces procédiyes utilisent lelangage OLICOM développés par la société OLICOM qui nous a foumi le modem.



ANNEXE A2

UTILISATION ET PROGRAMMATION DU MODEMOLICOM POUR LE TELESUIVI



ANNEXE A2

UTILISATION ET PROGRAMMATION DU MODEMOLICOM POUR LE TELESUIVI



A2.1 PROCEDURE SUCYDETA.PRO DE TRANSFERT DU FICHIER DETAILLE

Définition des

variables

Routine

Procédure de finnormale decommunication

Routine

Procédure de lecturedes paramètres( = escape)

Routine

Procédure de gestionde la communicationet de transfert de

données via le

protocole XMODEM

Routine

E*rocédured'établissament de lacommunication

DEFVARIABLENomsite$NumTel$Code$CodeDetail$FileDetail$Fin%ENDDEFProcedure TERMINERIF (IORESULT%<>0) THEN

BEGINhalt

EndReturnProcedure LECTURE

Norr.site$='Sucy en Brie';Writeln (Nomsite$ ) ;Numtel$=' 00145908162 ;Code$='CFG'CodeDetail$='G96C9Y X'FileDetail$= sucydeta . tbc '

Returnprocedure suiteappelle

Timeout%=30Attend ( 'Votre code :')writeln (code$)Emet(Code$) ;TEntreeAttend ( ' Maintenance ' )

Delay(lOOO)Emet (CodeDetail$) ;TEntreeif (IOresult%=0) then

beginNombrebit ( 8 ) ; Parité ( 0 )

Rxmodem(FileDetail$)end

return

Procedure appelleDelay(lOOO)writeln (numtel$)Numérote (NimiTel$) ;if {IOresult%=0) then

beginsuiteappelle

endreturn

;Delay(1000)



A2.1 PROCEDURE SUCYDETA.PRO DE TRANSFERT DU FICHIER DETAILLE

Définition des

variables

Routine

Procédure de finnormale decommunication

Routine


Routine

Procédure de gestionde la communicationet de transfert de

données via le

protocole XMODEM

Routine

E*rocédured'établissament de lacommunication

DEFVARIABLENomsite$NumTel$Code$CodeDetail$FileDetail$Fin%ENDDEFProcedure TERMINERIF (IORESULT%<>0) THEN

BEGINhalt


Norr.site$='Sucy en Brie';Writeln (Nomsite$ ) ;Numtel$=' 00145908162 ;Code$='CFG'CodeDetail$='G96C9Y X'FileDetail$= sucydeta . tbc '


Timeout%=30Attend ( 'Votre code :')writeln (code$)Emet(Code$) ;TEntreeAttend ( ' Maintenance ' )

Delay(lOOO)Emet (CodeDetail$) ;TEntreeif (IOresult%=0) then

beginNombrebit ( 8 ) ; Parité ( 0 )

Rxmodem(FileDetail$)end

return

Procedure appelleDelay(lOOO)writeln (numtel$)Numérote (NimiTel$) ;if {IOresult%=0) then

beginsuiteappelle

endreturn

;Delay(1000)



Programme principal

ParamétrageModem

du

Timeout%=60Modenum(l) ; Ecran (1) /Emulation (0) ;Mode(0) ;Hautparleur (1)Delay(lOOO)Emet ( AT&P2 ' ) ;Tentree;Attend( 'OK' )

rem Emet ( 'AT&P3 ' ) ;Tentree;Attend( 'OK' )

if (lOresultloO) thenBegin

Writeln ( ' RECONFIGURATION IMPOSSIBLE ' ) ;Hait

EndDelay (1000) ;Timeout%=60;clrscrVitesse (1200) ; Nombrebit (7) ;Stopbit(l) ; Parité (2)

Programme principal

Gestion des routines

lectureAppelleRaccroche

Programme principal

Fin normale

Fin:Writeln ('Fin normale')HALT



Programme principal

ParamétrageModem

du

Timeout%=60Modenum(l) ; Ecran (1) /Emulation (0) ;Mode(0) ;Hautparleur (1)Delay(lOOO)Emet ( AT&P2 ' ) ;Tentree;Attend( 'OK' )

rem Emet ( 'AT&P3 ' ) ;Tentree;Attend( 'OK' )

if (lOresultloO) thenBegin


EndDelay (1000) ;Timeout%=60;clrscrVitesse (1200) ; Nombrebit (7) ;Stopbit(l) ; Parité (2)

Programme principal



Programme principal

Fin normale




A2.2 POCEDURE sucysynt.pro DE TRANSFERT DU FICHIER DESYNTHESE

Définition des

variables

Routine

Procédure de finnormale de

communication

Routine


Routine

Procédure dc gestionde la communicationet de transfert de

données via leprotocole XMODEM

Routine

Procédured'établissament de la

communication

DEFVARIABLENomsite$NumTel$Code$CodeSynthese$FileSynthese$Fin%ENDDEFProcedure TERMINERIF (IORESULT%<>0) THEN

BEGINhalt


Nomsite$='Sucy en Brie';Writeln (Nomsite$) ;Numtel$='00145908162';Code$='CFG'CodeSynthese$='D9629\ X'FileSynthese$= ' sucysynt . tbc '


Timeout%=30Attend ( 'Votre code :')writeln (code$)Emet (Code$) ;TEntreeAttend ( ' Maintenance ' )

Delay(lOOO)Emet (CodeSynthese$) ;TEntreeif (IOresult%=0) then

beginNombrebit (8) ;Parite(0)Rxmodem(FileSynthese$)

endreturn

Procedure appelleDelay(lOOO)writeln (numtel$ )

Numérote (NumTel$) ;if (IOresult%=0) then

beginsuiteappelle

endreturn

;Delay(1000)



A2.2 POCEDURE sucysynt.pro DE TRANSFERT DU FICHIER DESYNTHESE

Définition des

variables

Routine

Procédure de finnormale de

communication

Routine


Routine

Procédure dc gestionde la communicationet de transfert de

données via leprotocole XMODEM

Routine

Procédured'établissament de la

communication

DEFVARIABLENomsite$NumTel$Code$CodeSynthese$FileSynthese$Fin%ENDDEFProcedure TERMINERIF (IORESULT%<>0) THEN

BEGINhalt


Nomsite$='Sucy en Brie';Writeln (Nomsite$) ;Numtel$='00145908162';Code$='CFG'CodeSynthese$='D9629\ X'FileSynthese$= ' sucysynt . tbc '


Timeout%=30Attend ( 'Votre code :')writeln (code$)Emet (Code$) ;TEntreeAttend ( ' Maintenance ' )

Delay(lOOO)Emet (CodeSynthese$) ;TEntreeif (IOresult%=0) then

beginNombrebit (8) ;Parite(0)Rxmodem(FileSynthese$)

endreturn

Procedure appelleDelay(lOOO)writeln (numtel$ )

Numérote (NumTel$) ;if (IOresult%=0) then

beginsuiteappelle

endreturn

;Delay(1000)



Programme principal

Paramétrage

Modemdu

Timeout%=60Modenum(l) ; Ecran (1) ;Emulation (0) ;Mode (0) ;Hautparleur (1)Delay(lOOO)Enet('ATSP2') ; Tentree; Attend ( 'OK' )

rem Emet ( 'AT&P3' ) ;Tentree;Attend( 'OK' )

if (IOresult%<>0) thenBegin


EndDelay (1000) ;Timeout%=60;clrscrVitesse(1200) ;Nombrebit (7) ;Stopbit(l) ;Parite(2)

Programme principal



Programme principa

Fin normale




Programme principal

Paramétrage

Modemdu

Timeout%=60Modenum(l) ; Ecran (1) ;Emulation (0) ;Mode (0) ;Hautparleur (1)Delay(lOOO)Enet('ATSP2') ; Tentree; Attend ( 'OK' )

rem Emet ( 'AT&P3' ) ;Tentree;Attend( 'OK' )

if (IOresult%<>0) thenBegin


EndDelay (1000) ;Timeout%=60;clrscrVitesse(1200) ;Nombrebit (7) ;Stopbit(l) ;Parite(2)

Programme principal



Programme principa

Fin normale




ANNEXE A3

CONVERSION DES DONNEES



ANNEXE A3

CONVERSION DES DONNEES



A3.1 PRINCIPE DE CODAGE

La grande majorité des concepteurs de centrales d'acquisition utilisent des méthodes destockage des données en mémoire qui levu-s sont propres. De la même façon, les fichierssont très souvent archivés (et transmis) selon des format dits "propriétaire". C'est à direqu'ils ne se conforment pas à vm standard.

