Le coffre aux souveniers (El baúl de los recuerdos) Taller de Francés II- PEAM - UNRC

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2013 Profesora responsable: Silvia Elstein Alumnos: Susana Alasia, Rosa Becerra, Susana Caminal, Aldo Caymes, Amanda Corbalán , Teresa Correa, Ana Ducculi, Paulino Ferreyra, Teresita Fournier, Rita Gallo, Marta García Soler, Adriana Giordana, María Teresa Iribarren, Carlos Miguez, Nélida B. Monfasani, Mercedes Nuñez, María Isabel Olguín, Cristina Pájaro, Susana Sabena, María Celis Sbertoli, Susana Scheurer, Estela Taglialegne, Ricardo Vietri [Escribir el nombre de la compañía] TALLER DE FRANCÉS NIVEL II - PEAM - UNRC

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Taller de Francés II del Programa Educativo de Adultos Mayores (PEAM) de la Universidad Nacional de Río Cuarto (UNRC) Argentina. Producciones escritas realizadas por los alumnos del Taller a partir del Proyecto "Dis-moi dix mots semés au loin" organizado por organismos de la Francofonía.

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2013

Profesora responsable: Silvia Elstein

Alumnos: Susana Alasia, Rosa Becerra,

Susana Caminal, Aldo Caymes, Amanda

Corbalán , Teresa Correa, Ana Ducculi,

Paulino Ferreyra, Teresita Fournier, Rita

Gallo, Marta García Soler, Adriana

Giordana, María Teresa Iribarren, Carlos

Miguez, Nélida B. Monfasani, Mercedes

Nuñez, María Isabel Olguín, Cristina

Pájaro, Susana Sabena, María Celis

Sbertoli, Susana Scheurer, Estela

Taglialegne, Ricardo Vietri

[Escribir el nombre de la compañía]

01/01/2013

TALLER DE FRANCÉS NIVEL II - PEAM - UNRC

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Esta presentación comprende una síntesis de los trabajos realizados a por los

alumnos del Taller de Francés II en el año 2013 del Programa Educativo de

Adultos Mayores (PEAM) perteneciente a la Secretaría de Extensión de la

Universidad Nacional de Río Cuarto (UNRC) de la República Argentina.

La propuesta de trabajo este año tiene la intención de recuperar desde una

perspectiva francófona diversas voces que permiten el reconocimiento de otras

formas de la lengua y otras miradas de la cultura que ayudan a repensar la

propia identidad.

El proyecto 2013 se enmarca en la operación anual “Dis-moi dix mots” lanzada a

nivel mundial por el Ministerio de Educación de Francia conjuntamente con

diversos organismos internacionales cuya proposición es trabajar sobre diez

palabras seleccionadas por los especialistas de dichas organizaciones. La

edición 2013 “Dis-moi dix mots semés au loin” aborda las palabras del francés

que han migrado hacia otras lenguas las que han sido resignificadas y

adoptadas como propias.

Entre otros objetivos se propuso este año desarrollar un proceso de escritura a

fin de poder redactar textos que expresasen impresiones, sentimientos,

emociones, pasiones e interactuar con otros grupos generacionalmente

distantes, implicados la misma temática. En este sentido se realizó un trabajo

colaborativo con jóvenes estudiantes de Francés de Tecnicatura en Lenguas de

la UNRC.

Atendiendo a estos objetivos trabajamos “Dis-moi dix mots semés au loin »,

que son palabras, giros y expresiones que han migrado hacia otras lenguas,

adaptadas y adoptadas como

propias en diferentes lenguas.

ATELIER, BOUQUET, CACHET

COUP DE FOUDRE, ÉQUIPE,

PROTÉGER, SAVOIR FAIRE,

UNIQUE, VIS-À-VIS, VOILÀ son

las diez palabras que utilizamos

para evocar algunos souvenirs

que pudimos compartir en el

marco de un trabajo colaborativo

que nos permitió vincularnos

entre los miembros les taller y

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también interactuar con jóvenes estudiantes de la Tecnicatura en Lenguas de la

UNRC.

De esta propuesta surge el relato de una multiplicidad de historias entrañables

que describen momentos particulares de nuestras vidas que por algún motivo

han quedado fuertemente arraigadas en nuestra memoria y guardadas

celosamente en el interior de nuestro ser.

Ouvrons donc « le coffre aux souvenir » !!!

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Le coffre AUX

souvenirs…

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Atelier

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Dans l’atelier de ma mère

Rita Victoria Gallo Fassano

Hier je suis passée par l’atelier de couture de mon amie

Anne. Des tissus tendus sur des planches épaisses, des

modèles de robes sur de magazines de mode partout ont

apporté à ma mémoire le souvenir près de ma mère quand

j'étais petite fille.

