CARNET DE VOYAGE 2012

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CARNET DE VOYAGE FAITS PAR LES ´LÈVES DE L'IES DOCTOR FLEMING DE OVIEDO LORS DE SON VOYAGE CULUTEL EN FRANCE EN 2012

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Javier García [Escribir el nombre de la compañía]

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CARNET DE VOYAGE

BELGIQUE

FRANCE

VOYAGE CULTUREL 2012

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VOYAGE CULTUREL EN FRANCE

Dates du voyage : du……20….au 29 Juin……2012

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SOMMAIRE

1e PARTIE PAGES

PROGRAMME DU VOYAGE 4

NORMES DE CONDUITE PENDANT LE VOYAGE EN FRANCE 7

ÉLÈVES ET PROFESSEURS PARTICIPANTS 9

2e PARTIE : GUIDE DE VOYAGE

LA FRANCE EN QUELQUES TRAITS 12

LE PARCOURS DU VOYAGE 14

1e ÉTAPE : VERSAILLES 15

2e ÉTAPE : PARIS 25

PARIS, LA VILLE ET SON HISTOIRE 25 L’ARC DE TRIOMPHE 28 PROMENADE À PIED : DES CHAMPS-ELYSÉE À LA PLACE DE LA CONCORDE 28 LE PALAIS ROYALE ET SES JARDINS 31 LE MUSÉE DU LOUVRE 32 LE JARDIN DES TUILERIES 34 PROMENADE EN BATEAU-MOUCHE 34 LA CATHÉDRALE DE NOTRE -DAME 35 PROMENADE À PIED : DE NOTRE-DAME À BASTILLE 37 MONTMATRE.PIGALLE 42 PROMENADE À PIED-LE QUATIER LATIN : SORBONNE, PANTHÉON… 43 LA DÉFENSE 45 LES INVALIDES : LE TOMBEAU DE NAPOLÉON 47 LES JARDINS DU TROCADÉRO.LE PALAIS DU CHAILLOT 48 LA TOUR EIFFEL 48 LE PARC DE LA VILLETTE 50 LE QUARTIER MONTPARNASSE 52

3e ETAPE : DISNEYLAND PARIS : LES DEUX PARCS 53

4e ÉTAPE : BRUXELLES-BRUGES-GANT-BRUXELLES LA BELGIQUE EN QUELQUE TRAITS

54 54

BRUGGE 57 GAND 60 BRUXELLES 65

5e ETAPE : REIMS 71

6e ETAPE : CHÂTEAUX DE LA LOIRE : CHAMBORD-FUTUROSCOPE 76

LE CHÂTEAU DE CHAMBORD 76 FUTUROSCOPE : CITÉ DE L’IMAGE 78

3e PARTIE : AIDE DE VOYAGE

ADRESSES ET EMPLACEMENTS DES HÔTELS 80

TÉLÉPHONES ET ADRESSES UTILES 81

VOCABULAIRE UTILE 82

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1e PARTIE

PROGRAMME

Mercredi, 20 juin Oviedo - Versailles (1119 kms.)

22h: Départ du Lycée Doctor Fleming.

Nuit en route. Petit-déjeuner en route.

Jeudi, 21 juin Versailles- Paris (24 kms.)

14h : Arrivée à Versailles.

-Visite du Palais et des jardins.

-Repas : sandwich.

17h : Départ pour Paris.

- Arrivée à l’hôtel Metropol. Logement

20h30 : Dîner : Quartier des Halles

21h : Fête de la musique : Quartier des Halles

23h : Retour à l’hôtel.

Vendredi, 22 juin Paris : Arc de Triomphe –Champs-Elysées-Louvre- Bateau-mouche

8h30 : Petit-déjeuner à l’hôtel.

9h30 – 12h30 : Visite panoramique guidée en espagnol.

12h30 – 13h30 : Arc de Triomphe. Montée libre.

13h30 : Promenade à pied des Champs-Elysées jusqu’à la place de la Concorde.

15h : Repas aux Jardins des Tuileries : sandwich

16-17h30 : Visite des Jardins du Palais Royal .

17h30 : Entrée au Musée du Louvre. 18h : Visite guidée du Musée du Louvre : Les chefs d’œuvres.

19h30 : Sortie en car vers Le Trocadéro.

20h : Trocadéro.

21h : Dîner au snack-bar du Pont d’Iéna aux pieds de la Tour Eiffel.

22h : Promenade en Bateau-Mouche.

23h : Retour à l’hôtel Métropol.

Samedi, 23 juin Paris : Notre Dame-Marais-Montmartre-Quartier Latin

8h30 : Petit-déjeuner à l’hôtel.

9h30 : Visite de Notre-Dame. Visite libre des tours de la cathédrale.

11h – 13h : Promenade à pied: de Notre-Dame à Bastille: Ile de la Cité, Hôtel de Ville, Beaubourg, le

Marais, place des Vosges.

13h – 14h : Repas sur la place des Vosges: sandwich.

14h – 14h45: Suite de la visite à pied: du Marais à la Bastille.

15h : Sortie en car vers Montmartre.

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15h30 : Montée en funiculaire jusqu’au Sacré-Coeur. Visite du quartier. Descente à pied jusqu’à la place Pigalle.

18h : Sortie en car vers le Quartier Latin. Visite du quartier : Panthéon, Sorbonne, Odéon, Saint.Michel…

20h : Dîner à Saint-Germain-des-Près.

22h30 : Retour à l’hôtel Métropol.

Dimanche, 24 juin Paris: La Défense-Invalides-Tour Eiffel-La Vilette

8h : Petit-déjeuner à l’hôtel.

9h30 : Sortie en car vers La Défense . Visite du quartier de La Défense : Grande Arche.

11h : Les Invalides (Le Tombeau de Napoléon)

12h : Repas sur Les Champs-Mars: sandwich.

13h30 : La Tour Eiffel (montée jusqu’au 3e étage)

15h : La Vilette : La Cité des Sciences. La Géode

19h30 : Sortie en car vers la quartier Montparnasse. Montée sur La Tour Montparnasse (54e étage).

21h : Dîner au quartier Montparnasse.

22h30 : Retour à l’hôtel.

Lundi, 25 juin Paris- Disneyland-Bruxelles

8h : Petit-déjeuner à l’hôtel.

8h30 : Révision des chambres. Sortie de l’hôtel.

9h : Sortie vers Disneyland (Marne la Vallée)

10h : Entrée aux Parcs

18h30 : Sortie vers Bruxelles (Belgique)

22h30 : Arrivé à Bruxelles. Logement à l’hôtel Chao Chow.

Mardi,26 juin Bruxelles-Bruges-Gant-Bruxelles

7h30 : Petit-déjeuner à l’hôtel.

8h : Sortie vers Bruges (102 kms).

10h : Visite de la ville de Bruges : Grand place, place du Burg, cathédrale du Saint-Sauveur, Église du Saint-Sauveur, les canaux…

12h : Repas en ville.

12h30 : Sortie vers Gant ( 54 kms.)

13h30 : Visite de la ville de Gant : château des comtes de Gant, la mairie, la cathédrale, le Belfort, promenade des quais de Graslei y Korenki…

15h30 : Sortie vers Bruxelles (60 kms.)

16h30 : Visite du centre-ville : La Grande place, Manneken Pis , les Palais …

18h : Visite guidée du Musée du Cacao et du Chocolat.

19h : Suite de la visite de Bruxelles : Atomium, quartier européen…

20h30 : Dîner au centre ville.

23h : Retour à l’hôtel Chao Chow.

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Mercredi, 27 juin Bruxelles-Reims ( 275 kms.)

7h30 : Petit-déjeuner à l’hôtel.

8h: Sortie de Bruxelles vers Reims.

11h30 : Arrivée à Reims. Logement à l’hôtel Campanile Reims (Taissy)

12h : Repas à l’hôtel avant la visite.

12h30: Visite de la ville : cathédrale de Notre-Dame, basilique de Saint-Rémi, la place Royale, le Palais Tau…

16h: Visite de la cave de champagne Taittinger

18h30 : Promenade en ville

20h : Dîner au centre ville

23h30: Retour à l’hôtel Campanile Reims (Taissy)

Jeudi, 28 juin Reims – Chambord – Futuroscope (312kms.)

7h: Petit-déjeuner à l’hôtel.

7h30: Sortie vers Chambord.

12h-14h : Visite du château de Chambord. Repas aux jardins du château

14h : Sortie vers le parc du Futuroscope (Poitiers) (168kms.)

16h : Arrivée au Futuroscope. Logement à l’hôtel Du Parc.

16h30 : Entrée au Parc du Futuroscope

Dîner au parc.

Spectacle nocturne

21h: Retour à l’hôtel.

Vendredi, 29 juin Futuroscope – Oviedo (874 kms.)

8h30: Petit-déjeuner à l’hôtel.

9h30: Sortie vers Oviedo.

19h30 aprox.: Arrivée au Lycée Doctor Fleming (edificio principal)

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RÈGLES DE CONDUITE À TENIR COMPTE PENDANT LE VOYAGE À PARIS

NORMAS DE FUNCIONAMIENTO DURANTE EL VIAJE A PARIS

1. Règles générales:

Faire preuve d’une attitude de respect, d’aide et de collaboration

(Todos los participantes en el viaje mantendrán una actitud de respeto, ayuda y

colaboración)

Suivre rigoureusement les indications de la part des professeurs.

(Se seguirán rigurosamente las indicaciones de los profesores o del conductor)

Être très ponctuel, c'est-à-dire, respecter les heures et les horaires indiqués par les professeurs, spécialement en ce qui concerne le car.

(Cumplimiento estricto de la puntualidad, es decir, respectar las horas y los horarios

indicado por los profesores)

Porter toujours le portable ainsi que le « Carnet de voyage ».

(Llevar siempre el móvil y el “libro de viaje)

Toute boisson alcoolisée ainsi que les drogues sont formellement interdites.

(Quedan terminantemente prohibidas las bebidas alcohólicas y cualquier tipo de droga)

Tout problème, si petit qu’il soit, doit être immédiatement communiqué au professeur, même parmi les participants du voyage.

(Cualquier problema que surja, por pequeño que sea debe ser inmediatamente comunicado

a los profesores, incluso entre los participantes del viaje)

2. Le car:

Dans le car, on pourra choisir librement la place où l’on veut s’asseoir mais elle devra être la même pendant tout le voyage. Chaque élève sera responsable de sa place dont il sera chargé de garder l’ordre et la propreté ainsi que d’éviter vérifier les dégâts

(En el autobús, se podrá elegir libremente el asiento pero se deberá mantener el mismo

durante todo el viaje. Cada alumno será responsable de ese sitio y velará por la limpieza y

el orden del mismo así como de que no se produzcan desperfectos.

Il est évident que pendant tous les déplacements une attitude de respect et de bonne éducation est exigée.

(Durante los desplazamientos, se deberá mantener una actitud de respeto y buena

educación)

Pendant les déplacements, spécialement ceux qui sont longs, il faut garder un haut niveau d’hygiène et de propreté. Il est, donc, formellement interdit de boire et de manger tout ce qui peut salir le car. En cas de non respect de cette norme, l’élève responsable devra s’occuper du nettoyage et aménagement de la place.

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(Durante los desplazamientos, especialmente largos, se mantendrá un buen nivel de higiene y limpieza. Esto implica la prohibición de comer y beber todo aquello que pueda contribuir a ensuciarlo. En caso de incumplir esta norma, la limpieza y acondicionamiento del autobús correrá a cargo de los responsables.)

3. Les hôtels:

Une caution de 20 € par personne est exigée par les hôtels pour éviter des dégâts ainsi que des nuisances sonores. Elle sera remise à la fin du séjour soit partiellement ou complètement. Pour cela, il faudra réviser la chambre le jour de l’arrivée et en cas de dégâts, le communiquer à la réception.

(En cada uno de los hoteles, se exige una fianza de 20€ por persona para hacer frente a los posibles desperfectos en la habitación así como a las molestias producidas por el ruido. Esta fianza puede no ser devuelta parcialmente o en su totalidad si la dirección dl hotel así lo considera. Por ello, conviene revisar la habitación el día de la llegada, especialmente en París por ser la estancia más larga y comunicar a los profesores o en recepción cualquier desperfecto.)

Il y aura toujours un élève responsable par chambre. Il devra s’occuper de garder l’ordre et la propreté des chambres ainsi que de vérifier s’il y a des dégâts. Il devra aussi communiquer aux professeurs toute conduite incorrecte de la part de ses camarades.

(Habrá un responsable por cada habitación quien será el encargado de mantener el orden y

limpieza en las mismas, así como de revisar que no haya desperfectos. En caso de

comportamiento indebido por parte de alguno de los ocupantes de la habitación, se lo

comunicará al profesor).

Il est formellement interdit de faire du bruit ou de se réunir dans les chambres pendant la nuit. (Está completamente prohibido hacer ruido o reunirse en las habitaciones durante la noche)

Il ne faut pas oublier que ce voyage est une activité du Lycée, donc, toute conduite inadéquate sera sanctionnée conforme au RRI (Reglamento de Régimen Interior).

(Se recuerda a todos los participantes en este viaje que se trata de una actividad del centro, por

lo tanto cualquier comportamiento indebido será sancionado de acuerdo con el RRI)

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LES ÉLÈVES ET LES PROFESSEURS

LES ÉLÈVES PAR CLASSES

4º A

Langa Menéndez, Cristina

4ºB

Álvarez Muñiz, Nerea AVELLO PALACIOS, Mª EUGENIA

Bermejo Pampliega, Marta Castellanos Salamea, Jessica

Fernández García, Alicia Fernández Riesgo, Claudia

González Gómez, Sergio Jove Cifras, Claudia

Muñiz Gutiérrez, Raquel Nieto Álvarez, Miriam

Van Leeuwen Sierra, Mara Vega Rodríguez, Lucía

4º C

Camblor Menéndez, Sara Cid Corral, Teresa

Corrales Gómez, Marta Díaz González, Lydia

García Vega, Jorge Graña Colubi, José

Lamas Suárez, Lucía Martínez Fernández, Carla

Olea Sáez, Alberto Peñarroya Rodríguez, Alfonso

Pérez Pérez, Sara Rodríguez Bueno, Ignacio

Sánchez de la Parra Pérez, Román Semchuk, Liliya

Suárez Álvarez, Sofía

4º D

Arias Granda, Alejandro Barriocanal García, Francisco

Cordero Ortega, Elena Díaz Merayo, Laura

Díez Carlón, Andrés Errasti González, Paula

Fernández Solís, Alberto Flores García, Laura

García Santos, Victor Ordóñez Pérez, Héctor

Torres Herrero, Pablo Ugarte Roqueñí, Nieves

Vallina Pérez, Luis

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LES PROFESSEURS

García Rubín de Celis, Pedro

Jove López, Joaquín

Sanzo Lombardero,Emma

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2e PARTIE

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LA FRANCE EN QUELQUES TRAITS

1. GÉNÉRALITÉS

El Artículo 1 de la Constitución Francesa estipula que "Francia es una República indivisible, laica,

democrática y social que garantiza la igualdad ante la ley de todos los ciudadanos sin distinción de origen,

raza o religión y que respeta todos los credos."

Nom officiel: República Francesa

Capitale París

D’autre villes importantes: París, Marsella, Lyon, Toulouse, Niza, Nantes, Estrasburgo, Montpellier,

Burdeos, Rennes, Le Havre, Reims y Lille

Population: 58,6 millones de habitantes Surface: 543.965 Km2. Es el mayor país de Europa

occidental. Monnaie: Euro Langue officielle: Francés Système politique: República multipartidista.

Democracia parlamentaria Pays frontaliers: Andorra, España, Bélgica,

Luxemburgo, Alemania, Suiza, Italia y Mónaco

Hymme et devise

Compuesto en Estrasburgo en 1792, el "Chant de guerre pour l’armée du Rhin" ("Canto de guerra para el ejército del Rhin") se convirtió en la "Marseillaise" ("Marsellesa") y fue decretado como himno nacional el 14 de julio de 1795.

El lema de la República francesa es "Liberté, Egalité, Fraternité" ("Libertad, Igualdad, Fraternidad").

Le drapeau français

En 1789, La Fayette introduce el blanco, emblema de la realeza, en la escarapela azul y roja de la Guardia

Nacional de París. La bandera tricolor es el emblema oficial de la República francesa.

Fête nationale

El 14 de julio, que conmemora la toma de la prisión real de la Bastilla en 1789. Se celebró por primera vez en 1792.

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2 .ORGANIZATION ADMINISTRATIVE

La República francesa comprende la metrópoli (dividida en 22 regiones y 96 departamentos) así como 4 departamentos de ultramar (DOM) -Guadalupe, Martinica, Guayana, Reunión.

A ellos se añade 7 colectividades de ultramar - Polinesia francesa, Wallis y Futuna, Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon y las Tierras australes y antárticas francesas, Saint-Barthélémy, Saint-Martin y 1 colectividad con estatuto particular, Nueva Caledonia.

De las 22 regiones las más extensas son Midi-Pyrénées y Rhône-Alpes (más de 40000 km²); la más poblada: Île-de-France (11 millones de habitantes), muy por delante de Rhône-Alpes.

Francia sigue siendo un Estado fuertemente centralizado, a pesar del proceso de descentralización iniciado hace un cuarto de siglo.

3. MODE DE VIE

A 1 de enero de 2006, la población de la Francia metropolitana cuenta con 63,1 millones de habitantes. La población francesa representa así más del 12,9% de la población de la Unión europea. En 2006, la esperanza de vida al nacer es de 77,2 años en el hombre y 84,1 años en la mujer.

Religion

La República francesa es un Estado laico: el principio de laicidad está inscrito en la Constitución. Implica la libertad de conciencia y de culto, la igualdad de todos ante la ley, sea cual sea la confesión a la que se pertenezca, así como la libertad y la neutralidad de la enseñanza. Según esto en la República francesa ninguna religión es más importante que otra y todas las confesiones religiosas están presentes.

Niveau de vie

Salario neto medio por asalariado: 21.480 euros anuales. Ahorro bruto medio doméstico: 15,3% de los ingresos disponibles.

A 1 de julio de 2007, el monto mensual bruto del salario mínimo interprofesional de crecimiento (SMIC) es de 1.280,07 euros por 35 horas de trabajo semanal con una tasa horaria de 8,44 euros.

Vacances

Vacaciones pagadas legales: 5 semanas al año.

Tasa de salida: 65%.

