DeraièrtlisiiFt - Archives municipales du Havre · o7meImk^'TFMMS (^L Pages }...

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o7me Imk^'TF MMS (^L Pages } 5 (Mmes —HWKffl' WD MATE —§ r-« Par©^ ■ftrorcffTI M j!M7 Ate5nfstrat«w •Déléffoé -Géraat O. RAN DO LET , fftfeasama fypisslm stAimïcii, Til.10,47 45, Bue Fontenelle, 35 A&csiss TéléarapMque : EANDQLET Havre ANJyON CEi AU HAVRB. .... Bureau du Journal, 112,bou!' de StrasDourg. SL'AGENOS HAVAS,8, place de la Bourse, est seule charges de recevoir lea Anucnces pour le Journal. I* PETITHAVRE est dóslgni pour lot Anr.onees JrttHcfefrast lép-clot II JL II ORGANE RÉPUBLICAIN BSK RÉDACTEUR EN CHEF J.-J. CASPAR -JORDAN TAléphot.» I 1A.8» Saorétalre Géaéral : TE. VALLEI Rédactlon, 35, rue Fonfenelle - Té!. ?.&) DÉMOGRATIQUE Le plus fort Tir&ge des Jour noux de In Région ASONNEÏVSENTS ga3HBBaB*WEH»aaisgiBMBagK3^ss3a»aBB«Bigra»3res««WMaggaBaBE Le Havre, la Seins-Inférleuro, I'Eure, .a O Fr. S SS iït. i'Oise et la Somma Autres Départeiaants...... .............. ® Fr. HA ®!9 Onion Postale H** * 15© Fr. 40 On s aPonnn tgvlemtnt SAKSTHAIS,dong tons tas BitnrHtf ds Posts do Tramt Tnow Mow Six Mow Un A3 PALINODIE « Conlrairement sux informations qui writ parit dans ia presse néuire, les gouver- ïiements des empires eentraux ne feront pas de propositions de paix concrètes, de¬ terminant lesconditiensausquellcs ils sont yrêts 4 trailer avee leurs ennemis. lis maintienneet leurs propositions du 12 dé- cembre 1916 intégralement. » Telie est !a nouvelle parvenne hier de Enrich . Me ne saurait noas surprendre. Mais que i'aut-il penser do l'invite de i'em- pereur d'Autriche au gouvernement de Itussie en vue d'une paix séparée? N'est-il pas surabondamment démontré que cette proposition n'élait qn'une manoeuvre plei— rie de dupiicité et d'embüches ? Et n'avait- on pas raison de croire que l'Autriche- Hongrie, serve et captive de Guiiiaume II, manoeuvrée par lui, n'avait d'autre visée que de détacher laRussie de l'Entente ? Depuis quelque temps, — et aujourd'bui plus que jamais, — l'AIlemagne et l'Autri- che ss sont appHquées 4 formuler des pro¬ positions de paix, propositions vagues et qui se dérobaient toujqurs a unc forme a concrete ». En pouvait-il êlre autre- ment ? Les pangermanistes, qui représentent la vdritaMe Aüemagne, ne dissimuient pas leurs convoitisrs et les « buts de guerre » inavoués par leurs gouvernements. Ils venlesl {'annexion d'Anvers, le proteelorat du reste de la Belgique, l'annexion des bassins miaiers du Nord et de l'Est de ia France, la constitution d'une Poiogne vas- sale de FAMemagne, la possession des pro- vinces baltiques, Ia création d'une Jougo- Slavie plaeée sous la domination de l'Au- triche. Mais le gouvernement provisoire de Pe- trogradc a étabii, comme principe, le droit des peuples a disposer d'eux-mêmes. Le gouvernement de Vienne serait-il prèt a céder, a une Poiogne unitaire, la Galicie ? L'AIlemagne restituerait-elle la Posnanie? Et l'einpereur d'Autriche con- sentirait-il a provoquer la liberté des peu¬ ples, alors que tant de populations Tchè- qu.es, Slovenes, Groates, Roumaines, Ita- ïienncs gémissent sous sa tyrannic ? Irait- ïl, de ses propres mains, désagréger soa empire? Qn comprend dès lors la rceulade de l'Aulriche;Hongrie, qui ne voulait avant- liier aucune annexion, — et qui se réfère anjourd'hui aux décevantes propositions du 12 décembre. Tous désirs de conquête lui sont désormais interdits. Mais, dans une conversation diplomatique avec la Russie, comment pourrait-elie aborderla discussion du principe des natienalités qui, préalable naeut, ne manquerait pas d'etre mis en cause ? Cctle nouvelle évelution dénonce la du- plicité du Ballplatz. Elle rend inutiles les intrigues des social istes stipendiés de Bethmann-Hollweg. Elle met en singulière posture les Seheidemann et les Adler déjé démasqués par le loyal Branting. Et ce n'est pas sans une certaine déconvenue que les soeialdemocrates 4 tout faire, réunis 4 Stockholm, apprcndront la ridicule palino- die de l'empereur d'Autriche. Th. Vallée. gnHMBaHEai tÜSPJT UBE Les Etats-Unis ne traiteront qu'avec une Allemagne affranchie D'api è- des renre-ignemsats sc-mi- -IRciels, Ie gouvernement des Etats-Unis aarait réso lu de ne coaelnre do puix défioiüve avec i'AliemagBe tant que ce pays conservsr.qt, le gouvernement qoi ie régit asqoordliui. L'Amsriqus exisera en Aüemagae i'étaBiis- stmeat ö'un goarsrsemeni fbirai qni re- conuaitra des droits égaux d tous les ci- Soyfeos. ftl Rooseveltet fes volontaires Dms one iettre qu'i! adresse an president Je ia cooimissioa militairs du Saaat, M. Roos8v«H, tout en amarant de son appni sha cnrenx le g»uveraem-nt pour soa pro¬ jet de loi snr le servies militaire obligatoire, dit « Dss BJOiss'écaolt et peot-öue one année avaotqus l'armée aiasi obtenae pais- se se»vir en Earope. » M Rios«v»it soggèra entre temps l'erapioi des vo oBiaires dans l'aroiéo réguliere, afln, dit-il, qoo d' m k qneiques mois io drapeau ainéricain pwisse fiatier sur la ligne de feu. « Noiib le d vons a i'hemanité, nous le de- voru aux peiites nations qui ont tant son f- fert da feit de la guerre allemande, cons le derons par dessus tont 4 nous-iuêmes, k no- tre bonneor national Nous devons raontrer que r oos sommes décidés a payer do notre sang Que sans délai inutile, ledr.tpeau amé- ricain flolte stir le front, pour la démocra- ti«, la civilisation et le rcgne de la jusiice pcr ni les nations. » La villa d'ludianapolis offce i M. Roosp- rrlt uii érapean deitinéè sa division expedi- tioonaire. lmpöi sur les Bénêfices ds guerre ~Le cjrrespondant dn Daily News a Wash¬ ington télégraphie que M. Mac A«oo, se¬ cretaire dn Trésor américiin, songa a éta- b ir un tort irnpót snr les excedeeis de pro-' fits occssioasiérs par la guerre. II a revisó I'tche ia rincoiae-tax, augmeatsnt cet sn.pólds SO0/0 dans certaines eatégories. It csfiArerait ai si pouvoir ob.enir tine somtne de 16 millions de dollars a rant Le mots da juin. Les mesuresde prêcauiion I.c président Wilson a ianeé tins procla¬ mation prevtuaut tous ies liabifetits ties EtafR Unis, nstioranx on éirangsrs, que tout acte ou tentative de trahison ou le feit d'abriisr les auUnrs da pareils actes sera sévèrement pnni. Le secv'étaire d'Etat k la marine a ordon- né la suppression de toutes les stations ra- diotéiégraphiques des Etats-Un s qui ne sont pas coatiêiées par le gouvernement. Les marins francais & New-Vork Mme Mac Adoo. femme du secrétaire d'Etat an T-ésor e' fllle du pré?iaen; Wilson, a vi¬ sité dunaucbe le croiseur franqaia Jeanne- d'Arc, a l'a»cre dans le port de N w York. Les marias-da co ha.Limi-.nt, qui avaient oh ten u Patsterisaton de desceadre a terre, ont été i'objet do ebalenrenseS ovations. AU MEXI0UÊ Lg Neuiraliié du iSexique Le président Cartanza, dans soa message lu a {'occasion da l'ouvertara dn Gongrèa mexicain, déclare que le Mexique obsi-rvera n«e neatrailta stricte et vigilante dar,s_ )a guerre mondiale. Sana faire anctrna sS'usion a l'entréa dc-s Etats-Uois daas le oer.» flit, il a dit que Is Mexique s'efforcera de raster dans ies niêoiss tersiés d'amitié avec toutes les nations. AU BRÉSïL Conflits enlre Brêsiliens et Allemands h'Affencta amerieana nous oommuniqua la dépêche stHvaute ds Rio-dt-Janeito : A Porio-Alegre, h er soir, prés dedix mille person nr>sso sont porters snr Is faubourg de Sa>Joao pour s'euposer s nrse ré up ion des Ademinda au Turnvemn (société de gymnas'ique). La police a empêché i'attaqae tie l'édifice. Aa retour, !es maHifegtanSs ont attaqué la ysnsim Schmidt, dout is propriétaire, soa fits et deux eropiovés ont défmada la unison k eoaps de tusit, blessant deux Brêsiliens. Le» AU msnds ont été arrêtés. Les mar-ifsistanis ont abnquó aussüöt la brasserie allemaode, oü iis ont tont détruit.. Ils ont collé aux peries de 1'établlssemant dss caricatures du kaiser et des inscriptions tournsnt l'AIlemagne en ridicuie. Le roaibfö des maisoes allemandes atta- ouörs par la fonle a Porto-Al"gre sa mon»? h 270 La maiso-n Bromberg Hacker a été bru¬ lde devaat ia police impuissante A contenir la coière populaire. A Rio, ie# vétérans ds ia guerra du Para¬ guay oni o'ganisé un bataillon dériommé a Lauro Muller ». Le gouvernement incorpore les nctvires allemands a la marine nationale L'Agor.cUiammcana nou* coinaiGnique la dépêche 8uivcute : Une note ds source officielle dit" que la prtse de possession des navsrss allemands n'a eu en vue tont d'ebord que d'évlter leur dfistruction par leurs équipages. Toutefois, dès h présent, le gooveruemeot va décréter la sai#.ie definitive et i'incorporation de ces navires a ia mariae marcliaude. L' Amériqueunie contra l'AIlemagne Les jonrnanx de Rio de-Janeira com men¬ tent la réponse de i*Argentine et da l'Uru- goay k la nota du Brésil, annongant sa rup- !nr« avec i'A iemagae, et diseot que l'Ame- rique est unie piar la défanse des principes supérieurs de ia sociètê uaiversslle. La Sazeta ds Noiioias dit : « Notre gaste agite l'opinion panamêricai- ne, eau-aioant la Bolivia, provoquant des explosions antigermanique? en Argentine et dans ('Uruguay. Par toute l'Amérique soufila ia temrête qoi entrai'-e t<»ns les peuples dans le plus b«au mouvfimfnt de coofrater- nuö corsimeafele contre l'oatrage st les at- teatats do l'AIlemagne » Le Paiz , dans nu article pondéré, expose !a nécessi é poor Is Bréril d'enirer immedia- tement dans la guerre. EN RËPUBLJQUEARGENTINE Les Allemandstirent sur la fou/e An cours dos manifestations de Buenos- Aires, la légition et le consnlat d'Alle- magna et les jonrnanx allemands ont été attaqués par la foole qui deaaandait la dé- c'aration eb goerre è 1'Allemagne, des Alle¬ mands o»t tiré des fenêtres et des ioits sur les iuan»Ust»»t«. Cinq person nes anra'ent été tn#es. On emit qne le sombre des morts est plus élevé., mais fe* aatorités ont empècüé ia pu¬ blication de toute nouvelle. Uneréclamatkn allemande è f Argentine Le ministro d'AUemagne k Buemos-Aires a présenté au miaistve dés affaims étrangèrss tino réclamat'-on au sujet des r cantes mani¬ festations hostilea è l'Alteroague. Les Sacialistss leilaniais aStoelsl Un certain rsombre de sccialutas hollan¬ dais, eomprvnaot nota mm ent M. Troef tra. donton conmlt lewsaiim nis germannpbi- les, vienaent d® partir pooi' Stockholm, afia d'y couférer avee les révolutionnaires rus- ses. Le goavernemeut iivqérial aliemand leur a offert des faeüités pahicubères poar leur voyage, qui sVfteetnera a travers l'AIle¬ magne par les voies les plus rapides et les moyens ies plus confortables. Rappeloiis, a ca sujet, qa'il ya qnalqnos sernaines une société littéraire néerlandaise, plaeée sous le patronage de la familie royale suédoise, avait délégoè k Stockholm, pour y fsire das co -férences, le profésseur Van Hamel, d'Amsterdam, et Mme Top Haas. Le gouvernement aliemand leur avait catégeri- qnemaat refuse le passage A travers le terri- toire de i'empire. M. ALBERT THOMAS ENRÜSSÏE M. Albert Thomas, ministre des muni¬ tions, est parti pour Retrograde. Il a quitté Paris samedi. est passé par i'An- gleterre, cü il a visité la floUe. II a été r#cn par l'amiral Beatty, s»ir soa vaissean, il a conteré louguemjent avec M. Lloyd George et sir Edward Carson, mi¬ nistre "dela maris®. (Hams, J LA GUE 2*2T pn Malgfé Ismasvals limps, nos troupes dooppeet leer so! ionaI'Est dsReims Els g'empOTt d'SalFlye efdlmpartoufss positions LESTROUPES BRITANNÏQUES CONTINUENT LEÏÏRPROGRESSION COMMUNIQUÉS ÖFFÏCÏËLS" eeiTf JOTiT«2Sff3Bia COIMUNIQïïÊS FMigAIS Paris, 17 avril, 14 heures Au Nord ds I'Oise, activité inter» ïaittente des deux artilleries, nos patrouilles ont ramend des prison- niera. « Bntro SoissoKS at R-ïims, nos trou¬ pes se sont organisèes sur les posi¬ tions conquises. Dans Is. région d' Allies, una forte contre- attaqus allemande sur nos nouvelles lignes a été brisée par nos tirs da barrage et nos feux de mitrailleuses, qui ont fait subir des partes éieviM aux assail/ants. D'autres contre-attaquos ennemies dans le secteur üe Courcy oni ég&lement échoui. Le temps continue k êlre trés mauvais sur /'ensemble du front de Champagne. La nuit a été marquóé par una recrudescence d''artillerie dans le secteur k I'O .est d'Aubarive. Nuit calm» partout ailieurs. aviation Dans la période du 10 au 15 avril, nos pilotes ont accompli de r.ombraux exploits. Le capi- taine Le Court-Grandma isnn, le sous-lieutenant Languedoc, et le marêchal des logis Rousseauont respactivement abutt 11leur cinquième appareil aliemand. Le lieutenant Pinsart a abattu pour sa part troh arions ennemis, ce qui parte k buit lo chilïre des appareiis qu'/J a détruits iusqu'a ce jour. L'adjudant Vila! is a dsscendu son ssptième adversaire et le lieutenant Deullin son ireiziè- me. Enfin, le capitaine Guynem^r a remporié sa 36o victcir». 23 heures. Aujourd'hui, nous avons élargi no¬ ire action a I'Eït de Reims et attequé les L'giies allemasdes entre Prunay et la route de Saint-Hilaire a Saint- Souppiet. M=ilgré de violentes rafales da pluie et de neige, nos soldats out fait preuva d'un mordant irrésisti- ble e* out en'.evé, sur un front de quinze kiloloraètres environ, en dé- pit de Ja rósistanc3 onnemie, toate la première position allemande cu Sud de Morenvillers, Nos troupes, poussant au-dela de cette position , ont brillanament oon- quis, sur une étecdue de onza kilo¬ metres une ligne da hauteurs solide- ment orgaoiséos depuis le raant Gor- niilet jusqa'A l'Est de Wandesinoourt. Pius a l'Est. une action violomment menée, nous a permis d'enlever le village d'Aubarive etun saillant puis samsnent forufié, formé par la iigae allemande autour de ce village, sur un front da trolö kilomètres. Des contre- attnques ennemies lancées vers le moat Cornillet ont été brisóes nos fs-.x. Le chlffre des prisonniera faits par no.js ear cette partia du front dépasse deux miile cinq cents. En tra Soissons et Reims, nous avons, au cours de la journée, repris noa tirs de destruction sur les orga¬ nisations allanaandss et róduit das Lots ou des fractions ennemies qui résistaient encoro. Vers quinze heures trente,une forte contre-atteque ennemia, dans la re¬ gion de la farm® d Hurtebise, a été repotasrée par nos foux et a la bsïon- nette. UriS autre tentative violente, dans le secteur de Couroy, occupó par les troupes russes, a également échoué. D'après de notjveaux renseigne- ments, nos troupes pendant la batailla du 16 avril entrs Soissons et Raims ont bousculé des forces allemandes trés importantes. Dans I'attente de notre attaque, l'ennrmi avait amené dix- neuf divisions. Aux dires des pri¬ sonniera, l'ordre formel leur avait étó donné de ténir coüte que coüte sur la première poaiticn, renforeóe en pro- fondear. Les pertes subiss par les Allemands ont été considerables, non sealement au cours do ia bataills mais durant les jours precedents. La veille de l'attaque une division ennemie s'est eugagéc, au cours de la relève, dans le secteur d'un® division voisine et a perdu, sous Ia violence de nos tirs d'artill&rie, une grosse partie de soa t-.ffsctif. Ls cbiffre des privonniers valides fails par nous hier antra Soissous et Reims atteint aciwellemoct onza mille. 