Elle, devant la vieille “Singer”, la machine à coudre aimée qui reste aujourd'hui

immobile sur un meuble en bois

comme le témoin muet du temps qui

est passé.

Ma mère était couturière, elle

travaillait dans un atelier de couture

où l’on fabriquait des pantalons.

Combien de nuits, je l’ai vue courbée

et silencieuse, en se dépêchant pour

finir le travail qu´elle devait remettre

le jour suivant! À des heures

avancées de la nuit, je branlais la tète dans un extrême de la table…, alors elle

abandonnait l´aiguille et avec tout l´amour de celle qui était capable de tout

donner, elle m’emportait à ma chambre, me couchait, me couvrait, me donnait

un baiser et revenait à sa tâche.

Ma mère a été un être unique pour moi!

L’atelier de théâtre

María Teresa Iribarren

Quand j’étais jeune fille, j´ai fait un atelier de

théâtre pendant quatre ans, à la salle du théâtre “Le

Vitraux”. Cette expérience a été très importante pour

moi, j’ai étudié de nombreux les genres littéraires et

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artistiques: le drame, la comédie, la tragédie, le grotesque, l’absurde.

Toutes les années, pendant les mois de juillet et décembre avec mes copains,

nous faisions de petits spectacles qui servaient d’échantillons pour montrer au

public tout ce que nous avions

appris.

Mais qui est-ce qui était notre

public?…, sans doute tous nos

amis, nos parents!, pour moi,

c’était ma mère, ma voisine, mes

amies, elles nous applaudissaient

très fort et nous nous sentions dans la gloire!!! Quelle belle époque!

Mon rêve…, un atelier de couture

Teresa Correa

Un atelier est l’endroit où l’on travaille ensemble, C’est

un endroit de création collective, en groupe qui est lié

à l’artisanat et l’art, sous la direction d'une personne

d'expérience.

Le mot atelier m’a fait penser à beaucoup de projets

de ma jeunesse: avoir une maison de mode.

J’ai toujours rêvé que j'étais dans une salle très

grande entourée par des gens qui

travaillaient avec leurs machines

à coudre, avec de longues tables

couvertes de toiles de différentes

couleurs prêtes à être

transformées en belles robes de

mariage, robes de fête et aussi

des vêtements d’enfants.

Le rêve ne s’est pas accompli,

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mais quand dans la classe de français j’ai compris le sens du mot atelier, mon

souvenir de cet atelier de couture que j’ai appelé “La Maison de Teresa” est

revenu dans ma mémoire

L’atelier des artisans

Avilés Zúñiga Cristina

Une soirée d'été, dans un petit village, mes amies et moi sommes allées à une

grande foire des artisanats. Là-bas, il y avait un lieu nommé "L'atelier des

artisans" où il y avait des peintures, des sculptures, des tissus peints, des

parfums artisanaux...tout était fait à la main. Il y avait des produits artistiques

terminés mais il y avait aussi d’autres, en pleine élaboration, qui étaient en train

d’être fabriqués par des

artisanats de l’atelier.

Tous formaient une

grande équipe, tout le

monde se parlait,

partageait l’activité,

collaborait on se

protégeait mutuellement

ainsi que les objets

personnels de chacun

d’eux.

La découverte de ce

groupe de travail si harmonieux a été un moment unique pour moi parce que j’ai

découvert une manière de vivre différente où l’on respirait l'amour…, j’étais

vraiment enchantée. On pourrait dire que dès que je suis entrée à cet atelier j’ai

eu le coup de foudre.

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bouquet

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L’amour est un bouquet de violettes

Louis Mariano

L'amour est un bouquet de violettes.

L'amour est plus doux que ces fleurettes.

Quand le bonheur en passant vous fait signe et s'arrête,

il faut lui prendre la main

sans attendre à demain.

L'amour est un bouquet de

violettes.

Ce soir, cueillons, cueillons ces

fleurettes,

car au fond de mon âme

il n'est qu'une femme.

C'est toi qui seras toujours

mon seul amour.

Violetta, mon amie,

mon amie si jolie.

Violetta, je t'en prie,

n'aies pas peur de la vie.

Il faut perdre la tête

et songer que l'amour

est comme ces violettes,

il se fane un beau jour.

Le bouquet de remerciement

Teresita Fournier – Yani García

Il y a longtemps…, cinquante ans déjà que cette histoire est passée.

Je me rappelle que quand j'ai fini l’école

primaire, j'avais un rêve: je voulais devenir

enseignante et pour cela je devais me

déplacer de Vicuña Mackenna à une ville

proche à la mienne pour étudier.

À ce moment-là, il n'y avait pas de moyens de

transport pour m’y rendre et je n’avais jamais

fait de l’autostop pour me déplacer, mais

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quand j’ai eu douze ans, je me suis décidée…, je serais enseignante et je ferais

de l’autostop!!!