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LE PARCOURS DE NOTRE VOYAGE

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1e ÉTAPE : JEUDI, 21 JUIN

LE PALAIS

DE SEDE DEL PODER ABSOLUTO AL MUSEO DE LA HISTORIA DE FRANCIA

Declarado desde hace 30 años Patrimonio Mundial de la Humanidad, el Palacio de Versalles constituye una de las más hermosas realizaciones del arte francés en el siglo XVII. El antiguo pabellón de caza de Luis XIII fue transformado y ampliado por su hijo Luis XIV, que instaló en él la Corte y del gobierno de Francia en 1682. Hasta la Revolución Francesa, los reyes fueron sucediéndose y embelleciendo el Palacio.

Galería de los Espejos, Grandes Aposentos del Rey, Museo de la Historia de Francia, a lo largo de los siglos, el Palacio de Versalles, sede del poder hasta 1789, no dejó de evolucionar.

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Al principio, no era más que un modesto palacio construido por Luis XIII para ir de caza. Sin embargo, Luis XIV escogerá este emplazamiento para construir un palacio , símbolo del absolutismo real y encarnación del arte clásico francés.

En los años 1670, Luis XIV hace acondicionar en particular los Grandes Aposentos del Rey y de la Reina. Lugar de aparato y de recepción por excelencia, la realización más emblemática de este espacio sigue siendo la Galería de los Espejos concebida por Mansart. En el siglo siguiente, se construye la Capilla y la ópera (bajo el reinado de Luis XV).

Aunque el Palacio pierde su papel de sede oficial del poder en 1789, en el siglo XIX recibe un nuevo destino: convertirse en el Museo de la Historia de Francia, por deseo de Luis-Felipe, que subió al trono en 1830. Un gran número de salas del Palacio acogen entonces las nuevas colecciones que recrean los grandes acontecimientos de la Historia de Francia, y que se enriquecerán hasta comienzos del siglo XX.

LA GALERÍA DE LOS ESPEJOS

La Gran Galería, tal como se la conocía en el siglo XVII, servía diariamente de lugar de paso, de espera y de encuentros, y era frecuentada por los cortesanos y el público de visitantes.

Tras la victoria sobre las tres potencias aliadas, representadas en el Salón de la Guerra, la galería exalta a lo largo de sus setenta y tres metros el éxito político, económico y artístico de Francia. Las treinta composiciones de la bóveda pintada por Le Brun ilustran la gloriosa historia de Luis XIV durante los dieciocho primeros años de su gobierno personal, desde 1661 hasta la Paz de Nimega. De este modo, victorias militares y diplomáticas así como reformas para la reorganización del reino se tratan aquí en forma de alegorías al estilo antiguo. Prosperidad económica: por sus dimensiones y su número, los trescientos cincuenta y siete espejos que adornan las diecisiete arcadas situadas frente a las ventanas demuestran que la nueva manufactura francesa de espejos es capaz de arrebatarle a Venecia el monopolio de los espejos, por aquel entonces objetos de gran lujo. Éxito artístico: las pilastras de mármol de

Rance están ornadas de capiteles de bronce dorado siguiendo un nuevo modelo denominado "de orden francés"; creado por Le Brun a petición de Colbert, éste presenta emblemas nacionales: una flor de lis coronada por el sol real entre dos gallos franceses.

La Gran Galería sólo fue muy excepcionalmente escenario de ceremonias, cuando los soberanos querían hacer ostentación de esplendor en recepciones diplomáticas o diversiones (bailes o juegos) ofrecidas con motivo de matrimonios principescos. El trono se instalaba entonces en un estrado situado en el extremo de la Galería, del lado del Salón de la Paz, cuya arcada estaba cerrada. Aquí también se firmó el 28 de junio de 1919 el Tratado de Versalles, que ponía punto final a la Primera Guerra Mundial. Desde entonces, los presidentes de la República siguen recibiendo en ella a invitados oficiales de Francia.

La Gran Galería, limitada al norte por el salón de la "Guerra" y, al sur por el salón de la "Paz", tiene 73 m de largo, ocupando toda la fachada oeste del palacio. Servía de comunicación entre los departamentos del rey y de la reina.

El SALÓN DE LA GUERRA

Mansart inició la construcción del Salón de la Guerra a partir de 1678. La decoración, terminada por Le Brun en 1686, exalta las victorias militares que condujeron a la Paz de Nimega. Las paredes están revestidas con paneles de mármol ornados de seis trofeos y de cascadas de armas de bronce dorado. La pared del lado del salón de Apolo muestra un bajorrelieve ovalado de estuco que representa a Luis XIV a caballo, pisoteando a sus enemigos. Esta obra maestra de Coysevox está coronada por dos Famas doradas levantadas por dos prisioneros encadenados. Por debajo, en el bajorrelieve que disimula la abertura de una falsa chimenea, Clío escribe la historia del Rey para la posteridad. El techo pintado por Le Brun representa en su centro a Francia armada, sentada sobre una nube y rodeada de Victorias. Un retrato de Luis XIV decora su escudo. En el dovelaje se distribuyen sus tres enemigas vencidas: Alemania de rodillas, con un águila, España amenazadora, con un león que ruge, y Holanda recostada sobre un león. La cuarta representa a Belona, diosa de la guerra, enfurecida entre la Rebelión y la Discordia.

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EL SALÓN DE LA PAZ

Situado al sur de la Gran Galería, El Salón de la Paz presenta la misma decoración de paneles de mármol y de trofeos de armas de bronces dorados y tallados que el Salón de la Guerra y es simétrico a él. No obstante, Le Brun ornó la cúpula y los dovelajes con los beneficios de la paz que Francia otorgaba a Europa. Desde el final del reinado de Luis XIV, este salón estuvo separado de la galería por un tabique móvil, y se consideraba parte del Gran Aposento de la Reina, del que por consiguiente constituyó la última estancia.

EL GRAN APARTAMENT0 DEL REY

Compuesto por siete salones en enfilada (el Salón de Hércules, el salón de la Abundancia, de Venus, de Diana, de Marte, de Mercurio, de Apolo) el Gran Apartamento del Rey servía de aposento de aparato para las ceremonias oficiales del soberano. Por ello se decoró con el súmmum de riqueza y siguiendo el modelo de los palacios italianos de la época. Durante el día, estaba abierto para todos, franceses y extranjeros, que acudían a ver al Rey cuando lo atravesaba para ir la a Capilla. Tres noches por semana, estaba reservado a la Corte.

El primer salón del Gran Aposento del Rey, es el Salón de Hércules que fue en realidad el último que se creó al final del reinado de Luis XIV. Para decorar este nuevo salón, se instaló en él en 1712 el monumental cuadro de Veronese, Comida en casa de Simón Fariseo.

El Salón de la Abundancia era el lugar de los refrescos durante las veladas de aposento; un buffet instalado en él ofrecía café, vinos y licores. Este salón era también la antecámara del Gabinete de las Curiosidades o de las Rarezas de Luis XIV (a partir de entonces ocupado por el Salón de Juegos de Luis XVI) al que se accedía por la puerta del fondo. Al Rey le gustaba mostrar a sus huéspedes de etiqueta los jarrones de orfebrería, las gemas y las medallas que se conservaban en él.

El salón de Venus, así como el Salón de Diana, constituía el principal acceso al Gran Aposento, ya que la gran escalera, conocida como"escalera de los Embajadores" (destruida en 1752) desembocaba en él. Durante las veladas de aposento, aquí se instalaban mesas cubiertas de cestas de flores, de pirámides de fruta fresca y singular como naranjas y limones, así como frutas confitadas y mazapanes. Al igual que todas las estancias siguientes, este salón debe su nombre a un planeta, tema asociado al mito solar que inspiró toda la decoración de Versalles en los años 1670.

De toda la enfilada, el Salón de Venus es el que posee la decoración más barroca. Este es el único lugar en el que Le Brun estableció un diálogo entre arquitectura, escultura y pintura, unas veces real y otras figurada: las pilastras y columnas de mármol se retoman en las perspectivas pintadas por Jacques Rousseau, y dos estatuas en engañifa del lado de las ventanas, se contraponen a la figura de Luis XIV obra de Jean Warin.

Al igual que el Salón de Venus, el Salón de Diana servía de vestíbulo al Gran Aposento y, en tiempos de Luis XIV, de lugar de reunión para las veladas de aposento y de sala de billar. Dos estrados estaban reservados para las damas que aplaudían las buenas jugadas del rey, muy hábil en este juego, algo que hacían con tanta pasión, que esta estancia era conocida como la "cámara de los aplausos".

Para la decoración del Salón de Marte, se eligió el tema de la guerra. La elección de este tema militar se debe al hecho de que esta gran estancia sirvió originariamente de sala de guardias al aposento de aparato. Más tarde se reservó, en las veladas de aposento, a la música y al baile, por lo que pasó a denominarse comúnmente "la sala del baile". Los ballets de Corte seguían unas reglas muy estrictas y exigían números ensayos; los príncipes tomaban parte en ellos, a veces mezclados con los bailarines profesionales. A uno y otro lado de la chimenea, dos tribunas, eliminadas en 1750, estaban destinadas a los músicos.

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Originariamente, el Salón de Mercurio era la cámara de aparato del Gran Aposento, de ahí su nombre de "cámara del lecho", aunque rápidamente esta cama se retirase en invierno para liberar el espacio e instalar mesas de juego. Hasta 1689, fecha en la que Luis XIV tuvo que decidirse a hacerlos fundir para financiar la Guerra de la Liga de Augsburgo, mesas, espejos, morillos y arañas de plata maciza magníficamente tallados por los orfebres de los Gobelinos adornaban paredes, techos y chimenea. Una balaustrada también de plata separaba la alcoba

del resto de la estancia. Brocados -telas tejidas de hilos de oro y plata- tapizaban las paredes y la cama, pero también fueron enviados a la Casa de la Moneda para sustentar esta vez la Guerra de Sucesión de España. Una de las pocas veces en las que el Salón de Mercurio sirvió de habitación fue con motivo de la proclamación del Duque de Anjou, nieto de Luis XIV, como Rey de España: el joven príncipe durmió en él durante tres semanas, antes de trasladarse a su nuevo país. En esta estancia fue también donde, del 2 al 10 de septiembre de 1715, se expusieron los restos mortales de Luis XIV.

El Salón de Apolo, dedicado al dios Sol, dios de las Artes y de la Paz con el que se identificaba a Luis XIV, era el más fastuoso de todos. Esto se percibe aun hoy en día en la decoración del techo en el que todas las pinturas -composición central, dovelajes y enjutas- presentan un gran colorido, y en el que todas las esculturas están en relieve y totalmente doradas. Pero todo el resto ha desaparecido, incluido el trono de Luis XIV. Un sillón de madera dorado, cuyo estilo evolucionó según los reinados, sustituyó al trono de Luis XIV. éste se encontraba sobre un estrado recubierto con una alfombra Persa de fondo dorado y bajo un dosel.

LA CÁMARA DEL REY

Está formada por la Antecámara de Ojo de Buey, la Cámara del Rey y el Gabinete del Consejo.

La antecámara de Ojo de Buey fue creada en 1701, en ella esperaban los cortesanos antes de acceder a la cámara real, cuya entrada custodiaba un guardia suizo.

En 1701, Luis XIV traslada sus aposentos al salón situado en el eje este-oeste del Palacio, mirando hacia la salida del sol. Es la denominada Cámara del Rey. Se cegaron los tres ventanales del fondo, dirigidos a la galería de los Espejos, para dar forma a la alcoba; la balaustrada de madera dorada que separa la alcoba del resto de la estancia fue tallada y Nicolas Coustou realizó una alegoría en estuco de Francia velando el sueño del Rey justo encima de la cama. En esta habitación, convertida en el santuario visible de la monarquía, Luis XIV tomaba sus

“almuerzos en privado” y tenían lugar las ceremonias del “despertar” y el “acostarse” del Rey. Es también en esta habitación donde murió Luis XIV el 1 de septiembre de 1715, después de setenta y dos años de reinado.

Contiguo a la cámara del Rey, abierto a la galería de los Espejos, se encuentra el gabinete del Consejo. Esta estancia no adquirió su configuración actual hasta 1755, bajo el reinado de Luis XV. Su forma es el resultado de la unión de dos salas: el gabinete del Rey, donde Luis XIV reunía a los Consejeros (de las finanzas o del Estado), y el gabinete de las Termas (lugar más íntimo donde Luis XIV se encontraba con su familia o círculo íntimo después de la cena). La suntuosa carpintería esculpida por Antoine Rousseau sobre dibujos de Ange-Jacques Gabriel, visten esta estancia de nuevos motivos decorativos (trofeos, atributos del ejército, la marina y la justicia...); suntuosos objetos de arte encargados por Luis XV y Luis XVI decoran el conjunto: un reloj estilo rococó (1754), un busto de Alejandro Magno en pórfido y dos jarrones de Marte y Minerva, en porcelana de Sèvres y bronce, tallados por Pierre-Philippe Thomire.

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EL GRAN APARTAMENT0 DE LA REINA

Orientado hacia el parterre del Midi, el Gran Apartamento de la Reina es simétrico al Gran Apartamento del Rey. Pero al contrario que el Gran Apartamento del soberano, la decoración del Apartamento de la reina se modificó varias veces a lo largo del siglo XVIII. Está formado por la Cámara de la Reina, el Salón de los Nobles , la antecámara del Gran Cubierto (Grand Couvert) y la Sala de Guardias.

La cámara de la Reina es la estancia principal del aposento, aquella que más utilizaba la Reina. Allí dormía, a menudo en compañía del Rey. Y en ella recibía, por la mañana, durante y después de su Aseo, que constituía un momento de Corte tan reglamentado por la etiqueta como el “Lever du Roi”. Aquí también se llevaban a cabo los alumbramientos en público: diecinueve "Hijos de Francia" nacieron en ella. La decoración conserva el recuerdo de las tres reinas que ocuparon la estancia.

Durante la invasión del Palacio por los “agitadores”, el 6 de octubre de 1789, María Antonieta consiguió huir de ellos por la pequeña puerta izquierda de la alcoba que da a un corredor que a su vez desemboca en los gabinetes interiores de la Reina, una docena de pequeñas estancias reservadas a su vida privada y a su servicio. En la Revolución, el Palacio no fue víctima del pillaje, pero sus muebles se dispersaron durante las subastas que duraron un año entero. Algunos pudieron recuperarse, como

el joyero de Schwerdfeger que se encuentra a la izquierda de la cama, o la pantalla de chimenea.

El Salón de los Nobles fue antecámara bajo el reinado de María Teresa, fue en esta sala donde María Leszczinska celebraba sus audiencias solemnes, sentada bajo un dosel. Aquí daba cita también a su círculo, como solía llamarse por aquel entonces a ese momento de conversación entablado con las damas de la Corte. María Antonieta hizo reformar totalmente la decoración, conservando únicamente las pinturas del techo. Para ella se revistieron las paredes de damasco verde manzana ribeteado de un ancho pasamano dorado. También se instaló un nuevo mobiliario, extremadamente moderno y elegante a la vez.

En la antecámara de la Reina o del “Grand Couvert” era donde se celebraban las comidas públicas cuyo fastuoso ritual atraía a muchas personas. Sólo la familia real podía sentarse a la mesa y, ante ésta, se sentaban las duquesas, princesas o titulares de altos cargos que gozaban del privilegio del taburete, luego, de pie, se situaban las demás damas y personas que, por su rango o autorizadas por los ujieres, habían podido entrar. Luis XIV se plegaba a esta representación casi todas las noches; Luis XV, por su parte, optó muy a menudo por las cenas íntimas. Para luchar contra este aburrimiento, María Antonieta pidió que siempre hubiese música en el Gran Cubierto y, para ello, se acondicionó una tribuna para los músicos en esta estancia.

Al final de la escalera de la Reina, también conocida como "escalera de Mármol", se penetraba en el Gran Apartamento de la Reina a través de esta Sala de Guardias en la que, día y noche, doce guardias del cuerpo cumplían su servicio para la Reina. En Versalles, sólo el Rey, la Reina y el Delfín podían disponer de una guardia personal, compuesta de soldados pertenecientes a las unidades de élite que formaban las cuatro compañías de escoltas del Rey. La gran sala siguiente, actualmente conocida como "Sala de la Coronación", les estaba asignada y servía de cuerpo de guardia. La Sala de Guardias de la Reina es la única estancia de la enfilada cuya decoración del siglo XVII se ha conservado, ya que como la Reina no tenía ocasión de ocuparla, nunca consideró necesario modernizarla.

Fue por aquí por donde el 6 de octubre de 1789, al amanecer, los asaltantes que habían venido a reclamar pan al Rey intentaron llegar a los aposentos de la Reina, antes de que una doncella, avisada por un guardia, bloquease la puerta del “Grand Couvert” y aconsejase huir a la Reina. Los asaltantes dieron media vuelta e intentaron penetrar entonces por la Sala de Guardias del Rey.

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APARTAMENT0 INTERIOR DEL REY

El Pequeño Apartamento del Rey, las "salas nuevas" y los gabinetes vecinos dan a la derecha hacia el Patio de Mármol y el Patio Real. Protegidos del tumulto de los Grandes Apartamentos, se sitúan en la primera planta del cuerpo central del Palacio, y se convirtieron en el siglo XVIII en un auténtico apartamento de residencia y de trabajo con un decorado refinado. Para adaptarse al gusto de sus ocupantes, los espacios y sus usos se renovaron permanentemente. Está formado por La cámara de Luis XV, Gabinete del guardarropa de Luis XVI, Gabinete del Reloj de Péndulo, Gabinete de los Perros, Comedor de las colaciones de

Caza, Gabinete interior del Rey, Gabinete de los Despachos, Estancia de la vajilla de oro, Cámara del

Cofre, , la Biblioteca de Luis XVI, Comedor de las porcelanas, El Salón de Juegos de Luis XVI.

LA CAPILLA REAL

En la monarquía francesa, el Rey es el elegido de Dios y mediante su consagración se convierte en su "lugarteniente" en la tierra. Las pinturas y las esculturas de la capilla de Versalles evocan esta idea en un ciclo que parte de la nave y que remata en la tribuna que ocupaba el Rey.

Luis XIV sólo conoció esta capilla durante cinco años, ya que no se terminó hasta 1710. La que más frecuentó, edificada en 1682 en el emplazamiento del Salón de Hércules, resultó ser muy pronto demasiado exigua. Sin embargo, las guerras retrasaron las obras de la gran capilla, iniciadas a partir de 1689 por Hardouin-Mansart. El arquitecto no llegó a verla finalizada ya que murió en 1708. Su cuñado Robert de Cotte le sucedió en aquella fecha, pero las líneas generales

de la arquitectura y de la decoración se habían establecido a partir de 1699: un plano con nave, naves laterales y deambulatorio, una elevación con tribunas, una armonía de blanco y dorado que contrasta con la policromía del adoquinado de mármoles y de las pinturas de la bóveda; el conjunto da lugar a una obra original en la que se mezclan reminiscencias de la arquitectura gótica y estética barroca.

