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ÇI1$ DU l)Ypldtllit,DIS AIUIIYRES DU fuma DU MINE D{ FIS U LOI lm VUIU a..! ; ).- ,} T3RV I POLITIQUE ET LITTZ,RÀI Lematsmltl j pSLA0sa Sn an r0 t.; /!mata, !1 1.; a peY, ill. Ad.; 06f.; - tira Sa6AN0 J1 Laatrela aapplime.W iea da pNle ea an. W eapoq.Ma,£IS> F w®LOUSE : Lu bureau s detarnal, ras l items ih d PAIUS: atiea M. Bier ras J.J, de it La ae K eia et 4, place dit La Bomq, S; IL Faut"; - de 4rivlae, tS, , Seau d'errsgsndaata peur las 2awpees. , 20 F¢vr#er. lktpLeke fl blarraphIgeta " L udrre, t,T février. Une d6péohe de Versailles du Il an- aonce que la députation envoyée p r la ville de Rouan n'a pus réussi à obtenir la remise de 1. otnbat de guerre imposée bar les gé étaux prussiens. Dos dépatatieus daua e ill t pas réussi no,,tes Lr P usy s me a t estrémea d'avoir rec sa su c ai 1". tr but nos es 89.1 paspées. 3 1 II do D oppe a payé 100;0007 en '96_ eE en mdlen en traite. surl.on. d pu ditaohernant pruesun est a116 saisir t suasse de la douane et t: a trou. 6 que 69 f es. tondre., 18 Wvrier. Le la .Duite Tdlégr pA t jo Mvresag,FOat ae,pronouoo td& g qu .sot des P s ris à } aria comma étantune eotrepnse bumr hante et daugareuee. Le Standard dit L'A,glete re u titre partiaaher a gare consultdav lot o urldiona M. ecor faute entr®é scasi fée de s' 11 secours à la F a e.l,e Dao mira, l'Autri, pphase} Malle voulaient appuyer le Franc Leurer nues s obligé ces poisson eanaes à demeuras Aleloe s. Peutlle s glosant Erarop lebrm as il chat :eoelle o et mCalte quua l'A., de erre s, osnt lemapr a, a ., puissamment ardél'AI- lr gw. Cor sans .wls, la v t de maux it pas été a m om- 8plbtcUpper tter co derlAtlnta- don. nvo te vAngl e le droit ils d'intervenir i le ont dans Pive Krét,de l'Europe, .afin d'obtenir pour la laLrsuoe due condamne bisé mies. aontri6 mat6riella- LN terra, a punir mettre l'Allemagne o st sinon ut donc sue d ttoas: L'A gl t r pont icte donc dire a l'emperau Guillaume . vatr.vmta e.eal nu grande pa[tie le ré- aultat de ma p I t que. Je réclame do vous la mpdéean , lo uu.. usinants de luire qqne Wlte Virbiire ne dvienne pas un üésesteo pour moi. s L'Angleterre rat obligée d'umpéeber que les neutres de la nenM ilité qui leur a été impair par elle. Elle a aussi l'obligation d'empécher quueonallidaea- b lese les consB,lcenogs de cette politique. Le devoir de l A listera est d'obtenir de la Ppsegs des conddious. qui poenmt feus à 10 F anoa d gag r sa pres- pfrité si ea grandeur ébranlées, at de rester tovjo poisseuse de premier ordra et. l'ail d decnvo d l A gl t re, lia iaeuud c pible d'opp a f r- midabl9 opsWple a, ia do'u uatien. de l'AL- Iluci, é gt eux agressions éventuelles de la Re iea L Time pub ie une dépé 1 1 D r 3 n, t3 février, disent qua iea o unions}de vepoe es ve leur unis folles qu ava llae ne ont. paeativemoet m si do formé défi modérées. Lu d 7 .hp lieurs, que ers penditious .rut ppronablemest aeobiu pal les "d'un dd la aH n. portant qu e .,las hget I te do ;.vent r 7némér, ,es conditions devaondueiaut plus du- rna. Lo aes, 17 lèvres. du 8 février, dans 1. Opalisaient des 1 R tuée.. P.., 1mom t l d p anvillé Ol .udl uvernemllento t:l liigalop de réserxe leur ep n p o n t mus, ea b I. Pn@!ern tune pesta ie e tlon VIII, à tout. dam d é sua t lu qon' veau gouo'rn m Pt qμi ,eeeo rua nq¢ 'mmédiatem d après quel au ;Hé le Le uMorttfn9 Adoertieor o e Lv"Lime bleu est 1. lecture le, e triste qui ait été jamais iuf tgée eu publie a glai-. Lea quaua eiagméniec d'un lame de- 16!J pages eomJan.eot d'au côté las ens pansant a. de I .F aise ei 1 rotas do 1 Anéloloere dé ntr ee dastrepara, las aagBae4éRpdMttiune ea 'aeuuee. le gsemeat sage unir est activé. etFAegluteeeo ce Hgae encore -a- ethoitapone ampmeoéea daua le tint de, leiaaer loi combaüaute A b aux.mime.. Il c xiatn pas-aaa eeula:dé. pécha de l'A gI te re la. X de Dieesek usait pu dette " "«" '' 'a Im depuis Je comma emegt jas- q .-l'Agléterr,e â atçorué. S- ,pfloruca e v d'ami ô b ,qu'un partir edédie à la Fra a; Ils e p l,yaé l a braeidlgn du vara eliep r las courir elle .aim- ééea ocras le dito dai' Âlorsu élequ!au I dét net nHm' e plots fidèle emta lis nue pp it étranger aie ,tl saca t d facile à Aagl au de lira ro g r et ana bp .r de l'Est tin uot[e , conduits n, .'oc, varslp grana q l'heure sut réme de l'é- preaven - .: Carlarahe, I t fd r lia 6-1t, de Buée pubs s la rdpo isc de M. Julie F re relati va é 1 reaogtran c d. comte d B k relative au déprit d'exclusion de Ga"'b..a t rie av« .son d'i n.appo er4 selon bu v nmar »m ae paigt vains e trie+S Ve s na de nt li ot rA us'ma a engagé d'eooopt E e uQ e las I omL rm s is pneaibla l e vo- cal d 1'a .crus lie laHC Je vous réa unis q j p a m oute sdceté eflinn r g e l p ys n thoncotladt qon des él ot s-liprue_ layes colin aesaeé, Si 1 dé r td t vous mopine. été promulgué, qu'il as'. stutulé. T GRAP$tk3 Puty Bordeaao, 19déveler. 9 h. 15 m, de matin. rogé jusqu'au 26 Ltatmigtioe est pro févrigr à midi. Cotte prorogation pourra cire rmou- voiée.. - 01M. Thiers et J. Favre partiront sans doute ce voir pour aller àVoraaillos. Le, Mouileerr pubüo la convention rbglmal jla capilolalion de Bellolt. -1,0 Jere,, le Ogubs_et la Cote, DfL sont compris dans l'armistice. llosmçou reste ans Fran;ais. avens ndédcna. 6 ter. Bordeaux,. 191 10 h. 10 m, malle. Vienne, 18 février, Dos placards affichés sur les-mers do Vienso et reproduits par les journaux; oogagent le public aarguer unoétition qui sera prc entes à l'i mperema l'ef- fet do le prier lue la gouvernement austro-hon6Fols, soit. do 00110016000 les antres puissanu9$, soit seul, 1010m louée pour ompèclEr le ddmombremenl do la nation feaoçmsn; projetdpar la presse, et par', là préserver l'Europe des dangers politiques et sociaux dont elle serait menacée par lo rdtablisspment du droit do ceiogbtite. Ues domonstrations analogies sor. gaoiscnt en Hongrie, Trausylvanio, Bo. boson et Pologne. Berne, 18 [B ries. La peste bovins a ilçlalé à drerci8ros en Suisse, avec les bestiaux_ quj, 000000-, pagoaiout l'armée de l'Est. La Freil Prolo ditque le désir de paix est grand eu quartier générai alto mind. fd*itf dColaJrie dit que les eol- La tribotions de g u.rre, deus les dd[iarto- meurs occup s lits les Allemands, ,ont pour but de convaincre la Franco de ce qu'elle risque en ropoussan4,la paix. Dieppe, 17 février Le burons été saisi par lev Prussiens et ferma. Le directeur du bureau e été arrêté pour avoir refusé de livrer la caisse. Ou eogudo de Leipzig qu a e pélitioa à IAsaemblé. nuHoualn: d ti rue x pirpuleu pneu i les prisnieurha 1udécl s ç i.aren Leat mg alrns de cetteonpb qunle obév nt au fo voruemont que .Maie, aJoutamals, le Franco sedonnera. si nous pontera do soldate noua détend du nom part a tiré . à la lente polit quanoua avoue av l d t de daa- der, à tare de mtoyene,"t l g cee- n ent angeol noua .nous le devais d d er cuire sape soit In véritable p .salon d la I m d t paya. 1 ne éq ce, les e Iho.- peorde,v rie demander le lasso appel au suffrage un[vereol pour tea.oher deus qua ie .o . 1o çagaevtiegdaesvorsilisgonver- nemenb de la obp daigpH s o0 iea Îrege noiv05e0l 50 prdomncerat en faveur de 1 hr Nous J. us K é',a..:d ce et so,nneLra au ver. gui l'npa,gpur,-8 a.. doit dit la nation Lor r as t7tév r d CAam6reB c nmunr ]ibf t Aü.eBohede dl no t, t dé f ' qu8 la euta éde M.lteterrdemand mt l'appui es l e et de PAsaaçe rro, des négediationa erze'n oeoaiaseme ord Orote le Son- réell stations au anj. de 1 rare quia présidé aaa 6leoti... f,... ailes, en dépit des circonstancas si dit. ailes au mlbeu disquettes 011.3 so sont at.e0 sa IOWA= i aspe.Wl Arrivé., e Walm aa rasa. am*1 N.' I ,. I Y h A Slgrese Airevus e Msac li h. 30 fi Maria Agas 1 h dt Y;nn a, 00 'Yaae ACen J Yp YWia (ixp .) ! fb bis 1 4Y goba .,0 1 SI d a mi bv;Alm 0 fe Scie d0 N Iras. s. serrai 17RgArx : Rixe Saint-Rems, =l h -1 f9 S. N Yatm a Il. R 4 tri ! a 0 rA :prasab f 00 YauoptM.)}0 qy{f basalte; iges i 0 m fe lisier oe'>h .. t sa bis f tl N IWIa: 4CN W bu a (ns,.. s.j . vte iawaa, d /a toit i 61 IIubb 3 a,.t, su b-u (m C bu a NyS , o efi r .. . Waa Yeaadaaa Waa ,sut, 7 14u* t 1 u Watô lai! tassais. Sc de h. te- La. h. 00 Matie t d te bu l u gooïirr ai Lr7711 - ".T . 7 f0 lits S pis 1 Il t tr p a rua Um m i 1B a a p d [l fsWya Impelmee t1 ii M Q{ü{a / p N 49 ¢. Yoalrly F w te 0e4éou3, 19 février.. Auasitlt guida ont un' connaissance de Iv dovision de l'ASSOràblée nommant M. l',hiors çAePdr pdnvoiNOxdcuti[l les gudygrngonats d hspcgmo et de porta. gal, 401 eoeeyod ministres l'ordre deliciouoaileo le gouvernement Fruit. çais, -'NOtifiaaliou.dp eéfte.recouùaissance a été [aile hier par les représentants de ee3 doux pays erres uteéoaa - Bordeaux, 19 février.,, e sh Ut dr, dasuis. addri$, 10 ffivrier: M. Zorilla, membre du conseil des ministres, s été attaqué "D, unit par c}ee individus qui. ont tiré trois coups de trabocos et.3 l'ont pas atteint. 1 M. Oloaaga partiralt.geur Bordeaux. B f ..aux, 4i) février, 6 h, torr. A l'ASaOmblde,. M. Thiet, lit nu dis- cours disant qu'il accepte la tache don. loureuse que le pays lui impose. Il ex- primera confia p nce.dans Io ressources dit ape.:.. - 1l à qû il a choisi les m'edstna3'déiit les nome au[v>;ut an nyant égard saa- lomentà Mél. Duluuee, justice; J. Favre, affairés élrauglI-nil L. Picard, intérieur ; - Joies, SSmpti, iusuvctioq.pubà- quel J.ambrecjat, commerce; la généra,`-(+A.F,W,.:guesra,.... " POthcAtr, onoeruet do Larcy, travaux publics. - Le ministre ale; finances m'étant pas encore arrive à Bordeaux, M, Thiers dit qu'il toc M peut, pas le nominer- . Thiers 4e 'se charge daacun admet te spdcjal. Dépêche. B rd.aaé, 19 février. 6 heures du vair. Suite de la séance de l'Assemblée na- tionale. M.'phiers dit qu'il n'apportai) pas un programme 'Pi est toujours une chose Qaguc lisais qu'il ne pouvait avoir deux politiques à suivre au moment ac- tuel. 11 est urgent de faire cesser les maux qui affligent le pays, de faire ces- ser l'occupation ennemie. Le pays a besoin de la paix, d'une paix cenragea- sement débaHUC et qui no seiaaceeptéç que si elle est honorable. IL. Triera amours la reconslitutiou des conseils généraux et municipaux par do nouvellos.terrions. Ly tachoà laquelle lo gl)uvcroemeot Cousarre boutas ses ''sera d0 paei- her et de rlorganiser le pay,le relever le crédit, de i orbali set le travail. M. Thiers dit nuiniesl plus pressant qua Aelte bichie, je eu tQneevrais pas que i uelqu'pn pin ici s'eceopa de o1aeOlions oonstitutmnnelles,tandis que la France se débat sou I dlreinlo de L'ennemi. Voile notre portique, et a celle poli- tique tout histoire) seuso, qu'il soit mo nari}usto n rdpahlroaio, peut travailler utilomcul fiarts 1inldpét du pays. }Jne fois cotte tâche accomplis, nous rendrons le pays à lits "muni e, pour quittions dise comment il veut vivre; alors, en conntissance,de. cause, nous pourrons prononcer sur nos destinées, elcela, don par une.simple minoritd', mais par une veloute a laquollo tues col legpos et moi nous noue consacrons. Ce sera la plus grande force I quo voues puissiez donnera vos négociateurs, que de priser votre concours à ente politique qui ri a e4 van que les iotér¢ta du pays. (Applandiesameuloprolonges. ---- - l amorit6 mil Laine;. un lai da dmdoura, à l'expiration duquel, s'ils o s nt pas Chrolni ue Locale. re.tres pu, ohel,um. dis départemept, rua q ont oursuivie aven taulesdes ri rieurs i. K de la loi. l i terri r 1871 A h e . ua , e det.v dé Lause a l'honner 11 t n par ordra d M I gé dur d d i ' t d iofarmer le public que les vacomations aoinmeudanl la lléd ivette. l ro . Out tumeurs [ u, le ourdi de cheque ae- Le général de br g de ' eprês,midi, .dans mmne aith as. da l dommaadautta suhdfvisiou l'ancien local Boruady, allée St-Michel Duetetz. tz. . pela le Grand-Rond.,. i 8 Saeoia.GrIl amie élève de netre' On écrit de Perpignan que plusieurs rreetahopr j puée t du l'école p ly. chu qn sous-+I+ d 1 e¢tenant an 76 ég ,uni d sri llee.iejl es violenaee ai monte, set nom é ukavalioe do la légion d'honneur. qi l,r!s ()a aq A ,certaiuea+egt remarqué 1'ac- réÇé mupiclpal,gat n[erdit les mageera- d et les teueeet aie la sas la vase pu- bligoe et daua le établ semeurs publias. A q e le dit l arr9{d, pas direchs,pr m te ..flot au outrage à la d leur de 1. ..lie. .1 ..a insulte à la pudeur la plus ulge}re : A e au ions pnla -qne 1 eét&4dt aaem asphmte é l ¢g d des baba punies de 1-1 mature, qui, eu milieu dae.>airs oeaeeanoeaoa esteuuve la pays devraient itre oareasemnnt intgqrrdita E u ait pan an te, 1raài, an ee-Wpmont, de permis. lieux qa eu refera l'dduuedon mapalq et pp.uaque, de noua. générat[ea. ôoet aunom d lo r liberté, e des vrais .1. Ilio ts [, t Hquea qua no.e amas toi la prétention de parler. 0 it doux ` p J a ttal - Ou assure que ,M Jales S,m a sait lait rapportes loxllerot do-G tnbetta qui a¢ema la--d,moluttw dol C exils gé- aé puasse , Ces assembl ne ses mut ci lermiu,à Lot 1 f délai, dans le lut de émince lia ravoggees.que la. guerre a oaueés ci... Ol. que déart i.,lte eglpmaao servirait de base pont Itcer la Jart pr p rt uonrfl de h;+q¢e ép rtement dan. `indemnité de guerre a payer à l'ennemi. Calcule d ha, t Léér g q laites Y D tn v non t l axt émit sud es I Grande Allés . slntada SIS". Du 19 Février, Iherm. sen. muai nm d hier e .} 14 1. id. min. de la' nuit : 1-2. camus. case.. écosse .tel., -soie. i h. m. 4-,7571. - t. boom; - 050, faible. Midi, >%7W G - id. - .050 calme. eoalinuéde Le baeemitrn, .prés *vol, baisser wés lontemeut, reste 6 peu près rat naira aveu tend »nce à la hausse. Gsoo IL gela blanche ce matin dans la oampagee. pour la chronique locale et tout ce qui précéda. A. Pulel, Montauban, 19 février, L rfvde de M. EE.. dans entre lifte, imprimé uns grande activité aux ira. ux dumomuuout que Montauban va él :- lamé - e de 1 grec s nillua- t , a bitectas, ""et. T'a' la m ad , enlegpfeuaura aviea valse de aile o t l'un peut espérer quo bientôt la.vdtd talc ,rapayésadetteoeadlèbrappô.- ireymrostera i d s,pe onnalfKe tee plus tranchées de f art moderne. Lc journaux du Gare publient l'avis suivant: Ana gardes niabiliade ,da Ocre déeelosre ea T e ,dal ,ira. Eus bedge mobilisés du Gers qui ont d6aert6gle camp de Toulouse, et qui e forontpou preuve de reps Ili, eu se pré. tant pou ot valoatairemeat à Auch, aveu leu armas et le. elf tegr ila t p rt6e, devant le cap rame.major tl n dit du dépit de la garde mobdrée du Gers, pour lire dirigés par Isv ce f.'réusa le dépôt du camp de Tout- se, scro t r horohéa, arrétés et traduit- durai riva e ails de guerre comme déserteurs à 1 iJRériour eu tempe de guerre, aven armes et bagages,. crime pouf do 2à5 ans de travaux publias. Il . t aemrd6 a . lard a mobilisée et ed taises pour se présouter devant , Yprcueee-Ormaiatea' e; quo ffi Peggea- Duport vagày[seps9aaoü} raflées N t ,vedtee dadt itd' pa gnreI e n es rr . )P d Y ftoi.. de l. garder e lui ..la-'dés P rp gndA éi aa capiWme d elle de Fox Nous devina rie ..p. de Buter-. waton de In jestise. Lgmpan té dna et' iéateta ;de cette -Sucs contre l'ordre' et la liberté serait aie véritable cala. i M. Etieune Aragoadréase, Sans 61ea- leurs des le lettre suivante : ehmis, Je vent, ta, lasge ua dernier de mes Jours de l'hepneu que, voua venue de ma lpir un ma nommant otre ddpntl, C quoutà.dea ana de tt s oouke.ars puurla-ltkl I I qu,, et, jus Ildi'l tu Iq s ftgw. f rts an pa t é s e v e r le mémo ah, ég tmn, mo,donnaient de droits au t .lie qui, pour la ev ndi fois, Isseoit votre r ment. , Eh bisai-eu t tr qne j'ai accepté de ifs nids, rie aveutout do j, anaux ui cru a v Il oe doit le )refuser. M ts je ne s i- pmnt ponr cals de servir la plu ace et.ls République. Le Gouvernement du h septembre qui i a vu { star boulin draps au national la i rre de Y is m'a hargd dune mia atraord aira,eh It.d t'y s ici man:' Vous .liés m donner an r pl çeut, ni Sous ! e pat oz, v liante et éproa a qn v ua t a r a de" 1 amba s dis clic z, Quant a moi, uts don tdo Idu"=i désirais, n , v y r t n6a que v u sen 1 les e - étés u v ¢t e agite les plus graves mtéréfe dota Patno Salut fraternel! Enenne Ar.go. Nice, Il février 1871:. Toulon, l6 téxrier. lier, un trust est entré ;en gare. en ,apportant deux batteries d'artillerie montée, venant, de Grenoble et se rendant à Nice ; leur présence ayant été jugée inuute dans le chef-lien dos Alpes-Mantime ] se et sélou- ion ;les canons t 1 I ian..ont été iparqués dans l'enceinte de la gare eatérieure, et les chevaux éont aam- liés sur les terrains de la P rte Ncu- vu. boa }ana batteries f ira t part s dp pehl usep d croio d" ,sort r Nier, afin de réprimer la révolte si elle avaiteamieedeoe propager on e du 00 lame t dort as cotre-ordra ai un ba- taillon de tarons et dent escadrons de 1 s qu i at ea tutti pour la nié destins le.. afin, a hmt `loures, les témephares du rassit ont once qo en Ivégatq auto lt o, prise à.111 m i, s a Sar- q dans l S. S 0 vcnait de fi", trou coupsde 0000n Eleil-od d . enul de d trissa C'est ne .que l'on. ait pus encore; ruais il est sexes probable que le salira contrit hissé ses oeuleass a'il avait eu l tention de demander dos !a- ms A. moment du départ da court r 0etc question Actant pas une a xph q ae, eu est dd t 2 ee d mander ai Ips guotteura t R6dti eurent y Il tonus f agate qui aura E hré frais coupe e oa- a a Etjl is lé mirage parts. 0 de bru. me1todmtsoaveut00e singulmrseffets. fin es raIvâelle ouereia dépé lie rogna. faut un lassais .n vue, à f heures du manu, à 6 heures 114 ce n'était pins qu'use frégate, à Q bourse ma corvette t à 8 heures uu aviso enlraft eu mouii- M Chauvin, chanes'ier de l'ambassade torque à Parie gr'vemcet bleas6 duos 1. atasu ph. du hemiude ter, est mort ' la a'nit decniére 8 Toulon. C est S6, e Victime, M. De Waf, ex ministre des edomi -. de royan ie des n en tra.eittumeanthonaa liteau l, est Lundi, 20 Février 1894 1 ae lé W TY.un1Eapnee. r,, yna 1 tués dress,es da' Nias s le 6'd eçfto du M di usus foarulesent quelques 4easptd teenonti sue les troubles qui ont gansa le hue i . Nice, 10 -février -r I re' Yi.Edeub le rédaoNmy bel éleuttioe -ept. été ot4tue s ,lüé Ni. par nce sérénade euraMpée. O rb aa citoyen Mar Dd stase,, prélat de la République, Vo iea lesta a, ii ndi b, .vers fiera heures, le citoyen Erse de Saiet-Albert p lainant de la Mission maarmpa(e ,:.accompagna do eubahmt Meule, du. pevimisselns dan- tral [[eynenw, sous essarte de gendarmes lade.serdentsde vlle,alait procéderI la epsi.dte Dipstlod Nirzq, journal s6- pain etcont. aau}w l'indigna sont(irs écria on üalion lsuburieé de-pbtoos o para . ,, r : - i,aD,riue gontpnad.- djt-oo, ai article dan.legnal,oa demandait les fies du préfet t du m eo avant qp[[ une à aaart dshéspoe d e.J'dprea Nitorsee. Eu t n fais t on. ,appel furibond à la aépueatfsn imlpédpptee.: Bie.t& une f ale én r me se porta dans la ,*,I, . Baveo7l uf, eh opus lus atel[ere des. ne Cu et F ant imp aura du Dtr ttq Il fallut requér r à la casera+; S bD iqu 1 c nessea du pt{ et uaufl a nt, car la foule gmssiea .t A, aaa que minute. Alors a iverent cinquao,',e gendarmes à cher I t plusse^.rs bpades à pied sonal ordres du commandant d leu. darmarfo. Ils tn t accueillis p des sifflets t des han e Des sommations fq nf ait "' mats 1 éaoataneo devenue . p àVe L. ir [ dus repovaér les axant ara ,o bu b" tt t les le. iasa.daae.les suee adj. tes. Ea mémo temps -appelait p C Kligraphe dé. pieu e do débarquement des uavi- r sue guerre, mom116a en rade de Vil. .ea sepegnies aooournre¢t son luge gymaeetlgne, précédées de quatre obuatere du mont lise. Lea patrontlles 6 pied et à oheval tiairent par disperser curieux et ooa[urés. D . papiara. orde-compromettante ont été sa aie fi la rédaction de Diritlo. ().y a t ouvé les fila de la conjuration ourdie depuis bagtemps et dual te dénoAment était marqué à heure las. Aneuilét la tombée de la voit, les et. l'impatients revenaient plus nombranr ¢ p re gaa[t la présence d'individus ét a 8 le ville et venue de la rivière de Gauss pour Lave le coup de mai.. '-utile dalsostce que leagamias, hurlant, tillent, aboyant ygr ¢iflaie.t. Vers sept Aedm la poste de geadar- maria de la -préf et re, harcelé de trop prés, fit nce dé barge, à blaq .qui mit mi fuite 1. bands 7a plot audpo ose, A huit h ores n upde p ers dtei g t I boa d g d .le Pvto [ nmpa l dol p ot.c. A ar t .,omma aies h t eût été 1 guaL e 0,610. de l uu,tmnba orlhots4 Laa Vitres vo. Ibrnt eu éclats leaa saillapta,réfugiéa dans lés ruelles perpendioulairea a la ne de la préfeutnr a oh _ don tas de ga. -LAI étaient amonoeléo t ratent de là taure eseut et disparais- munitions et ppr.àarm sam.t eu fapat mesure que les pa- 4reoilleo se nwutraiaut ou pircalalout- On '=q n il pu peur 20,000 fr. da dégdHs conaaet pas le unmbro des blessés. Cette orgie a duré jusqu'à e heures, sana lasser la prodnooe.et 1 Ionganima6 de [air eue lde lagen- darmarie, admirables de douceur et de patiegon. Lo. préfet aie s'art.pas, moqué. -11.. a laissé le colonel de gendarmer hararv- guer la Joules ponr lui couse lier p- - tira, la modératiue at le respect d. [6 ai Cas ionisas bienvotllants éK da.ataa. On, airs kd la ,fa 'clesaea etc nrmnaéquent Iluçy n..rk-ependwt, t vcita 6r?aéa^ rte ne faiblvn pu 4 jineurreatiole, ai elle lice encore i' rite. 19eus a<rta arreaGtienneayiCen'ont eu s nu grand nombre de prison. a e ,sont été.eplaohéa. Nice, 19 tévriv 8 h. da noir. La matinée a été calme, mats on sen. tait qu'il y avait dons l'afr an 'sautés d'émeute qui as tarderait pas i agiter la Bot populaire: lin ,fret, vers dea heures des affres p eurent eo Ilditifiettaient dans dans p a Dscum ver . sur U las nvirous d 1 ours 1 peonl 8 tnt-Demia[qua etc, hut a proolameaen prélat, apnançro son tour, apv ildb deadx es'son prompt retonq 'f'Isu K d- Mots oesr da rée ses douars ire e et -,me l tio l s. préparaa a d d ra an. dernier mut. s le s at arts t prévu. U. bataillas. eudr uua barrir e.de m u illenaes,. un eh cadran d^gendarmes ét it en gare; ve naulein Toril n, et temiepi lev miras t èe rrhque, les plaies do la face ont dévala; p6 u¢ iréapè.u ; la malade dis tau fe iilire dè a 6é 0 m h ai a II lite à a crise pourra peut-être le le sauver Ou signale nuis sexes feule promotion deus l'état major de l'armée navab ; il y Peur s .dix eapitaio,s de fréggte,.vue I gu:emc à 1 aa nueté e noua l'avis ol6c eus de sa nom tan. Vue "Il"' ollieielle ordonne didi rager eue lierdoeus toue l.a soldats applar- tpüantans dépôts des régiments camus. 266 dans le Vor,, Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ÇI1$ DU l)Ypldtllit,DIS AIUIIYRES DU fuma DU MINE D{ FIS U LOI lm VUIU a..! ; ).- ,} T3RV I