Quand j’ai commencé à étudier, je voyageais tous les jours pour aller à au lycée

où je suivais mes études pour devenir maîtresse d’école.

Tous les jours, je partais très tôt de chez moi et maman restait inquiète en

faisant des prières dès que je m’en

allais jusqu’au moment de mon

retour.

Heureusement il y avait une banque

dans cette ville et plusieurs

personnes y allaient en voiture et

passaient presque tous les jours

par la route qui était devant notre

maison à la campagne. Il y avait

toujours quelqu´un qui me

transportait jusqu´à mon destin. Pendant cinq ans, j´ai voyagé avec des voisins

très aimables. Grâce à eux aujourd´hui j´ai mon diplôme de maitresse d’école.

Quand j´ai fini mes études, j´ai décidé de remercier toutes les personnes qui

m’avaient ramassé dans la route, mais je ne savais pas comment le faire.

Alors, j´ai suivi les conseils de ma grand-mère. Elle m’a dit alors que comme

cadeaux je devais faire des bouquets, c’était un bon conseil et pour les faire

j’ai dû récolter des fleurs dans les champs.

Un beau jour, je suis allée au bord de la route et quand un conducteur s´est

arrêté, en réponse au signe d´autostop, nous avons eu ce dialogue:

-Bonjour monsieur! Pouvez-vous me ramener à la ville proche?

-Bien sûr...montez vite….!

Mais en sourient je lui ai dit:

-Excusez moi.., je voulais seulement vous offrir ce bouquet de fleurs parce que

j'ai souvent fait de l´autostop pour aller étudier et je n’ai jamais pu vous

remercier comme je l´aurais

souhaité….Tenez ce bouquet..!

Au revoir…! Ah! Excusez-moi de

vous avoir dérangé pour si peu de

chose….

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Alors, il m’a regardé, et en souriant, il m’a dit des mots que je n’oublierais

jamais:

- Ce bouquet, c’est comme le premier rayon du soleil du matin, il a mis de la joie

dans mon cœur!

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Cachet

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Le paquet avec un cachet mystérieux

Sur une idée de Susana Sabena

Mercedes Núñez

Quand j'étais petite, je vivais dans une ville entourée

des paysages et de collines très belles.

J´habitais une maison avec un grand jardin fleuri

que j'adorais. Avec mes parents et mes frères,

habitait aussi ma grand-mère, elle était belle,

gentille et elle était toujours contente.

Je vais raconter une innocente histoire de mon

enfance qui a concerné mes petits frères, ma grand-

mère et moi.

Un jour, ma grand-mère a reçu un paquet enveloppé

d’un papier très brillant avec un cachet commercial

inconnu pour mes frères et moi, nous étions très

curieux pour savoir ce qu’il y avait dans la caisse

mystérieuse.

Nous n'avons pas douté de l´ouvrir à toute vitesse;

avec l’impatience de notre enfance on a tellement tiré

du paquet pour l’ouvrir sitôt que le papier

s´est déchiré et tout le contenu est tombé

par terre et s’est rependu par toute la

chambre : quelle surprise !! Dans le paquet

il n’y avait que des cachets effervescents

que nous avons goûtés en pensant qu'il

s’agissait des sucreries.

Tout á coup, nous avons écouté des pas qui

se rapprochaient et nous n´avions pas le

temps d´escamoter notre innocente

espièglerie. La situation semblait difficile, et quand notre grand-mère est entrée

dans la salle, nous avions tous les visages blancs comme du papier à cause de

la peur d´être punis. Mais en fait, rien ne s’est-il passé. Ma grand-mère, sans dire

un mot, a ramassé tout ce que nous avions éparpillé par terre, elle a fait de

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nouveau le paquet et elle nous a proposé de faire une promenade sur la colline

et lorsque nous sommes

arrivés au sommet elle a

dit: Regardez ce

magnifique paysage,

j´espère que vous

partagerez avec moi

l’émotion de le

contempler parce que

c’est un endroit différent,

original, chéri pour moi…

il a du cachet !!!

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Coup de foudre

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J’ai eu un COUP DE FOUDRE

Paulino Ferreyra

Je n'ai jamais oublié les voyages de mon enfance et

de ma jeunesse à Rosario, une ville qui avait une

attirance magique pour moi à cause d’un moyen de

transport qu’il y avait à ce moment- là: le tramway.

Dès que je l’ai vu j’ai eu un vrai coup de

foudre!!!

Je le voyais venir avec sa marche lente, lourde,

bruyante; Je sentais mon cœur bâtir très fort dès

que je entendais sa clochette gaie qui annonçait son arrivée, cette clochette

gaie, différente à toutes autres et cela me faisais énormément heureux.

Il m’a montré la ville: ses

parcs, ses places, ses

monuments, ses maisons

seigneuriales et ses

quartiers humbles, son

fleuve Paraná, ses gens,

ses couleurs. Il a été

comme un guide aimable

et amusant que dans ma

pensée d’enfant je le croyais eternel.