17avril, 13 h. 43 Pendant la nuit, nos troupe® se sont emparèes de la fernae de Tombois, sur ia route de L empire a Vendhuille. Nous avons progressé au Nord et a l'Est, ds la ga re d'Epeby. Des prison¬ niera soat tombés eatre nos mains. Le temps continue a êtra mauvais, forte tempête de vent et de piuie. 17 avril, 50 &.50 Une nouvelle avance a été effectuée aujeurd'hui vers ie boia d' Avrincour t, et au Nord du village de Gjuziau- court, Des engagements ont eu lieu dans la journéo k l'Ouast et au Nord-Ouest do Lens nos troupes exeroent toujours la même pression sur l'enr.emi. Une tentative allemande en vue de refouler nos éléments avancées a compiè- tement échoué. L'Aviation a exécutê hier beaucoup de bon travail en Jéoit du ma uvais temps. L'ennami qui s'est en génêral gardé de toute rencontre, a eu néanmoins trois apparsils coatraints a al¬ ter r Lr avec des avaries k la suite des oombats aériens. Cinq des nótres na sont pas ven¬ tres. 8E2» Mésopotamle Londres, 13 avril. Le génêral Maude signale one avance de nos troupes sur la rive droito du Tigre mcyen et nna marche nocturne, jusqu'a uji mine et 1/2 de la position occupée par le 18' c rps d'armée turo couvran' ia gare d'lstahulat,' sur 1e Rail¬ way de Bagdad k Samarra. Les éléments enns- mis se replièrent sans resistance. COMMUNIQUE EELGE 17 avril. Sur les divers points du front, bombards- ments réciproques au cours de la journée. ■■ II.M COÏËUKIQUË ITAilIl Rome, 17 avril. Dans la VaUa'arina nous avons bornbardé k nouveau la gare de Colliano, en endommageant les edifices et mettant en fuite les trains. Una tentative d'i rupiion enn -mie de nos positions d Passo Ci Sou agno a étó rejstée. L'ennemi a sub/ des partes graves. Sur le front Juiien, un avion ennemi a été abattu dans la region de Ternova. COMMUNIQUE EÏÏSSE Peirograde, 17sviil. Sur le front occidental, dans la region de Khoukary, nous avons préparé une attaque par legaz, Una reconnaissance par les éclaireurs suivit, mais fut repoussée par les feux des mi¬ trailleuses ennemies. Fusillade et opératioas d'avions sur le front roumain et au Caucaeo. DANSLESBALKANS COMMUNIQUÉFRANQAIS Deraièrt lisiiFt Une Mission fran^aise aux Etats-Unis Paris, 17 avril. La gouvernement a décidé d'envoysr une mission extraordinaire pour taloer le prési- d?nt de la Répobiiqae des Etats U 13è l'oc- Césion da i'en ré-odans ia guerre de ce pays è cóté des albés. A la (êfe de la mission se trouvent MM. Viviani, viee-président dn Conseü des mi- nisires; le niaréohai Jtffce, te vice-asnirai Ghochfprat, le marquis ds ChambraE, dé- puté. MM. Ilovelscqne, in speel eur génêral de 1'instrucUon pub>ique, ct Simon, inspecteur dei finances, aceompagEent ia mission comme céiégoés adjoints. Ss'onique, 16 avril. Violente canonnade sur le front notamment vers Mayadag, la vallis Vardar, a la cota 1348, au Nord de Monastir et a Cervsna Stena. LesEmpires eentraux sliaPais 0a marde de Vienne que, contrairement aas informations qui ont para daas Ja presso neatre, ies gonverorm»nts des em¬ pires oentranx ne feroat pas de propositions da paix coccrètes, determinant les condi¬ tions anxquelies ils sont p:è.s a trauer avec lears enuemis. Ils miiintieonent Ienr3 propositions da 12 décembre 1916 iniégralcmeni. Ils feront eonmnire leurs bat3 de gaerre iorsque les A liés se aisposeroat officielle- ment a entrer ea pourparlers. U PSriLEMEHT BRITANN'QUE Londres, 47 svril. A la Ghambre des Gommones, M. Bonar Law a déposé en deaxióma lecture un pro¬ jet prolongesnt la duree du Parlement. It s-rait facheux, dit-it, de procéder k de noave les elections an moment oü la pays est erjgagé duns la phase la ptns importante de In guerre, an moment r ü nos troupes oat entrepris leurs plas grandes opératioas de¬ puis la débat de la guerre et dont les rCsui- tats ont dépassé déjS las espérancea. L'Anglsterre e!lesEtats-l)n(s Londres, 17 avril. A la Chambre des Lords, M. Crawford a annoncé è M. Curzon qu'il proposera de main a .a Ghambre d? voter l'ordre du joor sui- rant : Cette Chambre désire exprimer au gorivernement et au penplo des Etats-Unis d'Amérique sa haute appreciation da l'acte parfequeile gouvernement s'est joint anx pnissaucai alliéei p >ur dalendra ia grande caiue de la liberie et los droits de l'humi- nité centre les pln3 graves menaces dont ils furent jamais l'objet. !Q>riro<r4>^K»Ma| Griseministérielle en Antriclie Paris, 17avril. On mande de Vienne que les jonrnanx an- rmncent que ies ministrss Baerareitsr Et Urban out dc-missionné. La grève de Berlin Zurich, 17avril. On mar-dè d» Berlin qn'nuo nota «ifflc*«sts*8 dit que la grèvs « Grotsberün » n'a é'é exé- catée qae partielh'Tnèat et rasta seneibla- ment aa-dessoos des espéranceg decent qoi l'orgiuisèrent, 123,000ouvriers seulement y pariicipèrent. BSie, 17 avril. Oa mande da Ber'in qne Ie travai! a repris dans la plupart des établissements ou il ce»sa hier. POUR SA PANOPLIE Bliu, 47avril. Le prince Ziaeddia a été r.-qn par 'e Kaiser a qui il arerais nnsabro d'honnenroffertpar le suhan. II passa ia toiréeavccle maréchal Hiodcnburg. Les Brêsiliens centre les Allemands Rio-de-Jiaciro, 17avril. On msnda de Porlo A!è;:rp, qne la snr- excitation populaire grsu i t. La fonle a attaqué 270 maisons aiiemandes. EHe arra- cha 'es enseignes st afficha des caricatures da kuiser. Au Turkestan Petrogrsde. 47 avril. Le gouvernement civil dn Tuike.stan est proviroirement confié k trois membres da Comité exécatif. CJ-OIX tla ESÜXlï\tl033 s Paris, (7 avril. Après quatre féances, le trowième Gonsail d« guerre a terminé ca soir fes dób -ts de )'• ff ire d'espionnage etd'asioci'Hion de roa!- taitiu r»>,dans laqueile six individus étaient inealpés, Le Conseil a prononcé ies con- damnations suivsntes : Roquefort par &onttiroace. Ia peine de mort ; Antoine Sidpey e' Fernand Balme Ia peine de mort ; Paul Bulme. quinze ans de travaux fnrcés et viagt ans d'interdiction de S'jiur ; veuve Bnlme, on an de prison avue sorsis k la minonté de faveur. La chimisto GboSet fat acqaitté. LES BRUTES! Les exéculions <J'o«ag»cs do Recqnig'nies en !9l4, — 4'ommeet les soldata ü» Ja UulJnr souilièrent icurs tombes. Nous Seiifins l'atroce réc.t suivant d'on térooio, un vailiant ofiicier o'e chasseurs a pied, biessé recemmentan Nord de Soissorss, notüire k Msubsnge au débat de la guerra ct qui s'é*ada, la vide une fois prise par l'ennemi. poar venir se battra parmi nos di bles biens : C'était ie 4 septembre 1914 <1Recqulgnies, prés M nbenge. Les Allemands furent ac- cueiilis k coups de f uif pir queiq ias-uns de non marsouins qui darent se repuer sous le nombre. Iin.nédiatement les-Boches arrètèrent les nosables cornmi ay»ut « fa»<jrisé les trincs- tireurs », maigró qri'il füt évidan' que la fu¬ sillade proven rit da troupes reguiières. 13 notns füren! tirés an sort et tea 13 civils fu¬ rent aussitöt fttsiilés, en presence de leurs proches, pére et mèee, femma et enfants, sp ci deinent convoq» 63. La femma de i'ua des assasünés, mariéa depni<unauè peine, ayaut lo lendemain déposé piaosement unecroix en fleurs natu¬ relles sur leur tomb), les bourreaux euraut la délicatesse da ohoisir cat emblème pour en faire os) water-closet, de sorte que, qnei- qnos jours sprès, una cro x en ordures aiie- niandes ornait ia tombean des nótres. Quel chéii ment sara assea rude ponr do teis inhérablgj. (Lo.Ltbsrlé) iliiui llü ilUUl Ui BE L' OFFENSIVE La granda bataiüe est engigée. Nous qnl avons suivi depuis de louaues seniaines la minutieuse preparation da l'dbaque qui viont de se de.'ianchar, qui avons a-;isté anx efforts prodigieox accnmpiis par nos troupes sous i'impu'sion de chefs aanés, ca n'esi p s san# una profunda éamtion qae nous voyons s'engager la partis, grosse de coasequm es, peut ëtre decisive, uont les communiqués avec une réserve et une modestie pleious da d'gnitéènregistreat les pre. -jrs résoitats, si proraettenr». Lorsqus fundi matin, Is signal de i'c ffonsivo a été öooné, tons ies coenrs sa sont serrés, tous ies yenx se sont moiüüés, car on savait quelles dilfieultés fo#midab!es aiiaiont ren- coairer nos soldais. Leur vaiilance, leur b1 entrain, ont triomphé de tons !es obstacles. Les positions les plus puissantes n'oat pn ré» sister a leur générease ardeur. Q odles jour- nees glcrieases lis nous reserved 1 Ls,prèpwation d'artillnvie 1.3 bombardement dos position) a'leman- des avait cotnmencé le luadi de Paqnss, ü midi ; il no se raleatit pas un instaat durant toute la eemaine. De joar et do nuit nos bai o-rie ) do tons calibres dé versere ut sans arrèt sur les lignas ena&mies d^- ionnes da projectiles, détruieant et boutc-versint mé- thodiquaruent les retranchsmeals, lesabris, ies blorkbaus. Dimancha, a partir ds 3 hsares, Ia canon¬ nade redoubla d'intea-ité ; eils attsignit dans la soirêe et daas la nuit une violence iuonife, sans préaédrmt dans les an, vales da la guerre Jusqu'au moment oü uo irouoes s'éi incèrent a l'assaut, ce fat sur :es onvra» gis baches une veritable averse di mitraillë, Nos grosses pièos crschaient sans rep t. La sol trerabiait a 50 kiloaièlres 4 b ronde. L'horizon éiait ea fö'a. II semblait qua la terre, secouéa par un cffroyable cafadysme, ailait s'entr'ouvrir. Ceox qui ont vu ca tra- giqu» spectacle r.e l'oublieroj.t jimais, Lorsque le joar 3e leva, lunui matin, Ia lotto d'artitleiia avait conservó ia même viol»cc-3. Malgré le temps inclément, nos aviom tournoyaient dans Ie cicl, réglant Ses tirs da nos batteries. Brasquam nt, vers huit heures, is bombardement cessa. Un grand sileoca se fit, d'atnant plus impres» sionnant qu'il succédait 4 un terrible vactr- me. Les mir.mes qui suivirent par ueat des sièclss. Soudain ies sirèaes d'atarmó eans- mus se firest entendre. L33 signaux do de- mande de secours psrtaicnt da tous las ( ötés. Notre attaque étiit déclanchée. B'en- tót la csnoanade rejprenaii, mais cello lo:s c'étaient nos 73 qui tonnaioct rageasoment, précedant nos vagues d'assaut, auxquelies its ouvraieiit ia roate. La Bataille Dès les premières heures de la tn taille, Ia! utte revêtit un caractère d'achirnement extraordinaire. II ne pouvait être question de surpri.'O chrz les Aüsmands, qoi, con- na s-ant nos projsts, avaient rassemblé dm* le secte'jr S -issoos-R iros des cff-ctifs con- sidérabiss et une farmidsbls arulferia. A peine ros troupes eim-ni elles abordé '63 retranchemems ennemis. qne de pnissan es coutre attaque sforgafcisaieat. Lo ruccèj ds nes soldats n'en est que plos brillant, et les résultats obtenas n'en out qua plus da valenr. On re sanrait trc-p insist»r snr io merveil- leux esprit offansif do no'.re armée. Tons les officiers que j'ai v. s cette nuit témoignent d'une profonae admiration pour l'éljm solen» dide avec laquei les hommes ailèrent ao» combat. « Jamais encore, dans ancuna bataiüe, no3 soluats na sont pariis 4 i'assaut avec ene anssi belle crS.aerie, a dit nn colonel d'état-m-'jor. Leur attituda résolne a d'aiN leurs décidé du eort de la b^tailie. Dm bi» tailions entiers ss soat rendu3, convaincus do la supériorité des nóires. » D jè, les épisodes glorieux abondent. A l'extrême gauche du iront d'attaque, nn da r-os grands chefe, véritable entrcineur d'hommes, se trouvait au milieu de ses sol¬ dats, lorsqn'ilï piriirent a i'attaqae. II mar¬ che 4 l'assant avec eux, la canne a la main, ies encour*geant de la voix et du geslo, na oocsectant 4 rejoindre son poste de com- maodemmt que" iorsque l'objectif désignó k ses troupes eut été atleint. Dans la région au Nord da Reims, nes vailiants aliiês russss ont pris nna part bril- lanie 4 l'avsnce vicïorieuse réabsée dans a direction dn fort da Brimont. 11sse sont battus coname des lions, infl>geant da» par¬ tes svnsibles 4 l'ennami Ua régiment sa. convrit également de gloire au cours des combats qui se déroalèrant entre Lo vre et Gourcy, fanaat 4 lm seui plus de 800 pri- sonniers tt capiaiant un important rnaté- riel. Nos aviütenrs psriicipent coestamment i la bataiüe, uivant les vagues"d'assaut, Dans la soiree, les A iemaads ont monfé nne puissante contre-ofhosive en vua di nous reprendreles positions ooaquises d.ns la matinée et dans i'aprds-midi. La lutts a été acharnée sur le plateau de Craonue et, plus 4 l'fist, au N«rd de la Ville-anx Bols : dans l'ébsembie, les Allemands oat éts re- po ossés avec de trés graves partes. Lsurs colon ne3.d' issaut, d-écimèes par nos tirs de barrage, rtfluèrerit en désordre, abindon- nant das morts et des blesses par miluers. Tous n03 gains furent maintenus. (La L'.bctlf) LaFraternité Fjanoa-Britanniq L'ordre de l'armée britannique reproduit les deux télëgrammes suivants : Ls general Nieelle au maréuhal Doughs Haigj 10 avril. C'est avec nn trés grand plaisir que ja vons envoie mes plus cbifenrens 3 felicita¬ tions pour is succès spiendide des impor¬ tantes opératioas exócutéös hi«r par vox If* et 3*armées. Le maréchal Ilaig au génêral Ni veile 10 aviil.' Je vous snïs on ne pent plus reconnais-aut pour la télégramme qu« »ous av=z eu la bonté de m'envoyer. é'•# i>« et 8° armrest éprouvont nn grand plaisir ponr la f poa genérense dont vons avez appreció les résul¬ tats dé ia bataiüe