C'est au moment de l'affichage que les données sont converties en des informationscompréhensibles.

Dans le cas des fichiers des TBC (NAPAC), les fichiers sont transmis sovis la forme d'vmfichier binaire. Cela signifie que les données contenues dans les fichiers ne sont paslisibles directement et qu'une conversion est nécessaire. Pour cela, il faut connaître lemode de codage.

Les fichiers binaires NAPAC sont conçu en devix blocs contigus : l'entête et les données.

L'entête du fichier renseigne sur le contenu du fichier et sur l'organisation des dormées.

La suite du fíchier contient les enregistrements qui sont organisés selon les informationprécisées dans l'entête. En l'occurrence, les données des fichiers NAPAC sont archivéesen mémoire en respectant le principe d'vme permutation circulaire FIFO (First In FirstOut). Cela signifie en clair que les données les plus anciermes sont remplacées au fiir età mesure par les dormées les plus récentes. Une variable appelées "Pointeiur" est à

chaque fois mise à jour povir savoir ou se situent les demières données (enregistrementcourant).

Pour plus d'informations, il est possible de consulter les commentaires qui sont situéesdans la première parties de chaque routine du progranmie ci-après, notamment :

-La routine "SUB LitEntete ()" décrit le mode de codage de la partie delongueur fixe de l'entête.

-La routine "SUB LitCodage ()" décrit le mode de codage de la partie delongueur variable de l'entête et qui dépend notamment du nombre de champs dechaque enregistrement.

- Le fonctionnement du pointeur de données et l'organisation des champs sont détaillésdans la routine : "SUB LectureDonnees () " .

- Le principe du codage BCD est détaillé dans la routine : "SÜB traduction () " .



A3.1 PRINCIPE DE CODAGE

La grande majorité des concepteurs de centrales d'acquisition utilisent des méthodes destockage des données en mémoire qui levu-s sont propres. De la même façon, les fichierssont très souvent archivés (et transmis) selon des format dits "propriétaire". C'est à direqu'ils ne se conforment pas à vm standard.

C'est au moment de l'affichage que les données sont converties en des informationscompréhensibles.

Dans le cas des fichiers des TBC (NAPAC), les fichiers sont transmis sovis la forme d'vmfichier binaire. Cela signifie que les données contenues dans les fichiers ne sont paslisibles directement et qu'une conversion est nécessaire. Pour cela, il faut connaître lemode de codage.

Les fichiers binaires NAPAC sont conçu en devix blocs contigus : l'entête et les données.

L'entête du fichier renseigne sur le contenu du fichier et sur l'organisation des dormées.

La suite du fíchier contient les enregistrements qui sont organisés selon les informationprécisées dans l'entête. En l'occurrence, les données des fichiers NAPAC sont archivéesen mémoire en respectant le principe d'vme permutation circulaire FIFO (First In FirstOut). Cela signifie en clair que les données les plus anciermes sont remplacées au fiir età mesure par les dormées les plus récentes. Une variable appelées "Pointeiur" est à

chaque fois mise à jour povir savoir ou se situent les demières données (enregistrementcourant).

Pour plus d'informations, il est possible de consulter les commentaires qui sont situéesdans la première parties de chaque routine du progranmie ci-après, notamment :

-La routine "SUB LitEntete ()" décrit le mode de codage de la partie delongueur fixe de l'entête.

-La routine "SUB LitCodage ()" décrit le mode de codage de la partie delongueur variable de l'entête et qui dépend notamment du nombre de champs dechaque enregistrement.

- Le fonctionnement du pointeur de données et l'organisation des champs sont détaillésdans la routine : "SUB LectureDonnees () " .

- Le principe du codage BCD est détaillé dans la routine : "SÜB traduction () " .



A3.2 PROGRAMME BASIC DE CONVERSION DES DONNEES

'Transcription des fichiers de données BINAIRES (codés BCD) des NAPAC - TBCBRGM - Hervé LESUEUR - Janvier 1997 -'Programme rédigé en VBDOS 1.0 (Visual Basic pour DOS) de MICROSOFTI ===ss = s = == = = = ==5== = S= = = = = = = = == = = =S = =S=== = = == = = _ = = = __

'PROCEDURE : DECODTBC. BAS (autonome)'Procédure simplifiée de transcodage des fichiers NAPAC TBC

'Note : Ce programme peut être exécuté en QBASIC (livré avec le DOS)'seules quelques rares instructions doivent être aménagées

'Ce programme est conçu pour être appelé par une procédure 'batch''soit sous DOS par un fichier *.BAT'soit sous WINDOWS à l'aide d'un fichier *.PIF et du fichier *.BAT

'L'interface est sommaire et les noms des fichiers INPUT et OUTPUT'sont arbitrairement gérés par le programme sur la base du nom de'fichier transmis en paramètre à l'appel du programme'ex : DECODTBC SUCYSYNT. TBC (appel du programme)' le fichier de données généré sera SUCYSYNT. CSV

'Les fichiers *.CSV sont reconnus par tous les tableurs'les données sont séparées par des virgules

' IMPORTANT'Toutes les possibilités des TBC ne sont pas exploitées pour le TELESUIVI'Le transcodage est donc simplifié.'La doc. intégrée à ce code est complète (routines LitEntete & LitCodage)

'Déclaration des sous-routines

DECLARE SUB LectureDonnees (Debut AS INTEGER, Fin AS INTEGER)DECLARE FUNCTION HEXA$ (octet AS STRING)DECLARE SUB traduction (bed AS STRING, ASCII AS STRING)DECLARE FUNCTION OCTETtoNOMBRE ! (octet!)DECLARE SUE LitCodage ()DECLARE SUB LitEntete ()DECLARE FUNCTION MOTtoNOMBRE! (Fort$, Faible$)DECLARE SUB DateHeure (bed AS STRING, journée AS STRING, horaire AS STRING)DECLARE FUNCTION TraiteOctet$ (octet AS STRING)

OPTION EXPLICIT 'déclaration des variables im.pérative'La ligne ci-avant peut être invalidée pour des version anciennes du basic

'Déclaration des constantes

CONST sep = "," 'Séparateur pour les donnéesexportées



A3.2 PROGRAMME BASIC DE CONVERSION DES DONNEES

'Transcription des fichiers de données BINAIRES (codés BCD) des NAPAC - TBCBRGM - Hervé LESUEUR - Janvier 1997 -'Programme rédigé en VBDOS 1.0 (Visual Basic pour DOS) de MICROSOFTI ===ss = s = == = = = ==5== = S= = = = = = = = == = = =S = =S=== = = == = = _ = = = __

'PROCEDURE : DECODTBC. BAS (autonome)'Procédure simplifiée de transcodage des fichiers NAPAC TBC