POLITIQUE ET LITTZ,RÀI

Lematsmltl jpSLA0sa

Sn an r0 t.; /!mata, !1 1.; a peY, ill.Ad.; 06f.; - tira

Sa6AN0 J1 Laatrela aapplime.W iea da pNle ea an.

W eapoq.Ma,£IS>F w®LOUSE : Lu bureau s detarnal, ras l items ih

d PAIUS: atiea M. Bier ras J.J, deit La aeK eia et 4, place dit La Bomq, S;

IL Faut"; - de 4rivlae, tS, ,Seau d'errsgsndaata peur las 2awpees. ,

20 F¢vr#er.

lktpLeke fl blarraphIgeta

" L udrre, t,T février.Une d6péohe de Versailles du Il an-

aonce que la députation envoyée p r laville de Rouan n'a pus réussi à obtenirla remise de 1. otnbat de guerreimposée bar les gé étaux prussiens. Dosdépatatieus daua e ill t pasréussi no,,tes Lr P usy s me a t

estrémead'avoir rec sa su cai 1". tr but nos es 89.1 paspées.3 1 II do D oppe a payé 100;0007 en'96_

eE en mdlen en traite. surl.on.d

puditaohernant pruesun est a116

saisir t suasse de la douane et t: a trou.6 que 69 f es.

tondre., 18 Wvrier.Le la .Duite Tdlégr pA t

jo Mvresag,FOat ae,pronouoo td& g qu.sot des P s ris à

} aria comma étantune eotrepnse bumrhante et daugareuee. Le Standard dit

L'A,glete re u titre partiaaher agare consultdav lot o urldionaM.

ecor faute entr®éscasi fée

des'

11

secours à la F a e.l,e Dao mira, l'Autri,pphase} Malle voulaient appuyer leFranc

Leurer nues s obligé ces poissoneanaes àdemeuras Aleloe s. Peutlle s glosant

Erarop lebrmas

ilchat:eoelle

o

etmCalte quua

l'A.,de erre s, osntlemapr a, a ., puissamment ardél'AI-lr gw. Cor sans .wls, la v t de

maux it pas été a m om-8plbtcUpper tter co derlAtlnta-don.

nvote vAngl

e

le droit ilsd'intervenir i le ont dans Pive

Krét,de l'Europe, .afin d'obtenir pour lalaLrsuoe due condamne bisé mies.

aontri6 mat6riella-LN terra, apunir mettre l'Allemagne o st sinon utdonc sue d ttoas: L'A gl t r pontictedonc dire a l'emperau Guillaume. vatr.vmta e.eal nu grande pa[tie le ré-aultat de ma p I t que. Je réclame do vousla mpdéean , lo uu.. usinants de luireqqne Wlte Virbiire ne dvienne pas unüésesteo pour moi. s

L'Angleterre rat obligée d'umpéeber queles neutres de la nenM ilité quileur a été impair par elle. Elle a aussil'obligation d'empécher quueonallidaea-b lese les consB,lcenogs de cette politique.Le devoir de l A listera est d'obtenirde la Ppsegs des conddious. qui poenmt

feus à 10 F anoa d gag r sa pres-pfrité si ea grandeur ébranlées, at derester tovjo poisseuse de premierordra et. l'ail d decnvo d l A gl t re,lia iaeuud c pible d'opp a f r-midabl9 opsWple a, ia do'u uatien. de l'AL-Iluci, é gt eux agressions éventuelles dela Re iea

L Time pub ie une dépé 1 1 D r3 n, t3 février, disent qua iea o unions}de

vepoe es ve leurunis folles quava

llaene

ont.paeativemoetm si doformé défi

modérées.Lu

d 7 .hp lieurs, que erspenditious .rut ppronablemest aeobiupal les "d'un dd la aH n. portant que .,las hget I te do ;.vent r 7némér,,es conditions devaondueiaut plus du-

rna.

Lo aes, 17 lèvres.

du 8 février, dans 1. Opalisaient des 1

R tuée.. P.., 1mom t l d p anvilléOl .udl uvernemllento t:l liigalop deréserxe leur ep n p o n t mus, eab I. Pn@!ern tune pesta ie e tlonVIII, à tout. dam d é sua t lu qon'veau gouo'rn m Pt qµi ,eeeo rua nq¢'mmédiatem d après quel au ;Héle

Le uMorttfn9 Adoertieor o e Lv"Limebleu est 1. lecture le, e triste qui aitété jamais iuf tgée eu publie a glai-. Leaquaua eiagméniec d'un lame de- 16!Jpages eomJan.eot d'au côté lasens pansant a. de I .F aise ei 1 rotas do1 Anéloloere dé ntree dastrepara, las aagBae4éRpdMttiuneea 'aeuuee. le gsemeat sage unirest activé. etFAegluteeeo ce Hgae encore-a- ethoitapone ampmeoéea daua le tintde, leiaaer loi combaüaute A baux.mime.. Il c xiatn pas-aaa eeula:dé.pécha de l'A gI te re

la.X de Dieesek

usait pu dette " "«" '' 'aIm depuis Je comma emegt jas-q

.-l'Agléterr,e â atçorué.S- ,pflorucae v d'ami ô b ,qu'un partir edédieà la Fra a; Ils e p l,yaé l a braeidlgndu vara eliep r las courir elle .aim-

ééea ocras le dito dai' Âlorsu élequ!auI dét net nHm' e plots fidèle

emta lisnue pp it étranger

aie,tl saca t d facile à Aaglau

de lira ro g r et ana bp .r del'Est tin uot[e , conduits n,.'oc,

varslp grana q l'heure sut réme de l'é-preaven - .:

Carlarahe, I t fd rlia 6-1t, de Buée pubs s la rdpo isc

de M. Julie F re relativa

é 1 reaogtranc d. comte d B k relative au dépritd'exclusion de Ga"'b..a

t rie av« .son d'i n.appo er4 selonbu

vnmar »m ae paigt vains e trie+S

Ve s na de nt li ot rAus'ma a engagé d'eooopt E e uQ e

las I omL rm s is pneaibla l e vo-cal d 1'a .crus lie laHC Je vous

réa unis q j p a m outesdceté eflinn r g e l p ys n thoncotladtqon des él ot s-liprue_ layes colinaesaeé, Si 1 dé r td t vous mopine.

été promulgué, qu'il as'. stutulé.

T GRAP$tk3 Puty

Bordeaao, 19déveler.9 h. 15 m, de matin.

rogé jusqu'au 26Ltatmigtioe est profévrigr à midi.

Cotte prorogation pourra cire rmou-voiée.. -

01M. Thiers et J. Favre partiront sansdoute ce voir pour aller àVoraaillos.

Le, Mouileerr pubüo la conventionrbglmal jla capilolalion de Bellolt. -1,0Jere,, le Ogubs_et la Cote, DfL sontcompris dans l'armistice. llosmçou resteans Fran;ais.

avens ndédcna.

6 ter.Bordeaux,. 19110 h. 10 m, malle.

Vienne, 18 février,

Dos placards affichés sur les-mers doVienso et reproduits par les journaux;oogagent le public aarguer unoétitionqui sera prc entes à l'i mperema l'ef-fet do le prier lue la gouvernementaustro-hon6Fols, soit. do 00110016000 lesantres puissanu9$, soit seul, 1010m louéepour ompèclEr le ddmombremenl do lanation feaoçmsn; projetdpar la presse,et par', là préserver l'Europe des dangerspolitiques et sociaux dont elle seraitmenacée par lo rdtablisspment du droitdo ceiogbtite.

Ues domonstrations analogies sor.gaoiscnt en Hongrie, Trausylvanio, Bo.boson et Pologne.

Berne, 18 [B ries.

La peste bovins a ilçlalé à drerci8rosen Suisse, avec les bestiaux_ quj, 000000-,pagoaiout l'armée de l'Est.