APARTAMENT0S DEL DELFIN Y DE LA DELFINA

Estos aposentos de la planta baja, que comunicaban directamente a través de varias escaleras con el de la reina situado en la planta superior, se reservaban siempre para los principales miembros de la familia real. El estado actual corresponde a la época en la que estaban habitados por el hijo de Luis XV (Luis, Delfín de Francia) y por su segunda esposa María Josefina de Sajonia, es decir, entre 1747 y 1765.

APARTAMENT0S DE “MESDAMES”

Los aposentos de Mesdames son simétricos a los aposentos del Delfín y de la Delfina. Al igual que estos últimos, fueron transformados en salas de museo por Louis-Philippe y recientemente devueltos a su estado de aposentos principescos. Mesdames, nombre con el que se conocía a las seis hijas de Luis XV, se instalaron en ellos a partir de 1752, pero sólo dos de ellas, Adelaida y Victoria, que nunca se casaron y que tuvieron una vida longeva, los utilizaron hasta la Revolución.

APARTAMENT0S DE MARIA ANTONIETA

Detrás de su Gran Apartamento, la reina María Antonieta disponía de pequeñas habitaciones reservadas para su uso privado y al servicio de sus doncellas. En el siglo XVII, los gabinetes de la reina se multiplicaron. María Leszczinska se retiraba a ellos para leer, pintar, meditar o recibir a sus visitas más íntimas. María Antonieta les añadió entrepisos y pisos hasta constituir un auténtico pequeño aposento en la planta baja orientado hacia el Patio de Mármol.

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APARTAMENT0 DE LA MARQUESA DE POMPADOUR

Este apartamento desde el que se puede disfrutar de una vista magnífica del Parterre del Norte y del bosque de Marly, se encuentra situado en el ático superpuesto al Gran Apartamento del Rey, por encima de los Salones de Mercurio y de Apolo. Al principio lo ocupó, en 1743-1744, la Duquesa de Châteauroux y su hermana la Duquesa de Lauraguais. Tras la muerte de Madame de Châteauroux, Luis XV se lo entrega a Madame de Pompadour, su favorita, que lo ocupa de 1745 a 1750.

Se atraviesa un guardarropa en el que se guardaban los vestidos de la favorita y encima del cual se encuentra la cámara en la que velaba una doncella. A la izquierda, unos cuantos peldaños conducen a la bóveda del Salón de la Guerra. De allí se cruzan dos gabinetes y el salón de compañía, que primero fue la Cámara de Madame de Châteauroux, y más tarde, en 1748, la de Madame de Pompadour. Tras la alcoba se encuentra un gabinete con una silla retrete y una habitación de criada. Originariamente, las dos estancias siguientes sólo formaban una: se trataba del salón de compañía, que se dividió en 1748 para formar una antecámara y la nueva cámara de Madame de Pompadour.

En 1750, las relaciones entre Luis XV y la Marquesa cambian de naturaleza: tras dejar de ser su amante, pasará a ser su amiga y su confidente. Es entonces cuando la Marquesa abandona este aposento para instalarse en la planta baja del Palacio, en la que las hijas menores del Rey no tardarán en ser sus vecinas.

LA SALA DEL CONGRESO

Tras la derrota de Sedán, que provoca la caída del Segundo Imperio de Napoleón III, la Asamblea Nacional es elegida en 1871 y se reúne en Burdeos. Compuesta mayoritariamente por monárquicos, desea acercarse a la capital sin instalarse en ella, ya que el sangrante recuerdo de la Comuna aun es muy reciente. Tras dudarse entre Orleans y Fontainebleau, finalmente se opta por Versalles para acoger a la nueva asamblea, que se instala en la Sala de la ópera Real construida por Gabriel. Pero este espacio resulta ser insuficiente para acoger a los 722 miembros. Por necesidad, la Asamblea Nacional se convierte en Cámara de los Diputados y exige encontrar un gran hemiciclo para deliberar en él, mientras que el Senado se instala definitivamente en el Teatro de Gabriel.

El Ala Sur, realizada entre 1679 y 1681 para alojar a los hijos reales y príncipes de sangre, y radicalmente transformada en 1837 para acoger al Museo de Historia de Francia, es remodelada de nuevo en 1875 por Edmond Joly para acoger al Parlamento y, más concretamente, a la Asamblea Nacional. La sala de sesiones, un gigantesco hemiciclo con asientos color rojo oscuro, acoge entonces a los diputados que celebran en él sus sesiones hasta el año 1879, antes de regresar a París, al Palais Bourbon. Bajo la V República, acoge a los diputados y senadores reunidos en Congreso para adoptar las revisiones constitucionales. Desde la reforma constitucional de 2008, esta sala es también el escenario de los mensajes del Presidente de la República a las dos asambleas.

LES JARDINS ET LE PARC

Desde la ventana central de la Galería de los Espejos se puede apreciar la gran perspectiva de los jardines. Esta perspectiva original, anterior al reinado de Luis XIV, fue acondicionada y prolongada por el jardinero André Le Nôtre, que amplió la Avenida Real e hizo excavar el Gran Canal. Esta inmensa perspectiva se extiende desde la fachada del Palacio de Versalles hasta la verja del parque.

En 1661, Luis XIV le encarga a André Le Nôtre la creación y el acondicionamiento de los jardines de Versalles. Los trabajos se

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inician al mismo tiempo que los del Palacio y duran unos cuarenta años. Pero André número de estatuas y fuentes; un poco más tarde, el arquitecto Jules Hardouin-Mansart ordena que se realicen unas decoraciones cada vez más sobrias y construye la Orangerie. Por último, el Rey aprueba personalmente Le Nôtre no trabaja solo. Jean-Baptiste Colbert, Superintendente de obras del Rey de 1664 a 1683, dirige las obras; Charles Le Brun, nombrado Primer Pintor del Rey en enero de 1664, realiza los diseños de un gran . todos los proyectos y exige conocer cualquier detalle.

La creación de los jardines exige un trabajo inmenso. Para acondicionar los parterres, la Orangerie, las fuentes y el Canal, allí donde sólo existían bosques, prados y pantanos, se necesitaron enormes cantidades de tierra. Esta se transportaba en carretillas y los árboles se traían en carro de todas las provincias francesas; miles de hombres, a veces regimientos enteros, participaron en este grandioso proyecto.

El trazado general es geométrico: el jardín está ordenado a partir de un eje central con ejes secundarios, avenidas en forma de estrellas, estanques circulares y semicirculares. Un conjunto simétrico organizado en varios niveles. Los árboles están tallados muy rigurosamente y constituyen una auténtica arquitectura vegetal. A la vuelta de cualquier avenida surgen nuevos puntos de vista, nuevas fuentes, nuevas estatuas, emparrados en forma de bóveda y árboles tallados como si fueran madrigueras. El jardín se extiende en torno al Gran Canal, de estilo veneciano: un estanque de agua de 23 ha y de 5,5km de perspectiva. El gran eje, situado al ocaso, prolonga la perspectiva del jardín hacia el infinito. A ambos lados del Gran Canal se erigen bellas parcelas forestales formadas por diferentes especies de árboles y surcadas por grandes avenidas con hileras simples o dobles de robles y tilos.

LAS FUENTES

Fuente de Saturno

Fuente de Apolo

La fuente Latona, la de Baco, la del Espejo, Saturno, Apolo, Ceres, Neptuno, el Dragón, las Ninfas o las Pirámides constituyen verdaderas joyas escultóricas al aire. Junto con las del Trianón, producen diferentes efectos de agua. Según la forma en la que terminan los caños, el agua sale a borbotones, como una ola, en forma de lengua o a chorros. El estanque de Neptuno, el centro de las fiestas nocturnas, comporta 58 surtidores y presenta 147 efectos hidráulicos.

Una de las incesantes inquietudes del Rey Sol fue la búsqueda de recursos de agua para alimentar las fuentes de Versailles. Incluso en plena guerra, el monarca, preocupado por la cuestión, pensó en traer las aguas del Loira, situadas a 200 km de distancia. Pero la construcción de la extraordinaria máquina de Marly -hoy en día destruida- canalizó las aguas del Sena hasta Versailles.

La red hidráulica constituye un conjunto único Resultado de todos esos esfuerzos son los 200 km de acequias, pozos y acueductos que existen todavía en los alrededores de Versalles. El conjunto realizado por los matemáticos e ingenieros de Luis XIV sigue siendo único por su maestría técnica y por su estado de conservación. La red, concebida desde sus orígenes como un circuito semicerrado, comporta depósitos tanto al exterior como bajo tierra y presenta numerosas galerías y bombas.

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EL GRAN CANAL

El Gran Canal es la creación más original de André Le Nôtre que transforma la perspectiva este-oeste en una larga brecha luminosa. Los trabajos duran once años, de 1668 a 1679. El Gran Canal, de 1.670 metros de largo, fue el escenario de numerosas fiestas náuticas y un gran número de embarcaciones navegaban por él. A partir de 1669, Luis XIV hace traer chalupas y barcos en miniatura. En 1674, la República de Venecia le envía al Rey dos góndolas y cuatro gondoleros que se alojan en una prolongación de edificios a la cabeza del Canal conocidos desde entonces como la Pequeña Venecia. En verano, la flota del Rey se despliega por el Gran Canal y, en invierno, patines y trineos se deslizan por las aguas heladas de éste.

ESTANQUE DE LOS SUIZOS

Excavado para embellecer el eje norte-sur de los jardines entre los que se encuentra la Orangerie, de la que está separado por la carretera de Saint-Cyr, y escenario de fiestas náuticas bajo el Antiguo Régimen, este gran estanque sustituye a una zona pantanosa conocida como "estanque fétido" que provocaba numerosas enfermedades entre los habitantes de Versalles. De forma octogonal a partir de 1665, fue agrandado alrededor de 1678 por los Guardas Suizos, y más tarde de nuevo en 1682 dotándolo de sus extremos redondeados. Las tierras retiradas durante los trabajos sirvieron para crear el Huerto del Rey. Además, podía acceder a su huerto por avenidas de plátanos y por una "verja real" que seguía dando al estanque.

L ‘ORANGERIE

Más abajo del Palacio, l’ Orangerie es uno de los lugares en los que, por su amplitud, su altura y la pureza de sus líneas, Jules Hardouin-Mansart mejor afirmó su talento de gran arquitecto. Naranjos de Portugal, España o Italia, limoneros, granados, algunos con más de 200 años, laureles rosas y palmeras se guardaban aquí en invierno y se sacaban en verano a su parterre.

Construida por Jules Hardouin-Mansart entre 1684 y 1686, en sustitución de la pequeña orangerie edificada por Le Vau en 1663, se compone de una galería central abovedada, de 150 metros de largo y prolongada por dos galerías laterales situadas bajo las escaleras de Cent-Marches. El conjunto está iluminado por grandes ventanas. El parterre de l’ Orangerie tiene una extensión de no menos tres hectáreas.

LE GRAND TRIANON

El Gran Trianón fue erigido por Jules Hardouin Mansart en 1687 en el emplazamiento del "Trianón de Porcelana" que Luis XIV ordenó construir en 1670 para huir de los fastos de la Corte y vivir sus amores con Madame de Montespan. El Gran Trianón es, sin duda, el conjunto de edificios más distinguidos de todos los que componen el dominio de Versailles. De estilo clásico francés mezclado con italianismos,el color rosa de la piedra otorga al conjunto una apariencia especial. Se entra en el patio por una cancela: a la derecha se encuentra el edificio norte. A la izquierda el edificio del Sur cubierto por un tejado plano, con balaustrada. El material utilizado para los muros es de piedra dorada; las columnas son de mármol rosa del Languedoc decoradas con capiteles de mármol de Carrara. En el fondo del palacio, una galería hace comunicar los edificios del Norte y del Centro. No se trata de un peristilo, dado que esta galería rodea, por completo, el patio. La galería fue diseñada por Robert de Cotte. Por último, el ala perpendicular al edificio norte se la llama Trianón-sous-bois.

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Trianón es el palacio de Flora: todas las habitaciones tienen vistas a los jardines, totalmente dedicados a las flores, con un gran número de variedades seleccionadas por sus colores y por sus olores. Son jardines sencillos y adornados de fuentes. De entre ellas destaca , la fuente diseñada por Mansart en 1703.

LE DOMAINE DE MARIE ANTOINETTE

Este conjunto está formado por el “Petit Trianon”, los jardines de la Reina y la Aldea . De ellos , el Petit Trianon y su parque se encuentran indisociablemente vinculados al recuerdo de la Reina María Antonieta. Ella fue la única Reina que impuso su gusto personal en Versalles. Desentendiéndose de la vieja Corte y de sus tradiciones, vive la vida a su antojo. En su dominio de Trianon, que Luis XVI le había regalado en 1774, establece su refugio íntimo que le permite huir de la Etiqueta. Nadie puede penetrar en él sin estar invitado.

El Palacio del Petit Trianon se construyó siguiendo la última moda conocida como "de estilo griego", que vuelve a los modelos de la Antigüedad. Desde la planta baja hasta el piso del ático, el arquitecto Ange-Jacques Gabriel realiza aquí su obra maestra.

Rodeado de jardines, el Petit Trianon es visible desde todos los ángulos, una forma que tendrá un gran éxito a finales del siglo XVIII. Las cuatro fachadas son diferentes. Frente al Jardín Francés se encuentra la más rica, aderezada de columnas e inspirada en los templos antiguos. La sencillez de la fachada situada al Norte recuerda que corresponde a la parte trasera del Palacio. Esta originariamente se orientaba a los invernaderos del Jardín Botánico, sustituido bajo el reinado de Luis XVI por el Jardín Inglés.

LA ALDEA

Para huir de la Corte de Versalles, María Antonieta encarga en 1783 su Aldea. Allí disfruta de los encantos de la vida en el campo, rodeada de sus damas de compañía. El conjunto se convierte además en una auténtica explotación agrícola, dirigida por un granjero, cuyos productos abastecían las cocinas del Palacio. Bajo el Primer Imperio, la Emperatriz María Luisa procede a reamueblar la Aldea con un gusto refinado.

La Aldea se realizó al estilo de un auténtico pueblo normando. Está formado por un conjunto de once casas distribuidas en torno al Gran Lago. Cinco de ellas estaban reservadas para uso de la Reina y de sus invitados: la Casa de la Reina, el Billar, el Gabinete, el Molino y la Lechería de Degustación. Mientras que cuatro casas estaban reservadas para los campesinos: la Granja y sus anexos, el Granero, el Palomar y la Lechería de Preparación. La Granja estaba situada aparte del pueblo y acogía una ganadería variada.

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2e ÉTAPE : VENDREDI, 22 JUIN

PARÍS,la ville et son histoire

“Il navigue sans être submergé »

PETITE HISTOIRE DE PARIS

París fue, probablemente, fundada a finales del siglo III a.C. por una tribu de galos-celtas llamados parisii, sobre el sitio que lleva actualmente el nombre de Ile de la Cité que constituye el corazón de la ciudad. De aquí se originó una continua expansión sobre las orillas del río Sena.

En el año 52 a.C. terminaron los largos enfrentamientos entre los galos y los romanos, cuando las legiones de Julio Cesar tomaron el control del territorio. El asentamiento se convirtió luego en una ciudad romana, llamada Lutecia (Lutèce) El cristianismo fue introducido en el siglo II de nuestra era. Los romanos fueron derrotados por los francos en el siglo V. En 508, el rey franco Clodoveo I unificó la Galia en un reino e hizo de París su capital. La ciudad que ya había adoptado (hacia 360) el nombre de Paris en honor a la tribu que la habitaba (Parisii), se convirtió en el centro del reino.

Pero no llegó a ser una verdadera capital hasta 987 cuando Hugo Capto fundó una nueva y poderosísima dinastía: Los Capeto. Con ella París vivió uno de sus momento de esplendor, sobre todo entre 1180 y 1223 pues se inició la construcción de Notre Dame que tardaría de 200 años en acabarse y de la fortaleza del Louvre, se fundó la Universidad de La Sorbona, se construyó la Sainte Chapelle bajo el reinado de Luis IX el Santo y se sanearon los terrenos pantanosos del barrio del Marais. Con la dinastía siguiente, en cambio, la de los Valois, París no conoció más que guerras , desórdenes y discordias civiles. Durante esta época, los vikingos escandinavos (conocidos también como Normandos) que ya habían empezado a invadir la costa oeste de Francia en el siglo IX, iniciaron su descenso hacia París al cabo de tres siglos de conflictos.

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Comienza, entonces la Guerra de los Cien Años entre la Inglaterra normanda y los franceses que termina con la derrota de éstos en la batalla de Agincourt en 1415 y el control de París por los ingleses en 1420. En 1430 Enrique VI de Inglaterra es coronado rey de Francia. Un año antes, una joven de 17 años: Juan de

Arco , consigue reagrupar las tropas francesas y vence a los ingleses en Orleáns que serán expulsados del país .Pero no será hasta 1437 cuando Carlos VII retome ciudad. Sin embargo, las revueltas y discordias junto con las pestes y otras epidemias no cesaron de azotar la ciudad. Durante todo este período los reyes prefirieron vivir en los famosos castillos del Loira más que en la capital. Siguiendo los pasos del Renacimiento italiano, París volvió a resurgir a finales del siglo XV. La mayoría de los edificios y monumentos que dan a la ciudad su esplendor fueron edificados en esa época. No obstante, las discordias no cesaron. La difusión del movimiento protestante originó una lucha religiosa que azotó tanto París como el resto del país durante mucho tiempo. Estas disputas entre los hugonotes (protestantes franceses soportados por los ingleses), la liga católica y la monarquía culminaron en 1572 con la matanza de la Noche de San Bartolomé, durante la cual murieron más de 3.000 personas en su mayor parte hugonotes y que coincidía con el casamiento de Enrique de Navarra (hugonote y futuro Enrique IV) y Margarita de Valois (católica y hermana del rey, Enrique III). Después del asesinato de Enrique III, la ciudad conoció un asedio de cuatro años hasta que la ciudad abrió sus puertas a Enrique IV, convertido al catolicismo.

A comienzos del siglo XVII, vivían en París unas trescientas mil personas. La ciudad alcanzó su máxima importancia histórica bajo el cardenal Richelieu y durante la dinastía de los Borbones. Luis XIV, conocido como el Rey Sol subió al trono en 1643 con sólo cinco años y llevó la corona hasta 1715. Durante su reinado estuvo a punto de quebrar el tesoro nacional a causa de interminables batallas y la construcción de innumerables monumentos. Su herencia más destacable es el palacio de Versalles, que se halla a unos 23 km al suroeste de París. Luis XV y luego Luis XVI le sucedieron en el trono. Los excesos de este último y los caprichos de su esposa, la reina María Antonieta, originaron el levantamiento del pueblo de París y la toma de la Bastilla el 14 de julio de 1789. Esos acontecimientos iniciaron la famosa Revolución Francesa que señaló el nacimiento del mundo moderno. Con la llegada al poder de Napoleón Bonaparte, París conoce una nueva época de esplendor. Se levantó el Arco de Triunfo, la Columna Vendôme y se amplió el Louvre.