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45, Bue Fontenelle, 35

A&csiss TéléarapMque : EANDQLET Havre

ANJyON CEi

AU HAVRB. .... Bureau du Journal, 112,bou!' de StrasDourg.SL'AGENOS HAVAS,8, place de la Bourse, estseule charges de recevoir lea Anucnces pourle Journal.

I* PETITHAVREest dóslgni pour lot Anr.oneesJrttHcfefrasst lép-clot

II JL IIORGANE RÉPUBLICAIN

BSK

RÉDACTEUR EN CHEF

J.-J. CASPAR -JORDANTAléphot.» I 1A.8»

Saorétalre Géaéral : TE. VALLEI

Rédactlon, 35, rue Fonfenelle - Té!. ?.&)

DÉMOGRATIQUELe plus fort Tir&ge des Journoux de In Région

ASONNEÏVSENTS

ga3HBBaB*WEH»aaisgiBMBagK3^ss3a»aBB«Bigra»3res««WMaggaBaBE

Le Havre, la Seins-Inférleuro, I'Eure, .a S© O Fr. S SS iït.i'Oise et la SommaAutres Départeiaants...... .............. ® Fr. HA K© ®!9Onion Postale H** * 15© Fr. 40On s aPonnn tgvlemtnt SAKSTHAIS,dong tons tas BitnrHtf ds Posts do Tramt

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PALINODIE« Conlrairement sux informations quiwrit parit dans ia presse néuire, les gouver-ïiements des empires eentraux ne ferontpas de propositions de paix concrètes, de¬terminant lesconditiensausquellcs ils sontyrêts 4 trailer avee leurs ennemis. lismaintienneet leurs propositions du 12 dé-cembre 1916 intégralement. »Telie est !a nouvelle parvenne hier deEnrich . Me ne saurait noas surprendre.Mais que i'aut-il penser do l'invite de i'em-pereur d'Autriche au gouvernement deItussie en vue d'une paix séparée? N'est-ilpas surabondamment démontré que cetteproposition n'élait qn'une manoeuvre plei—rie de dupiicité et d'embüches ? Et n'avait-on pas raison de croire que l'Autriche-Hongrie, serve et captive de Guiiiaume II,manoeuvrée par lui, n'avait d'autre viséeque de détacher laRussie de l'Entente ?Depuis quelque temps, — et aujourd'buiplus que jamais, — l'AIlemagne et l'Autri-che ss sont appHquées 4 formuler des pro¬positions de paix, propositions vagues etqui se dérobaient toujqurs a unc formea concrete ». En pouvait-il êlre autre-ment ?Les pangermanistes, qui représentent lavdritaMe Aüemagne, ne dissimuient pasleurs convoitisrs et les « buts de guerre »inavoués par leurs gouvernements. Ilsvenlesl {'annexion d'Anvers, le proteeloratdu reste de la Belgique, l'annexion desbassins miaiers du Nord et de l'Est de iaFrance, la constitution d'une Poiogne vas-sale de FAMemagne, la possession des pro-vinces baltiques, Ia création d'une Jougo-Slavie plaeée sous la domination de l'Au-triche.Mais le gouvernement provisoire de Pe-trogradc a étabii, comme principe, le droitdes peuples a disposer d'eux-mêmes.Le gouvernement de Vienne serait-ilprèt a céder, a une Poiogne unitaire, laGalicie ? L'AIlemagne restituerait-elle laPosnanie? Et l'einpereur d'Autriche con-sentirait-il a provoquer la liberté des peu¬ples, alors que tant de populations Tchè-qu.es, Slovenes, Groates, Roumaines, Ita-ïienncs gémissent sous sa tyrannic ? Irait-ïl, de ses propres mains, désagréger soaempire?Qn comprend dès lors la rceulade del'Aulriche;Hongrie, qui ne voulait avant-liier aucune annexion, — et qui se réfèreanjourd'hui aux décevantes propositions du12 décembre. Tous désirs de conquête luisont désormais interdits. Mais, dans uneconversation diplomatique avec la Russie,comment pourrait-elie aborderla discussiondu principe des natienalités qui, préalablenaeut, ne manquerait pas d'etre mis encause ?Cctle nouvelle évelution dénonce la du-plicité du Ballplatz. Elle rend inutiles lesintrigues des social istes stipendiés deBethmann-Hollweg. Elle met en singulièreposture les Seheidemann et les Adler déjédémasqués par le loyal Branting. Et cen'est pas sans une certaine déconvenue queles soeialdemocrates 4 tout faire, réunis 4Stockholm, apprcndront la ridicule palino-die de l'empereur d'Autriche.

Th. Vallée.gnHMBaHEai

tÜSPJTUBELes Etats-Unis ne traiterontqu'avec une Allemagne affranchie

D'api è- des renre-ignemsats sc-mi- -IRciels,Ie gouvernement des Etats-Unis aarait résolu de ne coaelnre do puix défioiüve aveci'AliemagBe tant que ce pays conservsr.qt,le gouvernement qoi ie régit asqoordliui.L'Amsriqus exisera en Aüemagae i'étaBiis-stmeat ö'un goarsrsemeni fbirai qni re-conuaitra des droits égaux d tous les ci-Soyfeos.

ftl Rooseveltet fes volontairesDms one iettre qu'i! adresse an presidentJe ia cooimissioa militairs du Saaat, M.Roos8v«H, tout en amarant de son appnisha cnrenx le g»uveraem-nt pour soa pro¬jet de loi snr le servies militaire obligatoire,dit « Dss BJOiss'écaolt et peot-öue oneannée avaotqus l'armée aiasi obtenae pais-se se»vir en Earope. »M Rios«v»it soggèra entre temps l'erapioides vo oBiaires dans l'aroiéo réguliere, afln,dit-il, qoo d' m k qneiques mois io drapeauainéricain pwisse fiatier sur la ligne de feu.« Noiib le d vons a i'hemanité, nous le de-voru aux peiites nations qui ont tant son f-fert da feit de la guerre allemande, cons lederons par dessus tont 4 nous-iuêmes, k no-tre bonneor national Nous devons raontrerque r oos sommes décidés a payer do notresang Que sans délai inutile, ledr.tpeau amé-ricain flolte stir le front, pour la démocra-ti«, la civilisation et le rcgne de la jusiicepcr ni les nations. »La villa d'ludianapolis offce i M. Roosp-rrlt uii érapean deitinéè sa division expedi-tioonaire.

lmpöi sur les Bénêfices ds guerre~Le cjrrespondant dn Daily News a Wash¬ington télégraphie que M. Mac A«oo, se¬cretaire dn Trésor américiin, songa a éta-b ir un tort irnpót snr les excedeeis de pro-'fits occssioasiérs par la guerre. II a revisóI'tche ia d« rincoiae-tax, augmeatsnt cetsn.pólds SO0/0 dans certaines eatégories. ItcsfiArerait ai si pouvoir ob.enir tine somtnede 16 millions de dollars a rant Le mots dajuin.Lesmesuresdeprêcauiion

I.c président Wilson a ianeé tins procla¬mation prevtuaut tous ies liabifetits ties

EtafR Unis, nstioranx on éirangsrs, quetout acte ou tentative de trahison ou le feitd'abriisr les auUnrs da pareils actes serasévèrement pnni.Le secv'étaire d'Etat k la marine a ordon-né la suppression de toutes les stations ra-diotéiégraphiques des Etats-Un s qui ne sontpas coatiêiées par le gouvernement.

Lesmarins francais & New-VorkMme Mac Adoo. femme du secrétaire d'Etatan T-ésor e' fllle du pré?iaen; Wilson, a vi¬sité dunaucbe le croiseur franqaia Jeanne-d'Arc, a l'a»cre dans le port de N w York.Les marias-da co ha.Limi-.nt, qui avaientoh ten u Patsterisaton de desceadre a terre,ont été i'objet do ebalenrenseS ovations.

AU MEXI0UÊLg Neuiraliié du iSexique

Le président Cartanza, dans soa messagelu a {'occasion da l'ouvertara dn Gongrèamexicain, déclare que le Mexique obsi-rveran«e neatrailta stricte et vigilante dar,s_ )aguerre mondiale. Sana faire anctrna sS'usiona l'entréa dc-sEtats-Uois daas le oer.»flit, il adit que Is Mexique s'efforcera de raster dansies niêoiss tersiés d'amitié avec toutes lesnations.

AU BRÉSïLConflits enlre Brêsiliens et Allemandsh'Affencta amerieana nous oommuniqua ladépêche stHvaute ds Rio-dt-Janeito :A Porio-Alegre, h er soir, prés dedix milleperson nr>sso sont porters snr Is faubourgde Sa>Joao pour s'euposer s nrse ré up iondes Ademinda au Turnvemn (société degymnas'ique). La police a empêché i'attaqaetie l'édifice.Aa retour, !es maHifegtanSs ont attaqué laysnsim Schmidt, dout is propriétaire, soafits et deux eropiovés ont défmada la unisonk eoaps de tusit, blessant deux Brêsiliens.Le» AU msnds ont été arrêtés.Les mar-ifsistanis ont abnquó aussüöt labrasserie allemaode, oü iis ont tont détruit..Ils ont collé aux peries de 1'établlssemantdss caricatures du kaiser et des inscriptionstournsnt l'AIlemagne en ridicuie.Le roaibfö des maisoes allemandes atta-ouörs par la fonle a Porto-Al"gre sa mon»? h270 La maiso-n Bromberg Hacker a été bru¬lde devaat ia police impuissante A contenirla coière populaire.A Rio, ie# vétérans ds ia guerra du Para¬guay oni o'ganisé un bataillon dériomméa Lauro Muller ».

Le gouvernement incorpore les nctviresallemands a la marine nationaleL'Agor.cUiammcana nou* coinaiGnique ladépêche 8uivcute :Une note ds source officielle dit" que laprtse de possession des navsrss allemandsn'a eu en vue tont d'ebord que d'évlter leurdfistruction par leurs équipages. Toutefois,dès h présent, le gooveruemeot va décréterla sai#.ie definitive et i'incorporation de cesnavires a ia mariae marcliaude.

L'Amériqueunie contra l'AIlemagneLes jonrnanx de Rio de-Janeira commen¬tent la réponse de i*Argentine et da l'Uru-goay k la nota du Brésil, annongant sa rup-!nr« avec i'A iemagae, et diseot que l'Ame-rique est unie piar la défanse des principessupérieurs de ia sociètê uaiversslle.La Sazeta ds Noiioias dit :« Notre gaste agite l'opinion panamêricai-ne, eau-aioant la Bolivia, provoquant desexplosions antigermanique? en Argentine etdans ('Uruguay. Par toute l'Amérique soufilaia temrête qoi entrai'-e t<»ns les peuplesdans le plus b«au mouvfimfnt de coofrater-nuö corsimeafele contre l'oatrage st les at-teatats do l'AIlemagne »Le Paiz , dans nu article pondéré, expose!a nécessi é poor Is Bréril d'enirer immedia-tement dans la guerre.

ENRËPUBLJQUEARGENTINELesAllemandstirent sur la fou/eAn cours dos manifestations de Buenos-Aires, oü la légition et le consnlat d'Alle-magna et les jonrnanx allemands ont étéattaqués par la foole qui deaaandait la dé-c'aration eb goerre è 1'Allemagne, des Alle¬mands o»t tiré des fenêtres et des ioits surles iuan»Ust»»t«.Cinq person nes anra'ent été tn#es.On emit qne le sombre des morts est plusélevé., mais fe* aatorités ont empècüé ia pu¬blication de toute nouvelle.

Uneréclamatkn allemandeè f ArgentineLe ministro d'AUemagne k Buemos-Aires aprésenté au miaistve dés affaims étrangèrsstino réclamat'-on au sujet des r cantes mani¬festations hostilea è l'Alteroague.

LesSacialistssleilaniaisaStoelslUn certain rsombre de sccialutas hollan¬dais, eomprvnaot nota mm ent M. Troef tra.donton conmlt lewsaiim nis germannpbi-les, vienaent d®partir pooi' Stockholm, afiad'y couférer avee les révolutionnaires rus-ses. Le goavernemeut iivqérial aliemandleur a offert des faeüités pahicubères poarleur voyage, qui sVfteetnera a travers l'AIle¬magne par les voies les plus rapides et lesmoyens ies plus confortables.Rappeloiis, a ca sujet, qa'il y a qnalqnossernaines une société littéraire néerlandaise,plaeée sous le patronage de la familie royalesuédoise, avait délégoè k Stockholm, pour yfsire das co -férences, le profésseur VanHamel, d'Amsterdam, et Mme Top Haas. Legouvernement aliemand leur avait catégeri-qnemaat refuse le passage Atravers le terri-toire de i'empire.

M.ALBERTTHOMASENRÜSSÏEM. Albert Thomas, ministre des muni¬tions, est parti pour Retrograde.Il a quitté Paris samedi. est passé par i'An-gleterre, cü il a visité la floUe.II a été r#cn par l'amiral Beatty, s»ir soavaissean, oü il a conteré louguemjent avecM. Lloyd George et sir Edward Carson, mi¬nistre "dela maris®. (Hams, J

LA GUE 2*2T pn

MalgféIsmasvalslimps,nostroupesdooppeetleerso!ionaI'EstdsReimsElsg'empOTtd'SalFlyeefdlmpartoufsspositionsLESTROUPESBRITANNÏQUESCONTINUENTLEÏÏRPROGRESSION

COMMUNIQUÉSÖFFÏCÏËLS"eeiTf JOTiT«2Sff3Bia

COIMUNIQïïÊSFMigAISParis, 17 avril, 14 heures

Au Nord ds I'Oise, activité inter»ïaittente des deux artilleries, nospatrouilles ont ramend des prison-niera. «Bntro SoissoKS at R-ïims, nos trou¬pes se sont organisèes sur les posi¬tions conquises.Dans Is. région d'Allies, una forte contre-attaqus allemande sur nos nouvelles lignes aété brisée par nos tirs da barrage et nos feuxde mitrailleuses, qui ont fait subir des parteséieviM aux assail/ants.D'autres contre-attaquos ennemies dans lesecteur üe Courcy oni ég&lement échoui.Le temps continue k êlre trés mauvais sur/'ensemble du front de Champagne.La nuit a été marquóé par una recrudescenced''artillerie dans le secteur k I'O .est d'Aubarive.Nuit calm» partout ailieurs.

aviationDans la période du 10 au 15 avril, nos pilotesont accompli de r.ombraux exploits. Le capi-taine Le Court-Grandma isnn, le sous-lieutenantLanguedoc, et le marêchal des logis Rousseauontrespactivement abutt 11leur cinquième appareilaliemand.Le lieutenant Pinsart a abattu pour sa parttroh arions ennemis, ce qui parte k buit lochilïre des appareiis qu'/J a détruits iusqu'a cejour.L'adjudant Vila! is a dsscendu son ssptièmeadversaire et le lieutenant Deullin son ireiziè-me. Enfin, le capitaine Guynem^r a remporiésa 36o victcir».

23 heures.Aujourd'hui, nous avons élargi no¬ire action a I'Eït de Reims et attequéles L'giies allemasdes entre Prunayet la route de Saint-Hilaire a Saint-Souppiet. M=ilgré de violentes rafalesda pluie et de neige, nos soldats outfait preuva d'un mordant irrésisti-ble e* out en'.evé, sur un front dequinze kiloloraètres environ, en dé-pit de Ja rósistanc3 onnemie, toate lapremière position allemande cu Sudde Morenvillers,Nos troupes, poussant au-dela decette position , ont brillanament oon-quis, sur une étecdue de onza kilo¬metres une ligne da hauteurs solide-ment orgaoiséos depuis le raant Gor-niilet jusqa'A l'Est de Wandesinoourt.Pius a l'Est. une action violommentmenée, nous a permis d'enlever levillage d'Aubarive etun saillant puissamsnent forufié, formé par la iigaeallemande autour de ce village, sur unfront da trolö kilomètres. Des contre-attnques ennemies lancées vers lemoat Cornillet ont été brisóes nosfs-.x.Le chlffre des prisonniera faits parno.js ear cette partia du front dépassedeux miile cinq cents.En tra Soissons et Reims, nousavons, au cours de la journée, reprisnoa tirs de destruction sur les orga¬nisations allanaandss et róduit dasLots ou des fractions ennemies quirésistaient encoro.Vers quinze heures trente,une fortecontre-atteque ennemia, dans la re¬gion de la farm® d Hurtebise, a étérepotasrée par nos foux et a la bsïon-nette. UriS autre tentative violente,dans le secteur de Couroy, occupópar les troupes russes, a égalementéchoué.D'après de notjveaux renseigne-ments, nos troupes pendant la batailladu 16 avril entrs Soissons et Raimsont bousculé des forces allemandestrés importantes. Dans I'attente denotre attaque, l'ennrmi avait amenédix- neuf divisions. Aux dires des pri¬sonniera, l'ordre formel leur avait étódonné de ténir coüte que coüte sur lapremière poaiticn, renforeóe en pro-fondear. Les pertes subiss par lesAllemands ont été considerables, nonsealement au cours do ia bataills maisdurant les jours precedents. La veillede l'attaque une division ennemies'est eugagéc, au cours de la relève,dans le secteur d'un® division voisine

et a perdu, sous Ia violence de nostirs d'artill&rie, une grosse partie desoa t-.ffsctif.Ls cbiffre des privonniers validesfails par nous hier antra Soissous etReims atteint aciwellemoct onza mille.

17avril, 13h. 43Pendant la nuit, nos troupe® se sontemparèes de la fernae de Tombois, suria route de L empire a Vendhuille.Nous avons progressé au Nord et al'Est, ds la ga re d'Epeby. Des prison¬niera soat tombés eatre nos mains.Le temps continue a êtra mauvais,forte tempête de vent et de piuie.

17 avril, 50&.50Une nouvelle avance a été effectuéeaujeurd'hui vers ie boia d' Avrincour t,et au Nord du village de Gjuziau-court,Des engagements ont eu lieu dans la journéok l'Ouast et au Nord-Ouest do Lens oü nostroupes exeroent toujours la même pressionsur l'enr.emi. Une tentative allemande en vuede refouler nos éléments avancées a compiè-tement échoué.L'Aviation a exécutê hier beaucoup de bontravail en Jéoit du mauvais temps. L'ennamiqui s'est en génêral gardé de toute rencontre, aeu néanmoins trois apparsils coatraints a al¬ter r Lr avec des avaries k la suite des oombatsaériens. Cinq des nótres na sont pas ven¬tres.

8E2» MésopotamleLondres, 13 avril.

Le génêral Maude signale one avance de nostroupes sur la rive droito du Tigre mcyen etnna marche nocturne, jusqu'a uji mine et 1/2de la position occupée par le 18' c rps d'arméeturo couvran' ia gare d'lstahulat,' sur 1e Rail¬way de Bagdad k Samarra. Les éléments enns-mis se replièrent sans resistance.

COMMUNIQUEEELGE17avril.

Sur les divers points du front, bombards-ments réciproques au cours de la journée.

■ ■ II.M

COÏËUKIQUËITAilIlRome, 17avril.

Dans la VaUa'arina nous avons bornbardé knouveau la gare de Colliano, en endommageantles edifices et mettant en fuite les trains. Unatentative d'i rupiion enn -mie de nos positionsd Passo Ci Sou agno a étó rejstée. L'ennemi asub/ des partes graves.Sur le front Juiien, un avion ennemi a étéabattu dans la region de Ternova.

COMMUNIQUEEÏÏSSEPeirograde, 17sviil.