La Freil Prolo ditque le désir depaix est grand eu quartier générai altomind.

fd*itf dColaJrie dit que les eol-Latribotions de g u.rre, deus les dd[iarto-meurs occup s lits les Allemands, ,ontpour but de convaincre la Franco de cequ'elle risque en ropoussan4,la paix.

Dieppe, 17 février

Le burons été saisi par levPrussiens et ferma. Le directeur dubureau e été arrêté pour avoir refusé delivrer la caisse.

Ou eogudo de Leipzig qu a e pélitioaà IAsaemblé. nuHoualn: d ti rue xpirpuleu pneu i les prisnieurha 1udécls ç i.arenLeat

mg alrns decetteonpb

qunle obév nt au fo voruemont que.Maie, aJoutamals,le Franco sedonnera.

si nous pontera do soldate noua détenddu nom part a tiré . à la lentepolit quanoua avoueav l d t de daa-der, à tare de

mtoyene,"t l g cee-n ent angeol noua .nous le devaisd d er cuire sape soit In véritable

p .salon d la I m d t paya.1 ne éq ce,

les e Iho.-peorde,v rie demander le lasso appelau suffrage un[vereol pour tea.oher deusqua ie.o

. 1o çagaevtiegdaesvorsilisgonver-nemenb de

laobp daigpH s

o0 iea Îrege noiv05e0l 50 prdomnceraten faveur de 1 hr

Nous J. us K é',a..:d ce etso,nneLra au ver.gui l'npa,gpur,-8 a..

doit dit la nationLor r as t7tév rd

CAam6reB c nmunr ]ibf tAü.eBohede dl no t, t dé f ' qu8la euta éde M.lteterrdemand mt l'appuies l e et de PAsaaçe rro, des négediationa

erze'n oeoaiaseme ord Orote leSon-réell

stations au anj. de1 rare quia présidé aaa 6leoti... f,...ailes, en dépit des circonstancas si dit.ailes au mlbeu disquettes 011.3 so sont

at.e0 sa IOWA= i aspe.Wl Arrivé., e Walm aa rasa. am*1 N.' I ,.IY h ASlgrese Airevus e

Msac li h. 30

fiMaria Agas 1 h dt

Y;nn a, 00 'Yaae ACen J YpYWia (ixp .) ! fb bis 1 4Ygoba .,0 1 SI

da mi

bv;Alm 0 fe Scie d0 NIras. s. serrai

17RgArx : Rixe Saint-Rems,

=lh -1f9 S. N Yatm a Il. R 4 tri ! a 0 rA:prasab f 00 YauoptM.)}0 qy{fbasalte; iges

i 0 m fe lisier oe'>h ..t sa bis f tl N IWIa: 4CNW bu a(ns,.. s.j .vteiawaa, d /a toit i 61 IIubb 3

a,.t,

su

b-u (m C bu a NyS , o efi r .. .Waa Yeaadaaa Waa ,sut, 7 14u* t 1 u

Watô lai! tassais.

Scde h. te-

La. h. 00 Matie t d te bu l u gooïirrai

Lr7711

- ".T .

7 f0 lits S pis 1 Il ttr p a ruaUmmi 1Ba a pd [lfsWya Impelmeet1 iiMQ{ü{a / p N 49 ¢. Yoalrly F w

te

0e4éou3, 19 février..Auasitlt guida ont un' connaissance

de Iv dovision de l'ASSOràblée nommantM. l',hiors çAePdr pdnvoiNOxdcuti[l lesgudygrngonats d hspcgmo et de porta.gal, 401 eoeeyod ministres l'ordredeliciouoaileo le gouvernement Fruit.çais,-'NOtifiaaliou.dp eéfte.recouùaissance a

été [aile hier par les représentants deee3 doux pays

erres uteéoaa -Bordeaux, 19 février.,,

e sh Ut dr, dasuis.addri$, 10 ffivrier:

M. Zorilla, membre du conseil desministres, s été attaqué "D, unit parc}ee individus qui. ont tiré trois coups detrabocos et.3 l'ont pas atteint.1 M. Oloaaga partiralt.geur Bordeaux.

B f ..aux, 4i) février,6 h, torr.

A l'ASaOmblde,. M. Thiet, lit nu dis-cours disant qu'il accepte la tache don.loureuse que le pays lui impose. Il ex-primera confia

pnce.dans Io ressources

dit ape.:.. -

1l à qû il a choisi les m'edstna3'déiitles nome au[v>;ut an nyant égard saa-lomentà

Mél. Duluuee, justice;J. Favre, affairés élrauglI-nilL. Picard, intérieur ; -Joies, SSmpti, iusuvctioq.pubà-

quelJ.ambrecjat, commerce;la généra,`-(+A.F,W,.:guesra,...." POthcAtr, onoeruetdo Larcy, travaux publics. -

Le ministre ale; finances m'étant pasencore arrive à Bordeaux, M, Thiersdit qu'il toc

M

peut, pas le nominer-. Thiers 4e 'se charge daacun

admet te spdcjal.

Dépêche.B rd.aaé, 19 février.

6 heures du vair.Suite de la séance de l'Assemblée na-

tionale.M.'phiers dit qu'il n'apportai) pas un

programme 'Pi est toujours une choseQaguc lisais qu'il ne pouvait avoirdeux politiques à suivre au moment ac-tuel.

11 est urgent de faire cesser lesmaux qui affligent le pays, de faire ces-ser l'occupation ennemie. Le pays abesoin de la paix, d'une paix cenragea-sement débaHUC et qui no seiaaceeptéçque si elle est honorable.

IL. Triera amours la reconslitutioudes conseils généraux et municipauxpar do nouvellos.terrions.

Ly tachoà laquelle lo gl)uvcroemeotCousarre boutas ses

''serad0 paei-

her et de rlorganiser le pay,le relever

le crédit, de i orbali set le travail.M. Thiers dit nuiniesl plus pressant

qua Aelte bichie, je eu tQneevrais pas quei uelqu'pn pin ici s'eceopa de o1aeOlionsoonstitutmnnelles,tandis que la Francese débat sou I dlreinlo de L'ennemi.

Voile notre portique, et a celle poli-tique tout histoire) seuso, qu'il soit monari}usto n rdpahlroaio, peut travaillerutilomcul fiarts 1inldpét du pays.

}Jne fois cotte tâche accomplis, nousrendrons le pays à lits "muni e, pourquittions dise comment il veut vivre;alors, en conntissance,de. cause, nouspourrons prononcer sur nos destinées,elcela, don par une.simple minoritd',mais par une veloute a laquollo tues collegpos et moi nous noue consacrons.

Ce sera la plus grande force I quo vouespuissiez donnera vos négociateurs, quede priser votre concours à ente politiquequi ri a e4 van que les iotér¢ta du pays.(Applandiesameuloprolonges.

---- - l amorit6 mil Laine;. un lai da dmdoura,à l'expiration duquel, s'ils o s nt pas

Chrolni ue Locale. re.tres pu, ohel,um. dis départemept, ruaqont oursuivie aven taulesdes ri rieursi. K

de la loi.l i terri r 1871A h e .ua , edet.v dé Lause a l'honner11 tn par ordra d M I gé dur d d i

't

d iofarmer le public que les vacomations aoinmeudanl la lléd ivette. l ro .Out tumeurs [ u, le ourdi de cheque ae- Le général de br g de

'eprês,midi, .dansmmne aith as. da l dommaadautta suhdfvisioul'ancien local Boruady, allée St-Michel

Duetetz.tz..

pela le Grand-Rond.,.

i

8 Saeoia.GrIl amie élève de netre' On écrit de Perpignan que plusieursrreetahopr

jpuée t du l'école p ly. chu qn sous-+I+

d1 e¢tenant an 76 ég ,uni d sri llee.iejl es violenaee ai

monte, set nom é ukavalioe do la légiond'honneur.

qi l,r!s

()a aq A ,certaiuea+egt remarqué 1'ac-réÇé mupiclpal,gat n[erdit les mageera-d et les teueeet aie la sas la vase pu-bligoe et daua le établ semeurs publias.A q e le dit l arr9{d, pas direchs,prm te ..flot au outrage à la d leurde 1. ..lie. .1 ..a insulte à la pudeurla plus ulge}re :

A e au ions pnla -qne 1 eét&4dtaaem asphmte é l ¢g d des baba puniesde 1-1 mature, qui, eu milieu dae.>airsoeaeeanoeaoa esteuuve la pays devraientitre oareasemnnt intgqrrdita

E u ait pan an te, 1raài, an ee-Wpmont,de permis. lieux qa eu refera l'dduuedonmapalq et pp.uaque, de noua. générat[ea.ôoet aunom d lo r liberté, e desvrais .1. Ilio ts [, t Hquea qua no.eamas toi la prétention de parler.

0 it doux ` p J a ttal -Ou assure que ,M Jales S,m a sait

lait rapportes loxllerot do-G tnbetta quia¢ema la--d,moluttw dol C exils gé-

aé puasse ,

Ces assemblne

ses mut ci lermiu,àLot1 f délai, dans le lut de

émince

lia ravoggees.que la. guerre a oaueés ci...Ol.que déarti.,lte eglpmaao servirait de base pont

Itcer la Jart pr p rt uonrfl de h;+q¢eép rtement dan. `indemnité de guerre

a payer à l'ennemi.

Calcule d ha, t Léér g q laitesY D tn v non t l axt émit sud es

I Grande Allés . slntada SIS".

Du 19 Février,

Iherm. sen. muai nm d hier e .} 14 1.id. min. de la' nuit : 1-2.

camus. case.. écosse .tel., -soie.

i h. m. 4-,7571. - t. boom; - 050,faible.

Midi, >%7W G - id. - .050calme.

eoalinuédeLe baeemitrn, .prés*vol,baisser wés lontemeut, reste 6 peu près

rat naira aveu tend »nce à la hausse.Gsoo IL gela blanche ce matin dans

la oampagee.

pour la chronique locale et tout ce quiprécéda.

A. Pulel,

Montauban, 19 février,L rfvde de M. EE.. dans entre lifte,imprimé uns grande activité aux ira.ux dumomuuout que Montauban va

él :- lamé - e de 1 grec s nillua-t , a bitectas,

""et. T'a' lam ad

,enlegpfeuaura aviea valse de aileot l'un peut espérer quo bientôt la.vdtd

talc ,rapayésadetteoeadlèbrappô.-ireymrostera i d s,pe onnalfKe teeplus

tranchéesde f art moderne.

Lc journaux du Gare publient l'avissuivant:Ana gardes niabiliade ,da Ocre déeelosre

ea T e ,dal ,ira.

Eus bedge mobilisés du Gers qui ontd6aert6gle camp de Toulouse, et qui eforontpou preuve de reps Ili, eu se pré.

tantpou

ot valoatairemeatà Auch, aveu leu armas et le. elf tegr ila

t p rt6e, devant le cap rame.majortl n dit du dépit de la garde

mobdrée du Gers, pour lire dirigés parIsv ce f.'réusa le dépôt du camp deTout- se, scro t r horohéa, arrétés ettraduit- durai riva e ails de guerrecomme déserteurs à 1 iJRériour eu tempede guerre, aven armes et bagages,. crimepouf do 2à5 ans de travaux publias.

Il . t aemrd6 a . lard a mobiliséeet ed taises pour se présouter

devant

,

Yprcueee-Ormaiatea' e; quo ffi Peggea-

Duport vagày[seps9aaoü} raflées

N t ,vedtee dadt itd' pa gnreIe n es rr

.

)P d Y ftoi.. del.

garderelui ..la-'dés P rp gndA éi aa capiWme

d elle de FoxNous devina rie ..p. de Buter-.

waton de In jestise. Lgmpan té dna et'iéateta ;de cette -Sucs contre l'ordre'et la liberté serait aie véritable cala.

i

M. Etieune Aragoadréase, Sans 61ea-leurs des le lettresuivante : ehmis,

Je vent,ta, lasge uadernier de mes Jours de l'hepneu que,voua venue de ma lpir un ma nommant

otre ddpntl, C quoutà.dea ana dett s oouke.ars puurla-ltkl I I qu,, et,

jus Ildi'l tu Iq s ftgw. f rts anpa t

és e v e r le mémo

ah, ég tmn, mo,donnaient de droits aut .lie qui, pour la ev ndi fois, Isseoit votrer ment. ,

Eh bisai-eu t tr qne j'ai accepté deifs

nids,rie aveutout do j, anaux uicrua v Il oe doit le )refuser. M ts je nes i- pmnt ponr cals de servir laplu

ace et.ls République.Le Gouvernement du h septembre qui

i a vu { star boulin draps au nationalla i rre de Y is m'a hargd dune

mia atraord aira,eh It.d t'y s iciman:'Vous .liés m donner an r pl çeut,ni Sous ! e pat

oz,v liante et

éproa a qn v ua t a r ade" 1 amba s dis clic z, Quant a moi,uts don tdo Idu"=i désirais,

n ,v y r t n6aque

v u sen 1 les e

- étés u v ¢t e agite les plusgraves mtéréfe dota Patno

Salut fraternel!Enenne Ar.go.

Nice, Il février 1871:.

Toulon, l6 téxrier.

lier, untrust est entré ;en gare. en

,apportant deux batteries d'artilleriemontée, venant, de Grenoble etse rendant à Nice ; leur présence ayantété jugée inuute dans le chef-lien dosAlpes-Mantime ] se et sélou-ion ;les canons t 1 té I ian..ontété iparqués dans l'enceinte de la gareeatérieure, et les chevaux éont aam-liés sur les terrains de la P rte Ncu-vu.

boa }ana batteries f ira t part sdp pehl usep d croio d" ,sort

r Nier, afin de réprimer la révolte sielle avaiteamieedeoe propager on e du00 lame t dort as cotre-ordra ai un ba-taillon de tarons et dent escadrons de

1 s qu i at ea tutti pour lanié destins le..

afin, a hmt `loures, les témepharesdu rassit ont once qo en Ivégatqauto lt o, prise à.111 m i, s a Sar-

q dans l S. S 0 vcnait de fi", troucoupsde 0000n Eleil-od d . enul ded trissa C'est ne .que l'on. ait pusencore; ruais il est sexes probable quele salira contrit hissé ses oeuleass a'ilavait eu l tention de demander dos !a-

ms A. moment du départ da court r0etc question Actant pas une a xphq ae, eu est dd t 2 ee d mander aiIps guotteura t R6dti eurent

y Iltonus

f agate qui aura E hré frais coupe e oa-a a Etjl is lé mirage parts. 0 de bru.me1todmtsoaveut00e singulmrseffets.fin es raIvâelle ouereia dépé lie rogna.faut un lassais .n vue, à f heures dumanu, à 6 heures 114 ce n'était pinsqu'use frégate, à Q bourse ma corvettet à 8 heures uu aviso enlraft eu mouii-

M Chauvin, chanes'ier de l'ambassadetorque à Parie gr'vemcet bleas6

duos

1. atasu ph. du hemiude ter, est mort'la a'nit decniére 8 Toulon. C est S6, e

Victime,M. De Waf, ex ministre des edomi -. de

royan ie desn

en tra.eittumeanthonaaliteau l, est

Lundi, 20 Février 1894

1 ae léWTY.un1Eapnee.r,,

yna 1 tués dress,es da' Nias s le 6'deçfto du M di usus foarulesent quelques4easptd teenonti sue les troubles qui ontgansa le hue i .

Nice, 10 -février-r I re' Yi.Edeub le rédaoNmy

bel éleuttioe -ept. été ot4tue s ,lüéNi. par nce sérénade euraMpée. O rbaa citoyen Mar Dd stase,, prélat de laRépublique, Vo iea lesta a,

ii ndi b, .vers fiera heures, le citoyenErse de Saiet-Albert p lainant de laMission maarmpa(e ,:.accompagnado eubahmt Meule, du. pevimisselns dan-tral [[eynenw, sous essarte de gendarmeslade.serdentsde vlle,alait procéderIla epsi.dte Dipstlod Nirzq, journal s6-pain

etcont.aau}w l'indigna sont(irs

écria on üalion lsuburieé de-pbtooso para . ,, r : -

i,aD,riue gontpnad.- djt-oo, ai articledan.legnal,oa demandait les fies dupréfet t du m eo avant qp[[ une àaaart dshéspoe d e.J'dprea Nitorsee. Eu

t n fais t on. ,appel furibond àla aépueatfsn imlpédpptee.:

Bie.t& une f ale én r me se porta dansla ,*,I,

.Baveo7l uf, eh opus lus atel[ere

des. ne Cu et F ant imp auradu Dtr ttq Il fallut requér r à la casera+;S bD iqu 1 c nessea du pt{ etuaufl a nt, car la foule gmssiea .t A, aaa

que minute.Alors a iverent cinquao,',e gendarmes

à cher I t plusse^.rs bpades à piedsonal ordres du commandant d leu.darmarfo. Ils tn t accueillis p dessifflets t des han e Des sommationsfq nf ait"' mats 1 éaoataneo devenue.p àVe L. ir [ dus repovaér lesaxant ara ,o bu b" tt t les le.

iasa.daae.les suee adj. tes. Ea mémotemps -appelait p C Kligraphe dé.

pieu e do débarquement des uavi-r sue guerre, mom116a en rade de Vil.

.ea sepegnies aooournre¢tson luge gymaeetlgne, précédées de quatreobuatere du mont lise. Lea patrontlles 6pied et à oheval tiairent par dispersercurieux et ooa[urés.

D . papiara. orde-compromettante ontété sa aie fi la rédaction de Diritlo. ().ya t ouvé les fila de la conjuration ourdiedepuis bagtemps et dual te dénoAmentétait marqué à heure las.

Aneuilét la tombée de la voit, les et.l'impatients revenaient plus nombranr¢ p re gaa[t la présence d'individus

ét a 8 le ville et venue de la rivièrede Gauss pour Lave le coup de mai..'-utile dalsostce que leagamias, hurlant,tillent, aboyant ygr ¢iflaie.t.Vers sept Aedm la poste de geadar-

maria de la -préf et re, harcelé de trop

prés, fit nce dé barge, à blaq .qui mitmi fuite 1. bands 7a plot audpo ose,

A huit h ores n upde p ers dteig t I boa d g d .le Pvto [ nmpal dol p ot.c. A ar t .,omma aiesh t eût été 1 guaL e 0,610. de

l uu,tmnba orlhots4 Laa Vitres vo.Ibrnt eu éclats leaa saillapta,réfugiéadans lés ruelles perpendioulairea a lane de la préfeutnr a oh _ don tas de ga.