Bajo Napoleón III la ciudad sufre su transformación urbana más significativa. El emperador comisiona al Barón Haussmann (en la foto) para que ejecute los cambios necesarios para convertir París en la ciudad más moderna del mundo de la época. Se demuele gran parte de la ciudad antigua y medieval y se da paso a los grandes bulevares, el Bois de Vicennes y el de Boulogne, el mercado de “Les Halles y edificios modernos, entre los que destaca: la Ópera Garnier. Se construyen, además, canalizaciones de aguas y otros importantes adelantos en obras públicas. Este periodo llega a su fin luego de la caída del emperador a consecuencia de la derrota sufrida por su ejército en la guerra franco-prusiana. En 1871, tiene lugar la revuelta de la Comuna durante la cual se perdieron muchos edificios recios en historia y en belleza como el Palacio de las Tullerias.

A finales del siglo XIX y principios del XX Paris acogió numerosas exposiciones universales: La Torre Eiffel, se construyó para la de 1889 y el

metro se inauguró con ocasión de la de 1900 así como el Petit y Grand Palais. La ciudad conoció, además ,durante este período el nacimiento de importantes movimientos pictóricos y literarios. Pero, desgraciadamente, la ciudad habría de sufrir otras dos largas guerras: la Primera y la Segunda Guerra Mundial aunque ninguna de las dos le causó destrozos de consideración con los daños sufridos por otras ciudades europeas. Bajo la administración del presidente François Mitterrand, en los años 1980 y comienzos de los 1990 la ciudad recibe un renovado impulso en su urbanismo e infraestructura. Se renuevan sectores deprimidos de la ciudad, en particular barrios de la rivera izquierda y la Villette, se levantaron nuevos edificios emblemáticos, como la Biblioteca Nacional de France o François Miterrand, la Opéra Bastille, la Pirámide del Louvre, el arco de la Defensa, el Museo de Orsay y se renovó radicalmente el Museo del Louvre.

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PARÍS AUJOURD’HUI

Con su historia y su patrimonio arquitectónico, París es, hoy en día una ciudad en constante evolución. Capital histórica, económica, artística, cultural y universitaria, París es la ciudad más visitada del mundo. Es considerada, además, como la capital mundial de la elegancia pues es célebre por sus tiendas, sus marcas de prêt-à porter y alta costura (Haute Couture), sus grandes almacenes y jóvenes diseñadores.

Del mismo modo que Francia está dividida en unidades

geográficas y administrativas (les régions), Paris está dividido en distritos, en total 20 los cuales forman una especie de espiral en el sentido de las agujas del reloj que comienza en el centro de la ciudad con el primer “arrondissement.” La Rive Gauche y le Quartier Latin constituyen el centro neurálgico de la ciudad. Otros barrios famosos son: la Bastille, el Marais, Montmatre, Pigalle, los Champs-Elysées y L’Ile de la Cité.

La Rive Gauche y le Quartier Latin

constituyen el centro neurálgico de la ciudad. Otros barrios famosos son: la Bastille, el Marais, Montmatre, Pigalle, los Champs-Elysées y L’Ile de la Cité.

En París existen 16 líneas de metro que se distinguen por un número. Con sus 213 km es la tercera red de metro más extensa de Europa occidental, tras el Metro de Londres y el Metro de Madrid. El metro fue concebido y realizado en 1896 por Fulgenge Bienvenüe que realizó también los planos y la construcción de la estación de Montparnasse. La primera línea de metro tiene 106 años.

Se complementa además con la amplia red de ferrocarril suburbano del Réseau Express Régional (RER). Cinco RER recorren la ciudad y “la banlieue” (extrarradio).

Todas las redes de transporte público de París se integran en la RATP (Régie Autonome des Transports

Parisiens), consorcio de transporte de la región Île de France.

El nudo central de la red, la estación de Metro y RER Châtelet-Les Halles, es la mayor estación subterránea de metro del mundo. En ella confluyen 5 líneas de metro, 3 líneas de RER y varias líneas de autobuses en superficie. Es terminal de autobuses nocturnos regionales

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VENDREDI, 22 JUIN

Visite panoramique-Arc de Triomphe-Promenade à pied : des Champs-Elysées à la place de la Concorde- Le Palais Royal et ses jardins-Musée du Louvre-Promenade en Bateau-Mouche

L’ARC DE TRIOMPHE

L’ARC DE TRIOMPHE se encuentra situado en el centro en la plaza Charles de Gaulle, antes plaza de l’Étoile. Se trata de una amplia rotonda arbolada de 120 metros de diámetro de donde parten doce avenidas ( Champs-Elysées, Friedland, Hoche, Wagram, Mac Mahon, Carnot, Grande- Armée, Foch, Victor Hugo, Klébar, Iéna y Marceau. Todos los coches giran en torno a ella y si dos coches colisionan en dicha plaza cada uno deberá pagar su reparación. Es uno de los arcos más conocidos de Occidente además de constituir uno de los símbolos de la ciudad.

L’Arc de triomphe, iniciado por Jean-François-Thérèse Chalgrin en 1806 fue un encargo de Napoleón I Bonaparte que quiso dedicarlo a sus éxitos militares pero no fue concluido hasta 1836 por Jean-Armand Raymond. El monumento se inspira en el arco de Constantino en Roma, pero es el doble de alto (50 m) y de ancho (45 m). Los bajorrelieves y las inscripciones relatan las victorias napoleónicas y posteriores victorias y tratados franceses. Sin duda, el más conocido y hermoso es el de la derecha que mira hacia los Champs-Elysées y representa la partida de los voluntarios en 1792. El Arco de Triunfo se la convertido en un verdadero altar de la patria. Bajo su gran arcada, se colocó en 1920 la Tumba del Soldado desconocido cuya llama perenne arde en recuerdo de todos los soldados caídos por la patria. En su parte superior, hay un plataforma panorámica, desde donde se pueden admirar las grandes avenidas que salen de la plaza. En el subterráneo, se encuentra un museo, que documenta la historia de este monumento y conserva reliquias bélicas desde la época napoleónica hasta la Segunda Guerra Mundial.

PROMENADE À PIED: DES CHAMPS-ELYSÉES À LA PLACE DE LA CONCORDE

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LES CHAMPS-ELYSÉES es la mayor avenida de París. Mide 1880 metros de longitud, y va desde el Arco del

Triunfo hasta la Plaza de la Concordia. En la parte alta de la avenida, que empieza en la plaza «Charles de Gaulle» (antes plaza de la Estrella, «Place de l'Étoile») se encuentran cines, cafés, restaurantes, tiendas de lujo y grandes almacenes.

Según se va bajando hacia la Plaza de la Concordia, esta avenida está rodeada de jardines y en ella se encuentran varios edificios públicos majestuosos.

Así, en la intersección con la plaza Clemenceau en donde se encuentra la estatua de bronce de este famoso político que condujo a Francia a la victoria de 1918, se abre, a la derecha, una espléndida perspectiva sobre la avenida Churchill con el puente de Alejandro III y los Inválidos , al fondo.

A los dos lados de esta avenida, se encuentran el PETIT PALAIS Y EL GRAND PALAIS, construidos por el arquitecto Girault para la Exposición Universal de 1900.

El PETIT PALAIS es un edificio neobarroco con un gran pórtico sostenido por columnas jónicas. La entrada principal está ornamentada con estatuas y cubierta por una gran cúpula. Alberga el Museo de las Bellas Artes que expone una colección de objetos de arte decorativo medieval y renacentista y varias obras de escultura y pintura francesa del siglo XIX.

El GRAND PALAIS también es de estilo esencialmente neobarroco y está cubierto por una cúpula de 43 m. de altura. Sus estancias, de estilo art nouveau, acogen las Galeries Nacionales du Grand Palais,, sede de importantes exposiciones y salones temporales.

Cerca del Petit y Grand Palais, se encuentra el PALAIS DE LA DÉCOUVERTE, construido en 1937, es un museo de vulgarización científica en el cual , gracias a esquemas, demostraciones y exposiciones prácticas así como películas documentales y exposiciones temporales pone al alcance del gran público las grandes etapas y los últimos progresos de la Ciencia. El planetario que se encuentra bajo su cúpula es una apasionante iniciación a la lectura del cielo. Ya cerca de la Plaza de la Concordia, se encuentra el Palacio del Elíseo, sede del Presidente de la República Francesa así como las embajadas de Estados Unidos y Gran Bretaña. Por el lado opuesto del Arco de Triunfo la avenida de la Gran Armada y la Avenida Charles de

Gaulle prolongan los Campos Elíseo.

El nombre Campos Elíseos viene de la mitología griega, donde designaba la morada de los muertos, reservada a las almas virtuosas, el equivalente del paraíso cristiano inventado. Los franceses suelen decir de esta avenida que es «la plus belle avenue du monde».

LA PLACE DE LA CONCORDE es la plaza más grande de París. Mide 8 hectáreas. Está situada a orillas de río Sena, al final de los jardines de “Les Tuileries” y el principio de los “Champs-Elysées”. Fue construida por el arquitecto de Luis XV, Jacques-Ange Gabriel entre 1757 y 1779 para albergar la estatua ecuestre del monarca, obra de Pigalle y Boucheron. En aquella época la plaza se llamaba Luis XV. Durante la Revolución Francesa, la estatua del rey fue sustituida por la guillotina; allí murieron, además de Luis XVI, María Antonieta, Danton o Robespierre, otras 2800 personas entre 1793 y 1795. Después de la Revolución, la plaza sufrió varios cambios tanto desde el punto de vista urbanístico como de nombre, volviendo definitivamente a llamarse plaza de la Concordia para simbolizar el final de una época turbulenta y la esperanza en un futuro mejor. Adquirió su aspecto actual entre 1836 y 1840 con el reordenamiento realizado por el arquitecto Hittorf.

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En el centro, se levanta el OBELISCO EQUIPCIO, procedente del templo de Amom en Luxor regalado en 1831 por Mehmet-Alí a Luis Felipe de Orleáns y colocado en 1836. El obelisco mide 23 metros de alto y pesa 230 toneladas; los jeroglíficos que lo adornan ilustran las gloriosas empresas del faraón Ramsés II.

A los lados del obelisco, hay dos fuentes, construidas en la misma época. En las esquinas de la plaza se levantan, ocho estatuas que simbolizan las principales ciudades francesas. Los caballos de Marly, esculpidos en mármol por Coustou, indican el comienzo de los Champs- Elysées. Los que se ven actualmente son copias ya que originales se encuentran en el Louvre.

En el lado norte de la plaza, se encuentran dos edificios con columnas ,obras tambien de Jacques-Ange Gabriel , el Hotel Crillon y el Ministerio de la Marina que encuadran la Rue Royale al fondo del la cual se encuentra La Madeleine.

Al este de la plaza se encuentran los museos Jeu de Paume y l’Orangerie ; al oeste la plaza se abre hacia los Champú-Elysées y al sur a través del puente de la Concordé, construido por Perronnet entre 1787 y 1790 y ampliado en 1930, se llega al Palais Bourbon, sede de la Asamblea Nacional, el equivalente al Congreso de los Diputados en España.

LE PALAIS BOURBON fue construido a comienzos del siglo XVIII para la hija de Luis XIV y de Madame de Montespan, Louise Françoise de Bourbon, Duquesa de Bourbon que da su nombre al edificio. Las obras, encargadas al arquitecto italiano Giardini, comenzaron en 1722. Tras la muerte, fueron continuadas por

Pierre Cailleteau, llamado Lassurance et terminadas en 1728 por Aubert y Jacques Gabriel. En 1765 el Príncipe de Condé, nieto de la Duquesa de Bourbon, amplió y transformó el palacio, convirtiéndolo en un gran palacio al estilo del Grand Trianon de Versailles y del cercano Hôtel de Lassay, construido al mismo tiempo y al que se unirá poco tiempo después a través de una galería. Entre 1803 y 1807, Napoleón Bonaparte encargó al arquitecto Bernard Poyet la construcción de la fachada que da al Sena la cual debía estar en harmonía con la de La Madeleine que se encuentra enfrente, a lo

lejos, al final de la Rue Royale. Se construyeron, entonces doce columnas en forma de templo griego. El imponente frontón alegórico ha cambiado en varias ocasiones. El que existe actualmente es obra de Jean-Pierre Cortot y representa a Francia, vestida de forma clásica, de pie, delante del trono, acompañada de la Fuerza y de la Justicia, llamando a las élites a preparar las leyes. El interior del palacio alberga verdaderas joyas del arte: La Biblioteca con la Historia de las Civilizaciones fue decorada por Delacroix entre 1838 y 1845 y Houdon esculpió los bustos de Diderot y Voltaire. Es la sede de la Asamblea Nacional de la República Francesa desde 1879.

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LE PALAIS ROYAL ET SES JARDINS

LE PALAIS ROYAL es un conjunto monumental, que integra un palacio, jardines, galerías y un teatro situados al norte del Museo del Louvre. Originalmente se llamó Palais-Cardinal pues fue erigido por orden del Cardenal Richelieu.

A pesar de su nombre, nunca fue residencia de los reyes. Su construcción fue un encargo del Cardenal Richelieu al arquitecto Jacques Lemercier. Las obras de construcción se iniciaron en 1624 sobre la ubicación del que había sido el Hôtel de Rambouillet y duraron hasta el siglo XIX.

Tras la muerte de Luis XIII, se convirtió en el hogar de la reina madre, Ana de Habsburgo, del cardenal Mazarino y del joven Luis XIV. Fue en esta época cuando se empezó a conocer el edificio con el nombre de "Palacio real". Más tarde, el Palais Royal se convirtió en la residencia parisina de los duques de Orléans quienes lo convirtieron en el epicentro de brillantes reuniones. Fue aquí donde se inició la Revolución Francesa. Hoy en día es la sede del Consejo de Estado, del Consejo Constitucional y del Ministerio de Cultura.

Su fachada con columnas fue levantada en 1774 y está decorada con trofeos de armas y alegorías. Cuenta con un pequeño patio desde el que se llega a un hermoso jardín ideado en 1781 . Tiene 225 m. de extensión y lo rodean tres alas de robustas columnas.

En el patio de Honor del Palais Royal, se instalaron las controvertidas columnas de Buren (1986 –restauradas en 2008) que dominan una red subterránea de cursos de agua. De la misma época son las dos fuentes de bolas del artista belga Pol Bury situadas en el patio de Orléans , entre el Consejo Constitucional y el Ministerio de Cultura.

Se trata de un jardín armónico de unas dos hectáreas, que combina naturaleza y fuentes con esculturas. Cuenta con árboles y plantas de hasta 466 especies diferentes.

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LE MUSEE DU LOUVRE

Plan d’accès au musée

Histoire et origines du musée

El origen de este edificio se remonta al siglo XII cuando Felipe Augusto hizo construir una fortaleza para defender París de las incursiones sajonas. De hecho el nombre Louvre parece derivar de la palabra sajona “leovar” que significa morada fortificada. Más tarde fue transformada en residencia real por Carlos V el Sabio en el siglo XIV. Pero posteriormente el Louvre estuvo deshabitado durante más de ciento cincuenta años hasta que en 1546 Francisco I ordenó la demolición de la antigua fortaleza e inició la construcción del actual Louvre, según proyecto del arquitecto francés Pierre Lescot. Su primigenia estructura fue ampliándose durante los reinados de casi todos los monarcas posteriores. A principios del siglo XVII, cuando reinaba Enrique IV, se concluyó, bordeando el Sena, la Grande Galerie, que en la actualidad es la principal galería de pintura. Más tarde, con Napoleón III, se añadió un ala en la zona norte, que recorre la célebre rue de Rivoli. A mediados del siglo XIX se dio por finalizada la construcción del enorme complejo: con una superficie de 19 hectáreas, es una obra maestra del diseño arquitectónico y del adorno escultórico. El Louvre fue inaugurado como museo público en 1793, nombrándose al pintor francés Jacques-Louis David director de la comisión encargada de su administración. En 1848 pasó a ser propiedad del Estado. El presidente François Mitterrand inauguró en 1993 el ala Richelieu. El ala norte del palacio del Louvre, ocupada con anterioridad por el Ministerio de Finanzas, fue desocupada y transformada en zona de exposiciones. Con esto se concluyó la segunda fase de un proyecto iniciado en 1981: “El Grand Louvre”, que incluía la construcción de la pirámide de cristal (diseñada como acceso al Museo por Ieoh Ming Pei), un auditorio, galerías para exposiciones temporales, muestras sobre la historia del Louvre y la excavación de los fosos del Louvre medieval, además de la instalación de restaurantes, tiendas y zonas de aparcamiento de vehículos.

Les collections du musée El núcleo de las colecciones del Louvre está constituido por el grupo de cuadros del renacimiento italiano (entre los que se encuentran varias obras de Leonardo da Vinci) pertenecientes al rey Francisco I, importante coleccionista y mecenas artístico. Los fondos del Museo

se vieron ampliados de forma significativa con las adquisiciones realizadas para la monarquía por el cardenal de Richelieu y el cardenal Mazarino, gracias al cual se compraron obras que habían pertenecido a Carlos I de Inglaterra. Napoleón I Bonaparte depositó en el Louvre los cuadros y obras de arte de las que se

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había apropiado durante sus conquistas europeas. Tras su caída, sin embargo, muchas de estas obras fueron devueltas a sus antiguos propietarios. Desde entonces, los fondos del Museo han seguido creciendo de forma constante gracias al cada vez mayor número de obsequios, donaciones y objetos procedentes de excavaciones arqueológicas. Entre sus grandes tesoros se encuentran esculturas del mundo antiguo tan famosas como la Victoria de Samotracia y la Venus de Milo, así como el famoso retrato de Leonardo, Mona Lisa.

El Louvre cuenta también con obras de maestros italianos como Rafael y Tiziano, y de otros artistas europeos como Petrus Paulus Rubens y Rembrandt. Como medida de protección, durante las dos guerras mundiales se procedió a trasladar las valiosísimas obras del Museo a almacenes secretos situados fuera de París. Siete departamentos se encargan de la administración y conservación de las colecciones del Museo. El Departamento de Antigüedades Egipcias fue establecido en 1826 para estudiar y mostrar los objetos trasladados a Francia durante la campaña de Napoleón en Egipto.

El Departamento de Antigüedades Orientales es célebre por sus colecciones de arte mesopotámico e islámico.