Sur le front occidental, dans la region deKhoukary, nous avons préparé une attaque parlegaz, Una reconnaissance par les éclaireurssuivit, mais fut repoussée par les feux des mi¬trailleuses ennemies.Fusillade et opératioas d'avions sur le frontroumain et au Caucaeo.

DANSLESBALKANSCOMMUNIQUÉFRANQAIS

DeraièrtlisiiFtUne Mission fran^aise

aux Etats-Unis• Paris, 17 avril.

La gouvernement a décidé d'envoysr unemission extraordinaire pour taloer le prési-d?nt de la Répobiiqae des Etats U 13è l'oc-Césion da i'en ré-odans ia guerre de ce paysè cóté des albés.A la (êfe de la mission se trouvent MM.Viviani, viee-président dn Conseü des mi-nisires; le niaréohai Jtffce, te vice-asniraiGhochfprat, le marquis ds ChambraE, dé-puté.MM. Ilovelscqne, in speel eur génêral de1'instrucUon pub>ique, ct Simon, inspecteurdei finances, aceompagEent ia missioncomme céiégoés adjoints.

Ss'onique, 16 avril.Violente canonnade sur le front notammentvers Mayadag, la vallis Vardar, a la cota 1348,au Nord de Monastir et a Cervsna Stena.

LesEmpireseentrauxsliaPais0a marde de Vienne que, contrairementaas informations qui ont para daas Japresso neatre, ies gonverorm»nts des em¬pires oentranx ne feroat pas de propositionsda paix coccrètes, determinant les condi¬tions anxquelies ils sont p:è.s a trauer aveclears enuemis.Ils miiintieonent Ienr3 propositions da 12décembre 1916 iniégralcmeni.Ils feront eonmnire leurs bat3 de gaerreiorsque les A liés se aisposeroat officielle-ment a entrer ea pourparlers.

U PSriLEMEHTBRITANN'QUELondres, 47svril.

A la Ghambre des Gommones, M. BonarLaw a déposé en deaxióma lecture un pro¬jet prolongesnt la duree du Parlement.It s-rait facheux, dit-it, de procéder k denoave les elections an moment oü la paysest erjgagé duns la phase la ptns importantede In guerre, an moment r ü nos troupes oatentrepris leurs plas grandes opératioas de¬puis la débat de la guerre et dont les rCsui-tats ont dépassé déjS las espérancea.

L'Anglsterree!lesEtats-l)n(sLondres, 17 avril.

A la Chambre des Lords, M. Crawford aannoncé è M. Curzon qu'il proposera demaina .a Ghambre d? voter l'ordre du joor sui-rant : Cette Chambre désire exprimer augorivernement et au penplo des Etats-Unisd'Amérique sa haute appreciation da l'acteparfequeile gouvernement s'est joint anxpnissaucai alliéei p >ur dalendra ia grandecaiue de la liberie et los droits de l'humi-nité centre les pln3 graves menaces dont ilsfurent jamais l'objet.

!Q>riro<r4>^K»Ma|

Griseministérielle en AntriclieParis, 17avril.

On mande de Vienne que les jonrnanx an-rmncent que ies ministrss Baerareitsr EtUrban out dc-missionné.

La grève de BerlinZurich, 17avril.

On mar-dè d» Berlin qn'nuo nota «ifflc*«sts*8dit que la grèvs « Grotsberün » n'a é'é exé-catée qae partielh'Tnèat et rasta seneibla-ment aa-dessoos des espéranceg decent qoil'orgiuisèrent, 123,000ouvriers seulement ypariicipèrent.

BSie, 17avril.Oa mande da Ber'in qne Ie travai! a reprisdans la plupart des établissements ou il ce»sahier.

POUR SA PANOPLIEBliu, 47avril.

Le prince Ziaeddia a été r.-qn par 'e Kaisera qui il arerais nnsabro d'honnenroffertparle suhan. II passa ia toiréeavccle maréchalHiodcnburg.

LesBrêsiliens centre lesAllemandsRio-de-Jiaciro, 17avril.

On msnda de Porlo A!è;:rp, qne la snr-excitation populaire grsu i t. La fonle aattaqué 270 maisons aiiemandes. EHe arra-cha 'es enseignes st afficha des caricaturesda kuiser.

Au TurkestanPetrogrsde. 47avril.

Le gouvernement civil dn Tuike.stan estproviroirement confié k trois membres daComité exécatif.

CJ-OIX tla ESÜXlï\tl033 sParis, (7 avril.

Après quatre féances, le trowième Gonsaild« guerre a terminé ca soir fes dób -ts de)'• ff ire d'espionnage etd'asioci'Hion de roa!-taitiu r»>,dans laqueile six individus étaientinealpés, Le Conseil a prononcé ies con-damnations suivsntes :Roquefort par &onttiroace. Ia peine demort ; Antoine Sidpey e' Fernand Balme Iapeine de mort ; Paul Bulme. quinze ans detravaux fnrcés et viagt ans d'interdiction deS'jiur ; veuve Bnlme, on an de prison avuesorsis k la minonté de faveur. La chimistoGboSet fat acqaitté.

LES BRUTES!Les exéculions <J'o«ag»cs do Recqnig'niesen !9l4, — 4'ommeet les soldata ü» JaUulJnr souilièrent icurs tombes.Nous Seiifins l'atroce réc.t suivant d'ontérooio, un vailiant ofiicier o'e chasseurs apied, biessé recemmentan Nord de Soissorss,notüire k Msubsnge au débat de la guerract qui s'é*ada, la vide une fois prise parl'ennemi. poar venir se battra parmi nosdi bles biens :C'était ie 4 septembre 1914 <1Recqulgnies,prés M nbenge. Les Allemands furent ac-cueiilis k coups de f uif pir queiq ias-unsde non marsouins qui darent se repuer sousle nombre.Iin.nédiatement les-Boches arrètèrent lesnosables cornmi ay»ut « fa»<jrisé les trincs-tireurs », maigró qri'il füt évidan' que la fu¬sillade proven rit da troupes reguiières. 13notns füren! tirés an sort et tea 13 civils fu¬rent aussitöt fttsiilés, en presence de leursproches, pére et mèee, femma et enfants,sp ci deinent convoq» 63.La femma de i'ua des assasünés, mariéadepni<unauè peine, ayaut lo lendemaindéposé piaosement unecroix en fleurs natu¬relles sur leur tomb), les bourreaux eurautla délicatesse da ohoisir cat emblème pouren faire os) water-closet, de sorte que, qnei-qnos jours sprès, una cro x en ordures aiie-niandes ornait ia tombean des nótres.Quel chéii ment sara assea rude ponr doteis inhérablgj. (Lo.Ltbsrlé)

iliiui llü ilUUl UiBE L' OFFENSIVE

La granda bataiüe est engigée. Nous qnlavons suivi depuis de louaues seniaines laminutieuse preparation da l'dbaque quiviont de se de.'ianchar, qui avons a-;isté anxefforts prodigieox accnmpiis par nos troupessous i'impu'sion de chefs aanés, ca n'esi p ssan# una profunda éamtion qae nous voyonss'engager la partis, grosse de coasequm es,peut ëtre decisive, uont les communiquésavec une réserve et une modestie pleious dad'gnitéènregistreat les pre. -jrs résoitats,si proraettenr».Lorsqus fundi matin, Is signal de i'c ffonsivoa été öooné, tons ies coenrs sa sont serrés,tous ies yenx se sont moiüüés, car on savaitquelles dilfieultés fo#midab!es aiiaiont ren-coairer nos soldais. Leur vaiilance, leur b 1entrain, ont triomphé de tons !es obstacles.Les positions les plus puissantes n'oat pn ré»sister a leur générease ardeur. Q odles jour-nees glcrieases lis nous reserved 1

Ls,prèpwation d'artillnvie1.3 bombardement dos position) a'leman-des avait cotnmencé le luadi de Paqnss, ümidi ; il no se raleatit pas un instaat duranttoute la eemaine. De joar et do nuit nosbai o-rie ) do tons calibres déversere ut sansarrèt sur les lignas ena&mies d^- ionnes daprojectiles, détruieant et boutc-versint mé-thodiquaruent les retranchsmeals, lesabris,ies blorkbaus.Dimancha, a partir ds 3 hsares, Ia canon¬nade redoubla d'intea-ité ; eils attsignitdans la soirêe et daas la nuit une violenceiuonife, sans préaédrmt dans les an,vales dala guerre Jusqu'au moment oü uo irouoess'éi incèrent a l'assaut, ce fat sur :es onvra»gis baches une veritable averse di mitraillë,Nos grosses pièos crschaient sans rep t. Lasol trerabiait a 50 kiloaièlres 4 b ronde.L'horizon éiait ea fö'a. II semblait qua laterre, secouéa par un cffroyable cafadysme,ailait s'entr'ouvrir. Ceox qui ont vu ca tra-giqu» spectacle r.e l'oublieroj.t jimais,Lorsque le joar 3e leva, lunui matin, Ialotto d'artitleiia avait conservó ia mêmeviol»cc-3. Malgré le temps inclément, nosaviom tournoyaient dans Ie cicl, réglant Sestirs da nos batteries. Brasquam nt, vershuit heures, is bombardement cessa. Ungrand sileoca se fit, d'atnant plus impres»sionnant qu'il succédait 4 un terrible vactr-me. Les mir.mes qui suivirent par ueat dessièclss. Soudain ies sirèaes d'atarmó eans-mus se firest entendre. L33 signaux do de-mande de secours psrtaicnt da tous las(ötés. Notre attaque étiit déclanchée. B'en-tót la csnoanade rejprenaii, mais cello lo:sc'étaient nos 73 qui tonnaioct rageasoment,précedant nos vagues d'assaut, auxqueliesits ouvraieiit ia roate.

La BatailleDès les premières heures de la tn taille, Ia!utte revêtit un caractère d'achirnementextraordinaire. II ne pouvait être questionde surpri.'O chrz les Aüsmands, qoi, con-na s-ant nos projsts, avaient rassemblé dm*le secte'jr S -issoos-R iros des cff-ctifs con-sidérabiss et une farmidsbls arulferia. Apeine ros troupes eim-ni elles abordé '63retranchemems ennemis. qne de pnissan escoutre attaque sforgafcisaieat. Lo ruccèj dsnes soldats n'en est que plos brillant, etles résultats obtenas n'en out qua plus davalenr.On re sanrait trc-p insist»r snr io merveil-leux esprit offansif do no'.re armée. Tons lesofficiers que j'ai v. s cette nuit témoignentd'une profonae admiration pour l'éljm solen»dide avec laquei les hommes ailèrent ao»combat.« Jamais encore, dans ancuna bataiüe, no3soluats na sont pariis 4 i'assaut avecene anssi belle crS.aerie, a dit nn coloneld'état-m-'jor. Leur attituda résolne a d'aiNleurs décidé du eort de la b^tailie. Dm bi»tailions entiers ss soat rendu3, convaincusdo la supériorité des nóires. »D jè, les épisodes glorieux abondent. Al'extrême gauche du iront d'attaque, nn dar-os grands chefe, véritable entrcineurd'hommes, se trouvait au milieu de ses sol¬dats, lorsqn'ilï piriirent a i'attaqae. II mar¬che 4 l'assant avec eux, la canne a la main,ies encour*geant de la voix et du geslo, naoocsectant 4 rejoindre son poste de com-maodemmt que"iorsque l'objectif désignó kses troupes eut été atleint.Dans la région au Nord da Reims, nesvailiants aliiês russss ont pris nna part bril-lanie 4 l'avsnce vicïorieuse réabsée dans adirection dn fort da Brimont. 11s se sontbattus coname des lions, infl>geant da» par¬tes svnsibles 4 l'ennami Ua régiment sa.convrit également de gloire au cours descombats qui se déroalèrant entre Lo vre etGourcy, fanaat 4 lm seui plus de 800 pri-sonniers tt capiaiant un important rnaté-riel.Nos aviütenrs psriicipent coestamment ila bataiüe, uivant les vagues"d'assaut,Dans la soiree, les A iemaads ont monfénne puissante contre-ofhosive en vua dinous reprendreles positions ooaquises d.nsla matinée et dans i'aprds-midi. La lutts aété acharnée sur le plateau de Craonue et,plus 4 l'fist, au N«rd de la Ville-anx Bols :dans l'ébsembie, les Allemands oat éts re-po ossés avec de trés graves partes. Lsurscolon ne3.d' issaut, d-écimèes par nos tirs debarrage, rtfluèrerit en désordre, abindon-nant das morts et des blesses par miluers.Tous n03 gains furent maintenus.

(La L'.bctlf)

LaFraternitéFjanoa-BritanniqusL'ordre de l'armée britannique reproduitles deux télëgrammes suivants :Ls general Nieelle au maréuhal Doughs Haigj

10avril.C'est avec nn trés grand plaisir que javons envoie mes plus cbifenrens 3 felicita¬tions pour is succès spiendide des impor¬tantes opératioas exócutéös hi«r par vox If*et 3*armées.Le maréchal Ilaig au génêral Niveile

10 aviil.'Je vous snïs on ne pent plus reconnais-autpour la télégramme qu« »ous av=z eu labonté de m'envoyer. é' • # i>« et 8° armrestéprouvont nn grand plaisir ponr la f poagenérense dont vons avez appreció les résul¬tats dé ia bataiüe

Page 2: DeraièrtlisiiFt - Archives municipales du Havre · o7meImk^'TFMMS (^L Pages } 5(Mmes—HWKffl'WDMATE—§ r-« Par©^ ftrorcffTIMj!M7 Ate5nfstrat«w•Déléffoé-Géraat O.RANDOLET,fftfeasamafypisslmstAimïcii,Til.10,47

Le Petit Havi'e — MercrediS8 Avril 1947

Lulï&eiitiileHessisfirrivêe dePkkhanof'è RetrogradeLo seoistesse Georges Plekhaaof est airivé& petiograde en rnême que les déiégués *o-fisaiistee hasi^ais et anglais. Malgré I'heorelar-Jive, une fouls immense, oil dominaitl'éiémeRi milRarre, attcndati 4 la pare. L'ii-lu»tre pscacrst, safoé 4 sou a/ aivëe par nueovation eoibousiaste, fut porté en tricmpbeaux cris d? « Vive iauépubtique ! Vive Piek-fcanoi ! » Des soïdats, sur quatre rangs, pré-si ntatest fas amies. Les membres da goa ver¬nemen! proviioire, le p'és:dent da Conseil,prinea Lvof, les représentant* du comité« déptstós carriers et roidats » souhaitèrentla b • n-s mie aa leader sodalis e, et celui ei,prmant la parole 4 sou tour. fit appei « £l'unian si ere e de loos ponr afiarmir lo nou¬veau régime, batlre • ennepn extérieur etfeeds? «ur des bases liértïques ia itbarte daIa pfiPfe. »Gwduk a ia Mrason du people, oil le con¬grès g' nérai des Comité- « deputes or.vrierset soMets de Rnssie » tena t uae assemblee,Georges Pukhanof a prononcé une alloca¬tion reppsffaai que l'ntt das premiers, en1875 « il avait levé sur la place da Kazan letl rap ja a rouge, symbols des justes re¬vokes ».La bienvenne fut soubaitóe au proseritrmee et aux d legués tïaaco-atsgfais perT- 4 qui le députó socialiste frar.paisMo fat répondit en acelamant les artisansde ia rvvohiiioa. M. Ciehio assure que la re¬volution rosse sera un hie n fa it uon s- ulementpour la Ku-sic, rnais pour fout i'anirers.Le sotïkriiste anglais O'G-i'dy a expriméson admiration pour le ca actère rnodére dela révoliitten et a. dit ses toe ,x pour ia con¬solidation du nouveau régime.M. Pb kbanof a dit ensuite :Lors <iuCongrès internationsl de Paris, je vcasdisais : c . o mouvement róvoiut.onnMre sortiraIrU.mph-'Dt de cetfa guerre, de nséme que i<-mou¬vement oavrler, oü ii re trioaghera jmsis. »i. iiisioire rafa doané raisoa. Get accueil ca est lameiHfure preuve.M.'P tkhaaof adresse ensuite son saint anxsociadsiet. de la vieifla démocratie anglaiseet A ceux de la France a a qai on doitlout a :Nous venous d'accornplir, poursuit-il, une oeu¬vre tembiaMe a eell«- que la France s aecomplieeiv-z cite au siècle dernier. Nous r.ous iaspiroasdes mémes ide.s, nous vouions tauter sa gran¬deur d'Swo Nous avons chmtó sa Marseillaise eltou es nos paroles soat empreiates de son espritde tib&rié.S'adressant ensuite é ses coneKoyeiêg,M. Pie khancf tear dit :Cssaarcdcs. 4 mon retour parmi voas, je tiensS voas d -niiir, sanséqiivoque, comment je eou-qois le> devoirs du citoyen révolutionnaire. Gcsdevoirs s-int d'affi/tcer avec une fierte égale lenom de sociaifste c't ceiui de patrio e. J'aime raapafrio Toojours je me suis 6!e-é aulant centrelev Yoisms qui meo8$aieot d'sltiqucr son terri-loire que contra ies lyrans inlerir-urs Tonjoorsj'ai professè que le devoir de citacuc est de dé-Rndre sa pabie. M-is toujours sus-i j'ai dèclaróqu'on ne devait paiat soiidarlser la patrio aveeses epprosseurs. ct j'ai proieste con ire ecu* quipr. tftHiaiest que défendre la patrie oh igcait adóf aire Ia tsarisme. Aujouri'iiui, pius de dis-iijiction. Nous avons a sauv.garder notre, iihe/16t t noire déveir-ppement fulur.Dësormais. I'l-nncmiiic.0rl. ur se confond avec 1'eurt ail extérieur. Lavictoire des Hobc-naoHein serait cede des Ro-msaof.M. Pi- khanof termini en dissnt : « LnL'.istie deruecrat qoe tend ses mains a sessee ra ies démocraties fran^vise et aa-giaisc. »Ge df-conrs fnt scivi d'applaudisssmentsfrénetiqnes, landis que les déiégaés lr--;n?.iset les membres rimes de la conférenceéehangaieat des poignées de main symbcli-qirea.L-e gonvercement provisoire songerait,di.-oii, s offrir tm uoitefeuitie a M. GeorgesPu k ha uof.