-LAI étaient amonoeléo t ratent de là taureeseut et disparais-munitions et ppr.àarm

sam.t eu fapat mesure que les pa-4reoilleo se nwutraiaut ou pircalalout-

On '=qn il pu peur 20,000 fr.da dégdHs conaaet pas le unmbrodes blessés. Cette orgie a duré jusqu'à

e heures, sana lasser la prodnooe.et1 Ionganima6 de [air eue lde lagen-darmarie, admirables de douceur et depatiegon.

Lo. préfet aie s'art.pas, moqué. -11.. alaissé le colonel de gendarmer hararv-guer la Joules ponr lui couse lier p- -

tira, la modératiue at le respect d. [6 aiCas ionisas bienvotllants éKda.ataa. On, airs kd la ,fa 'clesaea etcnrmnaéquent Iluçy n..rk-ependwt,t vcita

6r?aéa^ rte ne faiblvn pu4 jineurreatiole, ai ellelice encore

i'rite.

19eus a<rta arreaGtienneayiCen'ont eus nu grand nombre de prison.

a e ,sont été.eplaohéa.

Nice, 19 tévriv 8 h. da noir.La matinée a été calme, mats on sen.

tait qu'il y avait dons l'afr an 'sautésd'émeute qui as tarderait pas i agiter laBot populaire: lin ,fret, vers dea heuresdes affres p eurent eo Ilditifiettaient dansdansp

a Dscum ver . sur Ulas

nvirous d 1

ours 1 peonl 8 tnt-Demia[qua etc,hut a proolameaen

prélat, apnançro son tour, apv ildbdeadx es'son prompt retonq 'f'Isu K d-

Mots

oesr da

rée ses douars ire e et-,me

ltio l s. préparaa a

dd ra an. dernier mut.

s le s at arts t prévu. U. bataillas.eudr uua barrir e.de m u illenaes,.un ehcadran d^gendarmes ét it en gare; venaulein Toril n, et temiepi lev miras

t èe rrhque, les plaies do la face ontdévala; p6 u¢ iréapè.u ;

lamalade dis

tau fe iilire dè a 6é 0m h ai a IIlite à a crise pourra peut-être

lele

sauverOu signale nuis sexes feule promotion

deus l'état major de l'armée navab ; il yPeur s .dix eapitaio,s de fréggte,.vue

I gu:emc à 1 aa nueté e noua l'avisol6c eus de sa nom tan.

Vue "Il"' ollieielle ordonne didirager eue lierdoeus toue l.a soldats applar-tpüantans dépôts des régiments camus.266 dans le Vor,,

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an ville, Pr renforcer la faible garni. ' Alités quelques coups de f échan-

son es I s d¢ Vitiefra fier, revenus gin deP

-s t 1 tr 1.. arabes, secai-us

obus ors. La,.r)vnlyr était dslsor'- sont calais dots ,a out,gve. Parmip nie e1x noue é, doua spahis

I l le du 11 e t été pardonneni',écrsé -. y lien t 11 !

.tf a liaveso t lège i,t blesabs,

cela à l ttt fie décidée d la troupe, n cheval a été tué.

prés. a m plus purin tire le mamore dé- tue Naae sommes entrée doue lv ville,

nord e.iii d'a acclamations des habitaots

. Dans la nait, plusieurs onj.rée, de Su k-Arras. car noua lao av ns déli-

té'llé toutespl,r vr6s des arabae ar avaient pillé

on avait la lieus, et é a éhon- Ulev a aBusa unnautes et assassiné

dés au corps et transbordée sur lue trois bo anavires -' une frégate, nue cep d

dee , m ni_ Cs

e lui est horrible, o ns-aviso, qui croisaient

II.In cap :Vice

quele.les fart

a il.lhces sauvages sa gon,

les maWnure¢x colons LlessESet l'ma ce hure La Pail. taieat sures

Voici tue nous des p o uns eompeo- .,bilaient de Ces asso,mer et lac dé-

mises, arrfitée recherchées; je ne poaülaient.

Jgarantis pue l'erihographe due noms e Pendant les 48 haut. mus mm-

. Malaus.ens, snciea aire ; Auriee; mec restés à moud pas

dfpaté, cammaudear de la Légion d'han- mal de révoltés, et deux femmes dontne', (absent); Alardr, avocat sou die; 1'.. portait, dite,, comme mulette,

iggder, chevalier d'a la" Légl u dea. mains d'hommes. J'ai vu rappor-Septimo Alfi

d'henneur, ba.gnrar ahaent); Darandi, ter traie cadavres de usions, l'un Havait

a ent-voyer , chevalier de la Légion qua le plue buste,le second avait L s yeua

ni boaneu¢ (absent), rte. erevéa et le rreiaième était aq'-cent

t>OU ma mt6 encore plmiears nome de mutilé. Ça tee mempiètes (femmes)

comparses de cette renjuratieneoardemeat qaY eamme[tent are barreurs.

entretenue et conduite depuis l'an eaian, Nppae aurai à A n Oe is..r, atrp

de maniées le aboutir, à récent gae ses da ta édentée, mais ses léchas q s ae-

rgée de l'argent t dus sieaest des colons, ont peur d _ oattredigues Niçaie; goe

honneurs de la Fraude, eaeeed perle aveu des eoldefa et Hem les vol. ses se-

uner ptrie 6gor ée par la Presse, la nie taire tsar eoamission et pari l'iroi

aubaut Sors d'étaide taira face à une pet pape notre dérangement..invasion italienne. ------- - -

Quel g- le le de l'hale et degouvemt italien dans la complet

qni vient d'itre dé'ené JLe langage des ('aulne italiennes et lu,

salés queue rapportant rosé feursir àcet égard de préoiesx prdcreusAmond. _

La Perreaerapza annonçant dés le 1f ,tee irenhlee de Nine ainsi qa il suit

. Oe Sons affirme que la ville de Ni.estiasergée.

La préfeotare a.rait été assaillie

et prise a. cri de vive l'Italie 7 +e Le bat de l'imurrectian aereit

tesit l'anneaioa à l'Italie.. Quoique nette nouvelle nons vienne

de benne eeroe, nons la d.... ne avecla tua grande réserva..

Lis infime Jean le Cernera, de Milanpubliait de sou muté va qui ani4 :

a Les novvellen particulières qni ansarrivant (d. Ni. coafirmeet lest détestaai.. desens etne nom avoua repradai.Jeate qua, Idem Démente, ily a eu d-... ,au.

blessés. Les iadargéa auraientm4lé au an fin e Yive l'Italie I balai devive lev 9Allemmda ! Bref, an cadraitodteuir recension à l'Italie, avec, l'aide de

l'Allemagne. -Mafia voie; qui devient m méme tempe

plus grave et plus clair.On idf duos la Gazette de ld du

11. A la . "il, de graver eoll Nie qni

ontqui an lieu vant-hrer p hierà

Nies, etni out été sigaal pi- fias

ordre devotre gouvernement, on a

'os

barqué dansce port et a¢voy8 à a' ao uu batelit..du 47e pour garder notre frontière.

La Gazettepu

.^taOJaise va plus loin.score; aprés avoir fepréseat6 lu pape.lotion laçoisa

finalement esses= U. d ns llas ruse odeNina, elle ajoute tee lignes ivatmateves :

P ndant .e temps et dsud la nuit do/0, le gouvernement italien fanait sapé.die, ma bataille. à Vintiueille sur un lia.trac à vapeur de la compagnie Rabatti-

Maintenant que faire f Ouppgodveruemetet (reufois, quel qu'il N'oit

l'ouvra

t-il,après novaisomanifesté

t parlas Niçois, après lea ingaaliliabtes abus

de pouvoir de Uufreisse, se cosailier denouveau las esprits dans astre populationventée Y Cela eera.a'il le pour ells un élé-

meet permaee.t de fciblossn Y

La France Pourra -t-olle aeutinaer à

reste, à Nice camais l'Antrisbu restait à

)filan?Voilà le problème.

Une dbp: nhe privée nous a an.on.6, ily a une qn:nzano de jours que duetroubles vevaiea$ d'éclater dans la pro-vises de Co..tantine ; nos nerrespon-danees, plue explicites,

®eais

apprirentensuiteprovoqué

quepara

lde

u

sepchia

réfraomiraequi avaient entrala6 dans leu'rebeinquelques douas du cecle ( Souk-Ar-as. De fermes surprises par lue arabes,

fureat incoudiéee , et leure habitantsmesaeeéa. La garnison de Souk-Arras,

`suffisent. pour réprimer la révolte neput que se maintenir dam cette lo-cali;b oh elle se trouva étroitement blo-quée.

Mais des troupes envoyées de' Bdu-

ot de Centon:les abat pas tardé à rétablir l'ordre. Aa eeed'bail les lnsergés

tdam in t l'Aman (e rdue)v rt payenl'imppôt da guerre qù leur vaut l'fiaa..bordiuetion de quelques matins dent ilsont trop facilement éoeaté la vain.

La. mobiles dea Bouehes-du-llhdne,(47e fin arche) ontfsait à Souk-Arrasprouve de cannage, ,il an sont battra,;.mme de vieux soldats, les arabes ont

fuiepoudaneea

avant eux. Les jnneuaua et les.rre de la previec rendent

hommage à la bravoure de leur com-mandant, M. de Saint'Faix, qui a étél'objet de féhdlatieux paetieulièrea de lapart du général.

On nous commmigdT eu cette affaire,une lettre adressée à en wmille

par lade nos jeunes compatriotes ,

reprodaisaus tesmellement iAin-GUeitaq 4 février.

< Me volai depuis deux jours à 121kil, de Bina et à 18 kit. de le fractionde Tonie. Nous, formons nee colou.e de2000 bommes .avion., tant eu cavaleriequ'eu iutanteria, at aras avcas 6 piècesde 12. T ut cela pane intimida: quel-que arabes qui étaient révoltés aveu

6a et15U a de famll

nSeuil. aie voulnoant Passalle,

ocras..No.'e avons quitté Bene, le 26 jan-

star ; dep ?fia, noue avonstoujours rs mar-

ché. Le 30, aprés la grande balte de

midi; noue usons étéa

'laqués P.S6uks

arabes, en peu avant ilaaieat de-Arras, petite ville qu'ils hüg

pais huit jours,

ASSEMBLÉE NATIO" ALE.

-COMPTg-nENDG ANALYTI0i:.

Suera da f8 fénsier 487 f.

- . Peloidenee de M. J. Grévy.

La afaaou net eavert a 2 heures.Le procé verbal de la dernièr séaeee

eet lu par M, Johw:au, Fou dea sacré-laites.

RVATIOea ana Le rR0.63 -errndduuM. Floquer. Dam le compte-re de

la v ira d d'hier, je trouve aimf oo..taléle rate mhi6e sur la co.eLitatio.du

Pouve voir

reui

qaé

uxtion eue fa proposition rat adoptée a la pre

Lafforme de

de. >e la selle n'a sana doute

Pas permis de voir que plusieurs repré-ntanta se sent abstenue de prendre

part eu vota. Je emande la permieioadde faire een.after en deux mots lev mo-tifs de bette abstention. (l,terruptieun.)

M. le président. La diovues!ev e étéIrse hier per an vote, il .,.et pas permis

d' ye reotrer à l'occasion du procès-verbalNo r o!)

M. J't uel: Je n ai pas l'inteatioo derentrer deus la diseuasfiov qui e étéefosehier. Je demande seulement a l'Aeeom-blée de vouloir bien considérer q- nouaavons en volontairement la discrétion de

intervenir dans uao dreooeaiondontia mmendlon, !a constitution d'angouvernement, nous parfieealt ratai.moment argente, drseussiou qui d'ei1-lours, a la suite de l'incident qui avaitamené l'Aseemblde n se retirer

duo'ses

bureau., arrivait a six heures fin soir.Le vote ne nous unissent pas doutcuz;noue avions nia de cdté ana propositionqae vus voulions soumettre a l'Aseemblés et que Je demande la permissiesde faire eonmftee aujourdhu, qu'il n'ya pas péril eu la demeure.

Yoix nombreuses. La discussion a étéchose I

M. Floquet. Si nans avions discutéhier la constitutinu do go¢ver¢emaat,vans aariea dit quo nom y mettions obs.tacle. - Nova avons don. laissé comti-tuer lu goavemamene..... (L'ordre dojour ! l'ordre do jour! )

M. le président. Vous sera demandéet je vous ni donné la parole ppour uneirezdoation eu procès-verbal. Ynos ee o-rna dans une discussion close. Celaoautraire au règlement, Je oe puis voustlaisser continuer. (Vivo approbation.)

M. Floquet. Je demande alors (L'ordredu joari) ove rectification formelle auprocès-verbal ; je demande que oaemots :

L.proposition est adoptée a la

presque unanimité. + soient eff.c4a dopreués verbal, 08 ils agi doivent jamaisfigurer, a mai., qu o le veto .'ait eu lieu

scrutin, (Approbation a gaacbe. -Bruit.)

M. le présidents Jm tai. remarquer àM. Flogaet que les mats!nue lesquels il aappelé l'atteatfion a fepartiament an 50mpp-te-rendu, et non au p oès-verbal. Lanotification qu'il demande e peut do..s'appliquer eu procès .verbal.

N. Floquer. Je m'étonna que M. lepréaidentqui e lui-même, demandé duoreotifieations ait procée-verrat dan. ladernière Chambra; ma il figurait dan.l'opposition, répande à ma réclamationP.,

..afin de n eaevorr.

M. le Président. Je n'ai jamais con-fondu le compte-rendn aven la procès.verbal.

U membre. J'ai u. observation 'aprésentera l'oeoasion du procba-verbal:Députéde la Menthe, je n'ai P. , mal-gré mes efforts, arriver. à ;Borde... quedoue la nuit derrière, Il

m'a

dans étémpevuible ,de signer l'énergique résolu-

tion des députés de l'Alsace et de la Len.raine, Je déclara que je m y associe detesta mma floue, an nom dea malheureu-ses populations qne je viens de quitter,lesquelles, malgré la présence de l'eu-nemi, out voté en masse pour la listerépublicaine (applahdlesemente à gauche),en teva.t fermement le drapeau de laFrance.

M, Nobiot. Ja tiens à constater qve ducsle vote ,:'hier les d6pulés de l'Alsace etde la Lorrain" go saut abstenue ppour

ea rée ieat éner-giqu montrer leu r rué a

ique, eu% vas

ns leur proposition.

M. Bamberger. Députe de la Mai lie,je demande n 'il soit constaté 'a u orlui. nombre de députés de en départe.ment ont voté coutre la proposition dela uommisaioH.

La p:océs-verbal est adapté.emrimas.

az. crue dépose nue pétition signée parle peom tel président, d a p fsidems dechambre et tous les don 1lirs de la Cournationale d'Ages et i défère à l'Aa-

asaw ±o

.emblée ou décret rendu par la d6léga- satisfrits des explication. qui viennent alors qu'eu dimatait dur la propositiontien du gonnoenemnnr de Bordeaux, dé ""Il données par noIr. lumi raille pré de M. goder, plus oui Sent, -et pertmt dtemte à l'inamovibilitéaident

d'àge, d'abord parce que rua fou t 'autres las généraux B If t t dC. eu-

hd.de la mag tratoee, lion' ms -'dé, ensuite parce quo .i ayant déclaré qu'on pourrait pufmtedépese

deux pétitions ay t le q Iques-uns de nos re lègues qui été, eu ment santinuer la guerre aven aeporr daméme objet; pane, des membres d in lT.t, vietimea d'rm,ne et de mena e damés, surtout si ou n'en teaart à lacour d'appel d'Agen, l'antre des membres les peleautious prises a.bi,r de l'Assam guerre défensive.du tribunal do Laval blés serainut impmssautes à les protéger : 1 Le nombre de. députés présenta àn. Ln r......ur. Coe

Pétillaissurent ilea ea eaproduirainat m. peu plue Icio Bordeaux dépasse 600. Ii n'y-. pi. as-rmivayéee à la commission des pétitions (Bruit.) D'ailleurs il pont y avoir lé, va la es de place. dans la sape et la c rculs-girsera aléérie,remeui nommée. 6 qualité de représentant,

ou

délie sarac- tien devient extrdmament diffioiie. S, leronaneoeoeioe tériaé; coostatea-Ire et poursuives. ( Mon- Chambre doit siéger quelque temps eu.

.u raas'.eeve, Je raflais de M. lechef du pouvoir esé..tif la lettre ser-vante,

Ha a, nom protestons an nom de le gardBordeaux, le létunvier 1871 afiende de lutelfi-opulationLa Pré dant, chef du pouvoir eue

et cette ph igante e qni e ae,,,-taliéoepre modéoutil de le Répablig m frusgeese à Men cueilli aven laie cette

assemréblée

et en.leur le Président de l'Assemblée naGa.J traevera toujours patristique et répabli- wnaeareoaaeoa sraat,ne ouHala.

on N

Cue- (Appleadieaements à gaaohe, 'M, la président, je ne paie avoir de L'ordre de )hart) Journal de Touiouaameilleur ngoue que vous auprès de '' M. Félix Vota{.. -Je respecte la gardel'Assemblée patronale; et vous prCe 1 netiomlo de Bordeaea et'l on demandede lui primer ma profonde gratitude yy oo l'écarts) mais ciel. comme. la Bordeaux, 18 février,peur le témorgriag da haute conRanue repréeentatim de 1. France et Pour pue. Il. il... offre 1. h ..il la planq elle e bien voulu m'acoorder, et .-dénuement absolu à l'acwmpli.eementdes grands devoirs qu'elle ma imposés.

J'aurais voulu aujourd'hui méme allerloixprimer ose sentiments, entouré descollègues que je me suie donnés, mais jene poureaia les avoir réunis que dam lejournée de demain, et demain mime,nom irons toua nous présentera elle, etp,i apporter l'expressiou.do autre -grati-tude, de nos layalee ivtantiona et de ne.tra dévouement.

f{acevez, nroasfear le,.nosde ma haute considération.koPrésid lot, chef du pouvoir axée..

tif de la République française.Signé

-au.