Toros alados

Khorsabad (Asiria), finales del siglo VIII antes de C.

Otros departamentos están especializados en antigüedades griegas, romanas y etruscas, objetos de arte (incluidas las joyas de la corona de Francia), así como estampas y grabados.

Sarcófago etrusco de los esposos de Cerveteri.

Hacia 20-510 a.J.C.

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El Departamento de Pintura, considerado por muchos expertos como el más importante del mundo, comprende varios miles de obras pertenecientes a distintas escuelas europeas. Su enorme colección de pintura francesa abarca obras que van desde la edad media hasta principios del siglo XIX. Sin embargo, desde 1986, las obras de los impresionistas y posimpresionistas franceses (muchas de las cuales datan del periodo comprendido entre 1848 y 1914), que se encontraban expuestas anteriormente en el Museo del Jeu de Paume, cerca del Louvre, fueron trasladadas al Museo de Orsay, situado en la orilla izquierda del Sena. Eugène Delacroix Esteban Murillo Jean-Auguste Dominique Ingres

La Liberté guidant le peuple Le Jeune Mendiant.1645-50 Une Odalisque

LE JARDIN DES TUILERIES

LE JARDIN DES TUILERIES es el más antiguo de los parques parisinos y también uno de los primeros jardines públicos del mundo. Se sitúa entre el Museo del Louvre y la place de la Concorde. Desde el siglo XII

este espacio fue ocupado por fábricas de “tuiles” (especie de tejas) y huertas, hasta que Catalina de Médicis, en el siglo XVI, mandó construir un palacio con su jardín. Fue diseñado por Le Nôtre que también diseñó los jardines de Versailles. Las avenidas, llenas de árboles, y recorridas por estatuas, adquieren su mayor esplendor en primavera.

Aparte de las esculturas que se pueden encontrar, varios estanques y fuentes. Perfectamente alineado con el Oblisco de la place de la Concorde y el el Arc de Triomphe , se encuentra el Arc de Triomphe del Carroussel , más pequeño que el Arc de Triomphe. Napoleón lo mandó construir en conmemoración de sus victorias militares (1806-1808).

PROMENADE EN BATEAU-MOUCHE

BATEAUX MOUCHES son barcos de excursión abiertos que permiten visitar el centro de París a través de un recorrido por el Sena.

El término es una marca registrada de la Compagnie des Bateaux Mouches, el operador más conocido de barcos de París; sin embargo, debido a la popularidad que ha llegado a tener la compañía, la frase se usa también coloquialmente de forma errónea en referencia a todos los barcos semejantes que operan en el río dentro de la ciudad. Bateaux Mouches se traduce literalmente como «barcos mosca»; sin embargo, el nombre proviene del hecho de que al principio se construían en un astillero situado en Mouche, zona de Lyon.

PLAN DE LA CROISIÈRE

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SAMEDI, 23 JUIN

Cathédrale de Notre-Dame - Promenade à pied : de Notre-Dame à Bastille – Montmartre - Pigalle - Promenade à pied : le Quartier Latin

LA CATHÉDRALE DE NOTRE-DAME

Architecture: caractéristiques principales

Notre Dame de Paris fue la primera Catedral de la Île de la Cité donde se cree que empezó la ciudad. Fue construido en los siglos XVII y XVIII. Esta dedicada a María , madre de Jesucristo, de ahí su nombre .”Notre Dame”. La imagen original era una “virgen negra”, antigua figura popular de la Fertilidad.

El edificio es una obra maestra del arte gótico, la aguja central mide 82 metros y está flanqueada por dos torres cuadradas entre las cuales se extiende una larga galería, justo debajo esta el rosetón central que tiene 9 metros de diámetro, el cual corona la “Galerie des Rois”.La catedral consta de una nave central dividida en cinco cúpulas, cuatro naves laterales, una nave transversal bastante reducida, un coro dividido en dos cúpulas y un ábside semicircular con siete absidiolos. En un principio, las bóvedas sexpartitas de la nave central y las bóvedas de crucería de las naves laterales debían apoyarse sobre pilares gruesos y finos alternados entre sí, pero se potó por unificar el tipo de soporte, logrando una nave más homogénea. El crucero tiene cuatro plantas de altura, lo que permite imaginar como era la primera catedral. En las reformas realizadas entre 1250 y 1325 se construyeron capillas entre los contrafuertes.

En el siglo XIX tuvieron lugar las obras de restauración de la estructura del edificio y de la decoración. Estas obres fueron llevadas a cabo por los arquitectos Eugène Viollet-le-

Duc y Jean-Baptiste-Antoine Lassus. En el exterior, se restauraron las esculturas de la fachada oeste y las del tramo sur de la nave transversal, la aguja, los gabletes y los pináculos. En el interior las reformas principales consistieron en elevar las cúpulas y dar forma a los vanos.

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Sus dos pórticos más importantes son: “el Pórtico de la Virgen”, realizado en el siglo XIII, en pleno esplendor del arte gótico, y “el Pórtico del Juicio final”, realizado a principios del siglo XIII.

Pórtico de la Virgen

Pórtico del Juicio final

También es importante la portada de Santa Ana que fue añadida posteriormente a la fachada gótica habiendo sido necesario reforzarla añadiéndole un dintel y un arco. En esta catedral tuvieron lugar muchos de los sucesos que marcaron la historia de Francia: en 1430, Enrique VI de Inglaterra fue coronado Rey de Francia, más recientemente en la liberación de Paris en 1944 Charles de Gaulle fue a dar las gracias a Notre Dame mientras el Bourdon sonaba alegremente. Pero sin duda la ceremonia más grande que allí tuvo lugar fue en 1804, la coronación de Napoleón I.

Les vitraux

En la Edad Media, todos los vanos de Notre-Dame tenían vidrieras magníficas. Todo fue destruido en el siglo XVIII, excepto tres grandes rosetones, de excepcional calidad. En el siglo XIX, Viollet-le-Duc y sus

colaboradores crearon nuevas vidrie ras en el estilo medieval para las capillas laterales y las de la girola. Por fin, en el siglo XX, en 1960, Jacques Le Chevallier hizo para las ventanas altas de la nave y para los vanos de las tribunas unas vidrieras no figurativas en los tonos de los tres rosetones de la Edad Media. Las vidrieras se desarrollan a lo largo de ocho grandes vanos, divididos en cuatro ojivas, siete vanos de dos ojivas situados en el ábside y en el rosetón de la fachada oeste, que data de la última década del siglo XV. Los tres rosetones medievales son el del Oeste (1220), encima del órgano mayor que lo oculta a medias, y los dos rosetones simétricos de las naves Norte (1250) y Sur (1270) del crucero que, según la tradición, hubieran sido dados por San Luis. Los tres son en gran parte

los originales, a pesar de las imprescindibles restauraciones y limpieza. El rosetón oeste está constituido de un medallón central que representa a la Virgen con el Niño, rodeado de tres grandes círculos concéntricos. En torno al hueco central está la serie de los doce profetas menores, que anunciaron la Encarnación de Jesús. Los otros dos círculos exteriores oponen en la parte alta doce virtudes y doce vicios y, en la parte baja, asocian las faenas del campo a los doce signos del zodíaco. El rosetón Norte está dedicado al Antiguo Testamento. Predomina el color morado. En tres círculos, están representados ochenta personajes: profetas, reyes, jueces y sumos sacerdotes. El rosetón Sur es el del Nuevo Testamento. Predomina el color rojo y su orientación lo hace mucho más luminoso. Lo constituyen veinticuatro medallones repartidos en cuatro círculos y que figuran apóstoles, mártires, obispos así como escenas del Evangelio. El medallón central, creación del taller de Viollet-le-Duc, representa a Cristo, el Cristo del Apocalipsis rodeado del tetramorfos. Las diferencias entre las distintas vidrieras se deben esencialmente a los dibujos de los fondos, que repiten los mismos motivos decorativos. Estos últimos forman una trama policroma, de muchos colores mientras que en las escenas el color está repartido de forma homogénea sobre un fondo azul. Predomina el contraste entre rojo y azul, aunque en ocasiones irrumpen otras tonalidades, como el amarillo.

Los motivos principales que se representan en las vidrieras son: El Génesis, El Éxodo, Los Números, El Deuteronomio, Josué, Los Jueces, Isaías, El árbol de Jessé, San Juan Evangelista, la infancia de Cristo, La pasión, San Juan Bautista, El libro de Daniel, Jeremías, Tobías, Judit y Job, Ester, El libro de los Reyes, El traslado de la Reliquias, El Apocalipsis. Las vidrieras tienen una triple función: las de tonalidades intensas tienen una función histórica y decorativa, pero también arquitectónica: sirven para cerrar el espacio.

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PROMENADE À PIED: DE NOTRE-DAME À BASTILLE

LA CONCIERGERIE , junto con la Sainte Chapelle, forma parte del conjunto artístico e histórico del Palais de Justice.

Pero la Conciergerie antes de ser Palacio de Justicia, fue prisión y hoy en día monumento nacional de interés artístico .Fue el primer palacio real parisino , por lo que también se le conoce como Palais de la Cité. En el Siglo XIV Philippe le Bel ordenó ampliar y remodelar el Palais de la Cité para convertirlo en la residencia real más suntuosa de la Europa medieval, símbolo de su poder.

A partir del reinado de Charles V, a finales del siglo XIV, los reyes de Francia abandonaron el Palais de la Cité para instalarse en el Palais du Louvre y en Vincennes.Confieron, entonces, el cuidado del viejo palacio al “Concierge”, verdadero intendente del rey,que detentaba importantes poderes policiales y judiciales. Es, por lo que, las partes bajas del edificio, que ya ejercía como tribunal de justicia, se convirtieron en prisión. Esta función carcelaria no hizo más que afirmarse con el paso del tiempo y, en 1793, la Conciergerie llegó a

ser la prisión por excelencia de la época de la Revolución Francesa. En 1795 más de 2700 personas condenadas a muerte vivieron sus últimos momentos en este lugar. Entre los más célebres: la reina Marie-Antoinette, el poeta André Chenier, Robespierre, etc. Al final del periodo de la “Terreur”- el período más sangriento de la Revolución Francesa-, el Palais de la Cité estuvo enteramente dedicado a tareas judiciales. A lo largo del

siglo XIX, el edificio fue ampliado y restaurado en diversas ocasiones. La última restauración consecuencia del incendio ocurrido durante los sucesos de la Comuna de 1871, durará 20 años. En 1862 , La Conciergerie fue declarada monumento histórico, dejando de tener funciones penitenciarias en 1934 , año en el que fue declarado momento artístico y abierto al público.

Desde el punto de vista arquitectónico, la Conciergerie es un claro ejemplo de arquitectura civil medieval. Tres torres redondas marcan la fachada de la Conciergerie: la torre de Cesar, la torre de Plata y la torre de Bonbec donde se encuentra la sala en la que se torturaba a los presos para que confesaran.

En el exterior de la Conciergerie, Jean II de Francia hizo construir la “tour de l’Horloge”, llamada así porque aquí se instaló el primer reloj público de París, luego sustituido en 1585 por el de German Pilon.

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LA SAINTE CHAPELLE está ubicada dentro del Palais de Justice (Palacio de Justicia).Fue consagrada en 1248 y alberga la famosa corona de espinas de Jesucristo y otras reliquias que fueron adquiridas por el rey Luis IX a principios del siglo XIII. La riqueza de esta capilla reside en sus inmensas vidrieras de tres pisos de altura que conforman lo que serán los muros. Edificada en seis años (1242 - 1248), la Sainte Chapelle es ante todo la obra personal de San Luis.

L’HÔTEL DE VILLE se encuentra en la plaza del Hôtel del ville (IV arrondissement), antigua plaza de Grève.

Fue edificado en 1873 en estilo neo- renacentista, las 136 estatuas representan a personajes célebres de la Historia. Los magníficos salones fueron decorados por los artistas del siglo XIX. El edificio alberga las oficinas del Ayuntamiento de París y el Consejo de París.

LE QUARTIER BEAUBOURG es un barrio marcado sin duda alguna por el Centro Pompidou pero también por El Forum des Halles, en cuyo espacio se asentaba antiguamente el atestado y maloliente mercado de París. Se trata de un centro comercial de moderno diseño, en cuyos sótanos se alojan numerosas boutiques, salas de cine y locales de espectáculos y una estación de metro.

Pero no todo en este barrio son edificios o fuentes (Fontaine Stravinsky) y relojes (Le Défenseur du temps) de arquitectura moderna. Justo al lado del Forum des Halles se alza la impresionante iglesia de Saint-Eustache .De estructura gótica, se empezó a construir en 1532 pero su construcción no se terminó hasta 1637. La fachada original fue demolida para reconstruirla en estilo Renacimiento en 1754, con columnas que recuerdan el estilo clásico. Templo de la agricultura durante la Revolución, la iglesia fue incendiada en 1844, y restaurada más tarde por Baltard .

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EL CENTRO NACIONAL DE ARTE Y CULTURA GEORGES POMPIDOU, más conocido como "Centro Pompidou" o “Beaubourg” , inaugurado en 1977.

Aunque fue concebido en la época del presidente George Pompidou, este falleció antes de poder verlo terminado, siendo su sucesor, Giscard D´Estaing quien lo inauguró. En 1997 se decidió cerrarlo para su rehabilitación y para que estuviera listo para recibir al 2000 como si fuera el año de su “renacimiento”. Rejuvenecerlo costó unos 135 millones de dólares y, además de los cambios estéticos, el plan fue ampliar los espacios de exhibición.

El edificio fue diseñado por Renzo Piano, Richard Rogers y Gianfranco Franchini. El aspecto tan innovador y chocante de este edificio en los años 70, hizo que fuese muy criticado al chocar enormemente con la estética clásica y romántica de las calles y edificios parisinos, pero a día de hoy es de los edificios más queridos por los habitantes, y de los más visitados por los turistas.

El Centro Georges Pompidou es considerado uno de los centros culturales más espectaculares del mundo y uno de los más grandes por su colección de arte contemporáneo. En su interior se realizan multitud de exposiciones de todo tipo, representaciones teatrales, y

está dotado con una enorme biblioteca pública con capacidad para 2000 personas.

Destaca por su apariencia semi-industrial y el hecho de que sus elementos funcionales, como escaleras, conductos de agua, de aire, etc…están situados en el exterior del edificio, dejando un interior diáfano donde se puede aprovechar cada metro cuadrado del interior. Este hecho es el que le da su apariencia característica, con una fachada principal donde destacan las escaleras mecánicas que cruzan la fachada de un lado a otro, y la parte posterior, donde están todos los tubos de diferentes conducciones y suministros, que están pintados de vivos colores. Las colecciones permanentes están situadas en las siguientes plantas:

- Las obras desde 1905 a 1960 en la 5ª y la 4ª planta.

– Las de arte contemporáneo en la 4ª planta.

- Las mayores exposiciones de arte contemporáneo se realizan el la 1ª y la 6ª planta.

- Una biblioteca informativa en la 1ª, 2ª y 3ª planta

- Un forum que incluye un centro de actuaciones, un cine y talleres infantiles en los bajos.

LE MUSÉE D’ART MODERNE alberga una colección de más de 60.000 obras de arte perteneciente a unos 42.000 artistas, que abarca todas las artes. Desde su renovación, las disciplinas clásicas (pintura, escultura, dibujo y fotografía) están integradas con otros medios como son el cine, la arquitectura, el

diseño y los archivos visuales y sonoros. En la actualidad las colecciones representan una completa perspectiva de la creación moderna y contemporánea. Entre los artistas del museo destacan Picasso, Matisse, Miró, Pollock,, Braque, Kandinsky ,representantes de las escuelas fauvistas, cubistas y surrealistas. Entre sus obras de arte se encuentran el retrato de la periodista Sylvia von Harden de Dix, le Cheval majeur de Duchamp-Villon, a Rusia, los asnos y los otros de Chagall, la tristesse du roi de Matisse, Hombre con guitarra de Picasso, las dos barcas de André Derain, con el arco negro de Kandinsky y la puerta del adiós de Joan Mitchell.

La tristesse du roi (Henri Matisse)

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LE QUARTIER DU MARAIS, limitado por el triangulo que forman el Sena, la rue du Temple y los Grandes Bulevares, recibe el nombre de le Marais (el pantano), debido a que en al antigüedad las crecidas del Sena convertían a este lugar en una autentica zona pantanosa. Alcanzó su época de gloria en el siglo XVII convertido en zona de moda de las clases adineradas; ellas construyeron mansiones grandes y suntuosas, “los hôtels” que todavía destacan en el Marais actual. Muchas han sido restauradas y convertidas en museo. Uno de los más sorprendentes es el Carnavalet que muestra la historia de Paris desde el tiempo de los romanos. Este barrio fue habitado por la aristocracia hasta mediados del sigo XVIII aunque su declive llegó un poco antes con el traslado, en la época de Luis XIV, de la corte a Versailles y a los nuevos barrios de St-Germain y St-Honoré. E barrio del Marais se convirtió, entonces en una zona de actividades comerciales y artesanales llegando al declive total con los graves daños y el posterior abandono causados por la Revolución Francesa. En 1962, André Malraux , escritor y ministro de Bienes Culturales puso en marcha un plan de recuperación para salvaguardar esta zona de la ciudad, oficialmente declarada monumento histórico.

¿QUÉ ES UN “HÔTEL PARTICULIER”? Es una construcción típicamente francesa. Se trata de una lujosa residencia , construida por las clases adineradas y caracterizada por su estilo clásico. Normalmente tiene un patio que da a la calle, un núcleo central con alas laterales y, sobre la parte posterior una terraza con jardín. De los muchos que existen en este barrio, destacamos:

El Hôtel Carnavalet: ocupa uno de los edificios más bellos de París, obra maestra de los siglos XVI y XVII. Fue construido en 1545 para el presidente del Parlamento. En 1655-1661 Mansart fue el encargado de reformarlo, añadiéndole un piso más; desde 1677 hasta su muerte, en 1694, vivió en él la famosa escritora madame de Sevigné. Domina el patio la estatua de bronce de Luis XIV obra de Coysevox. En la actualidad, es sede del museo de Historia de la ciudad de París.

L’Hôtel Lemoignon, construido para Diana de Francia, duquesa de Angulema. En el siglo XVII, este palacio constituyó el centro de la vida literaria de París. Hou día es sede de la Bibliothéque historique de la Ville de París.

L’Hôtel Soubise se encuentra en la calle de los Francs-Bourgeois. Se entra directamente al patio de honor en forma de herradura de donde se admira la fachada con las estatuas de las estaciones. En el primer piso están los espléndidos departamentos del príncipe y de la princesa de Soubise, decorados con frescos de los mejores pintores y esculturas de la época. Alberga el Museo de la Historia de Francia. Entre los documentos que aquí se recogen destacan por ejemplo, el acta de la fundación de la Sainte Chapelle y de la Sorbona o el Edicto de Nantes, su revocación, una de las seis cartas de Juan de Arco, etc.