De la main du temps, le progrès n’a pas compris son charme et l’a quitté pour

toujours.

Depuis des années, je ne l’ai jamais vu mais encore aujourd'hui, quand je ferme

les yeux, je crois le voir revenir vers moi, pour me rendre de bonheur de mon

enfance !!!

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Un coup de foudre !!!

Aldo Caymes

Quand j’ai vu la Testarossa pour la première fois j’ai eu un coup de foudre !!!!

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COUP DE FOUDRE

Francisco Andrés- Macarena Veliz

Comme une tornade, un cyclone, un ouragan

Oh! L’amour passe comme un orage,

Un petit tremblement de terre

Pour exprimer mes sentiments

Décide mon destin,

Et ma vie entière!

Femme qui aime

Ou qui souffre

Une avalanche d’étoiles et de lumières

Dans le cœur

Retrouve trop de bonheur

Et l’âme se calme comme le ciel

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equipe

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L’ÉQUIPE DE MON MARI: DEFENSORES DEL TIRO FEDERAL

Celia Sbertoli – Adriana Giordana

C: Bonjour Adriana, ça va?

A: Bonjour Celia comment vas-tu ?

C: Tu te souviens quand tu me racontais

les anecdotes de l’équipe d’Antoine?

A: Oh oui quelle belle époque. C’était juin

1984, l’équipe de football des enfants du

quartier Tiro Federal.

C: Elle a été très importante, parce qu’elle

a fait une grande tâche, n’est-ce pas?

A: Oui, tout a fait, pur contenir les enfants et pour les tirer de la rue, on leur a

appris l'esprit d'équipe.

C: Magnifique! Où est-ce qu’ils ont joué?

A: La mairie a prêté le terrain

derrière le Tiro Federal. Il était

situé sur la rue Paso de los

Andes coin Estrada. Je me

souviens avec émotion l’effort

d’Antoine et ses amis pour

que les enfants de ses amis

gagnent le match.

C: Comment étaient les vêtements des joueurs ?

A: Les tees shirts de l’équipe ont été donnés par le propriétaire de la

boulangerie Otermin, elles étaient blancs avec une bande verte et les pantalons

étaient blancs aussi.

C: Et ses parents allaient-ils les voir jouer ?

A: Oui, oui chaque après-midi, chaque match, ils organisaient des petites fêtes.

Ils préparaient des gâteaux et ce que les enfants préféraient particulièrement,

c’étaient les : “choripanes” avec le Coca!.

Je me sens émue quand je me rappelle les visages heureux des enfants devant

chaque triomphe!

C: Ont-ils gagné un championnat quelquefois ?

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A:Hélas jamais…., on a beaucoup souffert pour cela !!!! Ils sont sortis sub-

champions le 18 mars 1985 à Santa Rosa, La Pampa.

C: Et actuellement cette équipe continue.., elle joue encore?

A: Malheureusement tout le travail fait s’est perdu avec le temps. Encore,

quand il a rejoint le côté gauche du club et quelques joueurs ont été incorporés

à d'autres clubs de la ville comme Étudiants. Beaucoup de souvenirs…., un autre

jour plus tard, je t’en raconterai encore d’autres.

C: Merci de partager avec moi ces beaux souvenirs. Au Revoir

Une bonne équipe

Natalia Milanesio – Emanuel Rosetti

Étudiants du PEAM et de la TECNICATURA quelle équipe !!

Quel bonheur de vous revoir de nouveau.

Unis autour d’un travail portagé.

Intégrés sous l’initiative de notre professeur.

Partageant de nouvelles connaissances.

Ensembles, nous nous découvrirons de

nouveaux mondes.

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Ana et moi….Quelle équipe !!!

Celia Sbertoli

Salut ! Je veux vous raconter quelques souvenirs propos de l’équipe que nous

conformions mon amie Ana et moi.

Je l’ai connue quand nous étudions à l’Institut Supérieur du Professorat de

Géographie “Joaquín V. Gonzalez”.

De 1974 à 1980 nous allions tous les jours à

l’édifice de l’Avenue de Mai, un bel immeuble qui

n’existe plus aujourd’hui.

Pendant ces années-là, la situation du pays était

difficile, plus encore à Buenos Aires à cause de

l’atmosphère politique du moment. Je me rappelle

aujourd’hui les mouvements de la police

reprenant des manifestations de la CGT… !!! je

me souviens aussi l’après-midi d’un jour de juin

1978 quand mon amie et moi, nous avons passées

des heures dans un café où l’on préparait des travaux pratiques pour nos

études, tout en criant les goals de l’Argentine lors du championnat de la coupe

du monde de football!

Nous avons travaillé à l’Institut de

Géographique Militaire à l’intérieur d’une

équipe de restitution de photos aériennes

qu’elles se convertiraient plus tard en cartes.