EflItJTRICNE-HöüSRiEL'oppoaillonhongroisa

chez Ie rol Charlesïè? nn télégromm*deBni pest k la

deles

Gazelle de Francfort du 16 (raatif ),~le reiH ogrie a rrpu sameüi en sucbi ncecomics Zi- by, Apponyi, Andr-isjy et Karolyi.Aprés t'tuöience, ie comité Zichy a fa.t ia dé-claratiOH stiivanie :Je suis sutcrisó par ie roi a publier ceile döclarsiion :v Nous ü'üvons rlen a dire sur les détails del'DUdknc-j qui nous a étè tccordée, msis nouspouvons di e que nos efforts, lendant a la forma-t;#D d un c^bisiet de coBcenirstioa, ne soot pasen contradiction avec les idéés de Sa Majeslé. »On signale d'aotre part qua le bonrg aes-tra de Budapest, docieur Bicezy, pub ie unappd ou /uc ue la formation d'ua pirti na-tioüel.Le [ mgrainma de ce parti prévoit l'anto-r.cmi- ju aiiictiiaie spéciilemmt ea maüèrsfi -a: eière, Ia sonverainvte du peup e dansies elections, !a simpltict ion des rouagesa j.'.iiniüiraliis, nne rep^irtition plas équita-b e des ch.'jrges publiqoes et ie développe-lüeui de la production hidustnelte.

DANSLESBALKANSLesévéaemefilsdefirèce

Céplialcuie et le mouvement nationalA_('occasion de ('adhésioa an mo.ivemeatn tbt! al de Géphalonie, M. Romanos, quiö€Ed?nt douz-j aanees repr santa die aaP.,j loinent grec — k l'épouao cd la Gtèceavai-t encora nn régime représentadf — aaöressè è M. Gosmetaioj, chef /Ju p -:rti vaoi-ï.?;ista dans Fin», nommé commissairè dag miv=rnement provisoire, ie télégrammesuivant :« Ilureux aoprendra qne Géphaloniv fidé¬le 5 ets Siicknnes tra i'itions de liber é aad Lér é au motnement national ce voulantpbis se sol dariser avec pciidque mens- lej ay è la ruina Voits féJicited ê Tedmsiiotreei);;: c üa le représentant da cetut qui est ap¬pel é a régéaéreria patrio. »

niqnes dout la transmission s'opère A traversl'eau. Les Norvégiens sonpconnent les Alle-mands de posséder nn nonveau moyen decommunication trés rapide et demenré se¬cret. En tont cas, poar msttre nn terme kcette sitoalioa trés pré judicia ble aux intérétsdu pays, lo gouvernement do Ciiraiiaruavient de présenter an Parlement nn proje*de ïoi panissant trés sévèrement l'espiouoa-ge commercial.Un emprisonnement de six ans ponrraêtre prononcé centre tout individu ayantfonrni a des étrangers des renseigneroieatscoramerciaux suscepübies de nnire anx in¬téréts nationaux.

Les sous-niarlns a?| -niand9continueront a torpillerlos navires-hêp;taux

D'cprèt nne dépèclte de Xurich, l'amirantéall. m inde fait «avoir dans une note tfBcieo-se qu'eiie est décidée k coatinuer a ne faireaoeune distinction eatre Les navires arbo-rant la C' Gjx- R rage ou non.Ii y a iieu de faire remarquer qao d'a.orèsla convention de Ganève, les navires-hópi-taux ne pouvaat être arraés soat nne proiefacile pour les sous naaiius atlemands doatle rendement feiblit.

Bateaux patroiiilleurs ailemandssur la cóte Sioüandais©

Oa té!égr,.phic d'Aaasterdam aux jonrnanxq«e tiois navires patroi dHeurs aliemaodsout été a percos landi croisaat au large de lacö.e holiandaise.

Vapeur francais coulêp r un Sous-SVrarin

Landi sont arrivés 4 Marsadic las qua rasterosea p s dn vapeur Esterel, de bi CompagnieFraissioet, couié par un sous-marin ea M'—ciiesiasiée.C'est le premier vapeur coulö de c.tleGompagoie, qui tait hibimeitement le ser¬vice de la Corse et a ton jours a b-.-rd d s pri-sonni-rs sbemands. L 'Esterel éiait un va-peur de 2,800 tonnes.

LAGlËftliELe bombardsment, de Fribourg-

ert-BrifegauOne noir ofiicitvUe allemande du 16 avrildorne ies remeignemants suivaots sur lobom berde ment aérien de Fribourg-en-Bds-gau :Une escadrille ennemie, composêe dedo ze aéropiames a. bombarde a midi la« ville ou verte » d F rboorg Cette attnqoea éié reiiOü veiéa 4 17 heems par deux au-tres escadriiles oomptant 23 appareils. II yent pbisieurs victicnes « dans cette attaqveinj 'Stifiée » : 7 frrames, 3 hommes, 1 sol «lattués, 17 f-mmes, 8 hommes, 2 enfants bles¬ses. La clinique d'anatomie de i Université aété consider ibivm-üt end-nnraagoe. Troisappareils ennemis ont é é abattus, dont b soccupants étaient tous Anglais, Le iieate-naat-eolonel anglais, cbei de l'expédition,est parrni les prisonoiers.

Ti/iortde trois aviateursLe caporal aviateur Gouman, agé dov'ngt-cinq ans. qui pilotait un biplan, a fait uneChme prés de Ce-v (Yoonn) et s'est fracturéle c«aoe. li est mom peedant con transportk l'höpital de Joigay.Le caporal Goeman était décoré de la mé¬daille militaire et de la croix de gaerre.Nous spprenons d'autre part, ia mort surle front, «iu com te d'Aramon, lieutenant pi¬lote 4 i'escadribe 54, et de i'observateur quil'acoompsgnoit. Au cours o'un tir da rf-glt-go, leur appareil 1'ut pris dans un remous,capota et s'abauit ; tous deux fureat tuéssur le coup.Le corn te d'Aramon, fi's aïné da mrrqnlso'Ara mors, était la frère du coatte Robertd'Aramon, mort récemment d'una maiadfeconiractee au front.

fêïort d'un « As » aHemandUne dépê he officielle de Berlin annoncequ'iiii d«» aviateurs alh marws las plus re-putés, B/idanas, est tombé da s nn combataérien « a la suite d'nne co'li>ioo avec unaéioi bme cnoemi » Bd l nas avait, d'anrèsles communiqués aik-nimds, abattu 18 ap-pareüs.

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UR MERIs népression de l'esjjionnag©ir.ariiime et comrne ciai en Nor vègoLe Ademend?, ont otgrubé ea N.. ,-èget'« ••f'i nrrago eomm real d'uae tnau-.èref Y:ïctn; meat comp è«e. Ch -que fóis que destil ■■iU iii/if, couieet un baüau 'norvegi-a,1c , pi rules sa «: ontrent dans «eurs eutre-i or... avec kurs victimes aussi bien rensei-gofs qu'fUas scr 1a dcsLaitioa ct la cargai-tcn tie 1 ur njvire. Ainsi la c mmandant dntous-matin qui couia. Ie 14 mars deneer, !evapeur Steraas. <ie Christiania, racon'u aucapitame nvrvégi n qu'il savait parl'aite-ment q< e son n«vire nccompbsssit sou pre¬mier voyage, sprès être resté sept inois enrépitstron.O inraent les rervseignewenls sont-ilstransmis anx sons-tnarins ? C'est ce que se«icm: ndent anxiauEcmr-ot les Norvégiens.Aorès une enqcête minutieuss, le Handels ogSp/artatidente, de Chnsuaoia, p-n e que lesespioos aliemaeds installés en Norrège dei-vet tt comnnioiquer awc les soos-ntari.crobantau largeau taoyea de si^aauxpbo-

ongrèsnationaliesPatissiersLe congrès sa'ional de la F-déraUon drsSyndic-. ts ee patrons pati-tkrs' de Fr neeg'esi réur.i mardi matin dans nne des gallesdf s S.iCietéc savantes, sous la présidence deM. Lucira Ponret. Uae quarantaine de Syn-dieats des départemetiLs étaient «eprCse ies.Ou remarquait MM. Leboccq et Maurice Bar-rès, dep-ités de la Seine ; Delcros, presidentdu Comité de Falimeotatiou parisienne, etc.M Pouret ayaiH exposé que le Congrèsétait appeié 4 fo/ muler son avis et ses objec¬tions eu ce qui c -ncerne tes resfricoons quivont fr -pp? r la patisserie, M. Rob g ia, aunom d s pa issiers de Pars-, a ranpelé qn'ilavau pr.-p isé au ministry du ravitaillernc ntd'accepier la ter me tere de leurs étabiisse-ments pendant ceax mois, juin et jmllet,par cxornple, mms en s'sxeesmt da r, 'avoirp.-s ;o>i'é a ses confrèiva de province dontles iutéiê s piofesiionuek ne «ont pas moinsrespecnibls.Les deiégnés des Syndicals de Lyon, Bor¬deaux, Nuntes, D'joo, R r'n-o, GL-rmorrt Frr-rar.d, Hennes, le ii vre, Versailles, e c. ontaLus tour 4 toar apporié leur opinioo, alfir-mant que leurs coiegues acceptmai-m» dafermer boutiqas [ enïant uti mois plu ö'que de sukr des iwstrictioos doat le révul-tat ne ser.-it qu'una economie toot 4 faititiu-oir ; ils tb in and ent toutefois que lansêrne mevure fraype les bi cuiterios. Èa ou¬tre, ils estiment qu'en d- hors de la 1 rma-tu>e pro posés, nn jour par rinen» gaos ia-tisserie, au hen de deux. sutfi tit 4 doenersatisfaction au ravitafllement. L'interventioadu déiégue de Verdun, r-prégrntant le Syn-dicai de Nancy, a étr put c «. ére ment ap-piaudk' ; « Toutes les restrictions, a-t il dk,pourvu qu'on nous débarrasse de cede ver-mit>3-!4 I «Se ui. ie dêiégué de Nice ne s'est pas raFié4 i'op'nio" gévjer-ale, allegnaut que ia ferme-ture des pafessen*s ouvrirait le d"o t 4 in-demnité j our do mm ages de guerre. Ce 4qi.-oi M. Leboucq, députe, a répondu qu'onne saurak raisoanaiilemeut invoquer le('ruit ni le principe tie la liberie comraer-ciaie qcand il y a la patrie 4 defcadre et Savictoire 4 Obter.ir.M. Deicros a rappelé la visite faite samedimatin a M Vt-dieue, ministre dn raviiaille-ment, par les délégiks de Li t aus erie piri-sknne. Les concessions con onues 4 la suite<ette démarche par les biscuitiers sontiasntfi. antes. Ii faut que ies mesures de res¬trictions soient égaies puur tons, biscuitierset patissiers. II s'-g't de dunner du pain aringt et un ddpartenionls qui sont menacesd'en manquer.Après diverses antres interventions, l'as-semblee a adoptó le principe de la termetu-re des patisseries pendast un mois, iaissantaux ibiegues qui sa présenteront «temainmaun au minisièra du raviiaidemant Ieseio de s'entendre aTec M. Viollette sur lecboix de la date de femeture.Les veeux proposes pjr ie syndicat pari-flieauoaien outreadojutés.

OMpeLocalsMort au Champ d'HonneurLéon Carpenticr, caporal au . . .« régimentd'irtfaofarie, tombéau champ d'honneur le10 mars 1017 ^réfugié du Nerd), était. fe cou¬sin de M. ilaeard, 63. rue du Havre, 4 M:-n-ttvilücra, oü il rcsidtit avant soa incorpora¬tion.

Eiésjiun ti'EieaiitarLa général da brigade de MoteMahon, com-mandint les bataillons iTinstr action d'uuearmee est éleve 4 ia dignité de commau-deor de la Lég ion d'hiursear.Le génésal üe Mac Mahon est trés connurn notre vLIe oü i! fut fieutenant-colcneldu 129c régiment d'inf.taterie.

Ci4ttSS«nMS sx i'Orére «SesyeusDe la Brigade

Le foidat Gf.O'g-s Burel, dn 39« régi¬ment d'infunkrle, a étócité en ces ternes 4l'orüre de ia Brigade.Dans la nait du 10 au 11 mars, faisant parited'na groupe de Bf-tmyears. a, rn^lgfé uae forlorésif laaec, rètifsi a détruire eoBiplèiemect oaabri ocoiipé par piusieurs eafleausM. Burel fait partie de la c asse 1916, ettravaiits.it auparavant son incorporation,aux Etabftssemems Desmaravs frèïvjs, II dameute Chez ses parents, 39, ciió Dasma-rais.

I! convient de préeissr qne la citsiianl'ordre de l'armée que nous avons pirbüéas»»;edi, concernant Ie matelot MarcelPfOd'hamme a été atiriboée, non 4 tike in-uividuel, niiis 4 la b fgaé; das fusiliers ma-rinsdent ('intéressé fcrsait partie.Cette lécooipefse fut r.oeordéa 4 la bfi-g .de, après l'a.taqne du 26 Ociobre 1914.

— O' J—

CsüsjIIgênéralfelaSeiaa-lafetoreSéance du i 7 avril 1917

Présidonce de M. Geor ges SoulierLa deuxième jaurnée de la s- ssion dnCotiscil gó;iéral a >:u iieu saus auoan fcci-d-nt. D .- nombreux r^Fports oot été odontéssans observation. Scots tos rapper is r^a^fsa raupmerrtatk>a des traitements des ag n-ls-voyers ca département ;-t a ia main-d'cenvraagvlcoie ont eoané iieu 4 de courtes aiseas-SiOSS.

Le Traitement des agents-voyers : Le rapportde M. Guiiuu .i est favorable a l'augmentaijond8* tvaiieman s das 6ga»t8-»*ym dn depsrtemeat. M. Mover dit qu'on pourrait dèsmasntenant dormer satisfaction aux agents-vcy ra ea att-ndant ia décfeion du Cons ig.u érai qui ne pourra iutsrveuir qua danscinq ou six mois.M. B?rge piéfóre nn relèvsment da traiie-roent 4 u«e inieraaité de chorté da vie,quitte 4 attendre celui ci pendant u i certaintemps. M. M?yer imiste pour Famelorationimméuiiteda sort dis ageots-voyers.Le rapport est renroyé 4 ia Commissiondépartem nla'e, ainsi delegation sera don-née pour trancber la question dans ia limitedes crédits di .pcnib!e3.Main-d'ceuvre agncole et Bavitailkment : LeGofiseL geeérat émet le vceu :1» Qu- Ie gouvernt-ment sagmenle a brefdétsila inaao (i'ceuvra dsns tout l'éosembte du payspar l'öi.voi r-pi.'e on fursis des auxiiiaires R.A.'f,des classes «891, 91 et 92 et et par uu reièveeienttrés sensible du pourcealave des conllDgODts desprisoaoiers de guerre affeeiés aux travaux doculture ;2° Qu'en co qai concerne partieulièrement IsSfin. -Inférieure, le Bonabre de prisonaiers dévoluau déjMrroment «ttefgne le quantum fixe par nnaccord en ire les inspecteurs cantouaux des tra¬vaux sgricoles et la dircctioc des services sgri-coies.• 3° Qae Ie mrnistre de l'agrlcuüure tienne ecfinles promesses faites par ses services reiative-rnect a l'exéeution et a Ia distribution des potn-nies do terre el des eéiéales nécessaires a la pre¬paration de ia prochaiiiü récoitc.M. Debrenille présente un eontre-amen-dement dema* dant qua IVn accords lapriorité rle r.-ppel d ;.s leurs loytrs poertiaviux agri'joits aux R. A. T.M. Leverdier, au comraire, est partisan,et dépose nn autre amendement dsns cesens au maiolisn dam les campagnes desaaxifiab es agrico'es rt-copérés 4 la de nièrerevision et qu'en tons ca:, ceux ci ne soientappelés au service que par tranches sueessi-vemsMït.M. Valin sppuic I'amendemenf de M. Le-vfflisr et M. Lorraler celui de M.Debreeiüe.M. PézerM propos® de revsveyer les • rnt n-d m ntsè la Con m -sion pour que celie ciék-dm nu texts ccmciiiateur.Les et neiusioas sont ado. tées.La session d'Aoüt : he Gor.seil fixe Ia datede ka session d'A« ü 1917 au 24 Septembreavec renvoi an l«r Octtbra.Chtsse : M. Gayant émet lo vaiu qne lesli' U .enants de ion veterie lassen t >e plus debaitiivs postibks aux s- ngik rs, atki d'eviteria reaoi.vellement des üeprédatiuas dans lesexploitations.C imions aul' mobiles pour Is ravtaillemmt :M. Nibelle propose l'ei«ptei da camions au»to-'mobiles pour ies regio os insufti-.- mui» ntd.-sservtes par les voies f- rrées, particuliè-remeot celles de l'arrondissement da Neui-Cbê cl.Au miülslère das munitions, Ie colonelcharge Au service social lei a affmaé pou-vou' fourcir de s-r camions rooy-nnant uaecertaine retribution journalière" Maibeuren-samer.t, les conducteurs na pourront êtrefbarnh.Aarès différentes ob ervalions de MM. Le-febvre et Davitiers, M. Pézeril dsm-nrteq 'on donr.e U mission k M. te préfet porrct-tie quesüoa de «raker au mieux des inté¬réts du dépa?*!. ment. La motion est reu-voyéa 4 1'adraiofeuration prefectorale.Les requisitions : M Lav«ine do nne lectured'un rapport d-imndant qne i'tnteodaneenn réquu-hioTine plus les fourrag-s dans ledépartement qui n'a p us la noumUire né¬cessaire 4 i'ékvage d«-s bestianx. L lit 4 cesujet deux lettres snggekives ; I'iïoö d'uaimportant cu likateur das eavioos du Havreuounsnt nne navrante statistkine d s nni-manx morts dsns son canton par suite demanque de fourrage ; I'autre émanentd'un élavenr de Srine-et Oise rpyi» lu», pos-sède dans sas granges uno g<atvdè quan'j'éd fourrages ne demandant qu'a ê.re requi-süionaé.Petition de VAmicale laïque des institutionel tnsMuiriees de ia $• tn e-lnfa ieure : La peiition de I'Amicale L ïitoe eé- in&tituteurs etinstitutriees de ia Seine- feta,- ieure teudant4 i'ai location p r le département d'ono in-dainnité de cherté da vie est renvoy e 4i'AimintilratLoa préf cmraie. Le Consul! es-tinv» qt-e ce n'est p s au département, maïs4 l'E'ai da soiutionoer o tt question.Aüjourd'hui, séatsce a trois he ure 3.

des marêchaGx-des-logk Fiqnet, Hen fin etLegrand.Decoration militaire de 2« cfasse (art. 4) :les canonniers Duval et Gosselia.Ges distinctions, pour lcsqnedes des pro-poskious avaient été faites lors de la catas¬trophe, tieunent d'être décernées aux tlta-laires.