El Hôtel Rohan se encuentra en la calle Vieille-du-Temple y se comunica con el anterior por un jardín sobre el que da la fachada principal del edificio. Este edificio fue construido para uno de los hijos del príncipe de Soubise. Alberga el minutario de los notarios de paris. Las caballerizas situadas a la derecha están decoradas con el magnifico bajorrelieve de Robert le Lorrain “los caballos del sol o de Apolo”. El interior del edificio ha conservado una magnifica escalinata que conduce a los departamento del primer piso entre los que destaca “el cabinet des singes” – conjunto de de artesonados de madera de 1750 que evocan el exotismo y los viajes. Este edificio se utiliza para exposiciones temporales.

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En el Hôtel Salé , se encuentra el Museo Picasso. Fue construido en 1656 para un recaudador de impuestos, de ahí el nombre del edificio.

El Museo recoge más de 200 cuadros, 160 esculturas y cerámicas, relieves y grabados del artista, además de su colección personal de pintura, que incluye obras de los grandes impresionistas franceses. La colección muestra obras juveniles y del periodo azul; periodo rosa; estudios para las Señoritas de Avignon: esculturas de inspiración exótica y los inicios del cubismo; los años del cubismo; periodo clásico; surrealismo y grabados.

El Hôtel Sully se encuentra en la rue Saint-Antoine aunque se puede entrar también a través de la Place des Vosges. Es un edifico de estilo Renacimiento construido en 1624 y adquirido por Maximilien de Béthume, primer duque de Sully y ministro de Enrique IV , en 1634. El patio de honor, uno de los más hermosos del Marais está realizado en estilo Luis XIII; los frontones están decorados y las ventanas esculpidas y enriquecidas con estatuas que representan los Elementos y las Estaciones.

En la actualidad alberga el Centro de los Monumentos Nacionales, organismo que administra más de cien monumentos nacionales y edita obras consagradas al patrimonio.

LA PLACE DES VOSGES (plaza de los Vosgos) se encuentra en el corazón del Marais. Es la más antigua de la ciudad y fue construida por Enrique IV entre 160 5 y 1612 en el emplazamiento del Hotel des Tournelles. Bautizada con el nombre de Place Royale, fue inagurada en 1612 con motivo del compromiso de Luis XIII y de Ana de Austria. En 1799 fue rebautizada con el nombre de los Vosgos como homenaje al departamento del mismo nombre, el primero en pagar los nuevos impuesto de la Revolución Francesa. La place des Vosges es una amplia plaza cuadrada, de 108 metros de lado que esta completamente cerrada por treinta y seis antiguos y característicos palacios de piedra calcárea blanca y ladrillos rojos con pórticos en

la parte inferior , dos órdenes de ventanas. En el centro de la plaza, entre árboles, se levanta la estatua ecuestre en mármol de Luis XII. En el nº 1 de la plaza, se halla el lujoso Pavillon du Roi, reservado al rey Enrique IV y enfrente el de la reina. En el nº 21, vivió Richelieu y en el nº6, en el antiguo Hotel de Rohan –Guéménée vivió Victor Hugo, hoy Museo Victor Hugo.

LA PLACE DE LA BASTILLE debe su nombre a la fortaleza de la Bastilla, mandada construir por Carlos V a finales del siglo XIV. Convertida en prisión estatal, fue el primer objetivo de la insurrección popular el 14 de julio de 1789. Fue tomada al asalto, liberados los presos, que eran sólo siete, debido a que la fortaleza iba a ser demolida. En un año quedó arrasada. En su centro se levanta la columna de Juillet, del arquitecto Alavoine; en la cima destaca el Genio de la Libertad, de Agustín Dummont. En esta misma plaza, en el antiguo emplazamiento de la estación Paris-Bastille, se inaguró en 1989, un edificio de arquitectura moderna : L’Opéra Bastille, mandado construir por François Mitterrand para aligerar la Opéra Garnier y con el fin de dotar a la ciudad de un edificio moderno y popular para este arte.

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MONTMATRE. PIGALLE

MONTMARTRE se encuentra en el distrito 18 , en la zona norte de la ciudad, y es uno de los barrios con mayor encanto de la ciudad debido a sus calles en cuesta , jardines y escaleras. Hasta el siglo XIX, Montmartre no era más que un pequeño pueblo que a partir de ese momento se integró en la ciudad como

un barrio más. Su nombre viene del latin, "mons mercurii" (Mont de

Mercure) "mons martis" (Mont de Mars). Pero el abad Hilduin , sIX, para servir a su causa,mantuvo la leyenda de "mons martyrium" a causa del martirio que Saint Denis ( primer obispo de París) y sus compañeros sufrieron a midad del cerrro. Llamada en un principio Mons Martyrium

(El monte de los mártires), en la Edad Media fue una zona conventual y en 1589, Enrique IV se hospedó durante el asedio a la capital francesa, en las Guerras de Religión. Durante la Revolución Francesa, los conventos del municipio fueron destruidos y en 1871 fue escenario de la lucha de la Comuna. Ya antes de ser incorporado a la municipalidad de París, Montmartre fue un lugar donde había numerosos viñedos, trigales y pastos para la crianza de ovejas. En la actualidad, es un barrio comercial parisino donde se alojan diversos cafés, restaurantes y sitios de diversión como el Moulin Rouge y la Place du Tertre. El Barrio se prolonga desde Place Pigalle hasta la Iglesia de Sacré-Coeur.

LA PLACE DU TERTRE. Lo que hasta el siglo XIX fue un pequeño pueblo, a partir del momento en que entró a formar parte de París se

convirtió en el feudo de los intelectuales y de los artistas, que gustaban de reunirse en la plaza del Tertre. Es el lugar más turístico de Montmartre. Aquí se encuentran cafés, vendedores de souvenirs, dibujantes... En 1635 se plantaron árboles en esta plaza y se castigaba duramente a quien los deterioraba. En 1871, 171 cañones fueron colocados en este lugar. El general Lecomte tenía la orden de retirarlos, pero no puedo cumplirla a tiempo. El hecho de querer retirar los cañones de la plaza del Tertre, provocó un motín que sería el origen de la Comuna.

LE SACRÉ-COEUR

Esta basílica está situada en lo alto de la colina de Montmatre. Inicialmente fue concebida como un monumento público para rendir homenaje a la memoria de los numerosos ciudadanos franceses que habían perdido la vida durante la Guerra Franco-Prusiana y para expiar los pecados cometidos por la comuna. Fue el arquitecto Paul Abadie quien ganó el concurso para su construcción. Aunque muy controvertido, es uno de los monumentos más visitados de París. La basílica tiene forma de cruz griega, adornada con cuatro cúpulas: el domo central, de 80 m de altura, está tocado por una linterna, formada por una columnata.

En el ábside, una inmensa torre cuadrada hace las veces de campanario que guarda, entre otras, la

Savoyarde, una campana de 3 m de diámetro y más de 26 t de peso, ofrecida por la diócesis de Chambéry. La cripta posee la misma disposición que la iglesia, y es una de las curiosidades de la basílica.La arquitectura de la basílica se inspira en la arquitectura romana y bizantina e influyó en otros edificios religiosos del siglo XX, como por ejemplo la basílica de Sainte-Thérèse de Lisieux. En el pórtico aparecen las estatuas de San Luis y Juana de Arco y es posible, una vez dentro, subir a la cúpula para gozar de una vista panorámica de París.

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PIGALLE se encuentra muy cerca de Montmartre. Debe su nombre al escultor Jean- Baptiste Pigalle (1714-1785). El barrio es conocido en el mundo entero por ser el barrio de los sex-shops y cabarets, entre ellos el famaso Moulin Rouge.

PROMENADE À PIED: LE QUARTIER LATIN – Sorbonne-Panthéon-Odéon….

LE QUARTIER LATIN está situado en la orilla izquierda del Sena, junto a la Isla de la Cité, a escasos metros de Notre Dame. Es una zona del 5º arrondissement (distrito). Siempre fue zona identificada con la vida bohemia y atrevida, pero también con las actividades educativas y culturales que en ella se llevan a cabo. Debe su nombre a los estudiantes de La Sorbonne, que habitaban en la zona en el Medioevo y hablaban en latín. Este barrio posee zonas características, como el Boulevard Sain Michel y Saint

Germain. Éste es el último rincón del París medieval que se conserva. Son callejuelas retorcidas que se abren camino entre edificios del siglo XVII y modestas casas todavía más antiguas.

LA PLACE SAINT MICHEL es desde siempre la cita inevitable de todos los estudiantes de París. Extensa explanada idealmente situada en el centro del Barrio Latino. La magnífica fuente de los leones que está en el frontón del edificio del boulevard Saint Michel se construyó en 1860 y se adornó con una monumental escultura del arcángel Saint Michel que vence al dragón. En su centro, la Iglesia Saint Séverin es una pura joya del arte Gótico.

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LE QUARTIER SAINT GERMAIN-DE-PRÈS se extiende alrededor de la iglesia del mismo nombre, evocando el recuerdo de la antigua abadía benedictina que se encontraba en ese lugar. Se trata de un barrio chic e intelectual, en él residen numerosos escritores y artistas. Tres cafés situados en torno a la

place Saint Germain des Près son particularmente célebres gracias a su clientela : hombres de letras, artistas y políticos, no sólo de la actualidad sino también de épocas pasadas. Estos cafés son: LES DEUX MAGOTS, FLORE y la “brasserie” LIPP. Entre la iglesia de Saint-Germain y el Instituto de Francia, las calles estrechas, repletas de “hôtels particuliers” del s. XVII acogen anticuarios, cafeterías, tiendas de lujo y editoriales.

La iglesia de St-Germain-des-Pres es la más antigua de París, concretamente del año 542. De estilo románico,en principio fue abadía benedictina destinada a guardar santas reliquias; su decadencia comenzó en 1794 con la Revolución francesa. Fue restaurada en el siglo XIX.

En el interior, se mezclan varios estilos arquitectónicos: gótico y románico. Destaca la estatua de Nuestra Señora de la Consolación. Alberga también

tumbas de hombres ilustres como Descartes.

LE JARDÍN DU LUXEMBOURG es el más céntrico y popular parque de París, se encuentra en el distrito sexto ( VI arrondissement) en el Barrio

Latino, a cien metros de la Sorbona y del Panteón.Tiene unas 22’45 ha. Fueron diseñados y construidos a petición de María de Médecis en el siglo XVII. Es de estilo neoclásico, con calles dispuestas simétricamente alrededor del estanque octogonal central. El único monumento que se conserva de la edificación inicial es la fuente de María de Médicis . En torno a él, destaca una serie de estatuas de antiguas reinas francesas, sólo una parte del conjunto total de esculturas que alberga el jardín. El

parque ofrece campos de tenis, lugares para jugar a la petanca y poneys para los niños; muchas personas se reúnen también para jugar partidas de ajedrez.

Dentro del Jardín du Luxembourg, se encuentra el Palacio del mismo nombre (PALAIS DU

LUXEMBOURG)que al igual que el jardín fueron construidos por el arquitecto Salomon de Brosse para María de Médicis de 1615 a 1627. En la actualidad alberga el Senado francés.

QUARTIER UNIVERSITAIRE: LA SORBONNE

La Sorbona es un establecimiento público de enseñanza superior. Fue fundada en 1257 por Robert de Sorbón con la intención de facilitar la enseñanza de la teología a los alumnos pobres. En sus aulas, reconstruidas en su totalidad entre 1885 y 1901, se enseñan hoy

principalmente las humanidades, la historia, la geografía, el derecho y las lenguas.

LE PANTHÉON DE PARÍS Su construcción empezó en 1764 con Soufflot y duró 26 años (fue acabada por Jean Baptiste Rondelet). Es uno de los primeros monumentos neoclásicos de Francia. Inicialmente estaba previsto que fuera una iglesia dedicada a la patrona de la ciudad, Santa Genoveva .Sin embargo la Revolución Francesa hizo que sirviera de templo para albergar los cuerpos de los hombres ilustres de la patria. El pórtico de columnas sobre el que descansa un frontón clásico está inspirado en el Panteón de Agripa, en Roma, mientras que la cúpula se inspira en la de la catedral de San Pablo en Londres.

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DIMANCHE, 24 JUIN

La Défense – Les Invalides – Le Trocadéro – Les Champs-Mars – La Tour Eiffel – LE Parc de la Villette – Le Quartier Montparnasse

LA DÉFENSE

LA DÉFENSE es un distrito de negocios situado al oeste de París, como prolongación del “axe historique” (eje histórico) que comienza en el Louvre y prosigue por la avenida de los Campos Elíseos, el Arco de Triunfo, y hasta el puente de Neuilly y la Grande Arche. Se extiende sobre los municipios de Puteaux,

Courbevoie y Nanterre (todos en el departamento de Hauts-de-Seine). Este distrito se compone esencialmente de rascacielos de oficinas conectados por una inmensa explanada (Le Parvis) de 31 hectáreas dedicada a los peatones. Los jardines colgantes y sesenta obras de arte hacen de él un verdadero museo al aire libre y un paseo muy apreciado por las 300. 000 personas que viven o trabajan allí. Actualmente es el distrito de negocios más importante de Europa. Los habitantes de La Défense y los que trabajan allí se llaman “Défensois”.

Parvis de la Défense

Su nombre viene del monumento La Défense de París creado como homenaje a los soldados que defendieron la ciudad durante la Guerra Franco-Prusiana de 1870. Se trata una escultura de Louis-Ernest Barrias, esculpida en bronce e inaugurada en 1883 sobre lo que era la glorieta de Courbevoie y siempre visible sobre Le

Parvis. En septiembre de 1958, el Estado crea el Establecimiento Público para la planificación de La Défense (Établissement Public pour

L'Aménagement de La Défense, EPAD),para construir, administrar y animar el distrito. La

Défense comienza a dibujarse. Un primer Plan de Ordenación es aprobado por el Estado en 1964.

Se construyen los primeros inmuebles (Esso, la Torre Nobel…) y van ganándole terreno, poco a poco, a las fábricas, las cabañas cercanas y algunas granjas.

El Centro de las Nuevas Industrias y Tecnologías (CNIT) diseñado por los arquitectos: Robert Camelot, Jean de Mailly y Bernard Zehrfuss, previsto en 1956, antes del EPAD, se inaugura en 1958 por el General Charles De Gaulle con ocasión de la exposición Les Floralies. Las torres que obedecen a este primer plan, llamadas de primera generación, son todas de una morfología idéntica: una base de 42 x 24 metros, limitadas a una altura de 100 metros y de una superficie de 30 000 m2. En 1966, la Torre Nobel (del arquitecto Jean de Mailly) es la primera en levantarse en La Défense. A comienzos de los años 1970, para responder a una considerable demanda, las torres de segunda generación hacen su aparición. El plan de 1964 se modifica para aumentar la superficie de los inmuebles. Los perímetros de 100 000 m2 hacen su aparición en edificios como la Torre Fiat (hoy Areva), de 184 m de altura y 44 pisos. A partir de 1973, la crisis económica ralentiza fuertemente el desarrollo de este distrito: durante 4 años no se vendió ni un m² de oficinas.

Desde principios de los años 1980, para implementar la construcción de La Défense, se construyen torres de tercera generación, sobre un modelo más económico: menos anchas y menos altas (como las torres Pascal, Voltaire y todo el Barrio Michelet). En 1981, se crea el mayor centro comercial de Europa (de la época): Les Quatre Temps. En 1982, el EPAD, bajo el impulso del Presidente François Mitterand, lanza el concurso Tête Défense que conducirá a la construcción del Grande Arche (Gran Arco). Durante este mismo periodo, se construyen hoteles, se remodela el CNIT (1989) y se prolonga la línea 1 del metro parisino, inaugurada el 1 de abril de 1992, y acerca más este distrito a París. En 1993, La Défense conoce su

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segunda crisis. Tendría que esperar hasta 1997 para que surja un nuevo arranque espectacular. Hoy, La

Défense es el mayor distrito de negocios de Europa.

Las principales compañías instaladas allí son: Cegetel, la Société Génerale, Total, Aventis, Arcelor… La mayor torre es la de Total, construida en 1985. Con 48 pisos y 187 metros de altura, es la segunda mayor torre de Francia después de la Torre Montparnasse; hay que señalar que las dos torres son obra de los mismos arquitectos Roger Saubot y François Julien. En 2011 esta torre Total dejará de ser la más alta cuando se termine de construir la torre Generali.

La Grande Arche de la Fraternité, mejor conocido como Grande Arche, es obra del arquitecto

danés Otto von Spreckelsen.

En 1982, el Establecimiento público para la planificación de La Défense (EPAD) convocó un concurso internacional de arquitectura al que se presentaron 424 arquitectos de todo el mundo.

El futuro edificio se convertiría en una insignia en el eje histórico de París, como el edificio del Louvre o el Arco de Triunfo. El jurado seleccionó cuatro proyectos y uno logró imponerse por su fuerza, su simplicidad y su pureza, que además se mostraba como la versión moderna del Arco del Triunfo. El autor de ese proyecto era el hasta entonces desconocido arquitecto Johann Otto Von Spreckelsen (1929–1987). Tras la muerte de Spreckelsen, el trabajo fue completado por su socio, el arquitecto francés Paul Andreu. La construcción corrió por cuenta del grupo francés Bouygues. En julio de 1989, bicentenario de la revolución francesa, fue inaugurado cuando estaba casi terminado, con gran desfile militar.

El cubo hueco del Grande Arche tiene 35 plantas. Es un hipercubo casi perfecto, con 108 metros de ancho, 110 metros de alto y 112 metros de profundidad. Sus 300.000 toneladas rep osan en doce pilares. Intercaladas entre los pilares y la megaestructura, se encuentran placas de neopreno que absorben las vibraciones y los cambios de dimensión. Las vigas de hormigón pretensado son de 70 metros y soportan el techo de una hectárea. Se colocaron a 110 metros de altura con una precisión milimétrica. Las caras exteriores están cubiertas de 2.800 panelesde vidrio opaco de 5 cm de espesor, pensadas especialmente para prevenir deformaciones ópticas y resistir poderosos vientos. Las caras interiores fueron cubiertas de mármol blanco de Carrara y granito gris.

La parte más alta de la construcción contiene un centro de conferencia y de exposición, un museo de informática, y también un punto panorámico del distrito de La Défense y el oeste de París. Estas instalaciones se encuentran abiertas al público y son accesibles por elevadores de vidrio que se encuentran en la parte hueca del arco.Las dos paredes albergan oficinas gubernamentales.