M. Journault. la demande qu'il Boit antend, dés présent que pero.aue, dan.la Répuhligno française, ne pont prendred'autre titre que elar qui lui e lié dou-n6 per l'Aswmblée nationale. L'Assem-blé,, u nommé hier an chef da pouvoiréxéaatif de la république, et non anPré-sidea6., ( Très bleu ! très bien e gausbs)

M. le p`"?'iden6 Le titre qqui e étéaonféré a 61. Thiars parla résatutron del'Assemblée est celui de chef du pouvoireadentif, président do conseil de. minis-tres. (C'culcola )

vainretnu'rmn es eeuvome,- neeroernve,Va ... mblé. entend le r ppuet sur les

élections dea Vosges. D'après usedéépé-

ehe arrivée os matin su ministre detérieur, l'élection de frais députés seule-ment serait lèn e présent hors de toutecoutestabov dam ce départt -.t. Cestrois députés .ont MM. Buffet, Aubey tJ. Ferry, dont la bureau propose lad.mission.

G- ouolusions mont de[sLéee.li.sBoulet présente ma rlpp rt sopplé.

.,taire dur les élections dddddu la Corrèze.M. Arfeeiilere, dont l'admission avait étéaloarnée jeaqua l'arrivée dea procès.verbaux, est amis

M le président. Il y. encore beaucoupd'élections à iealdar. 10 pria MM. leurapporteura;de presser leur travail.

M. la Président donne lecture d'euelettre par laquelle M. Doriau dépose sadémission de miuistredes travaux publics.

tecmove.

M. Rochefort. J'ai a demander sue e.-tdéploiement

Lrèsai,atile rde1, axe tire et

qui aoeembgent lepiaoe publique et ntourent Î. lieu de

délihératiom. Cette agglomération desoldate de toutes .,.a. est une ocreusepeur la dignité de l'Assemblé., de la pa-pulatisn de Bordels syae la Garde jus-

'ilnoue navona otendu

qua. seul ori, celai da t Vive (fa Répu-blique 1 ari que pans sommes heureuxd'entendre. Nous ne pouvons penser qneles cbels du gouvernement républicainnertnsaannt pas ceenpa gs sentiment,(approba-

Cea précautions militaires met doncinexplicables, à

-osqu'on n'ait I dlvert quelque

sousprratrola

momrobique,ne que

Ilne craie pas. (Rfires, approba.

tien à gaoabe ). Sine n'est pue contre lameaarcme que dea préeautiaoe sont pri-ses: n'est dosa centre la République Etbic fui roulent attaquer la Républiqueen feue, -os nommes fiai sans. .ombreuxet no r6solas pour la défendre. "ait nom se la laieaerane pas escamoter.joieAppla¢d .ramante n gauche) I

M. le mte Benoial-d'Azy. J'ai eal'honasur de présider l' ée natro-

etapendentjours.

quelques ours. Bsauedamas oellà$neasa sent plafata a

moimol

d'injures, dhnsaltea, de maniera dont ilavaientété victimes. Bruit ag nabe,

M. le Rochefort gaelleu iosuttea Y Quel-les menaoôs!

M. le comteBenmiat-d'Azy. De menaces.les baio..ettea

mleu

eu leur pcitrin..Oui oui f dut vrai. En présence` de eplaintes, mou devoir était de demaudxr,soit su aommwdant de la garde natrona-i',soit au ministère de le fignarre d'assurer1 protection do l'Assemblée ma sauvegar-dant tontes les oonvenano...

Un membre à. gauche. Elle. ne sontpas sauvegardées 1

M. le comte Benoist d'Axy. Je na dispas qua ors pré...trona doivent être tau-joars uéeaseaires, mafia elles fa sont eu çamoment en présence daae pepululleaanhede, snrexrtée,..

Ou. vois à gauuha. Républiaaiua !M. Floquet. Ailes délibérer deux ma

village, alors. (Brait.)M. le comte enoiet'd'A.p. Je ne perle

pua de ta population de Bordeaea. Je lafis, je le respecte, mais jeeais quel.

seul les hommeo qui nous 'nattent.M. Lmmnrgie. Ce sontdo, étrangers IM. le comte Blulet.d'Aay, ll faut qua

la force soit à aat6 du droit.t'a il.!

très-bies ! Personne n a e à menacereso gtel autel cité da cette Aeeembléo. Amie!,n'aoeeptons nova pas les -mots 'loiadonnent d'être faite,. Représeneanta de.âme droit, nous devons tous le défen-dre. Nos combats sont à la tribune. Com-batto.s avec nos votes Sapons le véritable représentation de la Frenae, top-posons n l'étranger la pins grande forcequo non

Pour las délense de la patrie.(Appplaudrssomente)

sl, H. Brissçn. Nous ne sommas fi

ramants divers.) dore à Bordeaux, il fendra nécessaireMais contre cette agglomération de ment prendre des mesures pour une

troupes qui ne vaut pas la garde. aatie- meilleure installation.l é

Léger le Franco, il n'y yy une eh.- animée, nas.eealeme, t dn tété da Ifiease, a'e{ l'armée trançeraet (Yive appro des séances de l'Assemblée, mafia aussiballon. - Bruit. - L'ordre de lonril dam la vieille ville. Le nombre des

M. Langlois.- Je proteste .outre es 6traugera venu à Bord eaea st très-aroles. Je n'admets pas q... dise que co..idérable, et as m aesare qa il y e

l'armée sella représente le France. (Inter. déjà 5p00 reportera de journans de Parib,ruptiona. L'ordre de jour.) de la rovince et nouai de l'étranger; les

U rit, au milieu d¢ brut. A Clin. journaux do Caire et d'Aleaandrie ontrentes l'énergumène !.,. (A gauche : Cria. notamment jugé à propos de ee faireA l'arrive 1) représenter.

M. Tirerd,savançast aven animation l récolte de la aaavelle ettuatios faitevers la tribune. Je proteste avec énergie à la villa puetr le réunion de l'Assemblée,contra de telles parsies et je .demande mains omestea frappants. Ainsi, corqu'on fera reapeoter... (pris à l'ordre?) bs place de la Comédie, vers nie heure,

M. le présideas.Monsreur Tirsed,ei vous hier, os agi voyait de tous notés quegaiNea votre plane pour interpeller vue dea co1dals gardant les rues avoisinantes

Ilègues, je voue rappellerai à l'ordre f tenu ppes d'infanterie, de marina; de ligne,(Très bien f - L'ordre de jour !) goadarmeria, aèvelerié, tout y litait. La

M. Leugleis. - Je me bornerai à r6- garde national. faisait le eérvide intérieurpondre au membre qni e demandé qne je e lira dea a6aucee,lasso envoyé à Chaesnton que je vo Quittant les abords de !a place de le

eoes,draie bien qn il rat été aveu mai à Mon- Comédie, si on passait sor les Qui.outretout. (Tré.-bian !Crée-bian !à gauche. vav_ air, r ogés . trois lignes allant- L'ordre dv joor) d'ace trémité 'à l'autre de bette

L'ordre do jour .ai peausacl. promenade, d'erdinaire ei paisible,M. M. le président. - Le chef du Penvele addta, des eaieseae et dus fourgons à

eeéaattf, aya.. par la Iaille dont j'ai .aitiese. Salle milieutels

promenade,dan.6 Iwtnre, annenad une mmani- deux bataillons d'infanterie faisaientnation pour demain, l'assemblée se née- fexeroroe. En po avant plus lois, an,ira demain en séanne pabligse, à deux arrivait agi quai, Là, os ea livre gemmeheures.' tnujoare aux trava'. de le pais. Les

L'ordre do jour épuisé, la déaase cet `ssénas débarquent leurs marébaudises;lavée à t hemee 10 minutes. les cheminées des bateaux fument, t

tandis .,à da. a d là aa oa os e"ASSEMBLÉE NATIONALE.

(Séance du 18 février).

Il semblait bien que le ministère dûtêtre fermé et tifié aujourd'hui à laChambre, mais, du moiua àq, gn'jl pa-m It, la aonatitation définitive do sabiaetne sera ar,â&ée que d'ici à 24 hënres. Ovattend M. Boitez, qui doit eoteer dam laeembimiaea preje{ée; d'antre part, unedifficulté aénieuse s'élève. La nom do M.lulee Simon effraye certains hommes dele droite, surtout pour le ministère del'i truotion Politique*

Il se once ire sur les bancs de l'ex-Véme droite des hommes qui ont prie part

rà tonte lac aaudusis.dirigée.

cootrel'poivereité;un libre pensear,à l'iuelenofion publique, cela sourit pen ana parti-san. de la liberté de l'fiastruotia. anpé-rieurs. Les catholiques ardents proposentM. de Leray, dont las attaches nstholfi-qpe las rassureraient. Mai. il n'est pasfacile da faire accepter M. de Laeey auxmembres de la gauche, ni mime auxmembres du centra. De plus, M. J. Favre

fusa abaolameut d'entrer dans le minis-tère ai M. Jules Simon n y entre pue. Celacrée une situation difficile qu'on parvien-dra probablement à résoudra, musa quidemande an peu do temps. M. Thiars pa-rait tenir beaucoup b M. Jules Favre qui:seul, Plat, lui asaarer le oe aearo de lagauche modérée; il est plus quo pro-bable que l'on tournera la aitae-gon et qu'on prendra ¢n moyen terme;on prepeee de donner la l'rmtraation p¢-

uebligae d nu bemm. moins aseeotp6;qdelue duo. eoneurreats ce présence etplacer M. Jules Simo. à ma autre minis-pire.

La proclamation de l'emperla, déaharevredieant la nearenne, a fait

duosla

eonch ale i prenine profonde éléed'une vive Inetic[lon. Dans le comité ditde le gauche, modérée . ü a été décidé

lie. deéll''Assemblée, déclarapnt et ...lie.net d'eue faoon aolrneelle la déchéance

de lia dyuaetin impériale. C'est M. Nos[Parfait qui, da-en sera chargé de for.mater rte proposition,

La Chambre se félicite beaucoup desa modération et de aa sagesae d'hier.Ou est très satisfait d'avoir évité toutediscussion irritante, doit sur la propos i-tien de M, Keller, ou sur la nominationda ppenvoir exécutif.

M. Thiars compte partir demain, ilreçoit oe

'ai'

les (dépotée ; le noevéauprésident du courait a loué, à sété del'Hôtel de France,laoo maison dans la-quelle se feront les rérptions afaaieliea.

Due sorte de révolution i téri,eees'est faite dans les eervieea de la Chambru. Le gaeetnn a prie charge de l'ad-miniatration et M, Baze est (en fonctions.La distribution dea billets qui était nuedes attrrbutiona lev plus importantes dasecrétariat général est déasemms confiéeaux quetouee. Le nombre dea dépotée,leur empressement è demander dea billots font qu'if y e uen ext,Tme difficuliéàen obtenir. La ppresse ee plaint beaucoupet aven ai ou Ue la condition qui loi rat

faite il est évident que nulle art, en payspaelemevtalrè, ee l,i témoigneraitmains file considération et com. dlbienveillreao. Le . parodia e demeure;anuiéremeni vide et anl'a, jusgnà présentrefceé aux j.... a1i.teanqui demanderontont modeslemantàs'yi daller.

Sil sjoaenausetparueulièrement ornedes départements ne réclament par evcainataoce auprès de qui de droit, il est à

oindre, en présence du cuvais vou-loir qa renconire le syndicat, qne leservie de pubrait6,ai nécessaire u aemoment, n s t interrompu.

Il parait roue hier, dane ales bureaux,

q pguerre, envaire de Loutre parteP

de l'apptoi lev ama

areil militaire Ieplas formidablesrrer, et les a i

leons,

leu fontj .pet due d Cep adent,en arabe lit,.,., ou

ent.ou fiait par découvrirr

, ...omrères ét des aras.. de l'Étatqui t l'air

"Il qui, sonleurdouee" apparence pourraient bleu,un de ces Jours, montrer les dente.

Amour de la Chambre, dès le matin,une aflluenee eomidéreble de canieuaencombre la place: ils viennent Je n

blésussus

pointa oâvretes.e Srsel1s

trottoirs, au monde énorme de prome-neurs, et parmi eau beaucoup de figure.

V rit ana heure, les tronpea paraissentet prconeul pu tiou aatour ei Grand.!Théatre. Bientôt les députés arrivent.

Dans la Balle, éclairée su gae, agi quiune fait regratter la beau soleil fin de-

éors, le température est horriblementélevée. on logfe

ea da théâre ont été trios.rmée en

titi.ce du cène,. Le plao-

ahà lahanuteur

da la scène, et en auï-est moire otoigoanelunusee ère galerie,est muni de bands recouverts de velours

nge. Sur la scéne, la tribune, le prési-dent, les secrétaires, et deus les lors.milieu loges d'avast scène lev ewrétairesddacteurs. Les députés .out littérale.

lament les ana aar les autres , les bases,ont ai rapprochés que leurs gesoaz doi-vent

cerlataentent

ou souffrir, Depari

ira"paa l'ombre : cola évfitea pro-

bablement à certains députés la e.il desaouteae à papier. -Laaé.

noe eau ouverts vers don. bon'a et demie par le président M.

Grée ,Un des secrétaires lit le procée-verbal;

paie la parole est doaaéa sur elo pnmès-verbal à an député de la Méorthe quiaasaoai. à la proposition de ses co0égeaoPuis M. Flaquat prend la pneole. Ecoutéd'abord aven un eilo.oe profond le députéde Paris set blousée luterrompu par lamajorité. Le langage de l'orateur est enflot quelque peu étrange. Après avoir

dé lare que sa, V peapesiyion Dufaner,Grévy, la gauche

âestabvsonee, l'a-

retour veut expliquer les motifs del'abstention. Le peianient fait remanges,que c'est rentrer dam la dievasaia..

Alors la jeune Floquet,p u hab..tué aulangage parlementaire, déclare s'étonnerque l'a oie, membre de la gauche seaire derrière cette fin da non-reeo'

voir.Ou vacarme épouvantable ...cède à

oe parole.,

M. Rochefortdormait.

le parole. Iltrouve étrange ls déploiement de farcesmilisafi du dehoro, il Hait par cesmets

t ilii ne comprend cela qni si on

oint na...aspirationaiemo ra .On applaudit,, mais

lula gauche

seavuls

alea'-Haussaient ; de., les autre parties de

la Chambre "t bnuooap. L'orateurà .taies ont sans doute de la jovialité decorteine de ses eollèg ee dit alors . Si

a rat contre la République que toute,ces mesures sont poses, notas sommes

dea forts et assis uombreox pour la» défendre. Si eu veut 1'attagnsr trai.

ireaaement, le lare de pas le laisser+ esoamorar. e -

Ces paroles prerlaiseul une émotion ritlativEmsei modérée.

M. Beneit-d'Aay bopliqus les ma..resprises et eu fort os termes montreeombiep deus les oircoastancos que vtraversons o. ne doit pas p.mioner

kadébats.M. Besson déclare que c'est la garde

-annuels avala qui doit garder l'Assem-blée; agir autrement dot insulter l'As.semblé..

Ou dépoté (ait clora remarquer que leseapréwotants de la France doivent êtregardésppor l'armée Française, ..

A(, 41 allait 119 lès» amer. Je'aneien

secrétaire de Proudhon, actuellementc I et d'an ég,mont de la garden t Hala, blessé a Montretout, porte labras en écharpe. Il au lève dans nu étatd'nndtatiou eztrèm Dés les premiersmot., 1. Chambre l' utesompt. Que dit-il ? On ne sait. Que lui dit-on de l'autrecôté de la Chambre? Ma dies" peuagréables situa doute, car tonte la gauche

lève et demande le rappel à l'ordre.Un député sa nce alors vers le Pré-aident et lui ouvrer quelgaae paroles

'neanus rlenteuduea p s, mais qui sel

terminent per la met d'énergumènes.Lr crime se rétablit.Lord du jour est épuisé.Le séance est levée.

Peur verrait : A. Païeë.

MM. les députés sont, parait-il, bleddévidés à faire cesser les manifestationsplus bruyantes que davgerau.os qui auppr duieent à leur entrée et à leur sertiede la Chambre.

hier un grand déploiement de forceeu lien. Dès midi sont arrivés quelquescentaine de gendarmes à cheval, an tortddtaahement de louch es, an ewadenu decniraesiene, un bataillon d'infanterie demarin et ou régiment d'infanterie ar îi

'aientet Plient ana abords du

Grand-Théâtre les points que leur iodlaoait M. le général Martin des Paillèrea,,

I un des gamteara.Tous I's trottoirs de la place de la

Comédie, des c re si des rues qui avei.

s

Haut le Grand-Théàtre ont été bordéede soldats d'infanterie ce qui n'a paspeécisémentfa vorieé la aieaulation.

Plusieurs magasins ont été fermé. de.deux à aie bruire.

M.. Rochefort est arrivé l'nf aaimé, lgbouche cri pée, b :mdi,uunt sen ehapeaaau-denses de sa tète aven une vivacitéfébrile, et a franchi en courant les degrésdu péristyl' teodii que deux ou traismoule braillarde criaient Vive la Républi-que ! Proe Serte(ort ! Ceux qui

que daae phyeronomie éphne-fuse[sautque, cet la physionomie ordinairede Pont... de la Laaise.., et cette pâ-leur cadavérique, an pAleur de mue lesjours, le croyaient exUémemeat impers:sionaé, fortement exaité.

M. Gambette, but vétn de noir, mer.chant ImtamenLaaiç lualade, les jouet'comme empoa'tf'réées de Gèvre, met arri-véeosom6degaelq agi dép tés due amie

et la ppremrére foie qu'Il assiste auxséances rte i Assemblée nationale. Avantété reconnu, il a été salué dea cris de sViol Gambessa I Vies la Rep.bligne I Ila sala6 t hà'é le pas comme pour sadérober à o rte ovation.

La foule était très considérable, maisles braillards étaient mains nombreux;au maine bruyante qu'il l'ordinaire.