Nous avons travaillé aussi chez une

consultante dans l’équipe d’électrification

dans la province de San Juan. Un paysage

impactant… les arbres étaient verts, les

montagnes enneigées et les vignes mures.

Avec Ana, en décembre 1988, nous avons

participé dans une émission des questions

et des réponses à la télévision et nous avons

gagné !!!

Elle était intelligente, honnête, élégante et

très coquette.

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Par des raisons de la vie…, nous ne sommes plus ensemble, pourtant nous

continuons à partager des travaux en commun comme les tissus, les tapisseries,

le vitro-fusion. Elle est à la tête du projet et j'admire son talent.

Notre équipe s’obstine à poursuivre malgré temps passé, parce que nous

aimons faire des choses ensembles...nous sentons un grand esprit d’équipe

basé sur la passion pour le travail, les objectifs à obtenir et la confiance du

groupe.

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Protéger

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Mon rêve …protéger la nature

Cistina Pájaro

Quand j’étais jeune fille, j'ai eu un rêve…, je

voulais devenir pompière et faire partie du

service de pompiers volontaires, pour protéger

la forêt et la faune de la région montagneuse

où je vivais. Ce rêve était dû à la peur que je

ressentait des incendies qui s’y produisaient

pendant les mois d'août et de septembre, qui

étaient les mois de sécheresse intense et des vents violents, ce phénomène

continue encore actuellement et les vents ce sont la cause de l'apparition des

feux violents chaque année.

Mais en raison de mon âge,

puisque je n’avais que 15 ans á

ce moment-là, et face

l’impossibilité d’obtenir la

permission pour rejoindre le

groupe des pompiers

volontaires, j’éprouvais un

grand chagrin. Comme J’étais tellement désolée, J’ai raconté mon rêve à la

directrice de l'école, et elle m’a dit, qu'il y avait une autre façon d’agir pour

protéger l'environnement et aider les pompiers, elle m’a suggéré donc d’écrire

dans le journal de l'école des articles contenant des informations sur le danger

qui pouvait subir les prairies de la région vis-à-vis des actions irresponsables de

ceux qui provoquaient le commencement d’un feu. Alors, j’ai compris qu’écrire

des messages pour éviter les incendies c’était aussi une manière d’empêcher le

danger de protéger l’environnement.

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En effet, pour protéger

quelqu'un ou quelque chose,

nous devons d'abord dire

comment éviter le danger, et

à travers le journal, j’ai pu

transmettre quelques des

règles valables pour la

protection de

l'environnement. Voilà les conseils pour protéger la nature que j’ai écrit dans ce

journal …

Avant d'allumer un feu, il est nécessaire de se poser quelques questions : Quelle

est la raison pour laquelle vous allumez un feu?; Est-il nécessaire d’allumer ce

feu? Y a-t-il des prairies ou des bois sec à proximité? Percevez-vous des

vents?, Avez-vous les moyens suffisants pour éteindre le feu en cas

d’incendie?.

Si nous découvrons un feu, nous devons l’avertir immédiatement aux pompiers

pour prévenir son développement et empêcher des dégâts.

En effet, mon rêve de devenir pompier pompière ne s’est pas accompli ; mais je

croyais qu’avec mon message j’aurais pu protéger la nature, car je pensais alors

qu’encourageant des changements dans la conduite responsable des individus

j’aurais pu éviter la destruction de l'écosystème végétal et animal, mais

malheureusement mon message n’a pas été tout à fait suffisant pour empêcher

des incendies qui ravagent nos forets. J’espère que dans l’avenir il y aura des

personnes chaque fois plus engagées pour protéger notre monde !!!

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Savoir Faire

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Ma vie.., un vrai savoir faire

Ricardo Vietrii

J'ai toujours considéré la possibilité de vous raconter comment se déroulait la

vie aux années ’50 quand j’étais jeune homme.

La vie à cette époque-là était sans doute bien

différente à celle de nos jours et je crois que

vivre en ce temps-là impliquait déjà tout un

savoir faire.

En 1950, j’avais 16 ans et Rio Cuarto était une

ville encore peu développée qui avait

beaucoup moins d’habitants qu’aujourd’hui.

En fait, Il y avait 45.000 personnes, cependant

la ville commençait à se réveiller et de différents signes commençaient à faire

preuve du progrès débutant : la première enseigne néon du café Bonafide, le

premier bâtiment à plusieurs étages, le Grand Hôtel Rio Cuarto, le nouveau

Lycée National où je étudiais.

Deux lignes de bus parcouraient la ville, la Nº1 qui allait du cimetière au quartier

Alberdi et la Nº 2 qui rejoignait le parc Sarmiento et l’Hôpital Régional dans

laquelle je voyageais très souvent.