El Arco de la Defensa está ubicado perfectamente alineado con el Arco del Triunfo y el Arco de Triunfo del Carrusel, desde el Jardín de las Tullerías, junto al Museo de Louvre, se puede ver desde el interior del Arco del Carrusel, el Arco del Triunfo y el Arco de la Défense, los Campos de Elíseos y la Plaza de la Concordia.

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LES INVALIDES : LE TOMBEAU DE NAPOLEON

LES INVALIDES es un imponente edificio del siglo XVII, situado en el VII “arrondissement” . Próximo a él se encuentran otros lugares de interés como la Escuela Militar, frente a la Torre Eiffel. El edificio constituye uno de los monumentos más importantes de todo París, y destaca por la gran cúpula Domo o Dôme que se alza sobre la capilla de Saint Louis.

Histoire

El futuro de los soldados veteranos en la sociedad era , hasta el siglo XVII, muy difícil. Eran rechazados por la armada, pues lisiados o incapacitados ya para la lucha, se encontraban marginados socialmente o sumidos en la miseria. A partir de 1670, reciben un reconocimiento real y son admitidos en el hospital de los inválidos. Más tarde, se beneficiarán de pensiones de invalidez y formarán un grupo social identificable en la sociedad francesa, contribuyendo a la restauración de la imagen de la armada.

Les Invalides fue ordenado construir por el rey Louis XIV en 1670, destinado para ser un centro en el que se atendería a los soldados veteranos, muchos de ellos sin fortuna alguna, que habían servido en la armada.

Architecture

“L’église des Invalides” fue construida construida detrás de la primera, con la que enlaza a través de un sacrarium común. Tiene planta de cruz griega inscrita en un cuadrado, con exedras en los extremos de los brazos. En torno a la cúpula hay cuatro capillas satélites, con entrada diagonal perforando los pilares

torales. Para posibilitar las vistas lejanas de la cúpula, sobre el edificio se superponen tres cúpulas en una: la interior, abierta por un enorme óculo; la segunda, un cascarón que recoge la vista de la abertura procurando una iluminación ilusionística, típicamente barroca; y la exterior, sobre un entramado de madera. La construcción se llevó a cabo en 35 años, siendo encargado el trabajo al arquitecto Jules

Hardouin-Mansart. Los jardines y el cementerio de soldados fueron diseñados por el arquitecto Libéral Bruant, mientras que Mansart diseñó la capilla de Saint Louis, dedicada al coraje y la gloria de la guerra. El complejo fue inaugurado en 1706. En lo alto de la capilla, se encuentra la cúpula (Dôme), que culmina a los 107 metros de altura.

Fue restaurada por quinta vez en 1989, y consta de 12 compartimentos, decorados con trofeos entre los que las ventanas del ático pasan desapercibidas. Desde 1861, esta cúpula guarda los restos de Napoleón Bonaparte, que

fueron trasladados de la isla de Santa Elena a París en 1840, por iniciativa del rey Luis Felipe de Orleáns. Desde 1940, la cúpula contiene también los restos de su hijo, así como los de varios mariscales, entre ellos Lyautey y Foch. Les Invalides cumplió su función de hospital y hospedaje hasta la segunda mitad del siglo XIX. A partir de entonces, durante la Revolución Francesa, perdió esta función para convertirse en cripta Imperial.

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LES JARDINS DU TROCADÉRO ou PLACE DU TROCADÉRO

Se sitúan en el XVI distrito, a orillas del Sena y al otro lado de la Tour Eiffel. Tiene una superficie de 93.930 m2 y fue creada para la Exposición Universal de 1937, en el lugar en el que antiguamente estaban ubicados los jardines del Palacio del Trocadéro, un palacio de estilo morisco, obra de Jean-Charles Alphand, construido para la Exposición Universal de París de 1878 por orden de Luis XVIII. Se le llamó Trocadéro, en conmemoración de la toma del fuerte de Cádiz por parte de los franceses en 1823.

La plaza es conocida por su célebre fuente de Varsovia (1937), una obra del arquitecto Roger-Henri Expert, conformada por una serie de estanques en cascada que alimentan una gran piscina rectangular donde hay cañones de agua que lanzan chorros desde los bordes. La plaza contiene una gran cantidad de esculturas de la década de 1930, como El hombre de Traverse y La mujer de Bacqué.

LE PALAIS DE CHAILLOT

Se construyó para la Exposición Universal de1937 por los arquitectos Léon Azéma, Jacques Carlu y Louis-Hippolyte Boileau, en lugar de donde se situba el antiguo Palacio del Trocadero.

El actual palacio de Chaillot está formado por dos grandes pabellones que se alargan y continúan en dos alas curvas, unidas entre sí en el centro mediante una amplia terraza adornada por una serie de estatuas de bronce dorado. Estos dos pabellones, en cuyos frentes se encuentran grabados distintos versos del poeta Paul Valéry, son en la actualidad

las sedes de tres importantes museos: el Museo Nacional de la Marina, el Museo del Hombre, y el Museo de los Monumentos Franceses.

El palacio es también célebre porque en él la Asamblea General de las Naciones Unidas adoptó la Declaración Universal de los Derechos Humanos el 10 de diciembre de 1948

LA TOUR EIFFEL : MONTEE AU SOMMET

LA TOUR EIFFEL es una estructura construida por el ingeniero francés Gustave Eiffel en ocasión de la Exposición universal de 1889 en París. Tiene una altura de 300 metros (sin tener en cuenta la antena de televisión de 24 metros situada en su parte superior) con un peso (recién construida) de 7.300 toneladas, si bien hoy en día se calcula su peso en más de 10.000 (debido al museo, restaurantes, almacenes y tiendas que alberga en la actualidad). El color original de la torre fue el amarillo, aunque hoy en día no quede nada de él. Para su construcción se usó hierro forjado erigido bajo la forma de 18.038 piezas entrecruzadas fijadas por 2.500.000 remaches. Fue construida entre los años 1887 y 1889 para que sirviera como arco de entrada para la Exposition Universelle, una feria mundial organizada para conmemorar el centenario de la Revolución Francesa. La torre se inauguró el 31 de marzo de 1889, y fue abierta al público el 6 de mayo de ese año. Para alcanzar la cima hay que recorrer 1665 escalones. Es considerada sin lugar a dudas como el símbolo indiscutible de Francia y de la ciudad de París en particular, siendo el monumento más visitado del mundo.

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Caractéristiques techniques de la Tour Eiffel

Hauteur

Hauteur du plancher du 1er

étage : 57,63 mètres

Hauteur du plancher du 2e

étage : 115,73 mètres

Hauteur du plancher du 3e

étage : 276,13 mètres

Hauteur totale avec antenne : 324 mètres (en 2000)

Poids

Charge au sol

Total : 10 100 tonnes

De la charpente métallique : 7 300 tonnes

4,5 kg / cm2

(équivalent à un homme assis sur une chaise)

Matériau

Composition

Fer puddlé Provenant des aciéries de Pompey en Lorraine

18 038 pièces métalliques

2 500 000 rivets

Nombre de marches

1 665 (marches du sol au sommet par le pilier Est, à l'exception de l’escalier menant du 2e au 3e étages, interdit au public.)

Gustave Eiffel

Alexandre Gustave Eiffel (15 de diciembre de 1832, Dijon - 27 de diciembre de 1923, París) era un ingeniero y arquitecto francés, especialista en estructuras metálicas. Se graduó como ingeniero químico en 1855. Poco después empezó a trabajar en una empresa de equipos para ferrocarriles. Su construcción más

famosa es la Torre Eiffel. La reputación de Eiffel sufrió un duro revés cuando se vio implicado en escándalos financieros. En sus últimos años empezó a estudiar aerodinámica. Eiffel murió el 27 de diciembre de 1923 en su mansión de la Rue Rabelais de París y fue enterrado en el cementerio de Levallois-Perret, en la misma localidad Entre las obras de Eiffel, podemos citar, el diseño de la estructura metálica interior de la Estatua de la Libertad, situada en Nueva York, del escultor francés Frédéric-Auguste Bartholdi; el viaducto de 160 metros de luz sobre el río Duero, entre Oporto y Vila

Nova de Gaia, Portugal. El Ponte Maria Pia que está constituido por un doble arco que sostiene las vías para un único ferrocarril. También diseñó La Ruche en París, que se convertiría, al igual que la Torre Eiffel, en un punto de referencia de la ciudad. Y la Catedral de Tacna, Perú entre otras

Les Champs-Mars

El parque del Campo de Marte es un vasto jardín público situado en el séptimo distrito, entre la Torre Eiffel, al noroeste y la Escuela militar al sureste. El Campo de Marte, antes de la Revolución, sólo era un campo, dedicado al cultivo de hortalizas. Su nombre procede del Campo de Marte romano (dios romano, Marte, dios de la guerra). El Campo de Marte mide 780 metros de largo, con 220 metros de ancho. En la actualidad es una zona de paseo o una inmensa área para espectáculos de rock.

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LE PARC DE LA VILLETTE

Le Parc de la Villette (villette significa pequeña villa) se ubica al noreste de París. Está emplazado en terreno que anteriormente servía como mercado de carnes y matadero, al lado de un canal de agua.

El espacio fue transformado a partir de 1984 en un inmenso parque urbano diseñado por Bernard Tschumi que ganó el concurso internacional para el diseño de un gran parque en la zona del antiguo camal, impulsado por el entonces presidente francés Francois Mitterrand, dentro del plan de revitalización de la ciudad.

Le Parc de la VIllette se ha convertido en el parque más extenso de París (55 ha) y es además uno de

los primeros y tal vez más importantes ejemplos de arquitectura deconstructivista, El fuerte componente arquitectónico predomina sobre el diseño paisajista, cuestionando el modelo del parque parisino del siglo XIX

Le Parc de la Villette mezcla naturaleza y arquitectura, áreas de ocio, lugares de exposiciones, de espectáculos y de debates: Grande Halle, Pabellón Delouvrier, Casa de la Villette, espacios de carpas y cabarets, salas de baile, etc. Es también un lugar cultural de primer orden ya que en él se ubican: el Conservatorio nacional, el Théâtre Paris-Villette, el Tarmac (antiguo Théâtre Internacional de Langue Française) y la Cité des Sciences et de l’Industrie, Cité de la Musique, la Géode, el Zénith en donde se realizan grandes

conciertos,etc.

La Cité des Sciences et de l’Industrie fue inaugurada en 1986 y proyectada por el arquitecto Adrien Fainsilber, que realizó diseño arquitectónico futurista de dimensiones faraónicas.

Nació con el objetivo de difundir entre el gran público, especialmente entre los niños y adolescentes, los conocimientos técnicos y científicos, así como de suscitar el interés de los ciudadanos por los temas sociales ligados a la ciencia, industria e investigación.

Cuenta con varios espacios:

EXPLORA

Un gran edificio para explorar el mundo de hoy con ayuda de espectáculos interactivos, de maquetas y de demostraciones prácticas: el universo, el agua y la tierra, el hombre y su salud, la industria contemporánea y la comunicación son los principales temas que se abordan.

CINAXE

Se trata de un simulador. Mientras los espectadores ven una película, sus butacas se mueven en perfecta sincronización con la imagen.

GÉODE

Una gran esfera de acero equipada de una sala de cine con proyección en pantalla gigante y 3D.

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ARGONAUTE

Un submarino real de 400 toneladas que perteneció a la marina francesa.

ACTUALIDAD CIENTÍFICA

Un espacio actualizado permanentemente y dedicado informar sobre lo último de la ciencia y la tecnología.

LA CIUDAD DE LOS NIÑOS.

Espacio dedicado totalmente a los niños de 2 a 12 años que privilegia la acción, el juego y la relación niño-adulto. Su concepto es permitir a los niños aprender y evolucionar a través de animaciones y de trabajos prácticos y divertidos. Los niños viven situaciones concretas similares a las de la vida cotidiana, situaciones compartidas por dos o varias personas que los ayudan a aprender

Además, la Cité des Sciences et de l’Industrie cuenta con un planetario, un acuario y una mediateca. Y, constantemente hay conferencias, exposiciones y espectáculos.

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LE QUARTIER MONTPARNASSE

LE QUARTIER MONTPARNASSE se sitúa en la margen izquierda del Sena centrado en la intersección del Boulevard de Montparnasse y el Boulevard Raspail. Montparnasse fue absorbido en el XIV arrondissement en 1860.

El nombre de Montparnasse proviene de "mont Parnasse", monte Parnaso en francés (en la mitología

griega, hogar de las nueve diosas griegas, las musas, de las artes y las ciencias), nombre dado al escarpado barrio en el siglo XVII por los estudiantes que acudían al mismo a recitar poesía.

La colina fue nivelada en el siglo XVIII para construir el Boulevard de Montparnasse. Durante la Revolución Francesa numerosos clubs de baile y cabarets abrieron sus puertas en este barrio. Esta zona es también conocida por sus cafeterías y bares.

Como su homólogo Montmartre, Montparnasse se hizo famoso a comienzos del siglo XX, en los años llamados Années Folles (los años locos), cuando era el corazón de la vida intelectual y artística de París. De 1910 al comienzo de la Segunda Guerra Mundial, los círculos artísticos parisinos migraron a Montparnasse, una alternativa al distrito de Montmartre que había sido el caldo de cultivo de la anterior generación de artistas. El París de Zola, Manet, Anatole France, Degas y Fauré, un grupo con más en común por el estatus del que provenía que por las tendencias artísticas del momento, malcriados en los refinamientos del dandismo, estaba en el otro extremo

del espectro económico, social y político respecto a los artistas emigrantes, valientes y que alzaban la voz con dureza que poblaban Montmartre.

Pintores prácticamente sin dinero, escultores, escritores, poetas y compositores vinieron del mundo entero para prosperar en la atmósfera creativa y por el alquiler barato en comunas de artistas como La Ruche. Viviendo sin agua corriente, en estudios húmedos, sin calefacción, raras veces sin ratas, muchos vendieron sus trabajos por unos francos solamente para comprar comida. Jean Cocteau una vez dijo que la pobreza era un lujo en Montparnasse. Entonces promovidos por distribuidores de arte como Daniel-Henry Kahnweiler, hoy los trabajos de aquellos artistas se venden por millones de euros.

Tour Montparnasse. Vue panoramique

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3e ÉTAPE : LUNDI, 25 JUIN

DYSNEYLAND - BRUXELLES

DISNEYLAND PARIS, LES DEUX PARCS

HORAIRES

Parc Walt Disney Studios: 10:00-19:00

Parc Disneyland: 10:00-20:00

DÉROULEMENT DE NOTRE VISITE

9h :Départ pour Disneyland

10h : Visite libre des Parcs. Repas à l’intérieur du Parc.

18h30 : Rendez-vous à l’entrée du parc . Départ pour Bruxelles.

22h30 : Arrivée à Bruxelles. Logement à l’hôtel

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4e ÉTAPE : MARDI, 26 JUIN

BRUXELLES – BRUGES – GAND – BRUXELLES

LA BELGIQUE EN QUELQUES TRAITS

Capital: Bruselas

Forma de gobierno: Monarquía parlamentaria y federal

Independencia (de los Países Bajos): 24 de octubre de 1830

Superficie: 30.528 Km2 (135º)

Población: 10.827.000 hab (72º)

Densidad: 354,6 hab/Km2

PIB/cápita: 36.235 (22º)

Miembro de: UE, OTAN, Benelux.

Bélgica uno de los miembros fundadores de la Unión Europea, cuyas instituciones principales tienen su sede en la capital, Bruselas, así como también la tienen otras organizaciones internacionales, como la OTAN.

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Geográficamente en Bélgica hay en tres regiones: la planicie costera al NO., la meseta central y las altiplanicies de las Ardenas al SE.

En la planicie costera se han ganado algunos espacios al mar, siguiendo el ejemplo holandés, pero a escala mucho más modesta. La meseta centrales un área lisa y de poca altitud, con numerosos valles fértiles e irrigada por muchas vías navegables. La región de las Ardenas, más accidentada, es una meseta densamente boscosa, muy rocosa y poco apta para el cultivo; aquí se concentra la mayoría de la fauna salvaje y se halla el punto más alto, con sólo 694 m de altitud.

El clima es marítimo templado, con precipitaciones significativas durante todo el año. Por la elevada densidad de población, tiene serios problemas de medio ambiente, especialmente en lo que se refiere a la calidad de las aguas de los ríos, la peor de Europa según algunos estudios.

La economía belga presenta un carácter dual, con una dinámica parte flamenca, que incluye Bruselas, centro multiétnico, y por otro lado, con una economía valona más ruralizada y menos dinámica.

Desde el punto de vista político, Bélgica es un estado federal que se compone de comunidades y regiones. Esto quiere decir que el poder de decisión no está centralizado sino que se reparte en tres entidades:

El estado federal, creado en 1993 , conserva todas aquellas competencias que conciernen a todos los belgas y al conjunto de todo el territorio. El Parlamento, de tipo bicameral (Cámara de representantes y Senado) ejerce el poder legislativo. El más alto representante del Estado federal es el REY (Alberto II, en la actualidad) . El poder ejecutivo es ejercido por el gobierno federal

Tres comunidades que nacen de las tres lenguas oficiales que se hablan en el país. Estas tres comunidades son

- La comunidad flamenca es competente en la región lingüística neerlandesa y ejerce también sus competencias en la región bilingüe Bruxelles-Capitale.

- La comunidad francesa es competente en la región lingüística francesa y ejerce también sus competencias en la región bilingüe Bruxelles-Capitale.

- La comunidad germanófona es competente en la región lingüística de lengua alemana.

Cada comunidad dispone de un gobierno y de un parlamento.

Tres regiones : Flandre, Wallonie,Bruxelles-Capitale

Las regiones son entidades territoriales. La región de Flandre engloba la comunidad lingüística flamenca. La región de Wallonie engloba la región lingüística francesa y germana y la región Bruxelles-Capitale engloba la región bilingüe Bruxelles Capitale.

Cada región tiene un gobierno y un parlamento. En Flandes,las autoridades regionales y comunitarias se han unido en un solo gobierno y parlamento.

El 60% de su población, principalmente en la región de Flandes, habla neerlandés, mientras que cerca del 35% habla francés (en la región de Valonia y en la región de Bruselas – Capital, zona estrictamente bilingüe que asimismo cuenta con una importante minoría de hablantes del neerlandés). Menos de un 1% forman la comunidad germanófona, en el Este del país. Tal diversidad ha condicionado la vida de Bélgica .