La sanie la été marquée par aucunincident ai o n'eet par quelques crisquandM. Rochefort aparu-

Ensomme beaucoup de brait pourrien, non, pas méme, peu de bruit, beau.eonp de soldats, tisonnent, de monde,tous las députés y compris De. Gambettaet Pas au incident digne de ramer-

!ga[1.e ee passe pas de jour qu'il n'arrivaà Bordeaux an ou pimient. régimedte. Oueaiime à 10 eu 12,000 h mes lev teos-p.c qui sont arrivées à B deaux mePlus- àfinedemua ces jours derniers.

Paillers, 17 février.Avant-hfier soir, on écrasait à fa pria

son de Poitiers un des soldats qél cam-peet en ce moment dame le palais, pouravoir entrepris uas lutte avec son adju_.dans.

Hier, il était traduite rais.. de esfait devant le cour martiale et condamnéà la prias de mort.

Ce matin, à 5 heure, 112, ea malhen.veux à subi sa peine a. Champ"de.Mare,e. présence des soldats de son régi.ment.

Il sa nommais Victor Vayseier, étaitfige de 54 aas, originaire de Muriez (Avey.eau), et

faisait partie du 27e bataillon

de marebo des chassera à pied1 laisse ana femme et trois enfants an bas

fige.

UN DRAPEAU ACHETÉ 200 FRANCS{

Nous avons raconté, d'après les infor,mah,eoe les plia sûres, comment RiaereléGaribaldi avait

e.lavéun drapeau... eu

vaillant mobile de Sadne-etLoire quil'avait, lui, pria gloriensemens au. Prus,aie...

Riceioti a promené triomphalement cedrapeau dans les rues de Dijon et Iragaribaldiens ont fait graad tapage de cetrophée. Mois le charlatanisme 'a û untemps: abjourd'hui, la vérité estgeau.¢ue, constatée, et é est le plue ierécuss.ble des témoignages qui l'érable invi¢ai_blement devant tou., C'est la décarationmémo de l'intrépide soldat quia conquis

tiennau péril de ses jours le draper., eu ques.e

Q-C soldat, avons-nons besoin de le diene, n'est ni nu Italien ni un garibaldien:dcet nu Fraupaie nommé Boymo.d, né.péliteur an iysée de MAcou, engagévolontaire dans les francstirenre du Moat.bleu,

Voici la déclaration qua écrite M. Boy.moud et que eam sommes autorisés à puaMire :

LYCÉE LAMARTINE

MIma, 11 février 1871.J'ai pris le drapeau du 6le primate,;

Ri cioti Garibaldi .,a donné 200 fr. poursel., et m'a nommé immédiatement lieu.lsaoutd'égvipemeut. J'ai refusé.

Extrait de la lettre adressée à M. deSemis par M. Biymead; et daté. de Di-joua, le 24janvier.

La pravieear du Lycée Lama: traiiSigne : Di.elat.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

,LES MARCHÉS SCANDALEUX.

Lundi dans l'aprés midi, a été juge,devantle tribunal correctionnel de Cl rseille une affaire qui ne mutique pasd'intérêt an ces temps

de fournitfalsifiées et do marchés scaedalans'dent

o. soldats ont été trop longtemps vic-times.

M. Pi...... nlmmier, a été oaudamu6,ainsi qu cou sotraitant, à un an de pri-son, aux frais et dépens, panr avoir lour-ai au département de la g rre ne for-te quantité de chaussures dont la dau-ble semelle était moitié frotte , moitié

M. Picoo,qui avait en l'adjadioation decas chaussures au prix de 8 fr. 50. enavait confié la febriuatioa e mi de anaaollégues, a¢ prix de 7 fr. 50 ; il s'estdan" appuyé pur se défendre sur cfait qua la fala:fiaatieu était i'courra desou cotaitantàa pldI11 q, dis sienne, taudis;ras onlui-ai, on tour, é ont base surrie quil gnorait a destin.: rou de le mar-'baudis l,v;fc à M. Proue Ma a le trl-banal } t Pas puis s remuas ru

dé u t t ayant lament taieti' deo

'va

:

q 1 heu.+surrailvré sél t 1 - en, ouf -

uJ su tp e souuus eux adl d taires,a également condamné l'a doux feurnss-Soues,

L'mteadant 1 t qui a découvertla frauda et ianut6 ana action ludimmne ans doua foureisaenrs, est M. Lsgran-

babdratpnra du Murend".,uuel tout la mouds s cacarda à coudreg,4."justice yourte zèle et s façon.coneaien-ieuse dont il a rempli des délicates

fonctions depuis le commencement de laguerre

Le àmItat de l'affaire Piton .éliteSàntamtplus de fizer l'opihion pabhgoe..r !.a façon dont ont été euéonlés lesmare' 5a Par d'autres'iatendante avecd'autres Iourniseaure, qua taus eut-efapaut livre des oheneuursn A doubles cemolles de cartes, ceci dre de queuté encars plus infér pure que colles liv'éespar M. Piton, out été, panr ,a plupart,à l'abri do toutes poursuit.,.

PARIS

Paria, 45 février.'

La général Clément Thomas a adresséaa général Troche, président du go-r-poment,

la lattis suivante

s Malaise, le Président du Conseil,s le remets aa gouvernement de le

Défasse tiagais le commandementpudeur des gardas nationales do la

s'triJe le prie d'agréer l'axpreasion de

ma gratitude peur le bienveillant appuiqu'il m'a toujours pr t , et dl crima douleur profonde de .'avoir pu faire

Pi". ppcor la pelvis.

Veuillez gréer, moosiear le Pré-sïdent de Conseil, l'assurance de meplus haele considération.

s Cafnnee Trmnns.

La démission de général ClémentThomas a été acceptée.

Le au onol Mootegut, chef d'état.majorgénéral dos gardes nationales da la Seine,

fgalomeu[ donné aa démission, qui aété acceptée.

L commandement "péri... de touteslus forces de Paria, gardes veut ...le. etarmée, es' confié au général Vfnoy,jusq.'à 1. no f anion d'un nouveaugénéral de la garde nationale.

Parie, et oh les pprovfafomemeote n 6- militaire est que, eotre la ligne de l'an- , de jaune ou d'os pou de rang". On dittenant plue possibles, a eoncln un traité ceinte "lotion et celle des forts, auaun ( vrai quand on parle de la tenue trèsavec l'Angleterre pour une grande fils-Blé de charbon dont l'outrée an prépare-

are lesbboules

de aJusqdà cela he f rout dû amener le charbon puer le besoinde [.cru ligues quand loi communfoationsseront rétablies.

- L'abonda... des farines a renduinutiles les nombenuæ malins ià vapeurqu'on avait installés dans toutes les garesIL laplupart ils grandes miaou. Toute-fais, ou un lia démente pas; Ils servirontdeus ma temps prochain,Srs qni noua arnvon[ aveo le [arise. Lepremier train de ravitaillement arrivé àla gare de l'Est, n0 sera paa le dernier de

uz qui arrive ...t par la voie de l'Est.La compagnie vient id'expédier plusieurslocomotives à F.pernay pour rame er decette ville à Paria en grand nombre dea.Doa chargés

M. Sobeeleher a donné es démissiondo onlouel de la légion rl'aftillerio du la

1 tional'' L. te dé .union a été 00'It M. J,11t v, tl. -.g. bouts

.I t F t d{ q l{.[ L d C j l II t biq 7' t y l d é doémi ,

t t,' r l I 1 n' l'é t melorg

uéo p it do 00iu'

léyD Sd-pl t 'tag t,ée

I à I et q ,.i te ç e p las' .u q a laa. t - de V -mille,

queatom de défile dam Prussiens à fanan et pas du tout réelle.. Le prince ro-yal de Prusse ao aurait plusieurs fois aP-posé b oa projet; il est d'avis que plus de

.quatre mois de réeiateooo hevm'abla eutbien valu à la nambrense population de-l l droit die respect de I 1

prince trerait noie" d, -é à af -lrayer dette oaccession qua L'Esroile elle-m6me demanda.

Ou sait qua la compagniv du Nordrait armé dea employés presque tous

-liensa

mlhtarreu e[ au .,ait formé uubataille. apéaial deueloé à prendra parta 1,. é m ont dal G t lourd'hui, àhuit baares' qua bas braves gaiesdent les nones quo t 100. av 1 1 a

e

il

lo t l d B q le[ l t ux

ré g vt h ci, f spilea,, vt,.y,en., u nans W. paa, Par cestemps raalheuréux, quelque enfin. deputriatimi e à faire ?

-La semrineproehaine le 4e ...seilde guerre doit commeoeer à s'occuperde 1 affaire du 31 octobre (scènes de dé-,ordre à Hôtel doTdle).

M. Delescluze vient n'être mi. ce li-1rtE

L s 'rced l o qui avart5tépe d pendus' li a-.tssamenr,

sfait dopais quelqueslod,?anx Porte. deParis.

- D'loi à tirés peu de jour., l'éclaira gou gaz sera restitué aux voies publiques

de Paris. Eo ce muaient la ville es[ lolar-réo et qa,l éclairage; par Se ,000 lampese pé rote brdlaut un n.oyenna de10,000 kilogramme d'huile per nuit.

Beurs, da Paris du 15 fé saur. - 3 010.u campus, t,.ouvert au couse d'hier: 51

70. On a nt6 ensuite de 5 e pais o.50. fia o.Oédhi eu oléture, de Zd c. à 5t

le baisse est la mlme a m ê.. ce saprès avoir débute à 51 70. Le .n uvalemprunt est en bouleo de 30 a. auc52 et de 05 0. fin a. a 52 00. Le 4 112est a 78 50 an . Le banque est côtése500, re haussa de 50 fr. a., son préoé.dent coure.

Une vi.i'fa A Nos 00100 e DUffnea

hommearmé ne doit paraître. Il n'yavait pas grand monde s la ronce,

dansMastics s La barrfaad

du, qui mort là

e limite à lagN'r,anoe'est

a. Palissadécomme sur la rouie nde Fôntmeblea..C'wt telle était, l'me da nos aa-aieooee défaussa de pavés, de bassons etde taire Il était bien retendu, q...et la

r,mami.. des barricades les faisait éle-ver,gaellea seraientdéfeadnes une à une,et que Paria, ai les AUemands l'a4aq i-nt, eeiedBraitleur mmbeam Maia 1.

Allemands, eue. (avoue appris, aie mon-tent jamais à lassant.

A mate barrière, le peu de sous at-troupés ne préoccupait paa, su lepasse bfe., de foire bosse figure devant1 poste bavarois, mai. uuigaemeot, é

la premtére ituiu arrivant de Lenju-meau aa de Mondhéry, da se ruer aurelle, d'escalader jusqu'aux ridelles, et oupourrait dire dn piller plutôt que deforcer te paysan à vendre ces marahamducs. IL faut d g re x coups defont pour enlov 1 h a 1 et débarecs'

r le derrière des charrettes des ban-dits suspendus a tes

Pauvre + Milland 1 pauvre Peutdu hoi. de fer

leus avaa[ p t s à

qor a servi le sang qm a cou é. pour ga-g oe pied à pied l'espace nécessaire àdes nouvements qai n'ont jamais étéeetroprie Y Sur la traite, quelles tristes

mes que celles de fort de Mon nage 1roe la ga0ehe, gaelle superbe et inutileredoute, que looaroge de Pillejaif 1 Lefort détruit, ta redoute toujours paissan-te pont également sou. le joug. J'avaisOvé pour Paria et pour la France ace

bleu entra G. de cette guerre terrible,te 13 octrbre, lorsque adossé à leu des

mes v aine de ocrera mémo mMi,iaud, à doté des hevauz évex,résdu notre batterie de 4, la main presqueaur leu affûts teomblaets, je aie leproleeharti de nos canons et voyais.approche' jnsgnà cent pas de mes,eus mêmes chasseurs baver s d Leet do 10e bataillon, aon. la oend t d.quels, avant hier, j>oi dû, se et ui e

C I. y b ég h r de Mont.up,. B I ll.Si le ravitaillement me sepérait que

par lie rnotes, il vrait pas vite. JeCroia-de-Baroy

.'aiaperçu jnsgds 1.

qu'au couvai d'uns rlouxniue de voituresde farine. Il faut croira que ..a paysanslit eu le temps

dea t à aui- Je

las teouve bien p b fallait il passeni

etnie Porle qil uelfi l' L ont au I

a.' la chaussé Q tlu u d t

à boira an. soldas q leur se v t de

galbera ou de guides, d en ponte A Ien-b'a.

Il. soldat monta, aveo .os papiers àteue, doua la voiture ; et nous damess ivre on pressant la Pas, eu nidotmôme au travers des bouroiers. Ce quinoua permit d'arriver à tempe, n'est quecette ro..e montueuse ne laissa pas Iaahevaux cheminer partout d'qu pied mu-

lavé.Je men doutais bien, mai, mon eepl-

.' flair pas encore aussi lai. quole nvéeité. Les Allemands aient puafait ne ..al o orage de défense dansBourg-la-1 l'fue, Pus sue tranchée, -uaefais qu'op est arrivé a la piâtriére Bar.beau et à ce, malheureuses plpiaiéreaIslam, l'orgueil de la vallée avec lesroseraies Margotin ;P.. un pavé lavédana le village ; e peine quelque. mai.son, crénelées. go' il le,nre au-daoe et .tus allions loi. ! Quelgaetais,ev écrivant mes 'trompons les plosguerrières, ja me répondais de pousser,p t-.tee os troupes des combatsdilfcilea. Ah 1 ai nous aviàons va le paa

Il l'a fallu, j, ms suis décidé lundi à de 7Éaista... qu'une véhémente irr.p-fraecher les ligneaennemfes et à aller voir fion de nos drapeau 'ont rencontré !or que mon toit deSoeaux pouvait ?cov- Le pont de m,omin de fer, derrière lasir de débris. Ne pouvant erovo que les plftrfere Barbeau, a sauté; mais ce fer[

passages de la Selon es seraient pou dl. qu'un chemin de peu 8impertauee, etfendue, quulq.ea jours se moins, contre transversal, qui a élu orne( utoeeompu.les avant-gardaa de l'invasion ; me r f,,. IL ne l'a été qor dans 1. prévision qualent à p:msor que la redoute de Cbltil- nous,irious bien quelques leurs aita-lon et ace approches, jusqu'à Verrières, quel le tla. de Bay.,.. et de Foeteneyve seraient pas ar m las ; veulent aussi a[ tourner en nue matinée Chàtilloq.donner l'exemple de quelque fermeté (lu Ilaha les permise,ounnieou dans le00x popvlatiase gdaffarait s fuite de haro de Bourg-la-Berne, .prés que lasleurs tuteurs ffiufls I avais résisté au laissez passer oet reçu le Ivin de l'état-

content de détection (jusqu'à l'heure major de la 7e brigade, au peste installédernière ; et, lorgu' il fut impossible de dans la maison du notaire.demeurer plus longtemps hors de l'aria, p la moulée de Seeaux seulementà motos d'être su tirelire, il était trop cornmmrceut les travaux défensifs desta ,p que 1 Palme u y conduire. Bavarois. Le mur du para est ouvert euN

d.d

pelles venuà pied t ne maints endroits pour que las mouvw

P s Laissent dans notre aime. bec niolo de retraite saient aisés ; use bau.aimée presque absolument tout et que queute lui est ad.esée dans d'autres Pournous poseldione. la dnmioodité n'as [eus dinfanbr'e col'

Depuis, du haut de cotre redoute des cotés à couvait. Dec abatfa barrent ln-Haut.e Bruylres,,j'enafs re plusieurs bord des pelouses ; qu dgma tertref,is cette maison bleneh,, si élégamment plains out 61é dressés pour du canon,palme sur la p0 ta du eotoau de Sceaux, qui a été r: ové depuis. Ce n'est pas quean bord du petit cher., fienri qui longe tout cela soit

blé.

iormidshie. L'antrele chemin de f. Elle t restée longtemps oété de la chau,air, faiss t l P is,les le Stem fe m,ea , pais j'ai vn qni elh: aurait é,é vn Peu pies ddflmle à abo,-,tait habitée, mils avec uoe e,pàce de der, porno que la sel monta et que les

puisque las persievues do deux rabans rmpmyée L'unsur

l'aube du che-an trois fenêtres étaient battantes. Aamt. min de fer éta s.t barricades; main aeuohier, du plus loin que je l'ai aperçue, ai droite même ne sembla pas avoir fiédeviné .ocre sort. mune il'... trac-G,rte artillerie.