'Note : Ce programme peut être exécuté en QBASIC (livré avec le DOS)'seules quelques rares instructions doivent être aménagées

'Ce programme est conçu pour être appelé par une procédure 'batch''soit sous DOS par un fichier *.BAT'soit sous WINDOWS à l'aide d'un fichier *.PIF et du fichier *.BAT

'L'interface est sommaire et les noms des fichiers INPUT et OUTPUT'sont arbitrairement gérés par le programme sur la base du nom de'fichier transmis en paramètre à l'appel du programme'ex : DECODTBC SUCYSYNT. TBC (appel du programme)' le fichier de données généré sera SUCYSYNT. CSV

'Les fichiers *.CSV sont reconnus par tous les tableurs'les données sont séparées par des virgules

' IMPORTANT'Toutes les possibilités des TBC ne sont pas exploitées pour le TELESUIVI'Le transcodage est donc simplifié.'La doc. intégrée à ce code est complète (routines LitEntete & LitCodage)

'Déclaration des sous-routines

DECLARE SUB LectureDonnees (Debut AS INTEGER, Fin AS INTEGER)DECLARE FUNCTION HEXA$ (octet AS STRING)DECLARE SUB traduction (bed AS STRING, ASCII AS STRING)DECLARE FUNCTION OCTETtoNOMBRE ! (octet!)DECLARE SUE LitCodage ()DECLARE SUB LitEntete ()DECLARE FUNCTION MOTtoNOMBRE! (Fort$, Faible$)DECLARE SUB DateHeure (bed AS STRING, journée AS STRING, horaire AS STRING)DECLARE FUNCTION TraiteOctet$ (octet AS STRING)

OPTION EXPLICIT 'déclaration des variables im.pérative'La ligne ci-avant peut être invalidée pour des version anciennes du basic

'Déclaration des constantes

CONST sep = "," 'Séparateur pour les donnéesexportées



'Déclaration des

DIM SHARED NbDonnees ASDIM SHARED NbOctets ASDIM SHARED Pointeur ASDIM SHARED NbCodage ASDIM SHARED NbCle ASDIM SHARED NbChamps ASDIM SHARED TailleCodage

partagées entre les routinesvariables

INTEGER 'Nombre de donnéesINTEGER 'Nombre d'octets par enregistrementINTEGER 'Position de l'enregistrement courantINTEGER 'nombre de champs de codageINTEGER 'nombre d'octets par champ de codageINTEGER 'nombre de champs de chaque enregistementAS LONG 'Taille de l'ensemble des clés de codage

'Déclaration des tableau

'les clés de codage des cham.psREDIM SHARED clesd, 1) AS INTEGER

partagés

'$ DYNAMIC

de données

'Routine principale

'Déclaration des variables locales

DIM NomFile AS STRINGDIM i AS INTEGERDIM j AS INTEGER

'Gestion des nom.s des fichiersCLSNomFile = COMMANDSIF LEN (NomFile) > 0 THEN

OPEN NomFile FOR BINARY AS #1 LEN = 10000ELSE

PRINT "Passer en param.ètre le nom du fichier à.TBC)"

ENDEND IF

traiter (extension

'On suppose que le fichier possède d'OFFICE une extension en 3 lettresNomFile = LEFT$ (NomFile, LEN(NomFile) - 4)PRINT "Le nom du fichier ASCII sera : "; NomFile + ". CSV-

WHILE INKEY$ = "'touche

CALL LitEnteteCALL LitCodagecodage

WEND 'FACULTATIF Attente de la frappe d'une

'Appel de la routine de lecture d'entêté'Appel de la routine de lecture des clés de

'Affichage des données de l'entêtePRINT NbDonnees, "NomJare de données"PRINT NbOctets, "Nombre d'octets par enregistrement"PRINT Pointeur, "Position de l'enregistrement courant"PRINT NbCodage, "Nombre de champs de codage"PRINT NbCle, "Nombre d'octets de chaque champ de codage"



'Déclaration des

DIM SHARED NbDonnees ASDIM SHARED NbOctets ASDIM SHARED Pointeur ASDIM SHARED NbCodage ASDIM SHARED NbCle ASDIM SHARED NbChamps ASDIM SHARED TailleCodage

partagées entre les routinesvariables

INTEGER 'Nombre de donnéesINTEGER 'Nombre d'octets par enregistrementINTEGER 'Position de l'enregistrement courantINTEGER 'nombre de champs de codageINTEGER 'nombre d'octets par champ de codageINTEGER 'nombre de champs de chaque enregistementAS LONG 'Taille de l'ensemble des clés de codage

'Déclaration des tableau

'les clés de codage des cham.psREDIM SHARED clesd, 1) AS INTEGER

partagés

'$ DYNAMIC

de données

'Routine principale


DIM NomFile AS STRINGDIM i AS INTEGERDIM j AS INTEGER

'Gestion des nom.s des fichiersCLSNomFile = COMMANDSIF LEN (NomFile) > 0 THEN

OPEN NomFile FOR BINARY AS #1 LEN = 10000ELSE

PRINT "Passer en param.ètre le nom du fichier à.TBC)"

ENDEND IF

traiter (extension

'On suppose que le fichier possède d'OFFICE une extension en 3 lettresNomFile = LEFT$ (NomFile, LEN(NomFile) - 4)PRINT "Le nom du fichier ASCII sera : "; NomFile + ". CSV-

WHILE INKEY$ = "'touche

CALL LitEnteteCALL LitCodagecodage

WEND 'FACULTATIF Attente de la frappe d'une

'Appel de la routine de lecture d'entêté'Appel de la routine de lecture des clés de

'Affichage des données de l'entêtePRINT NbDonnees, "NomJare de données"PRINT NbOctets, "Nombre d'octets par enregistrement"PRINT Pointeur, "Position de l'enregistrement courant"PRINT NbCodage, "Nombre de champs de codage"PRINT NbCle, "Nombre d'octets de chaque champ de codage"



'Affichage des Clés de codageNbChamps = UBOUND(cles, 1)j = 0FOR i = 1 TO UBOUND(cles, 1)

j = j + cles(i, 2)PRINT i, cles(i, 1), clesd, 2), j

NEXT i

'Vérification : La somme de la seconde colonne doit être égale à NbOctetsIF j <> NbOctets THEN

PRINT "Somm.e des octets de mesure non vérifiée"END 'Fin anormale du programme sur erreur de fichier

END IF

'Lecture des données

'La meilleure solution est de faire des accès direct au fichier !

'=> Utilisation des instruction GET et SEEK des fichiers ouverts en 'BINARY'

Note :

'en utilisant le champ POINTEUR. On sait que ce champs courant est le dernier.'Donc, celui d'après est le plus ancien. CQFD !

'En conséquence, la lecture se fait en 2 TEMPS

'DETERMINATION de la position du premier octet du premier champs'Lecture de la taille des clés de codageTailleCodage = SEEK(l) 'Taille en octets de l'entête et des clés de codage

PRINT TailleCodage

OPEN NomFile + ".csv" FOR OUTPUT AS #2 LEN = 10000

SELECT CASE Pointeur 'prise en compte de la FIFOCASE IS < NbDonnees

'TEMP 1 : Lecture des données anciennesSEEK #1, (TailleCodage + CLNG (Pointeur * NbOctets))CALL LectureDonnees (Pointeur + 1, NbDonnees)

'TEMP 2 : lecture des données les plus récentesSEEK #1, TailleCodageCALL LectureDonnees (1, Pointeur)

CASE ELSECALL LectureDonnees (1, NbDonnees)

END SELECT

CLOSEEND 'FIN NORMALE DU PROGRAMME



'Affichage des Clés de codageNbChamps = UBOUND(cles, 1)j = 0FOR i = 1 TO UBOUND(cles, 1)

j = j + cles(i, 2)PRINT i, cles(i, 1), clesd, 2), j

NEXT i

'Vérification : La somme de la seconde colonne doit être égale à NbOctetsIF j <> NbOctets THEN

PRINT "Somm.e des octets de mesure non vérifiée"END 'Fin anormale du programme sur erreur de fichier

END IF

'Lecture des données

'La meilleure solution est de faire des accès direct au fichier !