La station de bus était placée au 600 de la rue General Paz en face de la mairie,

c’était un secteur toujours très animé où il y avait une profusion de vendeurs qui

vendaient de produis variés dans la rue.

Comment pourrai-je oublier

les Carnavals à Rio Cuarto,

avec ses célèbres bals dans

de différents endroits de la

ville !!! El Colonial, El Lido,

El Florida, ou le Cinéma

Plaza et la Renaissance,

animés par des orchestres

telles que Jazz Show Les

Corbeaux, Harlem Jazz ou

la Typique Maipo. Sans

oublier les défilés des chars

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avec les belles reines qui représentaient les différents clubs qui parcouraient

pendant les jours du Carnaval les rues de la ville… C’était un spectacle !!!!

Le temps de ma jeunesse s’est passé d’une manière très simple mais à la fois

très animé. Pendant la semaine j’allais au lycée où ’étudiais et le week-end

j’allais à la place centrale, la Place Roca où on faisait « Le tour du chien » (la

vuelta del perro) qui était une pratique qui avions les jeunes de cette époque-là

consistant à faire le tour de la place, les garçons dans une direction et les filles

dans la direction contraire de sorte que à un moment donné on se rencontrait

vis-à-vis, c’était le moment de courtiser la fille qu’on préférait.

Le samedi c’était un moment de rencontre avec les amis, on fixait un endroit

pour se rejoindre et à 21 heures on allait manger de la pizza avec du muscat à la

Rôtisserie Cordoba en face de la place ou nous allions aussi à la Pizzeria

Schiaffino, située la rue Constitution entre Buenos Aires et Colón. Après, on

allait danser...où ? à Monte Carlo où il y avait toujours une orchestre qui

animait la soirée.

Pendant les week-ends les jeunes avions plusieurs possibilités de loisir, moi par

exemple j’aimais jouer au billard au Bar Nipon, placé au coin de la rue

Sbremonte et Belgrano ou au Bar Splendid sur la rue Consitution et San Martin.

Une autre alternative c’était d’aller danser au Thé dans l’Hôtel Rome (on appelait

comme ça les soirées de

l’après-midi) ou les

dimanches, après la messe

de 11 heures dans la

Cathédrale, j’allais prendre

un café à l’Idéal ou au Grand

Hôtel où il y avait parfois

des orchestres des

orchestres de la ville

animaient les clients. Et le

soir, si j’avais de la chance, je pouvais être invité à une fête dans une maison de

famille qu’on appelait « asalto » ou l’on pouvait danser et rester en groupe.

Un autre lieu de loisir était le nouveau quartier Villa Dalcar entouré d’un lac qui

était très à la mode à l’époque où l’on y allait pour profiter du lac et des filles.

Pour m’y rendre je devais prendre le bus ou aller en vélo… !

Voilà mes souvenirs des années de ma jeunesse.., combien de moments sont

revenus dans ma mémoire de ma vie et de ma ville ….une grande nostalgie m’est

envahi !!!

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J’aime beaucoup Rio Cuarto, et j’espère que vous aurez pu apprécier tout ce que

je viens de vous dire parce que en regardant ma vie je trouve qu’elle a été un

vrai savoir faire !!!

Broder à la main.., un savoir faire particulier

Ana Ducculi

Pendant les années ’70 et jusqu’aux années ’90 j’ai

travaillé dans une boutique de vêtements pour

bébés et petits enfants dont j’étais la propriétaire.

J’y vendais des bodies, des pantalons, des

brassières, des bonnets mais J’y fabriquais aussi

des draps blancs pour des bébés, ils étaient faits à

la main et cela impliquait un savoir faire

particulier. Avec d’autres femmes nous faisions le

travail en utilisant de fines tissus que l’on brodait

à la

main,

des

fleurs de toutes les couleurs et

qu’on le finissait avec une engrêlure

faite au crochet. Une fois les draps

finis on les encaissé dans des

caisses de toutes les couleurs et on

les envoyait à Buenos Aires pour les vendre.

Je me souviens de cette étape de ma vie avec beaucoup d’amour et je suis fière

encore de mon SAVOIR FAIRE !!

Un Savoir faire incontournable

Susana Caminal

Page 32: Le coffre aux souveniers  (El baúl de los recuerdos)  Taller de Francés II-  PEAM - UNRC

Savoir-faire, voilà une belle expression bien

française qui prend toute sa signification en France

et ailleurs. C’est une habileté particulière, un

mélange de théorie et de pratiquer, une

combinaison de connaissance et d’expérience.

En 1973 je suis tombée enceinte de mon fils aîné,

alors j'étais contente et très heureuse de devenir

maman pour la première fois. C’est à ce moment-là

que j'ai

commencé à

tricoter. J’ai appris à faire des tricots

pour faire des vêtements faits à main

pour mon bébé et cela a été fascinant

pour moi !!! Après ma grossesse j’ai

continué à faire des tricots pour toute

la famille pendant 40 ans.