Elle est carrée et avion.. du pays. Sur Les logements ne sont faite que pourchu fu'. côté neuf fenêtres, dent quelques trofa Piecea au plue, à la fois, Il encore

anse sellee qui font face au nord, sont ça vo devait Pas être de bine grossesirnple feinte de tuennfserfe qui ce-, pièces. 0. ne voit plus qua les ciselé.

tiuue la distnbabon symétrique dus baies mails et leurs appuis.'or les façades. Tout coq mi pouvait .,eu- i our aller plus vite, les artilleurs sot

trir était ouvert, et de façon à montrer bâti cela avec des comme. d'oranger, l'ar-do loi. que la m ide., ainsi livrée à la lira rasé a¢ bas du troua.PLI.

et in vent, était abandomée- Je me rappelle qu'on je¢r, à la redoutaJe ne ami. an qui se passait autour de ûe Vin' do. officiers de s garde mo-

moi sur cette routa d'Orléans qua le, per- bdo de l'Aube ce montraient ce cheminr001000v an elleot etmfa de ci P q'e a'ap- mourant du Sreamur qui s'aperçoit par

pelle ne0et, esf L, auto de T planes, cotre leu maisons, et Pappelanu.looae.

bétnJ'attela er q aq devant moi,

nen

La

ento de s uertc a lorila las. Ilv clam ri:garet qua le moi., essib!e

lee raient toutes aortes de

sure, disllca sur

lee

schemin at ou la r paSou,

0ea tout cher s qui sana cassa, disaient,ils, y

décidé a savoir à garder dana la crévm easaiont et sur l'innombrable artillerieP

e

- Pour mettre ua terme ... diffi.cuités qui sa va.. vellout chaque jourdoué l'application de l'article 10 de laouvention u 28 janvier, relativementd

sua laissezpa. r n nouveau morfil ovin t d'être ocrât'; d'accord .vec l'auto-rio militaire allemande. Ce modèle ae-a

aranemis à tous leu avant-pasa-e par les

-glnlral de Yeraailles,

,ai

lcar do.nera des ordres formels pouryue leu personnes munies de c eauf-`dans

du

quartierconduite ee rencoutraut a.... e difficaltépeu'' traverser ton lignes allemandes. Lespouveauz lafuoa-passer seront délivréstee; .reehainement par lea autorités qui.et gt ânsqu à ae jo r chargée, de esmoto, c à dira par la peéfooture derobes (bureaux des

..passe port,,)) Cu par

mm'sd

saair rt aeoordésla prlr. Ils in d quo aurla préaaeoatil do onces Blet illutl'idamflé duo persenses et jgstifian d'aumotif sérieux de voyage-

Les personnes qui, boson sortira de

Paris avdo n laisser-pesmq voudrontL'outrer, évreut se munir du visa deL'outrer.

ité militaire alle,mmde. Le visasera dauaé par le commandant de laplace la Plus via Il n'est fief d'eu-cupuon àses régla, que pool la vfllo't' Vereeilloa. L'svvâs ne Dette vile o aatpe,nt{a : I^ qu'à d ,o, qui y sont appeléspar une mission d'ordre adrmoietrabL

au diplomatique; 2- à eauxïlai .et leur domicile à Versailles; 3o à

x dont les uén:, mare, b'pouzsalants meut élobFS à Versailles. Lespareils, rédig6s dans me fore" spéciale,agiront ex bnsiveomut délivrés P. lapréfecture do police. Ceux-Là seul., quiauront fait ....tatar leur irait à l'ebteu-lion de ça titre, seenot admis mur leabouti. dil hue de le rive droite.n. - Bine mardi cet arrivé à la gare duNord en nouveau convoi do vivras en-voyé par la populatfen de Londres. D.pros hier matis, le personnel de le gareest emp,oyé à déchargeriles wagons,

db, u.fi y s decuréntoc

e ne cett usut doua c ] 4 ,'à d a légumes

aigu lis, car tt s t ides boutedlssdont le "ont u n i us est pas accru

donna.Le coke et la chargon arrf:'ent en es-

sez gronda quantité, l'optera a pu ehaa6fer ss salle pour le promena fois dtma,rchu dernier. Meus l'6élairage au gaz uasers pas r6:able au

estec

quo l'on cro$5it.L'éolairag dd gaz eependant assurad'ici à la Go du mois. La compagnie, euptmnnnt ohies Prussiens igvastiasaie.t

do mea y- a I n rails d o des 1 siège, dont, la nus, oo entendait pardais allemands S J, été man , , je e

lésuesf f

roues le n. les ai qu'à graing mur.are c u r ddo Is pu " s e gusm tiér l

erreia peinars erreu eneursaut queipa+sion d'inifférenoe; mass nous L

Minin

la routa de Versailles est àdes demi'q amer, et 8'.vaia mima aveo ,uni mou houe plus loin, derrirlro le parc, et invi-chian qua j me fassis fétede vair remuer sibla. Pans le pavé de Sceaux, il a trèsla queue en .,queutant des lieux nii il Peu s^rvi et se irouvo e. bon état,est né, le ad plécurutem dan, sa ir'a'e ver, loure la villa, Sceeuz est un ville, mo-tu, mmm, nn exilé qui touche au rivage gorge do frodpas : i.fauteril de ligne,

ra 1de la pstrina .

de laçh

tal0ü 98

asseaas chd Pvau-leaier

Pq vert et la

aonditious donvmitia¢L'uund VOfep er Ceü d'üp P0ut b

propre de es mode, at vrai eneoré, entaisant remarquer combien il est rare dnvoir ma hemmu aviné dans J. rue..Mais nos soldera, 'lis devaient pas étédécmragés par dos échecs répétée et pardes proclamations et des bulletins dudernier lugubre, as seraient montrésaveo leurs vertus et non avec la.rs vécus,et Dieu sait ai, victorieux, leur gaieté le

allemand,cédé à ae gras 'montaientmonqui mâ tant fait son0}ir car Lent

aurin.Dé, l'une de premières maison., plei-

ne de soldats assis et travaillant à tousleu genres n'ouvrage, j'ai aperçu à unefenêtre, placé là car boucher le troud'un carreau cassé, ma -soir. ci. lafleviata cenfemporessu d'l[alia. Ce lotaaaae. Mon malheur an dévoilait d',m coupDual, évidemment, je devais avoir chez

a livraison de ee recueil. le savaisui il y était placé ; et, pour qu'il foi

arrivé où je le voyais, il fa!Init quemes livre. ousom, été ou, invi,pillage.Nous msmchtmes me peu rlli,

Quel apeoteole en arrivant I Ja t taclétare, grille ar hé a bres pè.osbaedas, petibus, l r sépa s I p.--bu et d. ,il leu ll A b ,1

mille ma ceo¢ I arbre bl d'e-

ue grande table. J 'autre .pus i, .alue I PI saune feuille des

parleQ 1 e

boiseries de le sal1 à morgue arr. chefs !L,s armoires des murs .éanties I Pasune nraianna , pas mée ua culasis

de foulure ! Arrachés las ahambrelea desPertes? Dan. la cuisine, lis o t u ean.

armé le daeeell6 et' bisé lapierre d'eau, tordu leu robinets et e de.

mi détroit, mais pourquoi faire? l'un deosa ronuatea fourneaux qu'an est si heu.

x, dans le. ménages, d'avoir e la oam-pagaa.

An prennes étage, .,.et bien l s tristeJe mgnoms qu'on enlevé

cie

- hi-es.

élus d thl_.s.

prévus il s lits.Ma tout don p té j .lu .I-

a ro s à tics- le bl I l éÀ t-he.Alalettrev aetc I, étonne

1 d q q ace dve o. éd d `. pan mstop le

ries, mes livres, gneat-cf paa celalao, avait fait Y A quoi cela pavait-illeur servir ? De cbq mille volumes il ceroute quelques centaines déchirées salis;L'aînée de pièce en pièce et péta éimbibé

d'eau, de poussiéreet d y àtr .Ce, gens ne peuvaienk pourtant pas

me croire riche. J'avais en effet dea bvrea rares et méme de cesa. un itsfruitde quinze ace dise as

t

ehuenhc; mais le parure.'y était p.. IC é.ta plus tard

quele devais les hebder,

siuDieu voulait le permettre, De igodeg-

tee rayons de sapin courant octane dede piéma témoiguaieat de la édia-ari

éuxde ma fortune, N'importe, il. ut

tout pris, et je va esprits poindre douequel état vraiment se trouve ce qui aété laissé aor psae. Dan excrément. ha-arois aouitbut lac pagesnouvertes de

léd,tion originale de Jooaly 1

Sa an m oa as ae3 outre a nila pi`liàgo Impméme qui, foii o moules

s bêta que Possible :sar il 1051 restéde. volumes dépermlfés de aolleotionsle-

et dtvere débris négligés ag-rafent de r.e paa ésbuppar à uas mais dequelque intellfgeuce. Que liai-le pas par.du t Certaines éditions i....auos, du .,ni.zirlme aféole 1 Las lettres de Mme de Sé-

igné, de'1728 I Des premières éditionsde Fénélon t C.e séria de Télémaques nedpassant pas 1715, tons les originaux deJéan-Jaegves, ana partie de la hibliothé-que parle ...de de Béranger !

11' ont enlevé jusqu 'à dea portrait' defamille, aces valeu, po.r personne quepour nous. Mon pauvre chien n'a pas ne.vu niche ; et, tout ahuri par la nau-frage du sauf bien de ces mat:res, il u arie. rcou... dans leur maile..C'est en solvant de l'mill'uu de se, bond'certains que j'ai fait... autre décou-

verte. L'osealfer était rompu à partir d¢promidl. Il disparu ontileement. les'a, pu aller deus la chambre de ma 111-ta, -ai, le aafs,g quo( m'en unir surl'état de, lieux. Le pillage avait fait levide avant de descendre.

Dans me malle, d'où la vue sur Foute-nay, Aagneux, Arcueil, Villejuif, l'llep,liait bien belle; à coté d'ami colloation

Sas violésaes de tact goure, ieoosdrea,I romi6s pour (star car butes ces hasst b b d t d illes vmeur res, om ar emen es u.

vertes, pillage et vol organisée sans deanome divers et avec me boute... Pré.

rn, toutes p tiques barbares, loisde paralysai la défense., n'ont fait u

l'activer ce soulevant centre elle duoshumes qui .e périront in ae Embr senattitude ineeleate vie à-vu des l'onces etsa enlévota mspeete lors de l'armisticelui enldveront l'appui moral de l'Europe,et marneront pour alla-méme, je l'espéra,ma ère (anale de d6cadsace et £.baues-ment.

Déjà la Franou est e. armas ; elfe ades forces smr'oeses qni pourras( êtreplat que dablêms, et ou matériel ...el-lent qui

asse -Plût, journellement; elle

Iaa surtout doles rea carates scansables. Toetefois

alla

lla doit sattendree coco-ru à bil' des i9lo,namenlx et ne pois.s'en émouvoir. tons aucçèr relatifs et les

aeidentele de Fafdherbe et deChanay sont ,

cecomme, satisfaisant.,

aupeint où an est la défenae : ils per-mett nt d'espérer mieux doua un avenirProchain.

L'indiscipline et e désordre . oui ciel,ont les panig.em, devandeont d p -o plus rares , tendis que la cou t'I vl dst ap. t[uo ntU peut donc détermine'

t t duthé

t q Ih lesav,menusdécisifs. Mais . s succès, faut

lea préparer , et , p cela , les attendrass s déco.ragemeot et sana trouble. Unevolonté texans, 0ne action énerggiquepeur/vérante et calma , valant saison etvont plus loin que les plus généreusesimpatiences.

Je sais cc que la chute de Paris et lesigaes procédés de. Maeteoffel ont causé

de graves c mplieati as, mais laussi qor les Cerces morales et maténdaaede la France ne peuvent qua s'organiser

e[ e'aaeeoitre, tard s quo le Proue, mal-gré aon as ureeoo et à bout dea unes

comme mira 001000 On fête eu Allemagnele os{etaietoe, pare. qu'on y voieàbd la f I 1 guelte; u

lin, t 1

s I é je il en douta pus, une réeclioaeeir.rale dent les tuba amont terribles.

On e tout tenté Jasgnici pour mafnte-r et surexciter leu esprits, dis, raolione,

ruses, mcesoenros : on n'y rat point par.ven.: la vint oie, st impuissante a gal-

aniset l'opinion. Le traité avecl'Allema-g d S d tl teh g te restauration

t ou daut, botder p t'vol,qu d 1 f las o magesetde p év irde défi

llv

e t lt s à ne do,

nul- Ce but est lot d'être ttrntp3hr iv d ne à cet é[ a g ésultat, que

l'Allemagne, .prés une cOno cuu'ntor-rompue de ricroiree, est enlière.,an; dé.moralisée, tagdiagao les plus nèdcu é reu-vee .'ont fait ga'électrisor la France et lepeue.er. T.et l'avenir dans la lutte cetdans ce rapprooheuéet; -Lna chefs peasaiene le savent, ils veu.

s moyen.tout laifaire

ont usâde mandor. Laapour

logomacbiquee il Y.. deu. Te..et cantate n'avaient pue d'autre bjot.Le. Moniteurs peseaiens de Versailles etde L raise ae lamentent chaque mariaci.. de pitoyables articles se'

las

mal-hauts de 1. France, qni e'ebatine à aedéfadre. M. de Bsmark usure qu'ellenon a pas le droit, la résistance à un en-emi si loyalne peavant /ire que le fait

d'eu prodigieux égaremcut.Cett. op,

inion,répétée p rlasl muez allamaadaqu'ana odiaaso blésa, Le Franou

smeule

aulerat en mesure da savoir quand fl seratemps pour clé de en laissai égorger. Sielle Juge qu'il est trop lut, il foot l'encroire on lui prouver le contraire.

D'ailleurs tl est toc simple qu'ayantimprudemment réservé eea forces pour ladas'hfél. heure, elle poissa en marna hé-trier de sou imprudence. C'est Biomarkqui e trier demandé si trop vite. Pooef: poser à la Franco des conditions qu'ellerefuse abs ciment, on devait attè.dreqn aie fût absolument hors d'état de s'yecustraire. Qu'elle poursuive la lutte,dent so. droit, dent w. devais. Elle esttenue de se réaiguce à tout plutôt qu'à¢.a paix bontese et indigne d'a la, quinous e.me.... tort ... molles de

litroubla

et d'épouvante où l'Eoropu eharohait an.core sa oie.

Cette horrible guerre noue y a déjà ra.menés. LePruese, avec ans masse.; sa tso-tiquo brutale et Son système d'6mase-meet, no nous lamas. indu à envier auxlions et aux Vandalce. Nous les copionsau pied de lettre. Champs ravagés,villes incendiées, populations datruims,riou n'y maugae. Nous avers comme euxle carnage en grand et le désert à notrecuite. Nous ave.s de ppIus J. télégraphie,qui porta les ordres d massacra lut lasvmax à l'Éternel, les chimistes qui 00m.binent l'maladie, le pétrole ai 155[10,,et les métaphysiciens qui disent que toutcela rat le droit; .o.. avoue aussi lesdiplomate. qui prô.e.t cette métaphy.eiquej et les mfuscres qui sen m.bp-teet.

R est temps que cela Guis,,. On necomprend rien à Dette marohe a rabeara,A eue reculade de 1. civilisation Passantà la barbarie avec armes et bagages. Etdéjà, planez y garde, ce qu'au mène à1.

guerre, 00051 gitan y mènera damais,se posent d'étra.ges questions: ils se de.

de plus de cent Almanachs Royaux, il yavait dans des caisse las papier. que jebannis de Caaohoisd,r;mmre, ara eauxa nques

l

"Il histoire de la Ré lutfonde 1831, que j'avais l'obligation de dépo-

o de se veuve, après ,ri e. liremer, an nmservi, dans le' cabochons de laque sstimule. V sont-ils demeurés ? J'endente. Es tout cas, il n'y a pas pies dafendtrea à cet étage gdaua autres, et lavent et 1. pluie seuls y sont chas nex.

M. gmttaot S I ils entra dansl'église.eElle

butad c

1 mais l'autel, laeha pu, et l navre nbeistent-

Lorsque je sortafe de l'église , passaitsur le Pav, de Bourg-la,Reine un males-tuoux o(finie, ove ses aides de enmp.J'ai salué le buste de Florian, et tai repris le chemin de l'ari+,(Temps du 1G février.)

France et Allemagne.

On lit dans le Manchester FertnighyyR,...

La France plat essore vaincre et611. vaincra : la Fmneo est .u adv,eonira

'annota, peésomptaux et léger, qui sedonne

laourdiddo.L

le rôle de prev...teur,Isis d'abord Inactive et nu dl loie

d . instant haro n'é, ilnem ie a-a u Bse. f LarPrnee, a'0st l'ennemi ma-Ih lt q i se tient aux aguets et attendq le provoque; puis se rue sur sou[violette et lécrase avion qu'il ait purespirer. Mais avec ça ayabme, il fautaller droit ee but et but ahever d'un,vol coup eans sa pomper. 0e, la Proase,qu'an le sache bina, e ..colleté las fau-Les I ses exigences peématur0es, son béaf-tatiee, aes méprisas ont oncourag6 laréeissnde7 dûruulé sas Place eoom.roip'sl'avapir.

ma¢deat pour qai, poeryam au la fait;oe an la

11-1a fait Otfdi; qui les amie

s aux prffa, et queI l dot a césar qu'onsalue avant de mourir et pour le plaisirduquel on va rougir pere.

Prends-y garde, peseur et roi 1 areloi. "..(ries qua d

m

élavent; ae peupla eu-frémit au loin quand on assassine un peu-ple; cette foule e dore fmpnieantemuette qui nmcoue eu vain ces

fndfgnse

tesla défroque usée d'un Charlemagne decarton,

Prends y gerde, Césart Tas façons doton aérant tus oripeaux ochf usa tesauéhonismes no.a

lavaient rrire ply avait

'lis de marte par lao chemina. Ta Npommes le fléau de Dieu- F[Ami, xcit;mais quelle pèle copie à'Attila 1 Neve.tnre pas seul sur ton Rhin allamand fily a du 'rait dee se Oté; on n'y romùa,

médit de toi tout bas. Tu parles d'é-ai.

F o Icloue l'air u' nresPire etalesmat q qu'

y fouleauqu'on

pied. l

Le'JSUr.Il de Genève publie la lettre:.aivante quijloi est adrasée par a¢ offid-er français e

Zurich, 13 février 1871.Moae,enr,

Je trouve prod.itc, dons votre mi-méro de 11 février. une .,ooasatior (1colt l fraeçais qui, salua1 a ubu d l t eln, é asesperafem fersPeu lents lit ts.

Je eo s à quelle aoueae on a puiség.

..il jenoacula

tu s

ceux pas le

nueh

ccosatma semai peu Ifondée P sans

3'daus auservies,. et etsas

ceJe avis depuis

,oc officiera pour la troupée... sen.or.dus. 4a devoir cet peur egr.ne habit..de et jamais uu officier ne s occupa delui-méme qu'après avoir pourvu auxlue i e de tas soldate

Malhnuroaeemeni ix-or quand ilemanquent de quelque ehoae, os que leurulS igu ales e psnrbs de ea q; ilé an-rmeut dii vo out iprompta a accuserleurs chefs et idans les cirmnstanc,a eûl'allée de 1 Esl d'est t cuvée, il a été

t

'.P.aaillle d'

leu' donner toutcoq 'l l aurait u,

1 do rt ae da pas va béa.."1 'i 'r t'ss, qua la Çbput but

pie ai $u enr dea lieux d'rotnenomentddféreats du .e,a da loup troupe et .orne2 on 5 affio,ors' seulement Par trachoeode 1000 hommes environ ont été disiagels pour conduira pas fractions à desti.satine, es que l'aubrité efédérale mulla.dent rêarvée de pourvoir a.x Insolaitdes soldats internés et d'assurer la disci.pü e par des ag lita balla ove inter.dict u au® officuta f a ç rs

Iliterva-

mr a p. dans u a troupe qui -.estplus sous sac ordres et qui lia pouvaitrouter cominét t e à Ilcat d régirae0.te,ba .aons et cour a nies.