'=> Utilisation des instruction GET et SEEK des fichiers ouverts en 'BINARY'

Note :

'en utilisant le champ POINTEUR. On sait que ce champs courant est le dernier.'Donc, celui d'après est le plus ancien. CQFD !

'En conséquence, la lecture se fait en 2 TEMPS

'DETERMINATION de la position du premier octet du premier champs'Lecture de la taille des clés de codageTailleCodage = SEEK(l) 'Taille en octets de l'entête et des clés de codage

PRINT TailleCodage

OPEN NomFile + ".csv" FOR OUTPUT AS #2 LEN = 10000

SELECT CASE Pointeur 'prise en compte de la FIFOCASE IS < NbDonnees

'TEMP 1 : Lecture des données anciennesSEEK #1, (TailleCodage + CLNG (Pointeur * NbOctets))CALL LectureDonnees (Pointeur + 1, NbDonnees)

'TEMP 2 : lecture des données les plus récentesSEEK #1, TailleCodageCALL LectureDonnees (1, Pointeur)

CASE ELSECALL LectureDonnees (1, NbDonnees)

END SELECT

CLOSEEND 'FIN NORMALE DU PROGRAMME



REM $STATICSUB DateHeure (bed AS STRING, journée AS STRING, horaire AS STRING)

'Routine de transcodage BCD -> ASCII de la date et de l'heure

'Codage BCD d'office sur 6 octets'Déclaration des variables locales

DIM jour AS STRING * 2DIM mois AS STRING * 2DIM année AS STRING * 4

DIM Heures AS STRING * 2DIM Minutes AS STRING * 2DIM Secondes AS STRING * 2

année = LTRIM$ (STR$ (1900 + ASC (MID$ (bed, 1, 1))))mois = TraiteOctet$(MID$(bcd, 2, 1))jour = TraiteOctet$(MID$ (bed, 3, 1))Heures = TraiteOctet$ (MID$ (bed, 4, 1))Minutes = TraiteOctet$ (MID$ (bed, 5, D)Secondes = TraiteOctet$ (MID$ (bed, 6, 1))

journée = année + "/" + mois + "/" + jourhoraire = Heures + ":" + Minutes + ":" + Secondes

END SUB 'fin normale de la routine



REM $STATICSUB DateHeure (bed AS STRING, journée AS STRING, horaire AS STRING)

'Routine de transcodage BCD -> ASCII de la date et de l'heure

'Codage BCD d'office sur 6 octets'Déclaration des variables locales

DIM jour AS STRING * 2DIM mois AS STRING * 2DIM année AS STRING * 4

DIM Heures AS STRING * 2DIM Minutes AS STRING * 2DIM Secondes AS STRING * 2

année = LTRIM$ (STR$ (1900 + ASC (MID$ (bed, 1, 1))))mois = TraiteOctet$(MID$(bcd, 2, 1))jour = TraiteOctet$(MID$ (bed, 3, 1))Heures = TraiteOctet$ (MID$ (bed, 4, 1))Minutes = TraiteOctet$ (MID$ (bed, 5, D)Secondes = TraiteOctet$ (MID$ (bed, 6, 1))

journée = année + "/" + mois + "/" + jourhoraire = Heures + ":" + Minutes + ":" + Secondes




FUNCTION HEXA$ (octet AS STRING)

Routine de conversion TEXTE ASCII (1 octet) vers Hexadécimal


DIM le AS STRING

le = LTRIM$ {HEX$ (ASC (octet) ) )

SELECT CASE LEN(k)CASE 2

HEXA$ = kCASE 1

HEXA$ = "0" + kCASE ELSE

END SELECT

END FUNCTION 'fin normale de la routine



FUNCTION HEXA$ (octet AS STRING)

Routine de conversion TEXTE ASCII (1 octet) vers Hexadécimal


DIM le AS STRING

le = LTRIM$ {HEX$ (ASC (octet) ) )


HEXA$ = kCASE 1

HEXA$ = "0" + kCASE ELSE

END SELECT

END FUNCTION 'fin normale de la routine



SUB LectureDonnees (Debut AS INTEGER, Fin AS INTEGER)

Routine de lecture du fichier BINAIRE en accès directcette routine est appellee par la routine principale

NbDonnees, "Nombre de données"NbOctets, "Nombre d'octets par enregistrement"Pointeur, "Position de l'enregistrement courant"NbCodage, "Nombre de champs de codage"NbCle, "Nombre d'octets de chaque champ de codage"Cle( , ) "Tableau des Clés de codage

Déclaration des variables locales

DIM champs AS INTEGERDIM enregistrement AS INTEGERDIM bed AS STRINGDIM ASCII AS STRINGDIM journée AS STRINGDIM horaire AS STRING

FOR enregistrement = Debut TO FinFOR champs = 1 TO NbChamps

'lire tous les octets de chaque champ d'un coupbed = INPUTS (clés (champs, 2), 1)SELECT CASE clés (champs, 1)

CASE 1 'champ date et heureCALL DateHeure (bed, journée, horaire)LOCATE 1, 1: PRINT journée; sep; horaire; 'affichage pour

info

fichierPRINT #2, journée; sep; LEFT$ (horaire, 5); 'ECRITURE du

CASE ELSE 'champs de données numériquesCALL traduction (bed, ASCII)PRINT #2, sep; ASCII; 'ECRITURE du

fichierEND SELECT

NEXT champsPRINT #2, 'Fin de la ligneIF enregistrement = Pointeur THEN END 'fichier vide

I

NEXT enregistrement

END SUB ' Fin normale de la routine



SUB LectureDonnees (Debut AS INTEGER, Fin AS INTEGER)

Routine de lecture du fichier BINAIRE en accès directcette routine est appellee par la routine principale

NbDonnees, "Nombre de données"NbOctets, "Nombre d'octets par enregistrement"Pointeur, "Position de l'enregistrement courant"NbCodage, "Nombre de champs de codage"NbCle, "Nombre d'octets de chaque champ de codage"Cle( , ) "Tableau des Clés de codage

Déclaration des variables locales

DIM champs AS INTEGERDIM enregistrement AS INTEGERDIM bed AS STRINGDIM ASCII AS STRINGDIM journée AS STRINGDIM horaire AS STRING

FOR enregistrement = Debut TO FinFOR champs = 1 TO NbChamps

'lire tous les octets de chaque champ d'un coupbed = INPUTS (clés (champs, 2), 1)SELECT CASE clés (champs, 1)

CASE 1 'champ date et heureCALL DateHeure (bed, journée, horaire)LOCATE 1, 1: PRINT journée; sep; horaire; 'affichage pour

info

fichierPRINT #2, journée; sep; LEFT$ (horaire, 5); 'ECRITURE du

CASE ELSE 'champs de données numériquesCALL traduction (bed, ASCII)PRINT #2, sep; ASCII; 'ECRITURE du

fichierEND SELECT

NEXT champsPRINT #2, 'Fin de la ligneIF enregistrement = Pointeur THEN END 'fichier vide

I

NEXT enregistrement




SUB LitCodage ()I == = = = = = = =s = =sS£=S=== = === = = = == = ==== = = = = = = = = == = = = = = = =

Lecture de la suite de l'entête : Codage des champs

au total, il y a :NbCodage champs de codage (variables)NbCle octets par clé de codage

On ne sait pas, à priori, combien il y a de variables dans les fichiersLa procédure consiste à lire toutes les clés de codagepuis à compter ensuite les variables qui sont transmises,pour cela, on déclare un tableau (NbCodage, 2)

Pour info : 4 bits poids fort du premier octet (second toujours nul)1 Date2 Entrée logique3 Compteur de temps4 Compteur d'impulsion5 Entrée analogique6 Variables traitée par calcul

Pour info : 4 bits poids faible du prem.ier octet1 1 octet 0 à 2552 2 octets poids fort / poids faible3 3 octets valeur réelle codée BCD avec 4 chiffres significatifs

4 demi-octets de mantisse1 octets contenant:bit 7 = signe (0 positif, 1 négatif)bit 6 à 0 = puissance + 40H.