Aujourd’hui je suis retraitée et j`utilise mon temps libre pour apprendre de

nouvelles techniques de tricotage à main ce qui constitue un savoir

faire incontournable pour moi.

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Unique

Nous sommes uniques…, à chacun son histoire !!

Carlos Miguez – Chabela Olguín – Estela Taglialegne

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Dans l’opération ”DIS-MOI DIX MOTS SEMÉS AU LOIN” organisée par la

Francophonie mondiale, le mot “UNIQUE”, entre autres mots, a une signification

très intéressante. Cet mot a des nombreuses significations. Par exemple, nous

pouvons penser que chaque être humain est unique et indivisible. Dans le

monde de l’art il y a des artiste inimitables: Picasso, Da Vinci, Miguel Angel,

Rubens entre autres. Dans la vie courante nous trouvons des personnages très

singuliers et inédits.

Trois personnes, trois vies, trois êtres humains UNIQUEs, singuliers... trois

histories.

Charles

À l’âge de 12 ans, j’ai connue mon bisaïeul (le grand-

père de ma mère) il était né en Italie, dans la zone du

Piémont. Je conserve encore des images tendres et

émouvantes de lui. Il était toujours assis dans le

jardin parce qu’il ne pouvait pas marcher, il était trop

vieux et il portait une vielle veste avec deux poches,

et dans chacun d’eux el gardait une pipes et il fumait

alternativement de l’une et de l’autre !! Quand il

fumait de sa pipe…, il restait taciturne et

mélancolique en pensant qui sait quoi !!!!

Il est mort l’année suivant à l’âge de 98

ans.

Pour moi il a été un être humain spécial

dans mon enfance.

L’époque de mon enfance a été belle qui

est resté dans ma mémoire comme une

époque aussi UNIQUE !

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CHABELA

La petite histoire que je vais raconter, c’est

histoire de deux filles, ma sœur et moi, qui

passions les vacances d’été dans une maison de

campagne près de la ville. Nous profitions

beaucoup de notre séjour dans cette maison,

c’étaient des moments de joie !!!

Ma sœur et moi, nous aimions d’aller faire de la

pêche à la rivière et nous profitions beaucoup du

paysage qui l’entourait, plein de fleurs de

couleurs multiples, c’était un endroit unique !!!!

La cérémonie de la pèche était un moment unique aussi qui comprenait

plusieurs démarches : armer

l’hameçon, tenir la canne droite,

serrer la corde, chercher la pierre

parfaite en taille et en forme pour

soutenir la canne, chercher les vers

de terre comme appât et finalement

nous nous asseyions tranquilles et

nous jouissions de ce moment

unique de pêcher !

ESTELA

Estela de sa part, a cherché dans sa mémoire et elle

a trouvé un souvenir très spécial.., unique : son

premier voyage au Chili.

Elle et sa famille sont parties pendant la nuit. Le

matin, quand tous les membres de la famille sont

arrivés à la montagne... ils ont un coup de foudre

quand ils ont vus la Cordillère des Andes à couleurs

multiples et brillants! Majestueuse, magnifique,

impuissante !

Ils se sont sentis vraiment petits. Ils ont

étaient frappés par la beauté de la nature.

Page 36: Le coffre aux souveniers  (El baúl de los recuerdos)  Taller de Francés II-  PEAM - UNRC

Son frère pleurait d’émotion, sont père regardait stupéfié.

C’et le paysage que toute la famille rappellera et gardera dans leur cœurs comme

le souvenir d’un paysage unique au monde!!

Publicité : Cindy Frizzoti – Vanesa Ferreyra

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Un moment unique

Vanesa Ferreyra

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Vis-à-vis

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VIS-À-VIS

Rosa Becerra – Amanda Corbalán – Susana Alasia

Samedi dernier je me suis réunie avec mes amies Amanda et Susana pour

travailler sur l’expression vis-à-vis qui signifie visage contre visage. En

faisant le travail que nous devions faire pour l’atelier de Français, nous nous

sommes mises à regarder par la fenêtre et nous avons commencé à évoquer

d'autres temps vécus dans le passé. Une nostalgie de revenir à des années

lointaines nous a envahis. Chacune a raconté un moment spécial de sa vie, moi,

je me suis souvenu d’un voyage que j’ai fait à Mendoza et de l’émotion que j’ai

ressenti quand je me suis trouvée vis à vis de la Cordillère des Andes.

La beauté des paysages de la Précordillère et de la Cordillère des Andes était

incroyable, la majestueuse

montagne de l’Aconcagua était

un spectacle unique au monde,

le parc des Horcones avec ses

sites archéologiques

imposants, le pont de l‘Inca

avec ses grottes ocres, ou les

Cavernes avec ses paysages

aussi beaux en été qu’en hiver

avec les montagnes enneigées

provoquent une émotion

suprême.