DöftS ET SOÜSCHIPn^VS

Stans rinscri|itjon maritlméM. Joseph Prudoa vient d'être proruncommis princioal da 2« classe p r déc-isioadu sons-sccréifiipa d'Etat du 19 avril.M. Prndon est actaellemont au bureau dellascriplion maritime du llavre.

Fömi* Irs FansSiBes iismltmisasLe Journal Offktel promulgne nne mi rela¬tive a i'insaisissabilité du mobilier des famil¬iesnombreuses.

Boas Ie Süoasïe essvt»:vS(>,Ss-ePar dêcret promuigué hier au Journal Offl-ciel, M. Iribbé, consul de 2e ctesse charjé dnvicc-coosalat de France a Amsterdam, estnommé au consoiat de Liège (actuelkmsatinrtalfe aa Havre).

Am tlimetiére Svnlat» AlnrleOa ssit qu'en 1914, la Muuicipahé en vnede s'-nSïHri r la possess sen do terrains des-tiaés anx sfp ,hores feisant I'abyit de con¬cessions, avaii fait IVequisition d'un vasteterrain sitné 4 i'Ouest du cimetière Sainte-Marie.Au débat dos hostifités, les chömears, quift de nt nombreux en notre vil!e, foren?chargé- de niveler ea terrain, d« tree r leseb >m ns et de con-ki uire Ie mur de c'óturo.Ges travaux préparatoire, sans êlre coni-p élement termtues, sont cepwwlsnt soffi-sanMuest avancés poer permettre dès mam-nant l'utLkatioa dn nouveau terr. lo.Tont récemment, lo bureau a'octroi, quif n occpdit eoeore Fangtp, a été enievé et afait pa o- 4 un portal I pour ie quel on a utiü-sé la grH-le qui sa trouvait dans la partieai te des protestants.Le aouveiu terrain vient d'être soiennei-lemcnt ma^guré. Lundi dernier, oa y a, en(flat, t ra r»Foor ia les restes de leiae des hom¬mes ayast fait partie des equipages du ns-vire-hór::ital Sollet et d'nn d'stroy >-ranglaisdont, Liwairaeta rnnoBpait offici^kmeÉk iadestruction le 10 a*rii dans ta M ucae pardes mts es entrainées par Ie mauvais temps.Das détacbements de soldats et de mannsatigteis et fran pis rendaient les honneurset une musiqm mititaire britanmqne s'estfait entendre au cour., de la cérém*tsae.La ptepsrt d- s corps furent rêcaeiüis soitpar «SaspatrouideuFs, a lors qu'ils derivafaat,söutenus par les ceiniures de sauvetage,

Plusienrs skts victim? s avaieatpn ê're re-caeiliiss par les navires accoarus e» secoursdes nanfragés, mais nioarureirt des suitesdes blcsiur s qu'ils avaient repues au coursde la catastrophe.Parmi ce x-el 88 tronvent le eaallaioeEasb-Way. Ie 5e mroanicien Ja k-on, ie sur¬veillant Bak' r, les marios, g rens et chauf¬feurs : You*' g, Tom, Lucas, Lcharp, Nedrett,Taylor, Tiinpsoa et Rotf. appartesant aunsvire-bópital, ainsi que es raarinsPv chardset Swallow, du destroyer.La fosse qui a aceueilli leurs restes a étécrecsée 4 gauche du clu-mia central, eaface de la rotonae qui teia ultérieuremsatgarcie de fieurs.

Nous avoas tcgu dans nosmes suivantes : bureaux Ies som-

CEuvre des Orphclius de la guerre (ETetat)Draughtsmaan gf. jo —

Soclété Franealse tie secours anx blessesmilisaiiM'.s

Le Personnel de la «■ subdivision des ponts etcbaussóss da port du tlavre Fr. E9 30

P«ïtr nn» S'iMftts !£Effl«is- nog !

MM. Monfort et Le Gras, orgaalsatcurs dela Matinee de Gala douuée ie Lundi 9 Avrile o la Salie lies Fetes do Patronage St Tho¬mas d'Aqnin out versé ce jour ie beneficerèalisé 4 cette rénni- n de biORf-isanci. soitune semme de 1.000 francs a I'aBuvra d- >Pa-qaet du Sotdat au front, et 877 fr. 68 4 LOEz-vre des Pvisoaniers de gusrre.I s remercient bien smcèrement foutes 'eapcrsonnes qui ont conconrn au succes d-sOberIt, et s'«■mpressent de porter a la cori-noissar.ee du public havruis, la gracieusetéfaite en cette ci^constarce par M. Ch rtier,(directeur dfs T.iurnêes Gb/rtkr), de<eme«rde l'cxelusivitè des represent tions desOberlê qm leer accorda d* jouer sarts aoeu¬ne red- vance le cbef-d'oeovre de Rene B.i-z.n et d Haraaeourt.

OBSEQUE8 IDE IV1ILITAIRE

Les oh èaues du chef de bataiilon AutoninCampseryeuse, Consroissaire de la pare anII vre, dosMClliéé Lisieux, boo leva rfi Hwbat-Fosirai, 27, aurost lieu le jasdi i9 a vat, a10 h Forts, 4 f'Ho.'plee Géaéral, rue Gustave-Flacibert, 58 Ms.

MINUSFAITSLOCAUXLes nommés Ernes! Lreorirt, (6 8E3, cbirboa-rder ; Ro.er Darray, 17 en-, cb-.rrr.o. x r, etCharles Barr.iy, i8 acs. cbarretier, drrneuranttous rue S-titer), 43, ark été anêfés sons ttecoi-pu iefi ff'miti'-ges et de eoops ritx a^enb. de lafor©" piibiMpie. lis ont été mis a la aisposkien daparquet.— Pour essayer un ebapeau au rsyoa öe moffesd'un grand msgssln, «Ue Warthe Piquet, tour-ceuse, rue Amaod-Aifasse, 38. avail éèposé sa»sac a main sur un rayon. Lorsqa'eUe vtst po-irP yer efte se reudlt compte qn'oa venait de leidérober son sac qei cgdIcbsR une toaime de93 fr. 30. Elie a porió piatnte.— Paul Made, jonrnetk r. Iff, rue Hilairr-Colom-btl, passait au post de Saèno et dtestatatatl sensses vètenioats d«nx t okes de eonwave. Le ikitUtut èverité par ie brigadier de po.iee Rarbay qailui dressa proeès-veri»! pour vel.— Pvre et porteur d'un eouteau -a cran d'arrêt,la Marociifn flsorand ben Mohamed qui cafLvaitduseaabolo dans le débrt itegé. LsO, tm Gustnve-Biimteav, tavdl soK" f it conduit au poste.— Un enfant de tl ans. disint se noinmer Al¬beit Sornmellier, ct habiier Parte, li, rue de laCh.irbonn ère. fut trouvé errant dsns la rue Tiïis-Iwut, lundi soir, par .MmeDefamare, babitaat au33 «ie cede rue. L'enfant, conduit devant a. 6fau-Ibier, commissure d? pol o... déeLra avoir prisen iraln a Paris et avoir omis.ée deseendre a uaestation vo.sine de la capita.e. L'.xarnea de sonlinge fait sopposër qu'on se troave en preseceed'aa év'dé d'une mekon de correction.Une enquête est ouverie sur soa complo.— Lundi soir. c'nq agents se sont treuvés auxprise- avec un individu en étai d'ivressc qui ean-sait au t -page dans la rue St-Jacques. Préseedwkne pas éi re conduit sa v>elon, ij leur opposaituue resistance des plus vkden-tes. L'age&t Bo,axrrqat en pleine li-.ere un e«up de paed qai lalca«8». one grave biesssre. 0> tronva sur eethoaunedes p -pi. rs au nam de Emile Renault, néè Sanvie. G'etMt un niLHuire en periulssiea desept jours, mais ii était h bilk? ea civil, li a étémis a la disposition de la pk.ee.— Un Msrocaln Driss ben Mobsmed, 25 sns, ancours (i'line nxe avec nn de ses compa-:rt»fas nuxT 'éfsleries oü tl travaitie, a requ de ia p;ul de.senadversalre. uu coup de masse "sur la téte. Héoi-tal Pasteur.

Tkéêtre- Cirque Omniacinéma OmiiiR-Pu)^

Lo EOttveau programme présenté hier aobtena un compk-i succès.La plus gsanda parke de la soirée a étéocöapée par la presentation d'uee g?andascèue drematmue en qoatra parties, fat Geste,due a .a ferule imagï^twin du romancierMaurice Monk gvk, et 4 Pioterpréfation de«aquelie Vera Sei 8»ae, prève sou kirpt essioa-nant talent.A cö e da cette cemposkion, qui plairacvrtamement uox aia-oeurs de pathétiqire.le progrsmme eoaporte deux pagas viai-m-nt séduktaates,L'une est consmrée 4 cette merveiLusaFlore Japovaise, 4 LqncfAj uoas s-rrames ra-devabies de e?.s dèficata rasters naios, et Iesprestigieux ciwyeawthfimes qui, mainteoantacclimates en do4 pays, goat 1'orgBeti de UC3horiieuitears.L'autre twns fait admirer l'une das riches-ses naturelles de notr« bef'e France, en nouslaisaot con»dltre Ies p&ysages les plus at-trayaiïls de la Vailée du Lot.Gou-me o'nsage, les neU terns d'actualitadu VaiIu Journal ei faj lemièree Aelualités dtU Guerre tieaneat uae pfae; im-penantadans les prpjfetiosw. Gtom tidteaxment :les élèves des iycóes de P-ris öAposmt desco? rcHines aur les tombes mititaires 4 Ivry ;le Dat, ton. lorpöié par cn sous-maria, et larevue des Bleuets pat- la président do ia Répa-bLiqtje.U« film fort bien compos.», Le Detectivefl-gmatque, et.nne pkisaste fani.aisk qui afBiriejüe sur I 0--11 nu éns t'avoiis du publicque i'on n'avtsit pas vu depots foefkwxps, Maxhinder, eette fels « vietkoa de ta maai quietreioi *, eomplétent heaceuteaieot eet at-trayaut spactséïe.

Aujonrd'hui mererodl. soirée 4 8 li. 1/2,avec Sj« La F lore japoneuse. LitVallee du Lot. Max véetsme de, la mein quidreint. Pathé Journal et Djrnüres aelualités.Location oaverte.

f* i I i SUSrt y TTKyiktewJsMitmIlaI3HU IfIli fl 1 «^sedcdi'a- n'«li gurrre sar te f.wu orientalL'ENiGiVIE DE LA FllVlERA————- — — —

L. A GLOIRESVfC FAI>o Sïacy

qui ink-Fprèl« fa « 1-e.ci »L'Gffensioe Frangaise deas issjmp*~ei'.i>aftis

Le C, rele fïouge, k êprtovie — Cti.ii.rtc!, etc.Aujourd'hui, Soiréo

14.rueEd.-Larua

8. GüLLSRD, 6EIEÜSS1E8-BEMT1STE, 17, fM ÏSfit TSS'iM

TpÈfiTRESê GOKCESTSFolies-Bergère

Cesoir4 8 h. 1/2lii-io JBassetti. .... ï.e* Tf»»Ry*«Ja** As Jas .... . . lt.es LvysliCtiutel .* . . Au reisConcert par touts la troupe

Location de ii h. a midi et de i h. 1/2 45 Ir- ores. 4Vendredi 20 avril, débots sensationrse's dela troupe impériale j'ponaise les 7 Mtyako.ies plus forts du monde.

fêommumc&twiistgiveimCommlssioa Jftnleipale Scolafre. — LaGommii-sion munimpst* «ootidre du fl .vre s'estréusie a l'Udtel de Ville, salie (les Murlages,le dimacche 15 avrR caomat, sons la ^resi¬dence de M. Basset, conseilier masicipft!, pourexaminer les sbseners des enfsnis ayant msn-qnó l'ècole pendant le mois (L?m«rs LH7Eialent présents : MM. Ri son, tospecteurprimaire ; Durand-Viet, conseliler muaieipal ;G al! z et Hubert, deiégués cantonaux : Anfry,Ki'au e, Lasce et Pira.vre, laeEBbres de U Gom«mission. Excuses : MM.Bretievitle.Excasés mobiiisés : iSM.Le fibÉtpelain. conseil-Ier municipal : dooleurs Deroitde et Heavy, délé-gués e.nlonauxCo. formóiaent a Ia lol dn SS m -rs 1882, surrol.iigation scofatre. ie texie d cette l«i s étérappeié a 33 peres de feraille ou personae* res-por.sabies, et 17 ont été bièusés par ia Commis¬sion. Lts notns da 21 pères d? fami te ou por-sonnes respor.s-bies seront rflieli. s 4 la parte deh Mairie et Is seront eités devact te juge dapaix.

Avis. - L'Administration munieipsle recoil nanoinbro coesldêrabie de demand.» d'emplois, for-aiiil es par d. s daaies su des jeuftes ftlles.ERe croit devoir laire eonatjfcfe qa'fe n'y a pasaetueiiement d'etapioi vacant d<>-s les Bureauxde h Httirie et que le aaainre (Las vaca-ces es-comptées d«ns ua délai rapptaelié parast devoirötre tiés faible.

E.-e naulrR^r v'ls?Vahst'sal ïsê|ntöï s\v.glsii>s

Un Officier franca is le eommandaitUn commau'qaé cfilaiel de Famiraaté an-glaise a stmoocé, saimdi, q«e te uavire-höpi'al Salta a conté, le 10 avail, dans laMaRCh*, après avoir hsurtó aue mine- flot-tiote.Ce Daqurt-ot, Effréiê par le gocverromsiatanglais, appartetswit 4 la Sociéw (fas Traas-ports Mari hues, du port üe Marseille, et i!étak encore comrnarHlé nar rui (ffieier dbcette C( mpagoie, ie c pitaine Rio, q .ifigure ma beunusement sur la liste des dis-pa- us.Le Salta, qai était la plus grand paqnebotdes T an '-ports Maritime», av it éte tanaaa.«x chaotiers de ia Seyae f t était i ff ctó,avant la gs.erre, aux services postaux dei'Asnéiique du Sud.Sa 'o igaewr lotiie était de 143 mètres etta larg,? -v cl? 18 ra. 25 ; il jtUjje.tit 7,284 toa-neaux de jauge nette.

Hort &» 5' Avleïesfv 5fssv5ïn®4L'avratenr Robert Martinet vient ae uiou-rir 4 Saionique d- s suites d'rwi acckio<H c'a-vio». Maxiivet, qui était ovpRaine, av«i> é éenvoy eu Orient pouc r<c voir fas appsreilsdestteés 4 t'armée de Salonique. C'est auCO-.rs d'un essai uu'il a t ouvé ia msrt.Mertipet éiait oti « as » «s'avant- guerre étil .avak pns p«rt 4 do nombreoses courses etacx sraiids meen*g*. sa otansont san vee tpre . i »r. Nous i'avians potaaum. m appfaudiau Havre et 4 Trouviüe lors du meeting deia Ba e de Seine.II avait fondé, avec son ami Legegnenx,une ecele d'aviation aux environs de Coin-piègne.

VG1ESURlNilRESETRIAL!DIESDEL4 PFJUG»>bhvrt(faeoBsuit.,de 1 h 43 h etde7b.a8h.,Saratdi exceptó. 1 bis, r. B-jrnaid.-de-St Pier re.

Peur la Fasnüle Lskbvre[ö, rue d'A 'ger3" et darakóra liste

Mme A. K., 0 fr. ; E L.,1 ; Georges, S ;nir Ch. 3 ; A. M. O , B; Anonyme, 1 ; Uua . 0 , haitiüeur du81« d'arülleiie lourde, 5 ; S. B.