6 6 octets valeur réelle codée BCD avec 8 chiffres significatifs8 demi octets de mantisse1 octet signe (O=positif, 1 = négatif)1 octet de puissance + 80H)

date sotckée oui/non <=> 1/06 octets 1 octet = années depuis 1900

1 octet = mois1 octet = jours1 octet = heures1 octet = minutes1 octet = secondes

'Déclaration des variables locales ================================DIM i AS INTEGERDIM j AS INTEGERDIM octet AS INTEGERDIM Fort AS INTEGERDIM Faible AS INTEGERREDIM champs (1 TO NbCodage + 1, 1 TO 2) AS INTEGER 'tableau local



SUB LitCodage ()I == = = = = = = =s = =sS£=S=== = === = = = == = ==== = = = = = = = = == = = = = = = =

Lecture de la suite de l'entête : Codage des champs

au total, il y a :NbCodage champs de codage (variables)NbCle octets par clé de codage

On ne sait pas, à priori, combien il y a de variables dans les fichiersLa procédure consiste à lire toutes les clés de codagepuis à compter ensuite les variables qui sont transmises,pour cela, on déclare un tableau (NbCodage, 2)

Pour info : 4 bits poids fort du premier octet (second toujours nul)1 Date2 Entrée logique3 Compteur de temps4 Compteur d'impulsion5 Entrée analogique6 Variables traitée par calcul

Pour info : 4 bits poids faible du prem.ier octet1 1 octet 0 à 2552 2 octets poids fort / poids faible3 3 octets valeur réelle codée BCD avec 4 chiffres significatifs

4 demi-octets de mantisse1 octets contenant:bit 7 = signe (0 positif, 1 négatif)bit 6 à 0 = puissance + 40H.

6 6 octets valeur réelle codée BCD avec 8 chiffres significatifs8 demi octets de mantisse1 octet signe (O=positif, 1 = négatif)1 octet de puissance + 80H)

date sotckée oui/non <=> 1/06 octets 1 octet = années depuis 1900

1 octet = mois1 octet = jours1 octet = heures1 octet = minutes1 octet = secondes

'Déclaration des variables locales ================================DIM i AS INTEGERDIM j AS INTEGERDIM octet AS INTEGERDIM Fort AS INTEGERDIM Faible AS INTEGERREDIM champs (1 TO NbCodage + 1, 1 TO 2) AS INTEGER 'tableau local



j ='0FOR i = 1 TO NbCodage

octet = ASC (INPUTS (1, D)GOSUB FortFaible'si l'octet de poids faible est différent de ZERO alors on mémoriseSELECT CASE Faible

CASE 0 'rien à faireCASE ELSE

j = j + 1champs (j, 1) = Fortchamps (j, 2) = FaiblePRINT i, j. Fort, Faible

END SELECToctet = ASC (INPUTS (1, 1)) 'lecture de l'octet inutile pour ces TBCs

NEXT i

'Bilan de la lecture des clé de codageSELECT CASE j

CASE 0CASE ELSE

PRINT jREDIM clesd TO j , 1 TO 2) AS INTEGER 'tableau partagéFOR i = 1 TO j

clesd, 1) = champs (i, 1)clesd, 2) = champs (i, 2)

NEXT iEND SELECT

EXIT SUB ' fin normale de la routine

FortFaible: 'séparation des octets de poids fort et de poids faibleFaible = VAL{RIGHT$(HEXS (octet), 1))Fort = VAL ( LEFTS (HEX$( octet ) , D)

RETURNI

END SUB 'fin de la routine



j ='0FOR i = 1 TO NbCodage

octet = ASC (INPUTS (1, D)GOSUB FortFaible'si l'octet de poids faible est différent de ZERO alors on mémoriseSELECT CASE Faible

CASE 0 'rien à faireCASE ELSE

j = j + 1champs (j, 1) = Fortchamps (j, 2) = FaiblePRINT i, j. Fort, Faible

END SELECToctet = ASC (INPUTS (1, 1)) 'lecture de l'octet inutile pour ces TBCs

NEXT i

'Bilan de la lecture des clé de codageSELECT CASE j

CASE 0CASE ELSE

PRINT jREDIM clesd TO j , 1 TO 2) AS INTEGER 'tableau partagéFOR i = 1 TO j

clesd, 1) = champs (i, 1)clesd, 2) = champs (i, 2)

NEXT iEND SELECT

EXIT SUB ' fin normale de la routine

FortFaible: 'séparation des octets de poids fort et de poids faibleFaible = VAL{RIGHT$(HEXS (octet), 1))Fort = VAL ( LEFTS (HEX$( octet ) , D)

RETURNI

END SUB 'fin de la routine



SUB LitEntete ()

'Lecture de l'entête du FICHIER TBC - Format propirétaire NAPAC'Note toutes les possibilités ne sont pas exploitées pour le TELESUIVI



SUB LitEntete ()

'Lecture de l'entête du FICHIER TBC - Format propirétaire NAPAC'Note toutes les possibilités ne sont pas exploitées pour le TELESUIVI



'on suppose que le numéro du fichier est connu (im.posé) et égal à 1


DIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIM.DIMDIMDIMDIMDIMclé)DIM

clfortclfaiblec2c3fortc3faiblec4c5C6FortC6FaibleC7FortC7FaibleC8FortCSFaibleC9clOfaibleclOfortCllaCllbCllc

1

Clld

ASASASASASASASASASASASASASASASASASAS

INTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGER

AS INTEGER

AS STRING

'Numéro satellite (2 octets)Numéro satellite (2 octets)'Type transmetteur'numéro version (2 octets)'numéro version (2 octets)'type de zone mémoire piocher pour voir'nombre de fichiers'Valeur max de pointeur d'enregistrement'Valeur max de pointeur d'enregistrement'Nombre d'octets par enregistrement'Nombre d'octets par enregistrement'Valeur courante du pointeur (FIFO)'Valeur courante du pointeur (FIFO)'Nombre de variable possible de la clé de codage'Pas de temps (pour info)'Pas de temps (pour info)'complément clé de décodage - rien ici'complém.ent clé de décodage - idem champ 9

'complément clé de décodage - inutile (octets

'complément clé de décodage - inutile

OKOKOKOKOKOK

1 'entête'On lit chaque octet 1 par 1sauf pour les 7 derniers (sur 10) octets du cham.p 11

'Lecture

par

de

clfort = ASC (INPUTS (1, 1) )

clfaible = ASC (INPUTS d, D)c2 = ASC (INPUTS (1, 1) )

c3fort = ASC (INPUTS (1, 1) )

c3faible = ASC (INPUTS (1, 1) )

c4 = ASCdNPUTSd, 1) )

c5 = ASCdNPUTSd, D)C6Fort = ASCdNPUTSd, D)C6Faible = ASCdNPUTSd, 1) )

C7Fort = ASCdNPUTSd, 1) )