Noue ta po¢vsaa actuellémest, et caladopas notre entrée on Suisse, que noue'former de ce qui rat fait pour nec sol-dats, mais n us se pouvons plus ionpar seau mêmes. lIa reste, il tantrendre justice a l'autorité I$dérate qui,

rprisa à l'improviate par Farrivésd'enoleonpe aussi considérable, a pour-vo à tout et cela dans nlare ma.,amis, qu'elle a r, seA que t -1Ainnsi,

Monsieur, au fi,,ien que cela mitg it Plusgrand

mbra qui afait

...on devoir

evoiret ai

garand

...lire quisec qu mois y lit installé,votI il faut pa.-eer

quo,

, militaires delua veilla, ils

oui

pose. La lumps d'apprendre à c qu'ilstoute l'étendue de leurs devoirs,

etet galle=liépéché quo par ignorauoa, mais nan

par défont de sollicitude pour leur trop.

pale vous prie, etc.A. Laee,

Capitaine

ma92e de liges

M. Cresson, préfet de polios àPerla, adonné ea démssron motivée sur le mas.vais état de sa santé; il a été remplae6, àtitre provisoire, par M. Chapfa, avocat à15 cour de cassation.

- Las obsèques solennelles de M. Mes.ce De Bourg et Joseph de Vauber.ier,

sapitaine et sous lieutenant des souavsetombés glorieusement le Il

!aluni à Yré-l'Evégqne cet eu lie. jeudidans la cathédrale de Laval.

- M. Blaise, préfet d'Illo.ot-Vflaiao,,est mort mardi matin à gustre ;.ores. tta asceombé à nue maladie aiguë qui laie-sait depuis cliniques jours peu d'espoir ilsle conserver.

- Or, assure que le gfoéral Choc" arintention de tasr . ....Bre ma pays aeconduite et celle de so. armée. It prép..me, paralt-il, lin rapport détailll pour la

infstra de la guerre, put le soumettraà l'Assemblée naliaoele, lorsque alfaeommuuini tien pourra lire fait. aa.. i.-mnvénient. Ce rapport, sera dit-on H.v é easgfte à la pablierté, à la demandemôme du général, qui désirs que 1.Faut" connaisse dans tant. leur élan,dur le courage et le dévenemeat leut'uupea qui ont aembatta .osa ses or:drue,

On écrit de Berne, le 10 (étrier aaJournal de Gaule, :

après l'entrée de Par-m6e françaiso eu Suisse, la aenseil fêté.relu chargé lie Kera da (aire dre dlmar echu tant a.pràs da gouvernement trs..

ie q.'aupréa du quartier général deorseilles, po.r pas cette armée puisas

ltre rapatriée à bref délai.On espérait que le gouvernement trac:.

çaisconsentirait

à prendre tes ange.gouramis qui permettraient au quartiergénéral allemand d'accorder oette dam.

andeM. Jules Fsvte a, en effet, amueitliae empressement leu ouvertures do Ma

Kern et donné l'aseouuee formelle qua. a smantres et leu montes e Plourant laPse oe seraient las emPoYés pendant s

Frotte. qui pleore desE l'Eure e de l'a-.or a.ven,r qai a'6veflle et ee sent déjà vivre. Mu de e ngegemsnt, M. Kern aQuand elle aura grandi, quand aile saura vu M. de Blemark, qui l'a reçu aveo ,dies.parler, je ne e,,, où tu seras mais tes tinatios, mais ui a refusé absolumentvulgaires convoitises, tee meesonges, tes d'amuefllio e demande.vole, tee folie, cruelles et tee eaeglants Le conseil fédéral a reçu la nouvelle deaprfcea s'appelleront par leur nom, tes ces faits par ou télégramme de M. 'lare,lauriers pue out le cadavre. La v6rit se

dressera car M tombe implacable et noo-Il ny aura

plais

ni né chats pour le rete- (1) L'honorable auteur pis alfa lettresir, m asribés, n[ rhéteurs pour l'étouffer fait soue dente ap- pion a aa arLiole qdeus leu replù de loura phraeaei la valets rUnisn libéir ia de N.adbàtelt

les soldats et les otgoiees internés a S i .

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

11, suei par un télégramme de M. do Bis-mar1 adressé à M, de Rmder1 marrede l'Allemagne du Nord. M. de Rçader,a r avoir oonfir é s é ri-èa tn mrefS Bat e%Pm6 teatnellamept comme suit :

P.

a Le gouvernement allemand reaou-solo et regrette la charge impolie à le

+ Suisse par 'entrée. sur sua territoire de+ toute une arméea ; mais, après les exp6-a ,tances faites, le g uvrmement Iran-e fiais est Lors d'état de donner des Es-» ramies enléoaLWa qua nes troupes ne+ Seront P. remises en campagne contre> sapa.

La Sralit ais une à ratera t pratiquéL.

neutralité d'une manière

ale pli- de continuai àlaies et

fat'. de

mémo pondent le peu de temps qui,nous l'espérens, sera encore nécessaire,

. et de contribuer à accélérer ainsi la>

Hier,ler, loti trio air. .

e général Cliuehant et M. deChAleaurenard, ministre de France e

Suisse,. oral remercié la Conseil fédéraldes diep ettioms prises pour la réceptionde l'armée française.

Une épidémie vraiment épouvanta-ble sévit en ce moment dans leLander.neau. On sait qu'eue grande quantité debm.le .,ait été accumulée sur diverspoint de la ligne d'Orléaue, eu prévisiondu ravitaillement de Paris.Renoncé

enenessèsemlots en arrière et-cédé de fatigue, cet immense troupeau

prie, h Laval, ie germe du typhus qui adégénéré en véritable peste bovine. C'est

. par eaataiuea que les morts se comptenttaque jear parmi les bétail. de m pays.

L'autorité a erpédib ' médiaiemoet ennombre d'hommes suffisante peur enler-rer lin marte etebattrelee bmufs malades.Le préfet e est lai-méme transporté surtee

C Onet a feit éteblir su acides sa-

eeiteira, aveu déferra de laisser entrersortir aucune nouvelle tête de bétail.

Grpms H ms meaurmespèresouperrigoureuses, mais

aéa.easaGm, an uoart A l'é-pidémie.

D'aprén l'P.dealanr, le nombre de. tai-. matir attafeta en aaepwtée de la plate

est de trois ille.,Ennuyer, dit ne joersel, frein mille

btaafe A une profondeur de deux mitresas mefns, oa n est pas ans petite affaireatle?eaisinage d'an pareRaimetièrapré-1Mgi assoit des dangers 'devant lesquels

misaiau.. e, Asofé da Brest a aredevoir r nom à l'inhsimatien des asi-

ax for .On parle ajourd'hui de faire entrer

_tout le troupeau, oadevrea et bilesvantes dans une vieille ..que de navirega'en aurait fait couler au large. Ce pro.e6d6 lot d'une exécution des plu, diffi-omise tlo transport due animaux

orLe,

dm m hampe au navire, ne laisserait pasZue de présenter eacaro de grenda dan-

cm

Pourquoi ne pas employer l'isniuératfonrendue ai facile depus lu déaonvertedel 'boîte da pékolut Les Amimcams éu Sudset adopté cart. mêthosedepuis long-temps, at els sont arrnésaiesi à pouvoirbriller jusgn d cinq mille tètes de bétaildeus la mélue journée.

',nnvlnL, -loi. A akec..ert n.

U. des plus terribles incendies qu'ail

jamais vus la ville de Manchester vie tde détruire la manufacture de cote. de

MM. Show, Jardine et C,On découvrit les premières traces d'in-

nendie à trois heures et demi. aprèsmidi; mais, par due raison encore ineoa-

ne fut pal quatre heures qu'oneneavertit la station aentçale. Oanoya aomitêt tee glas puissantes machi-nes et un grand nombre de pompiers. Al'arrivée de cette brigade les deux étagesinférieure de la manufacture étaient nBassines. Malgré les effort qu eu fitPour lemaliser l'incendie, à cinq heurese ton avait prie des proporlieus ef -frdyautea. 0e nmrhrmz détaehamentsde pompiers vinrent ae joindre aos pro.

' s, mais il fallut se r6..edre à laisserbriller 1. manufacture voisine. Tenta la

i8o et le ciel paraissaient en flammes :le maltée eut beaucoup de peine H non-teair la [.ale qui ntraveit tee meomu-vres. Las marchandises do la meeefaotareDodg:oe forent meaaaéne, ace partie nié

e en fui avariée. Enfin, après»""heurta d'effort et de travail, la fan pat

être éteint co piétement. Las pcrtaasont immenses. Les mnrehandisea brd lésIs eiaoLïsos brisée, s'élèvent A 1,260,800Traces. La .none de ce sinistre est encore

Espagne.

Madrid, 47 février,Ln Gonelle publia an mauifoste adres-

sé par le"a lieu:

Le date des élections eet fixée, ditesdoecmmt, les bannières de tous las par.tin sont arborées. Le Gouvernement sesmsidére comme obligé d'intarveuir an

diquant nettement sa Basée, os appe-laut 1 attention du peuple car le gravi-tédec évésemeelie qu nous traversonso averhe6ant enz q i rat S

la révolution de leptéeubô ua lo .-

ment est eau d' t r 1 esp ir sue pro.jets insunoéa, d'apaiser l'esprit de révol-te et de mettre do coté Il altaebse per-

anllna, tes dépits puérils, les repentirahmteuz qui affaiblissent le présent etexposent l'avenir de la aetie. à du non.velles et eaagtentes visoiesitades.

Quel que soit le jagamant porté sur lamis lesrévolution par ses aine pion

drainés,il

est indubitable qua la dy aekepr6c6denle était morte deus taus Isclama avant qua le programme de Ca-don est été rudenté.

Ou ne pain douter son plus que lepeuple espagnol ne voulut la monarchie:le gouvernement, les représentant réu-nie en assemblé. out eneonséquonae, ao-lemé la .monarchie, r aouun les droits

du oi{oyau, et, enfin, é:u an e.-.,ai..Touta. tee nations dnmandeoet ,coassela légitimité de ses serge. S'attaquer à laégalité dn a qui sainte, ee n'est pass'opposer à. l'met en do quelq s hom-mee, dent tenter de stériliser l'effort su-prême da la nationontiéro,

Il n'agit pas de main as,ea forts pourarracher de nets histoire la page de .ap-somhre, ni de aesbtion qui puiaso réessir à arrbtr les conséq¢enaes qui déaon-lent matuelllement de la révolution. Maisnomme il n'est pas d'efforts audacieux .améme imp ssibloe quo ne tentent la pas-s us et le décret, les ministres convoquéesubitement à la cuvelle de l'exploaioud'une .......infâme, ont acaouru em-pressés p an, défendre leur maure c.ro-mme.Oublient taus leurs ..aiece diffé-rends ia laissant tout intérêt eocondeireponr ne songer qu'à le patrie et es

présen-

sent devant le paye apis, et pour ainsidire tondus ensemble dans le are.. et IderLrimisme avec une volent: inébranla-

e de faire triompher les haut iutéebtecen16s à 'sur patriotisme.

Le manifeste ensuite fait appel à l'uni.

entau

dévanemeet. Il ajouta e+ Le ggouvernement a manifesté ;le dé

air de PEspa,,, deniers anpopain aveetoute. Iea satinas. Il a l'esir qua laéonférenee ouverte à Washington aura-

. pour résultat d'ejeoter encere à la cor-dialité de sas relations noce ie «eontineutamériaain. Le gouverneraient n'a pue unmoins vif désir de rétablir ana bonne in-telligenea avee te pape ; et, sacs renoncerà dm réfevmea que ont mie fin à la sitaa-{ion ezceplionaelle qoe l'Espagne aeea-paiEdanslemoude, il tara sou.pmeible'pour arriver à cette eeteme désirable. Ilné dés.apàre peu d'y, réussir parce que,d'us alité l'$glise ne ?m i craindre qoelas haut intérèt qrt elreprésente aoientcompromis par la lainière do la liberté,et que, d'autre. part, le gouvernement neperd vouloir provogaer d'hoailité contrela aaaardoce, Malgré les inquiétudes quirégaept ou ee moment, le gouvernementn'a négligera mi l'iaatractioa publique, nile bis aire du.peuple:

.Las réformes déjà prononcées pro.dslront des éeeltIt. ar l'attention dnpaye, aujourd'hui concentrée sur la po-litique, se répartit tranquillement fierS,,s les points convenables. Le ga¢var-.sassent, quia prouvé l'éaergta auge la-quelle il sait attaquer les maux dame sasaine, avec quelle équité il veut secon-

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Quact 8 Nice le gouvernement désireent aralt t1 cette uest u

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it ap.isée La gann eeseule, dâns cessojaernaus, cherche à eaci rer l'es,rit pu-b ic sur n,, point. La Reforma, organede M. Céipi, est toujous dos plus Jlente. dans le sous car la rétrooeeeinuou plutèl de le eéeas'io, par e luttearmée. Elle eocahle M. Martin Dapniseede les Pour uu organe ami duSiècle, v ilà qui cet bien étauge. LesItaliens de anale conlutr ont été, onpeut le dire, indignes anves la V.... cdans ses malheurs.

M. Étienne Arego arrive à Florenoeponr .'occuper, dit en, de cette qquestionde Nioa, dont M. Rothnn s'est déla acti-vemenl .coupé lui.méme. Il set aussichargé de s'entendre aven le gouverne-mee[ Italien pour le rapatriement de.garibeldieos, détail dont se peéaccapeun peu lo ministère,

Le mlvialére après avoir laissé altérersee2 noah'.emcet la loi des garanties

papales, a pesé la gaest'ou de cabinetcentre l'idée de hargor la cour de cas-salien d'aumNsur des visites domicilie,.res deus les résidences du Pape. Lagauche et le commission voulaient cetteprérnutmn contre l'éventualité d'une es-pèce de droit d'asile. L'immunité abee.lue des deux résidences poatifioales aété votée par 104 veir coutre f59. Cequi

présente une majorité de g5 voir.Ov peut maintenant regarder l'ensemblede la loi comme voté, seul le partie dede le séparation-`de l'église et del'État, qui er sera traitée qû après le

val, t qui pommit bien trio revoyèe indétuiment malgré les aeauraa=ces aoatraiess du .,ùinet.

Le gouvernement italien réagit ..clicle gauche qui â elforoe da taira croire à

ne grande e nspiratian oléricele, à Ro-e, A iles enrélemoet. Tour le rétabli.-

am rat da ppoostoie temporel, à l'arrivéeprochaine de M. de Charrette au Vaticaneh il serait attendu, etc. Letminietère ditque cala est oeagé, de méme B hésite àpoursuivre le père féenim Caroi qui ,dans nec prédication à St ignaee aurait'nsnlté tee princes de Savoie et notam.mont la princes Marguerite dont il aa-rait 'diculisé r la cotillon facile et ao-eomodant.. Hier soir, des interpellationsfaites à ce sujet, les mieinistres ont ditque l'injure n'était P. constante, et quai elle l'était en poursuivrai{ le père

Curer.Mazzied . eommeucé à Rame la publi.

aortes d'un journal ré toie. M nilutla Rossa dal pomelo. Mazaini veut

la Répabhqua par ue l 'isioa non paréhellion. il Brou qua 'nuiative

lan perdue par la Franced.pais

1815 (Y) appartient à la pensée italienne.

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Le publia est prévenu qua le mardi..81 ;février 1871, Al heure da l apréamidi, il sera proenccédé, à l'Hépital MiliterraiA le rente cou hères et en comptant,des Elrete d'i[abtliement, Mole euseE Dÿouiea laissés par LU Militaire)décédés andit;RBpital, et non réclam6lper les héritiers.

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Peur que lesPluie

dates et les délitspuissent être punis d'umaniés exem-plaire, le gouweroemmt stipulera le zèlede la magistrature, en donnant lui-mê-me l'exemple, ea oonsolidantl'ordre d'unemain vigoureuse, en rétablissant la seau- i

goillité morale et matérielle de la sociétéespagnole. ll caméra que .l'opinionpabli-qoe lo seeendera dans sa, tendue patrio-tique,

et il co pte sur l'appui décidé del'armée et de la marine qui ee sont iden-tifiéea voladla institutions actuelles, et

naissent pour chef que celui àquirlaceuetitutieu e confiée le o.mmau-de est enpréme. Le manifeste fait eppal suc répubtiaaiIl et eus carlistes etles engage A aaer de moyens légaux pourfaire modifier les lois, en contradictionaven leurs principe..

Le genveraementlas engage à renoncerà des moyens aeeii déeeapérés qu'unecoalition, ejeotent que, si des esprits au.-terrés à vivre dans l'alternative d'asorner eu de sonifrir l'arbitraire , ont dé-aidé de mettra le passion an d anus dela prudeare, et de néder au dépites lieud'éeoster la voix de le douceur , et pré.tendent par une coalition noetrueuse

sménerle chaos pour es rendes. geaveenemant

réproined

de la situation, leA défi maculé ou annonçant solen-nelle mant en pays qu'il saura danstuas les

oos,ae maintenir à la hauteur de

ses devoirs, eL est fermemenl rAeolu H nepas ee laisser renverser par l'euarohie.

La Manifeste porte la signature detees les ministres.

Fleeease, 18 février.Re géufra1 Eunisiea Hameim, eoeom-

pagoé d'au avocat italien employé dugouvernement do Bardl,.l'avocetSpea-cesemo (Brise ou Cassa-Tumée)e e va hierM. ViaaaLi-Veneeta.

M. Voulais tige ta jeore quo legauvmnemeat Toutsteu eeagage à nepas faire da vmitea damiailiarros ahoales eesaorttsaeats italiens, qu'il admette

ee sens le révision des traités etc.Mais on croit que l'affaira traioera aéces.neirememeat en longueur à lacs. de laferma attitude de air Augustes Paget etM. Rothaa. C'est une affaire remise.

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et remisa.

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