Total Fr.Listes précètientes

Sotive-jeuneP . 10.»0 —200 —

Dbtinctfang hoiievlflqussNous apprenons av-c plaisir que les mili¬taire' rinot les norn; suiveut, blessés 4 i'ex-plo-ion de la Pyrotcchuie bulge !e 11 déeem-bre 1915 et ayant participó aux travaux dosauveiage, cités 4 l'ordre du jour de féiicitx-lious du gaoeral D'rude, commandant la3« région, ie 6 janvier 1916,' faBnent de re-cevoir du gouvernement beige les décora-tions ci-après :decii«Tili«rde l'ordredeLlopeSdII:

Ensemble. . .Fr. ïiO —

Peur In Familie Xlfsdirue dn Gra»d~Croi$sant3" et decnièra liste

Mme A. K., 10 fr ; E. L., I ; M. J. Garaud, 20 ;M. li. Jaequ'U, 5 ; Georges, 8 ; Souvenir Gü. J ;A. M O., 5 ; Jacqueline et Odiie. (0 ; Anonyme,1 ; Un jeuae arlfiieur du 81' d'arüllerie lourde, S :3. O. P., 10.

Toia! Fr. 79 —Uates preeédentes 185 —

Ensemble...Fr, ï9i —

Select PolnceSLSguxe Muritime FranqaSssLa gruado sotréa organieée pat' ia ügueMac-Hme FraopJ-e, au prrfiit de ce»»resLa France a ses Marms et Pour nos Mtrinrieuri-sai', li er, dans use touehante eorrm amen 1is 8Rj-.iiiu.-Bt3 pairiotiques et nn ardent désir de safidarité agissante, un grandnombre de nos concttsyees.La salie, coin me aux grands jnnrs, comntait toutes les not;>bil té« civües et militanesfraopaises et étraogères aerasUement ea re-adci.ce dans notre ville.Le speeiaCiO fut véritablcment passior\-nant.Nos grandes eseadres et nos floiülles «ielatnnents legers évoluant sur la mer ten-men e, se iivrant 4 leurs piltoresques exer-eices de combat sous tous les cieis, par lesbeaux clairs ce hme, comrne sur les rnersies plus rudes, ont provoqoó I'admirationde tous.Si les gros bailments ont produit une im-pa sa nte kapr-ssion, on u'a pas moins ad-miré ces petites anttés, les soos-marins qui,dans cette ten ible gp»rre, ont donna 4 no¬tre marine d«-8.pages de gloire inoubiisbiesLe Curie, ie Joule, ia Twquoise, e Snphir,d'anke? encore, oat accowph, grace 4 desfqfiipatie3 merveilleusemest dfscipinés etentraioés, des actes d'héroïsme des plussens- liannrts.Après a. oir admiré nolre flotte da com-mcc», ies spectateurs ont nu connatereqosiques nns des moyens tmpkyés poerf it. e ia thtsse aux soas-martes ënncnois,et notamment voir fun d'eux, U-28, qui fatcapture aux abords de no. re port.Et p'iis ce furent les processes de r.03marins sur terre qui soulevèrent i'enthou-ski-n>9 des assista««ts.Q/ae ce soit s»r i'Yser, dans la Somma, 4VerdH 11ou en Gliaaipagne, qu'ils f-asso atemployés dans tes ra-irecxg«>3, «ian-s ies tran-chees oa sar les auto-mnrai tenses, hisDierse. canonniers marins out fait p rtout "('ad¬miration de ceox qui les ont tus 4 i'ceavre.L'une des parties les pk'.s taters ?sa 11tes duspectacle fast celfac»asacréea noire ac-ioa<nMêdsterranée : Mtlte, le grand ptwt aegfais,Famisonnem- nl et la capture de naviresattcmands, le transport de Parmée eer be ;S«rz, l'oc&apation de ITie «le Th sos, ain«iqoe i'aUaeiie de tsccteé aotriebiemie, toutesvues trói déiaiilées, firciit la m. iileura desimpressions.Ea s-rtuant de leurs cbaleureox bravesceux qpi. hier, f; isatent ie service d'hon¬neur 11Sstect-Pah ce <t dont les ctairons etles tambours sonièrent plusienrs lois« Aux Champs I », le p*büc a vouki sur-tout teiHoigfser de sa sympathie pour cecorps d'eiite que loraient les marins Iran-(k?is.L'ealhonsiisma fut particn'ièrement itn-pt essi.jnaast lorsqa'4 Is fin de ce spectacleprtrioiiqne, ions fas as- fata nis de bon:, éeou-térent la Marstiilaise H le Stint rux Coulters,pendant que ie pavilion Iranp-ais apparats-sait irissonuant sous Taction de la bnse dalarge.

Re>@rtfeMBvfif-^EkaaaKjir twa-» -«wMgKETiiwTnaTn

rappelleaujt soldais sur !e frontleur pot-aa-leu familial.

§üileét%dm i^osiétésSoclété SSntaslle de Prêvayanee «ies F®,ployés de OoiBmes'.ee. an steqe soeSai, s. raaCuiieny, — 'iiétheot ,r 2iü.Mer&eli 18 e*>iir«nt,a 8 h. 3/i du soir, réuniondu Conseil d'Administralion.

Cours da MoreredlDaorr Gommehcial (Prof. M« Eude. «vocst aub?rre^u du Havre). — Prof iniéfimaire M« A.Mssson. avocüt au barreau du Havre. —1™année,de s h. 1/2 a 9 h. lli : 2« année, tous les 18 jours,de 9 ü. 1/2 a 10 n. 1/2.

Association Sténoarsapliïqno ITnliafreGrou, e a«:(cai du tlav.e, próèktart Fondateor, MBi-quet, pè'e.Les Examens do Stenographic et de Daciyto-grophie de l-i Session d Avril (srt7. «uroai tien Dï-maoche p«oohata a i'Hotel de Vtte P alle des Gar¬des 2»éiagrfi. sous ia présidesce «fB M. Momer»direcleur d'EcodeLas Gvndidats devront être présents a 9 heure3trés précises, se muair da crayons el d'un sous-main.

Sytsilirat des Capifatnes au longrs coorsde In Masche — Le Syadieat des cepttames aui'»:.g cours, liö. boulevard de Siraspowg, priases m.-uabres d'assfaier a la ïéunion qci aara iieuaujoard'hul, 18 mil, a S h&a?es da soir.

Los Eclalrenrs tie France. —Aujoard'bniro, rcredi, a !0 b. 1/2, rónclon des chefs de pa¬trouille.Diaisnehp proehsis, réunion è sept beures etdemie, au local, 32, rue J.-B.-Eyriès.

Soclété Havraise de PliolojfraphSe. —Ce sak, a 20 h. ./3 préci-es. et cem»i» jen dl, 4IC b. 1/2, au loeM df ls Saeiété 18, rn- Gnjfave-Fiaubeii, e-=urs profaasé psr M. Beeièro. Sujettraité : Le portrait eu apperfanieat.

Union Fédérale de Th-. — Bimanche pro»cb-iBi 43 avril, faa réancos de tir a long se dis¬tance !ïö0 mètres, armos »t Bojnldor.s de gaerre)r.preridronl su polygons da Hoe.Un presssnt sppét est tart aux jeunes ge.ns daIs classo fakö ayant dt\j« Urê et p us parl'.cuiière-ment a ceux qui n'onl pss praüquè oe t»r.Les iasrrfatioos sok eumolètemeat gcatuHes etse font au p8s de tir mé«nefa stance comnmeee a 9 heares précises poarse termkoer a 11 hemes.

Aujourd'h'ii mercredi, soirée 4 8h. 1/2;demaio jeudi, n>f»teée 4 3 heures ; sol ree a8 h. 1/2, s.&utes rep.r< ses ta tions (Li nouveauprogroiGitte : ioornédis dra raa-iiqtw en 3 parties) ; Ptisonnier du wsgon enfeu (dra me) ; Promenade daas ks /ar dm deKtw (plein air) ; Mathurin tire une bardie(comiqoe) ; Les dern ires actualtles ie ktGuerre ; Joseph veut SCmamr (foa-fii e), feo-cüiaa ouverte.

Aasncialion Amicale de» Ancleimes Elè-ves dn l.ycée (D«Jcine.» Fltles du Havre.—Reunion mensueiie, Jeudi 19 Av.H 1 trois beures.

Le Souvenir bol, ge — L? comité pour LoHhvr» du Souvi blr Beige rappelle a ses membresque l'assemblée générale sitaueile aura li- u lemercredi 25 avril courant, a te beures 1/2. dansles salons du café Guüfaume Te l (enbée particu¬liere boulevard de Sfaa-sbourg).A l'ordre du jour, figuren! : Rapports des mem¬bres du bureau. — Presentation rfe membres nou-veaux — fa'opagande.Les membres sont insta mment priés dAssis toè.'cette réunion. tLea Beiges b«bitant la région dn Havre et qnne sont pas «sore membros sont égmoment invlté»» celie

Page 3: DeraièrtlisiiFt - Archives municipales du Havre · o7meImk^'TFMMS (^L Pages } 5(Mmes—HWKffl'WDMATE—§ r-« Par©^ ftrorcffTIMj!M7 Ate5nfstrat«w•Déléffoé-Géraat O.RANDOLET,fftfeasamafypisslmstAimïcii,Til.10,47

\jè Havre? Mereredi AvbïI I9ff S

Fourhater« la PaixparlaVielolre»Notre effort Financiernirn co pecvelt mRmx ronforesr notre volontéde v8:nere, ui r.eas coBflrmer davsntsge dan« no¬ire cerHwde de lfl Yfcio-ke que Man générenx etIe Dolde dfciatère»s««nent avec lequel les EtalsÜDis vu-nnenl ravesdiquer leur plscn a nos rö'és.raise eu oeuvre s cetre profit des éaormes

re>sosre«s fiBtncières des Elnis-Unis procurerssans dooie a rE«st ë'wirppréciables fscilités pourno- paieoiente a FEuwtge'', mais c'est a r.ousqu'il Ineorabe, r>e»wament par l'schat d'Ooïs-jï ifoiis dc ta Defense Nationale do f rtl-firr la Trtsorer.o et «e déve! opper ses moy nsd'fCiion a iatofresr. ges obligations 5 0/0 t-xemp-tes d'iLup^set é»l-e< au pair, a 5 ans d'échéan-ce avee eoapsBs tt m striols paysbtos d'avanco,oftect eet avaetoge «'ètre rembonrssbtcs au grédn portcur, a ia fin de ia première année etensuite low les six roeis.g !•>p«Hp-nr les conserve, jusqu'ft leur fchfan-ce i! b urfieic a ce motaent de six mois d'intèrêtssu Dioruvsiatros, sou «.50 par 100francs de capi¬tal nominal. R (22S4)

REBIOIiLSCrquefot-l'Esneval

Acis. — (Canton tie Criquetot-l'Esneoal). — Leiirecieur da:, i/avvux agiicoles in oruie te pubdccue selsn les fwévlsiens do i'Adtnioist ation, !««quantiiés do peremes de terre demandêes arrive¬ren t en gare de grbjuetot vers le USavril.

FécampSuicide. — Mme Releunay, bouchère, placeRUt l -s. fip. ipqulèie de oe pas voir son gsrgoabouebt r. Raoul Baüleul, S3 a«s,se mit a sa recher¬che et •« trouva teaitiBsé dans un appartementD'ès de la bcofique de b-uicberie. Ge maibeorecxavail tec té do se'suictder ea s'introduisam dans iabeeehe le teyan e» caonichooe du comptear senz. Wslgréfcs sotns q- i hu f irrnt prodiguês p>r!e docleur V«ndaeie. Raoul Bailieul est decédédia» la ïmit de sssiedi e dimancbe. II était site did'un mat inex-p-bre el rosigró Cols avail été re-coiicu fcooderniöremM.tpar ie Cousoil de r- visionfi'Yvi'tot. erwVsw.iftide TtuétreviHe, *on pérs es'.dCcédó ii y a qaelquss mois, instiluteur dact cettocommune.

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MALADIESDELAPEAÜVermes, Eczemas. Psoriasis. I.uptvs. Traiteme&tspecial du t'asicer et des Tumeurs malignes.Adé. iles. — Voles tirinalres : Eccatosrastsrècer.ts et chtomqnes, prostatites — ïtaits^iesde* foEïjues : Pt rles, regulur saiion des regies,«ff<clioiis vag nales, uiérs&es et dts snaexes.lo R? C-nppT agrègè, consulte tons tes jours, dcLU U OUHLi 2 a 4 henres, et iecut Ie* 's-ardiet vendri di. ju qu's 6 heures, ?, IttJE l'IïaïütSlau dessiis-riu Ge»,!ilkige'h 18

CALVADOS

CaenTentat ina de meurtre — I,e D' Mouiicr, coasell-ler g.'1-ér.u nu &».vaoos, medecin de l'administ ra¬tion pèniienfiatre, renirsit bier matin a ia Haisoneertiraie de Hesuuea, iorsqu'il fut frappé au cété,gsuche, ci'un ooup de couKau par on nomineB un, agó d - S5-«9«. cowiranné a 7 ans de réclu-sion p^ur vol et d"prédrition d'efTcis miiit-ires.firavemect blmé, le D' Moulitr fut transportéa son d<micile a (fce». Ses jours ne paraissentpas e» daugsr.Le inetffif-l^r a refesé d'ayouer les dOïiis deson acte ciiffiinei.

Un fïemède qui guéritG'eiüa Pouëre Louis Lrgras, qui a obteuu laplus haute lêcempesse a i'Exposiiion üsiverseilede l'Oo. Ge merveiRenx rnid eamer.t crime las-tBiitanémi'Pt les plus vioteiits accès rt'aslhme, ca-teirbe, tssoufil uient, t uix de brorcbiles chroni-ques et göérB pregressivement. Les rhumes né-giiges, les sures èe pleurf-sie ct rt'influenz» dir.pa-rarssent complèieaiebt. Une bol'e est expeditetvntre man dat de 2 ff. to adressé a Louis Le¬gras, 139, Bd iiegeute, a Paris.

BOURSE DE PARIS17 Avit EL 1817

MARÖtóiS BES CHANGESI.ordres «7 Li, 1/2 a «7 19 i/2Danemarz 1 6 Aii a 4 66 hiEsoagne S 09 »/» a 6 15 »/»Ho'üande « 33 1/2 a 2 37 1,2Italië 79 »/» a 81 »/»New-Yorlt 8 68 »/» a 8 73 #/»Norvèie 1 67 1/2 a 1 71 1 2Portugal " 3 45 ./& a 3 65 »/»Petrograde 1 80 1/8 a 16542Suèdt 1 701,2 a 1741/2-,oSSe Hl *'n ® 143»/»Canada 8 67» » a 8 73»■»

LïsAVISce^löls senttarifés-f fr.laiiga«

K" oeuce J. LALi/KE,sa mère ; CAM.Jutes etPierre LALHUE, cu. elu-ment au from, |fu ClaireLALUHE,a • Lè" « . > -een- ;Les Families BEiiUDBEft,CAPRASSAT BEFFÊE,teute la Familie et les Amis,Out ia üeu.i-ur üe vous faire part de Iaperk' crue/te qu'ils viemieiH d'éprouver er.ta persenne deföonsieur Lucien-Pierre LALUKE,'écédé pieusement la 16 avril 1917, ét l*8g« ide 26 ans,Et vous orient de bien vouloir asslster r^es cotvoi, service et irhumation, qui surontlieu le vcndreili 20 eousaut, a hult heures tiequart du matin, ea I'église de Sanvis, saparoissa.Op se réunira au domicile mortaaire, 2S.rue Sidi-Gainot.

frisïSits551?Iaraffsisia isi-Ni {leurs ni eoiironnts.II es sera pas cnvoyó da lettres ct'isi-viiation. ie présent avis en tenairt lieu.

Vous ètt-s prie de vomolr bien essiater —convoi. serviea et inhumation setvlad-aine Veuva PAILLETTENee S&j/üphine Léopoldina BKIÈBEdécédée le 17 avril i9i7, dans sa 63' antlée,inunie des sa'-remettts de HEgi'-se.Qui suront lieu le ve id/rdi 20 courant, anet if hem/es du tastin, en l'égfise Saint/ -iiaris,sa paroisso.Ou se réunira su domicile mortualre, 83,rue Jean Jacqaes-itoassesu.

Pilei Diss ü Espeiti sa lm iBe la part de :

Ei. Cc-ongesPAILLETTE,prHonnler de guerre-;M. Paou! FmeiJLET, -«n- tloroeni au front, etMadame r.ée PAILLETTE; #»• georgette etAlbert PAILLETTE: Al. Raoul et r3"- RenéeFRIBOULET; lil"- VeuoeBRIEREet ses Enfonts ;N~' Vetive MILUEtl et ses infants; g™ VesteAugustine LUCAS; lïï" VeuoeAlfred PAILLEITEet ses Enfanis ; des Families PAILLETTE,FRIBOULET,BRIÊRE,0U30C, BELESQUE.

II ne sora paa enveyó de lettres d'invitatiou, la present avis en tenant lieu.