C7Faible = ASCdNPUTSd, D)C8Fort = ASCdNPUTSd, 1) )

CSFaible = ASCdNPUTSd, 1) )

C9 = ASCdNPUTSd, 1) )

clOfort = ASCdNPUTSd, D)ClOfaible = ASCdNPUTSd, 1)Clla = ASCdNPUTSd, 1) )

Cllb = ASCdNPUTSd, D)Cllc = ASCdNPUTSd, D)Clld = INPUTS (7, 1)

'Numéro satellite'Numéro satellite'Type transmetteur'numéro version'numéro version'type de zone mémioire'nombre de fichiervaleur max de pointeur d^ enregistrement OKvaleur max de pointeur d^ enregistrement OK'nombre d'octets par enregistrement OKnombre d^ octets par enregistrement OKvaleur courante du pointeur (FIFO) OK'valeur courante du pointeur (FIFO) OKnombre de variable possible de la clé de codage'pas de temps (pour info)

) 'pas de temps (pour info)'complément clé de décodage rien ici'complément clé de décodage idem champ 9'complément clé de décodage inutile'complément clé de décodage inutile



'on suppose que le numéro du fichier est connu (im.posé) et égal à 1


DIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIMDIM.DIMDIMDIMDIMDIMclé)DIM

clfortclfaiblec2c3fortc3faiblec4c5C6FortC6FaibleC7FortC7FaibleC8FortCSFaibleC9clOfaibleclOfortCllaCllbCllc

1

Clld

ASASASASASASASASASASASASASASASASASAS

INTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGERINTEGER

AS INTEGER

AS STRING

'Numéro satellite (2 octets)Numéro satellite (2 octets)'Type transmetteur'numéro version (2 octets)'numéro version (2 octets)'type de zone mémoire piocher pour voir'nombre de fichiers'Valeur max de pointeur d'enregistrement'Valeur max de pointeur d'enregistrement'Nombre d'octets par enregistrement'Nombre d'octets par enregistrement'Valeur courante du pointeur (FIFO)'Valeur courante du pointeur (FIFO)'Nombre de variable possible de la clé de codage'Pas de temps (pour info)'Pas de temps (pour info)'complément clé de décodage - rien ici'complém.ent clé de décodage - idem champ 9

'complément clé de décodage - inutile (octets

'complément clé de décodage - inutile

OKOKOKOKOKOK

1 'entête'On lit chaque octet 1 par 1sauf pour les 7 derniers (sur 10) octets du cham.p 11

'Lecture

par

de

clfort = ASC (INPUTS (1, 1) )

clfaible = ASC (INPUTS d, D)c2 = ASC (INPUTS (1, 1) )

c3fort = ASC (INPUTS (1, 1) )

c3faible = ASC (INPUTS (1, 1) )

c4 = ASCdNPUTSd, 1) )

c5 = ASCdNPUTSd, D)C6Fort = ASCdNPUTSd, D)C6Faible = ASCdNPUTSd, 1) )

C7Fort = ASCdNPUTSd, 1) )

C7Faible = ASCdNPUTSd, D)C8Fort = ASCdNPUTSd, 1) )

CSFaible = ASCdNPUTSd, 1) )

C9 = ASCdNPUTSd, 1) )

clOfort = ASCdNPUTSd, D)ClOfaible = ASCdNPUTSd, 1)Clla = ASCdNPUTSd, 1) )

Cllb = ASCdNPUTSd, D)Cllc = ASCdNPUTSd, D)Clld = INPUTS (7, 1)

'Numéro satellite'Numéro satellite'Type transmetteur'numéro version'numéro version'type de zone mémioire'nombre de fichiervaleur max de pointeur d^ enregistrement OKvaleur max de pointeur d^ enregistrement OK'nombre d'octets par enregistrement OKnombre d^ octets par enregistrement OKvaleur courante du pointeur (FIFO) OK'valeur courante du pointeur (FIFO) OKnombre de variable possible de la clé de codage'pas de temps (pour info)

) 'pas de temps (pour info)'complément clé de décodage rien ici'complément clé de décodage idem champ 9'complément clé de décodage inutile'complément clé de décodage inutile



'traitement des données intéressantes de l'entête'conversion de l'entête

NbDonnees = 1 + C6Faible + 256 * C6Fort 'Nombre de données'ATTENTION, les données sont comptées depuis 0NbOctets = C7Faible + 256 * C7Fort 'Nombre d'octets par enregistrementPointeur = 1 + C8Faible + 256 * C8Fort 'Position de l'enregistrementcourant'ATTENTION, le pointeur va de 0 à NbDonnees alors ....NbCodage = C9 'nombre de cham.ps de codageNbCle = Cllc 'nombre d'octets par champ de codage


SUB traduction (bed AS STRING, ASCII AS STRING)

'Routine de transcodage BCD > Décimal (exprimé en ASCII = texte)'tout dépend de la longueur de codage BCD <=> longueur du champs


DIM un AS STRING * 2DIM deux AS STRING * 2DIM trois AS INTEGERDIM signe AS INTEGERDIM puissance AS INTEGERDIM chiffre AS SINGLEDIM nombre AS SINGLE

SELECT CASE LEN (bed)CASE 1 '0 à 255CASE 2 'poids fort/poids faibleCASE 3 'nombre réel codé BCD avec 4 chiffres significatifs

' 4 demi-octets de mantisse' 1 octets contenant:' bit 7 = signe (0 positif, 1 négatif)' bit 6 à 0 = puissance + 40H.

un = HEXAS (MIDS (bed, 1, 1))deux = HEXAS (MIDS (bed, 2, 1))chiffre = VAL (un + deux)trois = ASC (MIDS (bed, 3, 1) )

signe = trois \ 128SELECT CASE signe

CASE 0: signe = 1CASE 1: signe = -1CASE ELSE: PRINT "erreur"

END SELECTEND



'traitement des données intéressantes de l'entête'conversion de l'entête

NbDonnees = 1 + C6Faible + 256 * C6Fort 'Nombre de données'ATTENTION, les données sont comptées depuis 0NbOctets = C7Faible + 256 * C7Fort 'Nombre d'octets par enregistrementPointeur = 1 + C8Faible + 256 * C8Fort 'Position de l'enregistrementcourant'ATTENTION, le pointeur va de 0 à NbDonnees alors ....NbCodage = C9 'nombre de cham.ps de codageNbCle = Cllc 'nombre d'octets par champ de codage


SUB traduction (bed AS STRING, ASCII AS STRING)

'Routine de transcodage BCD > Décimal (exprimé en ASCII = texte)'tout dépend de la longueur de codage BCD <=> longueur du champs


DIM un AS STRING * 2DIM deux AS STRING * 2DIM trois AS INTEGERDIM signe AS INTEGERDIM puissance AS INTEGERDIM chiffre AS SINGLEDIM nombre AS SINGLE

SELECT CASE LEN (bed)CASE 1 '0 à 255CASE 2 'poids fort/poids faibleCASE 3 'nombre réel codé BCD avec 4 chiffres significatifs

' 4 demi-octets de mantisse' 1 octets contenant:' bit 7 = signe (0 positif, 1 négatif)' bit 6 à 0 = puissance + 40H.

un = HEXAS (MIDS (bed, 1, 1))deux = HEXAS (MIDS (bed, 2, 1))chiffre = VAL (un + deux)trois = ASC (MIDS (bed, 3, 1) )

signe = trois \ 128SELECT CASE signe

CASE 0: signe = 1CASE 1: signe = -1CASE ELSE: PRINT "erreur"

END SELECTEND



'puissance = (trois MOD 128) - 64puissance = (trois MOD 128) - 68nomJare = signe * chiffre * 10 '^ (puissance)ASCII = LTRIMS(STR$ (nombre))