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Ce souvenir que j’ai partagé avec mes amies, nous a fait penser sur

l’impuissance de l’homme vis-à-vis la nature !!!!

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Voilà

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La boîte à photos…voilà…combien des histoires enfermées !!

Pampi Monfassani

Je suis Claudine, me voilà sur cette photo !!!

Voilà ma famille !!! Voici

mes parents….Voici mes

frères….combien de souvenirs

enferment ces photo !!!

Je suis la deuxième fille de trois frères.

Je suis née il y a longtemps en 19…., je

en m’en souviens pas trop!!!

Pendant mon enfance j’étais très heureuse,

j’habitais à la campagne. D’après ma perception

d’enfant, chez moi tout

était très grand. Voilà

les arbres et les

animaux…

Voici les fleurs et les fruits…

Un jour, je jouais dans la cour de ma maison et

voilà qu’un animal un peu bizarre s’est rapproché de moi. C’était une autruche,

peut être d’un voisin près de chez moi.

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Mais comme je ne la reconnaissais pas, j’ai pensé que c’était

une cigogne. Alors, avec l’innocence de petite fille je lui ai

demandé:

- Viens-tu de Paris ? Peux-tu m’emporter un petit frère ?

Mon père qui me regardait de loin m’a dit :

- Mais, …voilà-toi !! Qu’est-ce que tu fais en parlant à cet

animal- là ?

Je lui ai répondu alors que ce n’était pas n’importe quel animal, que c’était une

cigogne et je lui avais demandé de m’apporter un petit frère.

Mon père, m’a regardé…, les yeux grands ouverts et en réfléchissant sur la

naïveté de mes propos il m’a demandé :

- Et qu’est-ce qu’elle t’a répondu ?

- Elle m’a dit que mon frère naîtra avant le

printemps !!!

Et voilà !!! La cigogne a eu raison…, mon petit-frère

est né le 20 septembre !!!

Et voilà …, nous nous sommes rencontrés

Susana Sheurer

Ca fait longtemps…, pendant les années 1960, j avais

treize ans, je faisais une promenade sur la place de mon

quartier avec mes amies. Il faisait une chaleur épuisante

ce jour-là d’été. Quand tout à coup, il s’est passé quelque

chose d’extraordinaire qui a secoué ma vie pour toujours

…, c’était lui…, j’ai le vu pour la première fois …, et nous

voilà... l’un, l’autre, face à face, vis-à-vis, nous découvrant

pour la première fois.

Soudainement, la place est devenue plus animée, les

arbres plus verts, les jardins se sont remplis de fleurs,

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parce que mon cœur a battu plus fort que

jamais !!! Dès que nous nous sommes vus,

nous avons eu un coup de foudre.

Depuis ce jour là, nous ne nous sommes plus

quittés et nous avons construit une vie

ensemble pour toujours. Nous avons eu trois

fils, et neuf petites enfants.

Nous nous sommes fait une promesse

d’éternité.

J’ai été très heureuse avec lui…, mais

hélas…, un jour, il est parti…

Marqué comme un sceau sur ton

front,

Comme un feu dans ton cœur

C’est l’amour

Qu’il est fort comme la mort "

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La -voilà

Natalia Milanesio – Emanuel Rosetti

Voilà l’homme

Voici la fille

La-voilà toute seule.

Errante, fragile, vulnérable

Elle marche solitaire.

Dans la rue sombre de la nuit.

Nous voilà indifférents.

Aveugles vis à vis la misère humaine.

Nous voilà insouciants, nonchalants.

Insensibles devant la solitude.

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Dis-moi dix mots

Une amitié tissée à travers le français

Teresita Fournier – Mercedes Nuñez

Il y a déjà quinze ans que nous nous sommes connues dans l'atelier de

Français du PEAM.

Au commencement nous n’étions simples copines de classe, mais le temps est

passé, et peu à peu l’intérêt pour l’apprentissage du français s’est transformé en

une profonde amitié entre nous.

Nous avons conformé une bonne équipe de travail parce que nous avons vécu

des expériences uniques qui ont renforcé notre liaison.

Quand nous sommes vis à vis en prenant des mates nous parlons de

beaucoup de choses mais le français ne manque jamais dans notre conversation

et nous parlons aussi du savoir faire de notre professeur Silvie et de ses

classes qui ont du cachet.

Nous sommes deux amies très différentes, Teresita a

un bouquet de qualités, elle est une bonne épouse,

mère et grande mère, elle

veut protéger à tous. Elle offre

toujours sa maison avec une

grande hospitalité. Cuqui, elle

aime l' histoire, voyager et

danser. Elle est très sensible. Elle a eu un coup

de foudre avec les danses espagnoles qu’elle

toujours danser.

Voilà notre histoire !!!