BTAÏ CIVIL DÜ HAVEINAISSANCES

Vu 17 Avril. — Jean MAR1GAL,rue Voltaire,17 ; Rcné GÜH.LAirüE, rue J. J.-Roussesu, 72 ;Henri LAFOSSE.rue Gustave-Flaubert, «0 : J*anHUBERT, rue Victor-Hugo, 63 ; Jacques 0RBAST,Impasse Guvier.

eiüiX ii CASEAUXFOUR!REeefMUIiiiLE III UXASSliTIG4LIBERT,18,piaosési'Holel-de-Viife

DECESVu 17 Avril. —Paul BÉ RF.T, 34 ans, chsrre-lier. quai de l'lie. 13; Jaeo -e NAURAB6URG,èpouse GRETA'.XfiSSt, 44 has, saps profession,rue dit Fleur us. 10 ; ti. rebel b CORSET, 2 sns,Impasse Haugucl, 9 ; LE-'ERVOISIER. roor'-né(fétnininu rus i.a/édoyèrc, 34 , Eatèno COGHIN,46 ans, électricien. rui Msssillon, 85; AmédéeLERGY. 83 aes, aarts profession, Hospice ; JosephALL 35 ans. Jour-nailer, quai Videcoq. 15; EmiieDf-PLaSQUE, 43 ans, piombier, S Sanvic ; Clé-m/i ce MALANDAIN,épouse VALLLE. 80 ans,saits erolession, ruO de t'AIma, 58 ; SéraphiooRRIÈhE, veuve PAILLETTE, 64 ans, sans profpssion, rue J. J -Rousseau, 88 ; Add! Mo DÉ-VILLE, veuve RfGOT,83 ans, rue Foubtrt, 15.

MILITAIR E8II. WASSERMANN,27 aus, soldat allrms? d, quaid'Escale ; Antonio CAMPSERVEUX,59 aas, chefde baiailon da terfitoire. com nissairo a la Gare,doaiicilié a Llsieax, Ho piee Génöral.

La Familie et les Amis oat ia douleur devous faire part flu occes deIVladamsVeuve AUORAP^née Lucile-AméXie MAUBANT

deefdéo le (6 a«ril, en son domicile, 29, rueVictor-Hugo, a i'age de 76 ans, mume desSscrements da l'Eglise,Et vous prient d'assisler ft ses convoi el !service qui auront lieu le jeudi 19 courant, annuf heures ct demie du matin, cn i'Egiise jSaint Joseph.Réunion an domicile rnorluaire.Remerciements a l'liglise,L'inhnmaUon aura lieu ultér'eurement aStint Pierre-sur-Dives.■—

630)

M YeonneMASSAÏ ;Le docisur DU PASQUiER, au front, et M™Edouard DUPASQUIER;MM.6uy et gérant DUPASQUIER;M"' Nicolle DUPASQUIER,Out la douleur de vous fsire part de la pertecruelte qu'ils éprouvent en la per-onr.o dePSadanrteCh«8rles MASSAT

ienr mère et grard'mère, df cédée en son domie/ie. a Psrw, 74, avenue Eleber, le 14 avrii,a i'ftge 59 «BS.Et vous prient d'assister aux convoi. serviceet inhumation, qui se fi-ront le mercudi18 courant, a deux hcures ct domic, en I'églisede I'Bt^lle, avenue ite li Grande Arm- e.On se réunira a i'Egiise. 17. t8 (8561

Feuilletonciu PETIT HAVRE 39

La Fauveüedu FaubourgGRAND ROMAN

PAR

HENRI GERMAIN

PREMIÈRE PARTIE

— Ce sera facile, repartit celui-ci, et jepuis vous assurer, chère Madame,que vousifaurez aucunement a soull'rir de ce règie-xnent.» II est possible, d'ailleurs, que je merende acquéreur de la villa des I'almiers.» Dans ce cas, ee serait u&e affaire a ré-gler a 1'amiable, eutre nous. Mais je vousen prie, laissons cela de cóié pour le rno-nient, nous y reviendrons plus tard, beau-coup plus tard.— MaintenatU,reprit MeTeauvin,s'a-dres-santa Paule de nouveau, j'arrive, Madame,au point le plus délical de notre conversa¬tion.» Veuillez vons armer de courage, etcroire d'avance que toute notre respec-tucuscsympaUiieycosestacquis®,a

Grefle de la Justice de Paix du 2*Arrondissement du Havre

«TT*!JBB Id'exai

TRÉS BEAU MOBtLIERdépendaiitde!a successioadetleosknrMil,aneleugrcEier

Le Lundi 23 Avrii 1 S1 7, a 14 heureset lendemainsi besoin est a la. infomheure,ii GraviUe■Sainte-Honormie,route Nationale n" i Ol

Me David, grefffer, vessra &us eachèrsa :CUISIfilE

^SSSS^^SJSegSMSSSK12^Exf^ed^3BSSE^SeVous êtes P'' 6 de bieu vouloir assistor aoxconvoi, scmeo et iBhtimation dePvladams Elisa VALLÉEnee MALAI9BAIN

décódée leiSavril lSI7,s 7U ur' s dn soir.ft l'teed 8t ans, mtinie de*. Sticremcnts de l'Eglise.Qui auront fieri ie jeudi <9 coui-ast, a s<pthf-ures et dt oiie du mstin, en I'église Saist-y. scent de-Paul, sa paroisse.Oa se réunira au domicile morïuafre, 52,rue de 1'Alma.

PriesDisspc?ItHejssit issAeslDp 'a psrt de :

M. Augustin VALLÊEson ép'uix ;Les families VALLEE,MALANDAIN,HARDY;Les Parents et Amis.I lie sera pas envoyé de lettres d'invi-tation le présent a^i's en tenant lieu.

l&UiZ)

Stupefaile par ce ddbut, dont les précan-tions oratoires créaienten elle une anxiéténouvelle, Paule devint pSle etjoignit se3mains agitées d'nn tremblement nerveux.Ei le se roidissait dans ('apprehension d'uanouveau coup douloureux.— MaPame, continua ie notaire, il ré-sulte des declarations écriies de M. JeanBfertbier, et de documents anciens déjade dixans, consistant surtout en lettresintfrnes de Madamevoire mère, que vousêtes la fille de M. lieclof Berihier, de riemsettlement, inais. bélas ! non point de fait.A ces mots, les yeux dc Paule s'agrandi-rent.D'un geste irraisonné, elle appuya sesdeux mains erisjtées au bureau de l'offioierministériel et. le regardant avec les yeuxhagards, elle s'éeria, en preie étune exal¬tation subite :— Ah ! c'était done la ce secret, cetlechose épouvantab.te 1 Ainsi ma naissaneenième est le résuitat d'un malheur ou d'uacrime.» Mais de qui done suis-je ia fille 1— DeM Jeau Dutertre.— Lui, lui. mon père ?. . .» Ah ! c'est affreux !» Lui, eet hotnme de glacé, si dur d'ap-parences; lui, mon père?. . . »— Otxi,Madame, afïinna doncement M*Teauvin, ceci est malheureuseuient irréfu-table.— Sait-il aussi que je suis sa fills 1 de-manda Paule en falsant un effort visiblepour prononcer les derniers mots, et enévitant de nommef Dutertre.Destrera lui répondit, observant Ia mêmetactique;

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Vous ét«* prié de bion vouloir asslster acxconvci, service et inbumatioB deIVIadama GAHARDnéo Hélène VASSET

I décêdée !e 16 avril couranl, a 8 henres 30 duI soir, a )'fige de 63 ans, mnnie des Sreremeitts1da i'Egiifie.Qui auront lieu Is jeudi 19 courant, a trolsi heures du solr, en l'tglise de Bléville, saj paroisse.0,i se réunira au domicilemoriuaire, impas¬se du Hanoi!, a BSévilie.

PfiuMüHHfeEepsileheAe»1De la part de*:

M. Albert CANARDson époux ;La Familie et les Amis.II re sera pas envoyé do lettres d'in-«vmat-.<Éi. lo présent avis en tenant lieu.

6'i.VA}

Iff. A. MÊRY,son fipoux ;N. Augusts MERY,se-.Ti-lfO-eda Conscil dePru-'ti •i.iaos et M"1' A. MËBY,M. et M"" L. MERY,de Tours,S»-« «• ,M et M™LAon MÊRY,MM.Oeorges et Roger MtRY,se- ii ;Les Famines ALLANS, BARREAU,POULAW,AU20U, fes iievi-ux ei iwèces.Ont la douleur de vous faire part de laperie crueile qu'ils viednent d'éprouver en la ]perssane defVladameA. PJ1ÉRYnée Vicioire PAULMIEE

df«êdéfl le i2 svril a La Iteye-Descarles (Id-dre-et-Loire), dans sa 80s annce.L'itihumation a en lien au cimctière dc LaHaye-Desoartes, le i4 avril 1917.Ii ne sera pas envoyé da faire-partle présent avis en tensnt liau. 1 (594)

M. TOURNAYRE. et sa Familie;Les Families T0UZÊS, JACQUES,ASCCUNE-| CARAY, GARATel PUCRULU,Rwnorciest les pvtv.onoes qui out biers voului assister aux coavoi. service et inhumation deIVIadam® TÖURNAYRENÓ6 Mario ASCOUN SG AR AY

Les Families BERNANOT, SECHER et LE jCARRENTIER,Keaiercieet les cersonncs qui ont bier! vouluassisler aux convoi, service "t inhumation dc |hladame Veuve LE CAHPEilTlER

MateUs-.ii.re

/?-?"«esuoe ERIYEL, sss Enfants ; ei toute taFamilie,Rea ercient iesiersosrses quioalbien vouluBSSisUr aux convoi. service et Inbnmallon deMonsieur Jean-fViarie C3R1YEL

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S'.SSf. «5EB 13 h. 83 — » 1 » 60U) lleure aneienne.

— Oui, depuis hier il en est instruit.s Une lettre m'avait 6té confiée pour luipar M. Jean Besthier. »Et ciimme la jeune femme demenrait uninstant silenciense, terrasséc par la révéla-tioa de ce secret, le notaire reprit, avecone douceur d'aceent inaccoutumée :— Je dois. Madame, en ce eas dotilou-renx, obéir aux volontös exprimées parvoire encle défunt, et vous raconter suc-cineiement un passé qui remonte a vingtannées environ.—• J'écoute. Monsieur.— Voire père légal. e'cst-a-dire M. Hee-tor Berthier, était aassi annateur & Cons-tantinopie. il y vivait ricliement. trop peut-être. Mais ees' apiiréeiaiions tardives sontiuutiles rrwintervant.y>Obligé de s*absenter souvent pour ac-eomplir des voyages en France, ou il de-nieurait parfeis uti mois eniier, ii laissaitimprudemment sa trés jeune femme exoo-sée a toutes les sollicitalious mondainesprovoquées par sa beauté.» A eette époque, M. Dutertre résidaitégalernent a Constantinople, en quaiitéd'attaehé a l'ambassa'de de France.» II était riche, lui aussi, de par son ma¬nage ; farillant cavalier, beaa parleur, et,circonstanee aggravante, se trouvait mo-mentatiément séparé de sa femme venue enFrance cliez ses parents eü elle devait dou-ner ie jour a son fitsMaurice.» M.Dutertre vit Madame Iïertier et s'eafit aimer .j>Eutre ces deux isolés, assoiffés deplaisirs. des relations eoupables s'étabfci*rent dont voos devicz éue plus tard le fruiti[legitime.

É'VÉIVESSSSItt'IE'S®

15.18.22 f4691

SSi./gS.

m. ». creksv. — Londres , 14 avril : La gcél.am. M.-D. C-css'j, par'.ie de Ney-Yor!: le 7avrii, p. lo Havre, a evtgé to 9, a 459miltes desor, port de dèpsrt, jr-ndaBt un coup de vent.Qaatre hommes oiai péri.

WISIMIEflSL?s ?etiiss Asaoases AVISDIVMSsasiaisa aiz iigses,soaStardiéês4k fr.

Pour tous renseigoements canceruaiiftles AnnoECö- . arlro/ser au bureau. 113,boulevard da Strasbourg. - Téiép. J5T5-6 7

s^itckEsa'S'^:ACTEXI. .Sean Al.LVS. 87, rut.' Daopltlde, reatercis81"' 8>Aiï Ot!ISY/TTE, 8, riM Suflvep, Qui s'esteHtpres'-ée <te tui r.vpf.orinr sob p-rlefcotHe eoa-tenafit uDe cert»*®*/ somme d'argerit, il est heu-rwtx da fsire conasStre ad public eel acta do uro-biió. (5t8z

mmr médaillonorI I. il II I eav O'itiuUt F.H. , over. 2 p*oto-l BliHJ» U graphics a,'enfants a rintéeieur.Prime do prexidf : i'adresse au bureau du jour¬nal,. Movtnpeute. iS93z)

ft 11 ft I D 1 TP dispnsaat de 2 on 3 hettrcsli' II If I li I p per jour et des ditaaacbcsI M i' 1,11 I ill mitui.au couF' ütdc la régieRJlti! 1/ » l i etde la comfitaiïiiité Ui6ei-l-ei-Mtt tiouver écritm-ea.Ecrire david, buresu du jenriwl. (3938)

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bMais votre mère. justementeffiayéeóescensécfuencesterribles et malhearensementïndéuiables de sa liaison, rompit bienlótavec Dutertre et sut persuader san maritrop confiaut qn'il était i'auteur de sa gros-sesse.» Vous vintes au monde et, naturelle-ment reconnue par M. Beritwer, seion la!oi, vous files a la fois ld jote de la aiaisonet ia eensolation de vetre mère, déjë ron-gée de remords.s Son séducteur avait quitté ia Turquiequeiqties semairies avaot votre tsaissaoee.saus paruitre se soucier de ee qu'ii poavaitadvenir.s MadameBerthier put croire sa fauteignorée de tous.» Dix ans plas tard, le baron Dutertre,après divers séjours en des ambassadesétrangères, reveuait a Goastantiuerile et yretrouvait votre mère.» II eut avec eüe une entrevue seerètt»,une seuie, dont vous fütes Ia cause et iesujet exclusif.» Et la rnalbenrense femme, par unesorte de respect louable en soi peur le nomde son mari, essaya de eenvaincre celuiqu'elle avait aimé que vous n'éiiez pas safille. Elle lui défendit de la revoir jamais.b li se retira cependant. animé d'un res¬sentiment set ret et pour ainsi dire inexpli¬cable centre Hecter Berthier. Gelui-ci, deson eöté, avait dü entendre certaines rn-meurs vagues, car ii ne cacha pas a ceiteépoque l'aotipathie que lui inspkait le di¬plomate. il s'effofQa de ne plus le rencon-trer.» Une sorte de haïne naissait en lui, in¬tuitive et légilime en somme, contre l'hom-

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me qu'il considérait comma Ie larron deson honneur conjugal. En même temps, ilcédait, mulgïé sa raison, aux obsessionsjalouses de son esprit et se laissait aller,vis-è-vis de vous, si jevrae pourtant, auxmouvements d'une antipathk chaqne jourgrasdissaate.— En effet, afürma Pauls devenue pen¬sive, je me souvieus a présent de ces jourstrisies, oü moo pauvre père semblait meregurder et me trailer en étrangère.» Souvent, lorsquc je m'approchais de luipour i'embrasser ou lui prodiguer ces ca¬resses dont les petites fiiles sont coutumiè-res, il me repoussait durement d'un gestebrusque et d'tuie ahrase glaciate.» On eüt dit que je provoquais en luiune répulsion insurmentable.» Je pleurals alors, le trouvant méchant,etj'aliais me réfagier, toute tremblante,daas les bras de ma pauvre mère, toujoursprête s me eortsoler.» Je resaarqaai pourtant qu'elle n'osa ja¬mais me ééffendreeu ces occasions. Je eom-prends anjourd'hui la raison de cette atti¬tude résigoée.» Dans mon iaconsciente ignorance, jene ponvais deviner les souffranees secretesde eelui doet je me eroyais l'entant.» Et parfois je lui ea voulais da son man¬que de tendre^e, je i'aceusais de séche-resse de c«eur.» Aujonrd'hui je le comprends, je luipardonne et je regrette qu'il ait taat soof-fert pour moi.» Pauvre homme, eomme ma vue devaitlui faire mal.— Certes, Madam#, reprit M' Teauvin,car le doate avait empoisonné la vie de M.

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Berthier ; son eoeur se déchirait eonstam-ment a l'horrible pensée qae veas n'étiezpas sa fille.t>il eut beaa vouloir ehasser ses soup-Qons.i is s'affirmaient au contraire de milledétails, demearés jusqu'alors inapefQSS,etqui, pen a peu, frti revenaient en mémoire,comme autant de preutss naarales de latrahison dont ii était-vietkne.» Dès lors, son esprit hanté par unesoaÉfranceintime persfrt ès sa nettefei ; sasaffaires péri alttorent, deviuroat düflottes.Le HwUieureuxhornare cbereba dons le jeuun dériyaêH'a sa douleur eachée.» G'est alors que surmrent les inci¬dents qui eausèreat a la fels kt raine et lamort de M. Bertliier, puis la disgt dee deDutertre.» Après avoir perdu, dans un tripot £ré-quenté par le baron, des soianies Tfortstdé1»rabies, rarmateur es-a porter une plainie,aiTiennl'arrestation des joaeurs, et fat pro-vüqité par son rival.» Une première rencontre de Dutertréavec un fonotionnaire ettoaiaa, qu'il bless-grièvement, venait de renére soit aom trisatement célèbre.» M. Berthier devait avoir ua sort plusmalheureux eneore ; soa adversairc l'at-teigtiit morteilement.» Buit jours plus tard, il mourait, lais-sant a h charge de sa vimivoune situationfiaancière des plus eatbarraKiées.» Votre onele, Jeau Bei"tuier, dut s'coeu-pcr de la liquidation difficile des affairesae son frère ; hélas 1 cette liquidation nalaissapresqueriea.

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