CASE 6 'nombre réel codé BCD avec 8 chiffres significatifs' 8 demi octets de mantisse' 1 octet signe (O=positif, 1 = négatif)' 1 octet de puissance + 80H)' Il ny en a pas pour l'application TELESUIVI

END SELECT


FUNCTION TraiteOetetS (octet AS STRING)

'créer une chaine de 2 caractères - Utilisé pour date et heureI ss======================= ==========ss=s====sssss==========s:======;==i==========s==== =


DIM k AS STRINGk = LTRIMS (STRS (ASC (octet) ) )


TraiteOctetS = "0" + kCASE 2 'rien à faire

TraiteOctetS = kCASE ELSE

TraiteOctetS = RIGHTS (k, 2)END SELECT

END FUNCTION 'Fin normale de la routine



'puissance = (trois MOD 128) - 64puissance = (trois MOD 128) - 68nomJare = signe * chiffre * 10 '^ (puissance)ASCII = LTRIMS(STR$ (nombre))

CASE 6 'nombre réel codé BCD avec 8 chiffres significatifs' 8 demi octets de mantisse' 1 octet signe (O=positif, 1 = négatif)' 1 octet de puissance + 80H)' Il ny en a pas pour l'application TELESUIVI

END SELECT


FUNCTION TraiteOetetS (octet AS STRING)

'créer une chaine de 2 caractères - Utilisé pour date et heureI ss======================= ==========ss=s====sssss==========s:======;==i==========s==== =


DIM k AS STRINGk = LTRIMS (STRS (ASC (octet) ) )


TraiteOctetS = "0" + kCASE 2 'rien à faire

TraiteOctetS = kCASE ELSE

TraiteOctetS = RIGHTS (k, 2)END SELECT

END FUNCTION 'Fin normale de la routine



ANNEXE A4

IMPORTATION DES DONNEESDANS UNTABLEUR



ANNEXE A4

IMPORTATION DES DONNEESDANS UNTABLEUR



A4.1 GENERALITES

D'une manière générale, les fichiers générés par la procédure de conversion des fichiersbinaires en fichiers ASCII produit des fichiers qui peuvent être relus par tous lestableurs du marché.

Ces fichier sont dits "fichiers délimités".

Cela signifie que le fichier est organisé en lignes de données.

- Chaque ligne correspond à vm enregistrement.- Chaque enregistrement est constitué de plusieurs champs : les dormées.- Les données sont séparées par un délimiteur : vme virgvile (,) ou un espace ( ).

La procédure utilisée dans le programme KERMIN de NAPAC génère des fichiersdélimités par des espaces ( ). On ne peut pas modifier le délimiter.

La procédure qui a été écrite lors de ce projet génère, par défaut, des fichiers délimitéspar des virgules (,). Ce délimitevir peut être modifié à volonté.

Les délimitevirs les plus courants sont :

- la virgule,- l'espace,- la tabvilation,- le point-virgule.

A4.2 PARTICULARITES ET PROCEDURE A SUIVRE POUR IMPORTER LESDONNEES

Les fichiers générés par le programme (développé en BASIC-Microsoft) sont conformesau standard qui avait été défini pour le TéléSuivi. Ce sont des fichiers CSV à séparateurvirgule et avec point décimal. Ces fichiers sont des fichiers texte qui ont la particularitéde pouvoir être directement importés dans les tableurs ou les gestionnaires de base dedonnées qvii les reconnaissent comme des fichiers de dormées.

Lors d'vme importation dans un tableur, il faut sevilement prendre garde à configvirer lelogiciel. En effet, beaucoup de tablevus fi-ançais proposent par défaut vme virgule commeséparatevir décimal.



A4.1 GENERALITES

D'une manière générale, les fichiers générés par la procédure de conversion des fichiersbinaires en fichiers ASCII produit des fichiers qui peuvent être relus par tous lestableurs du marché.

Ces fichier sont dits "fichiers délimités".

Cela signifie que le fichier est organisé en lignes de données.

- Chaque ligne correspond à vm enregistrement.- Chaque enregistrement est constitué de plusieurs champs : les dormées.- Les données sont séparées par un délimiteur : vme virgvile (,) ou un espace ( ).

La procédure utilisée dans le programme KERMIN de NAPAC génère des fichiersdélimités par des espaces ( ). On ne peut pas modifier le délimiter.

La procédure qui a été écrite lors de ce projet génère, par défaut, des fichiers délimitéspar des virgules (,). Ce délimitevir peut être modifié à volonté.

Les délimitevirs les plus courants sont :

- la virgule,- l'espace,- la tabvilation,- le point-virgule.

A4.2 PARTICULARITES ET PROCEDURE A SUIVRE POUR IMPORTER LESDONNEES

Les fichiers générés par le programme (développé en BASIC-Microsoft) sont conformesau standard qui avait été défini pour le TéléSuivi. Ce sont des fichiers CSV à séparateurvirgule et avec point décimal. Ces fichiers sont des fichiers texte qui ont la particularitéde pouvoir être directement importés dans les tableurs ou les gestionnaires de base dedonnées qvii les reconnaissent comme des fichiers de dormées.

Lors d'vme importation dans un tableur, il faut sevilement prendre garde à configvirer lelogiciel. En effet, beaucoup de tablevus fi-ançais proposent par défaut vme virgule commeséparatevir décimal.



Les données, vme fois importées dans le tableur, peuvent faire l'objet de tous lestraitements usuels (tri, courbes, extractions, etc).

Povu- information, les tableurs ne sont pas des outils adaptés au traitement des grosfichiers de données. Aussi, il est recommander de ne pas grouper plus de 2 ou 3 mois dedonnées (environ 4500 lignes/enregistrements).

La procédure recommandée est d'automatiser les traitements répétitifs en enregistrantdes macro-fonctions. Une démonstration de ce type de traitement a été réalisé par CFGlors de la présentation des matériels sur le site de Sucy en Brie en avril 1997.



Les données, vme fois importées dans le tableur, peuvent faire l'objet de tous lestraitements usuels (tri, courbes, extractions, etc).

Povu- information, les tableurs ne sont pas des outils adaptés au traitement des grosfichiers de données. Aussi, il est recommander de ne pas grouper plus de 2 ou 3 mois dedonnées (environ 4500 lignes/enregistrements).

La procédure recommandée est d'automatiser les traitements répétitifs en enregistrantdes macro-fonctions. Une démonstration de ce type de traitement a été réalisé par CFGlors de la présentation des matériels sur le site de Sucy en Brie en avril 1997.



ANNEXE A5

EXEMPLES



ANNEXE A5

EXEMPLES



A5.1 EXEMPLES DE FICHIER DE DONNEES DU TELESUIVI DE SUCY ENBRIE

Les fichiers de dormées du Télésuivi sont des fichiers ASCII qui peuvent être lu à l'aidede tout éditeur de texte sans exception, des gestionnaires de données et des tableurs. Ilsapparaissent alors sous la forme suivante (exemple du 15 janvier 1997 à Sucy en Brie) :

Date , heure, Pasp, Pp , Pr Pi Text Tp , Ti ,Wp,Wi, Tint

1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,

00:0000:3001:0001:3002:0002:3003:0003:3004:0004:3005:0005:3006:0006:3007:0007:3008:0008:3009:0009:3010:0010:3011:0011:3012:0012:3013:0013:3014:0014:3015:0015:3016:0016:3017:0017:3018:0018:3019:0019:3020:0020:3021:0021:3022:0022:3023:0023:30

-7. 5, 10. 22, 9. 559, 14. 73, -.3586, 78. 26, 46. 97, 88, 48, 193. 1,66. 07-7. 5, 10. 19, 9. 518, 15. 02, -.2453, 78. 27, 4 6. 73, 86, 4 9. 4, 195. 7, 65. 34-7. 5, 10. 26, 9. 596, 14. 97, -.5418, 78. 28, 47. 32, 90, 50, 195. 1,66. 23-7. 5, 10. 23, 9. 566, 14. 85, -.6885, 78. 27, 47. 38, 88, 50, 193. 9, 66. 28-7. 5, 10. 22, 9. 567, 14. 87, -.852, 78. 26, 47. 31, 88, 48. 6, 194. 1,66. 17-7. 5, 10. 22, 9. 565, 14. 89, -.976, 78. 26, 47. 27, 88, 50, 194. 2, 66. 17-7. 5, 10. 23, 9. 56, 15. 06, -.9703, 78. 27, 47. 29, 88, 48, 195. 8, 66. 11-7.5,10.23,9.555,15.16,-1.268,78.28,47.51,90,50,196.6,667.5,10.25,9.577,15.15,-1.349,78.29,47.57,90,50,196.4,66.06-7.5,10.23,9.557,15.04,-1.303,78.28,47.55,88,50,195.4,66.29-7.5,10.23,9.551,15.15,-1.361,78.28,47.37,90,50,196.6,65.91-7.5,10.24,9.56,15.19,-1.038,78.29,47.4,90,50,196.9,65.65-7. 5, 10. 24, 9. 561, 15. 17, -.7971, 78. 29, 47. 62, 90, 4 9. 4, 196. 6, 65. 93-7. 5, 10. 22, 9. 533, 15. 19, -.7584, 78. 29, 4 6. 63, 90, 48. 6, 197. 1,63. 4

-7. 5, 10. 23, 9. 545, 15. 2, -.9241, 78. 29, 4 6. 56, 92, 50, 197. 3, 62. 48-7.5,10.24,9.54 9,15.2,-1.177,78.29,4 6.26,90,4 9.4,197.5,60.19-7.5,10.24,9.544,15.19,-1.118,78.29,45.49,92,50,197.8,57.25-7.5,10.25,9.559,15.21,-1.126,78.3,45.68,92,48.6,197.9,55.75-7.5,10.24,9.54 6,15.2,-1.343,78.29,45.85,90,48,197.7,55.72-7.5,10.25,9.562,15.21,-1.589,78.29,46.34,92,49.4,197.6,54.6-7.5,10.23,9.551,15.19,-1.748,78.29,46.57,90,50,197.3,54.66-7.5,10.22,9.532,15.2,-1.565,78.29,4 6.53,90,50,197.3,54.64-7.5,10.23,9.541,15.2,-1.145,78.3,4 6.4 9,92,50,197.4,54.73-7. 5, 10. 24, 9. 559, 15. 21, -.6482, 78. 3, 4 6. 53, 90, 50, 197. 5, 54. 97-7.5,10.22,9.533,15.18, .2285,78.3,4 6.11,92,50,197.5,57.39-7.5,10.24,9.553,15.19,1.201,78.3,4 6.4,90,50,197.6,59.4 6-7.5,10.24,9.557,15.19,1.974,78.3,4 6.37,92,50,197.5,60.8-7.5,10.24,9.564,15.2,2.658,78.31,47.22,92,50.6,197.4,62.57-7.5,10.22,9.547,15.16,3.54,78.3,48.13,90,50,196.4,64.28-7.5,10.18,9.533,14.75,4.281,78.28,48.54,88,50,192.2,66.05-7.5,10.12,9.552,13.56,5.109,78.21,48.71,78,44.6,180.9,66.39-7.5,10.22,9.692,12.9,5.462,78.14,4 9.26,69.99,40.6,174.3,66.57-7.5,10.2,9.723,12.03,5.733,78.07,4 9.67,64,33.99,165,66.74-7.5,10.11,9.605,12.43,6.047,78.07,48.92,62,35.99,169.7,66.32-7.5,10.12,9.62,12.42,5.939,78.09,48.78,66,35.99,169.8,66.19-7.5,10.11,9.576,12.9,5.54 9,78.11,47.85,66,37.99,175,65.62-7.5,10.03,9.412,14.21,4.744,78.2,47.34,75.99,44.7 9,188.1,65.11-7.5,10.19,9.505,15.17,3.946,78.3,45.78,90,49.4,197.3,63.24-7.5,10.24,9.55,15.19,3.544,78.32,44.75,92,48.6,198.4,61.48-7.5,10.24,9.548,15.19,3.261,78.32,44.31,92,50,198.6,60.72-7.5,10.24,9.538,15.19,2.978,78.32,44.1,92,49.4,198.7,59.77-7.5,10.24,9.533,15.18,3.445,78.32,44.06,92,50,198.7,59.51-7.5,10.24,9.539,15.19,3.529,78.32,44.18,92,50,198.8,59.58-7.5,10.24,9.535,15.18,3.273,78.32,43.76,93.98,50.6,198.9,58.7-7.5,10.24,9.536,15.21,2.862,78.32,44.05,92.02,50,198.8,58.75-7.5,10.24,9.539,15.25,2.17,78.32,44.39,93.98,50,198.6,58.86-7.5,10.25,9.54 6,15.25,1.901,78.32,4 4.89,92.02,4 9.4,198.5,59.43-7.5,10.23,9.536,15.25,2.155,78.32,4 5.05,92,48.6,198.2,59.76

On remarque que les champs numériques sont de longueur variable (les zéros ne sontpas mémorisés) afin de réduire la taille des fichiers.



A5.1 EXEMPLES DE FICHIER DE DONNEES DU TELESUIVI DE SUCY ENBRIE

Les fichiers de dormées du Télésuivi sont des fichiers ASCII qui peuvent être lu à l'aidede tout éditeur de texte sans exception, des gestionnaires de données et des tableurs. Ilsapparaissent alors sous la forme suivante (exemple du 15 janvier 1997 à Sucy en Brie) :

Date , heure, Pasp, Pp , Pr Pi Text Tp , Ti ,Wp,Wi, Tint

1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,1997/01/15,

00:0000:3001:0001:3002:0002:3003:0003:3004:0004:3005:0005:3006:0006:3007:0007:3008:0008:3009:0009:3010:0010:3011:0011:3012:0012:3013:0013:3014:0014:3015:0015:3016:0016:3017:0017:3018:0018:3019:0019:3020:0020:3021:0021:3022:0022:3023:0023:30

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A5.2 EXEMPLES DE BILAN MENSUEL OBTENU A PARTIR DU TELESUIVIDE SUCY EN BRIE

Sucy en Brie - Passage du régime "hiver" au régime "été" en mai 1997

Période1 mai 97

2 mai 973 mai 974 mai 97

5 mai 976 mai 977 mai 97

8 mai 979 mai 97

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19.822.2



A5.2 EXEMPLES DE BILAN MENSUEL OBTENU A PARTIR DU TELESUIVIDE SUCY EN BRIE

Sucy en Brie - Passage du régime "hiver" au régime "été" en mai 1997

Période1 mai 97

2 mai 973 mai 974 mai 97

5 mai 976 mai 977 mai 97

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73.173.473.673.573.773.975.274.875.075.3

75.1

67.9

33.833.632.833.933.631.232.632.732.1

31.2

31.5

33.9

000

0

0

0

0

00

0

0

5.3

116.1

115.6115.1

115.6115.3

107.0112.7113.0112.4

111.9112.0

116.7

0.5

0.50.5

0.5

0.3

0.3

0.3

0.3

0.3

0.2

0.3

\2

14.3

13.3

12.5

12.9

\1.19.2

7.1

8.5

7.8

6.5

7.3

1024.2


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