¿De dónde viene está diversidad? A principios del siglo XVI, Carlos I de España y V de Alemania, recibió los Países Bajos como parte de la herencia borgoñona procedente de su linaje paterno. Él mismo había nacido allí, en Gante, en el año 1500. Al abdicar en 1556, los cedió a su hijo Felipe II de España. A lo largo de la llamada “guerra de los ochenta años”, se fue forjando la separación entre las Provincias Unidas del norte, cuya independencia fue reconocida por España en 1648, origen del actual Reino neerlandés, y, por otra parte, los ‘Países Bajos del Sur’. Éstos últimos siguieron administrados por los Habsburgo españoles durante el siglo XVII, y por los Habsburgo austriacos en el siglo XVIII.

Durante la Revolución francesa y durante el período napoleónico, ‘Países Bajos del Sur’ son ocupados por los franceses. Concluida esta etapa, surge en el Congreso de Viena el nuevo Reino de los Países Bajos, que engloba también la zona Sur, es decir, la actual Bélgica. La élite administrativa de lengua y cultura francesa que se ha formado en la etapa anterior, parece haber sido el motor de la revolución que, en 1830, separa la parte sur, la cual va a llamarse ahora ‘Bélgica’, del resto del reino neerlandés (que, sin embargo, logrará mantener por la fuerza la provincia meridional de Limburgo). Los nuevos belgas se reúnen en un congreso y

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ofrecen en un primer momento el territorio al nuevo rey de Francia, Luis Felipe; pero Gran Bretaña no está dispuesta a permitir esa expansión francesa y Se pone en marcha rápidamente en busca de un nuevo Rey para un nuevo Reino. Lo encuentra en la persona de alguien ya vinculado al Reino Unido: Leopoldo, de la familia alemana de los Sajonia – Coburgo – Gotha, antaño esposo, y ahora ya viudo, de la única hija de Jorge IV de Inglaterra. Nace así la casa de donde saldrán los “Reyes de los Belgas”.

En la actualidad como ya se ha mencionado más arriba el “Rey de los Belgas es Alberto II que sucede a su hermano Balduino I , muerto en 1993 y que se ha convertido en el nexo de unión de un país de frágil unidad política.

En la zona de Flandes, la más desarrollada del país en la actualidad y también la de mayor población y próspera se ha ido desarrollando una mentalidad nacionalista ,con sectores claramente separatistas. Las manifestaciones del fenómeno aparecen por doquier. No pasa del 1% la proporción de matrimonios mixtos. En la universidad de Lovaina, célebre desde la Edad Media, ahora se enseña en neerlandés y se ha creado una Nueva Lovaina, de habla francesa).

La brecha se ha ido abriendo poco a poco. Como dato anecdótico, cuando en 1941 Hitler hizo un llamamiento a los pueblos de Europa para combatir el bolchevismo internacional, elementos de Flandes y Valonia respondieron a él, pero con organizaciones y cuerpos expedicionarios, eso sí, separados. Tradicionalmente han existido, además, diferencias ideológicas.

Mientras Valonia era claramente socialista, Flandes era la base del poder del partido popular católico democrático.

Se ha intentado, por supuesto, resolver estas cuestiones por métodos institucionales; ya en 1889 se promulga la Ley de Lenguas, según la cual tanto el neerlandés como el francés eran lenguas oficiales. Durante la Primera Guerra Mundial, surge el movimiento que quería acabar con el predominio del francés, y hacer de Flandes un territorio monolingüe neerlandés, proceso que en efecto se va llevando a cabo entre 1932 y 1968. Es en 1963 cuando se adoptan las leyes que dividen el país en zonas lingüísticas.

Todo lo señalado llevaba a un proceso de federalización, que se desarrolla entre 1970 y 1993. Las reformas constitucionales de 1980, 1988 y 1993, extienden las competencias de Regiones y Comunidades configurando la organización actual del Estado.

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MARDI, 26 JUIN

Hace 800 años, Brujas era la primera gran capital del Condado de Flandes y una de las principales ciudades comerciales de Europa. Conocida como la Venecia del norte,actualmente, dentro de las murallas de la ciudad se puede contemplar una enorme cantidad de monumentos y tesoros artísticos que la han convertido Patrimonio Mundial de la UNESCO. Las murallas, torres y puertas de acceso a la ciudad medieval se conservan prácticamente intactas.

El corazón de Brujas se encuentra en el Grote Markt oPlaza Mayor, circundada por espléndidas fachadas como las del Palacio Provincial, el salón de los tejidos o " De Lakenhalle" y el imponente monumento conocido como Atalaya o Beffroi, símbolo de la libertad y de la autonomía de Brujas. Con 83 metros de altura, en la cima, se encuentra el campanario, gótico, de los siglos XIII a XVI, con nada menos que 47 campanas. Se trata de una poderosa torre de más de 300 escalones. Alberga un pequeño museo dedicado al edificio y su historia.

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En la plaza del Burg, se encuentran varios monumentos de interés: la basílica de la Santa Sangre, el

Ayuntamiento, una antigua escribanía renacentista y un palacio del siglo XVI.

La basílica de la Sagrada Sangre (Heilig Bloed) está integrada por dos capillas superpuestas. La inferior es de 1150, románica, en tanto que la superior es neogótica ya que durante la Revolución francesa fue demolida pero posteriormente logró ser restaurada.

La capilla románica está dedicada a San Basilio el Grande, un afamado docente eclesiástico griego del siglo 4, cuyas reliquias trasladó el conde Roberto II de Cesaría a Brujas. La planta muestra una estancia alargada, dividida en un ábside central y dos estrechos ábsides laterales. El coro que se encuentra en la prolongación del ábside central está acabado con un ábside semicircular.

La escalera DE STEEGHERE abundantemente adornada que conduce a la basílica superior, se construyó en el año 1533 en estilo renacentista con adornos góticos tardíos.

Sólo los tres arcos por los que se accede a la capilla lateral de la Santa Cruz son restos de la capilla superior original románica. Las vidrieras en el coro datan del 1845 y representan en orden cronológico los príncipes que reinaros sobre el condado de Flandes desde Felipe el Bravo, duque de Borgoña (1342-1404) hasta Maria Theresia, emperatriz de Austria (1717-1780). En ambas partes del altar principal se divisan distintivas que caracterizan a una basílica: el tintinnabulum o campanilla en un marco adornado y el conopeum o toldo solar bajado hasta la mitad en seda amarilla y roja. El púlpito original que tiene forma de globo. La gran pintura mural detrás del altar principal neogótico se realizó en 1905. El pequeño altar en medio del coro, está adornado con una estatua en relieve de alabastro que representa la Última Cena y que data de principios del siglo 17.

En esta iglesia se venera la reliquia de la Sangre de Cristo, traída de Tierra santa por el Conde de Flandes, en la segunda cruzada. Se conserva en una botella de cristal que se realizó probablemente en la antigua Constantinopla, hoy Estambul. En torno a esta reliquia se celebra anualmente, en el mes de mayo una solemne fiesta religiosa: los ciudadanos vestidos con trajes históricos, escenifican en la procesión escenas bíblicas y rememoran la llegada de la santa sangre a la región.

El Ayuntamiento es de final del siglo XIV, en estilo gótico florido. Su airosa verticalidad se realza mediante tres torrecillas. Es notable su sala gótica, con magnífica bóveda colgante.

Ayuntamiento de Brujas

En la plaza destacan también la escribanía, renacentista, del XVI, con un museo provincial, y el antiguo palacio Brugse Vrije, del siglo XVI también, actualmente centro administrativo municipal.

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La Catedral de San Salvador es la iglesia más antigua de Brujas, corresponde a los siglos XI a XV, y ha sido recientemente restaurada.. La parte exterior se caracteriza por su sencillez. La parte más antigua de la catedral es su

torre y desde ahí comenzaron a construirse las otras partes del templo.

Anteriormente en el siglo X esta catedral funcionó solamente como iglesia parroquial junto a la Iglesia de San Donatius. Tras la independencia del país, durante el siglo XIX fue denominada como la catedral principal de la ciudad . En 1839, año se incendio el techo de la iglesia. El encargado en su reconstrucción fue el arquitecto inglés William Chantrell.

En su interior se pueden apreciar numerosas obras de arte que anteriormente pertenecieron a San Donatius.

Destacan sobre todo los tapices, confeccionados por Van der Borcht y la escultura de Dios realizada por Arthur Quellin.

La Iglesia de Nuestra Señora es uno de los monumentos más importantes de la ciudad. Fue reconstruida en el siglo XII con estilo románico y nuevamente en el siglo XIII, ésta vez como iglesia gótica. Su construcción se terminó en el siglo XV. Destaca su torre de 122 metros de altura, hecha en ladrillo. Alberga un rico patrimonio pictórico , la mayoría del siglo del siglo XVI. De entre todas ellas, destaca una Madonna con niño, en mármol blanco, obra de Miguel Ángel. En esta iglesia se encuentran también los mausoleos de María de Borgoña y Carlos el Temerario, del siglo XVI.

Brujas alberga una cantidad de edificios de gran valor arquitectónico, de varias épocas, testigos de la historia y el esplendor de la ciudad durante parte del Medioevo, como la Casa de los Encajes, todavía están en activo.

Una parte importantísima de Brujas son los canales. No en vano, se la conoce como la Venecia del Norte por la increíble red de canales que la atraviesan, de todos de la Edad Media. Son navegables y una de las mejores forma de conocer la ciudad. Los cines son habitantes habituales de los canales.

GRAN CANAL Groenerie, la Orillaverde

Brujas también tiene un aspecto actual y dinámico: en 2002 fue Capital Cultural Europea, lo que sirvió para revitalizar la ciudad y poner en marcha una serie de proyectos , como su nuevo Auditorio o Concertgebouw, una impresionante sala de conciertos, con un variado programa de actuaciones y conciertos.

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La ciudad de Gante, Ghent en idioma flamenco, se encuentra al este de Flandes y recibe su nombre de la palabra celta que significaba confluencia (ganda) en alusión a la unión de los ríos Lys y Escalda.

En el S. XVI Gante fue, después de París, la ciudad más grande de Europa al norte de los Alpes. Actualmente, puede sentirse orgullosa por ser la ciudad flamenca con mayor número de edificios históricos, una intensa vida cultural y una situación privilegiada, entre Brujas y Bruselas, a 50 Km de cada una de ellas. Es el segundo puerto de Bélgica, gracias al canal que la comunica con el mar atravesando los Flandes Holandeses.

Gante cuenta con unos 250.000 habitantes. La ciudad está dividida en dos zonas o barrios, el Centro Histórico y el Barrio de las Artes. En el primero encontraremos los monumentos y edificios de obligada visita, mientras que en el segundo podremos descubrir los museos más importantes de la ciudad.

La historia de Gante comienza en el año 630, cuando San Armando eligió la confluencia de los ríos Lys y Escalda para la fundación de una abadía.

Fue durante la Edad Media cuando Gante se convirtió en una de las principales ciudades Europeas. Tuvo un pasado próspero, y de una economía rica, basada principalmente en el

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comercio marítimo. De sobra son conocidos los famosos paños de Gante, que eran exportados a países como España o Inglaterra.

El poder económico y político residía en familias de ricos comerciantes, aunque con el tiempo, concretamente en el siglo XIV, los gremios y artesanos fueron adquiriendo mayor fuerza, por lo que Gante obtuvo un gobierno más democrático.

Los ganteses lucharon una y otra vez, en la Guerra de los 100 años, la Batalla de las Espuelas de Oro o la Batalla de Gavere, por sus derechos, pues se mostraban reacios a perder sus privilegios y el poder que habían acumulado a lo largo del tiempo.

De hecho, con Carlos V, a mediados del siglo XVI, los habitantes de la ciudad fueron castigados, al sublevarse contra el emperador, porque les exigía ayuda económica para sus guerras contra Francia.

Los ganteses fueron humillados por su actitud. La campana Roeland, símbolo de la independencia de la ciudad, fue descolgada del campanario y destruida. Muchos habitantes sufrieron la horca, y otros tantos fueron apresados y obligados a pedir clemencia al emperador con una soga al cuello. A raíz del incidente, Gante comenzó su declive económico.

La expresión “tener la soga al cuello” parece que proviene del castigo que Carlos V aplicó a los habitantes de la ciudad, obligándoles a pasear descalzos, vestidos con una camisa y con la soga alrededor del cuello.

Tras el declive, Gante empezó a resurgir ya en el siglo XVIII, gracias a la fundación de la Universidad y a la recuperación económica que supuso el canal Gent-Terneuzen.

EL CENTRO HISTÓRICO

Catedral de San Bavón [Sint-Baafskathedraal)

En San Bavón se celebró en el año 1500 el bautizo de Carlos V, en plena transformación del templo del estilo románico al gótico. El emperador financió durante toda su vida las obras del edificio, que a su muerte, cincuenta y ocho años después, no se habían finalizado, por lo que fue imposible celebrar en él su funeral.

La Catedral es de origen románico, aunque de este estilo tan solo conserva hoy la cripta. El edificio cuenta con un altar mayor barroco realizado en mármol, un púlpito de roble y mármol de estilo rococó y obras maestras como “La Entrada en el Monasterio de San Bavón” de Rubens, el tríptico de “El Calvario”, de Justus Van Gent,…o mausoleos de varios obispos. Pero de entre todas las obras destaca, el políptico mundialmente famoso “Adoración del Cordero Místico”, de Huberto y Juan van Eyck de 1432.

Este retablo, máximo exponente el arte flamenco primitivo, sobrevivió a las guerras de religión, cayó en manos de Napoleón y fue reclamado por los Nazis en la Segunda Guerra Mundial.

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Campanario Municipal [Belfort ]

La majestuosa Torre Campanario de 1313 es el símbolo de la autonomía de la ciudad. Hoy forma, junto a la de la Catedral y la de la iglesia de San Nicolás, el grupo de “las tres torres”, que destaca en el horizonte gantés. En la torre se conservaron durante siglos los derechos municipales, adquiridos en 1180. Hoy en día estos derechos municipales se encuentran en la ‘Caja Negra’, el moderno archivo municipal de Gentbrugge.

La cúspide del campanario se encuentra coronada por el poderoso dragón de Gante, de unos 400 kilos, que vela y protege a sus habitantes.

En la torre estaba la campana Roeland, que avisaba a los ganteses, hasta la llegada de Carlos V, de la aproximación del enemigo, de las ejecuciones

capitales, de la llegada de ilustres huéspedes y del comienzo de las fiestas de la ciudad.

Adosada a la Torre Municipal, está situada la Lonja del Paño de 1425. En un eufórico gótico brabanzón, este monumento rinde homenaje a la industria textil, uno de los pilares de la economía de la ciudad en el pasado.

La antigua vivienda del carcelero, está adosada en la esquina de la Lonja del Paño. La fachada delantera está coronada por el ‘Mammelokker’, término derivado del dialecto gantés, que narra la leyenda de Cimón, que condenado a morir de hambre y de sed, fue amamantado por su hija y así se salvó.

Iglesia de San Nicolás [Sint-Niklaaskerk ]

Es la torre que completa la famosa enfilada. El templo recibe el nombre del patrono de los comerciantes, san Nicolás, ya que fueron estos mismos los que impulsaron la obra. La iglesia del siglo XIII es uno de los más bellos ejemplos del gótico denominado “gótico de Escalda” que se caracterizaba por la utilización de una piedra azulada calcárea, procedente de la zona de Tournai, una ciudad a orillas del río Escalda. Destaca su fachada, de verticalidad acusada y la torre del crucero que es única. Actúa como una linterna natural, dejando penetrar los rayos de luz e iluminando el centro de la iglesia. La restauración se inició en 1960 y todavía no se ha concluido.

Teatro Real Neerlandés [NTGent ]

Situado en la Plaza de San Bavón ,el edificio, de finales del siglo XIX, alberga la sede del teatro municipal NTGent, que representa obras tanto flamencas como internacionales. En la fachada, encima de la entrada, Apolo y las Musas contemplan la magníficamente restauradaSint-Baafsplein. En la cúspide, la diosa Armonía vigila el conjunto.

Ayuntamiento [Stadhuis ]

El Ayuntamiento de Gante representa una antología de la arquitectura del siglo XV al XVIII. El gótico flamígero de la fachada de la calle Hoogpoort, contrasta muchísimo con el sobrio estilo renacentista de la fachada del Botermarkt. En el interior que , sólo puede ser visitado con la compañía de un guía, muestrs una gran variedad de estilos: la Sala del Arsenal, con una hermosa bóveda de madera, la Sala de la Pacificación, con un laberinto de baldosas blancas y negras, símbolo de la búsqueda de justicia y de la felicidad, la Capilla Nupcial iluminada por seis vidrieras que representan a los condes de Flandes y la Sala del Trono, con el

majestuoso trono donde tuvo lugar la investidura de José II en 1781

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Castillo de los Condes de Flandes [Gravensteen ]

Esta fortaleza medieval, mandada construir por Felipe de Alsacia, se encuentra en pleno centro de la ciudad, y está rodeada por un foso. Además de servir como hogar de los Condes de Flandes, el Gravensteen ha alojado en su interior la Casa de la Moneda, una prisión, e incluso sirvió durante un tiempo como fábrica de algodón.

Sus muros albergan una sorprendente colección de armas e instrumentos de tortura, torniquetes con los que se aplastaban los pulgares, una guillotina...

Iglesia de San Miguel [Sint-Michielskerk ]

La Iglesia de San Miguel es un edificio de grandes dimensiones realizado en estilo gótico y con elementos barrocos. La torre de la iglesia de San Miguel ya en 1440 tenía que alzarse sobre las otras, pero la historia decidió lo contrario: ‘el monumento de la victoria’ que tenía que haber alcanzado una altura de 134 se quedó en unos escasos 24 metros. En 1828, la torre inacabada recibió una terminación plana. La iglesia posee numerosos cuadros y esculturas, entre ellos, destaca ‘Cristo en la Cruz’ de Antonio Van Dyck.

Muelles de las Hierbas y de los Granos

Este puerto medieval se encuentra en pleno corazón de Gante. Paseando por él, se pueden apreciar verdaderas joyas arquitectónicas: la Casa Gremial de los Medidores de Granos, la Casa Gremial de los Marineros Libres o el Almacén de Trigo entre otras edificaciones, todas ellas testigos del florecimiento de la economía gantesa durante la Edad Media.

En la otra orilla se encuentra el Korenlei. De la mayoría de los edificios originales, sólo se conservan algunas fachadas.

OTROS LUGARES DE INTERÉS

Entre otros, La Lonja de la Carne, la Casa Gremial de los Albañiles, el Castillo de Gerardo el Diablo, el Antiguo Edificio de Correos, ,el Palacio Episcopal, la Antigua Lonja de Pescado, los beatarios…

La Lonja de la Carne

La Lonja de la Carne, construida a principios del siglo XV, era el único lugar en el que los ganteses podían comprar, por motivos de control higiénico, la carne. Hoy se pueden degustar en ella el jamón Ganda (del cerdo flamenco) y otras especialidades de la zona.

El Castillo de Gerardo Diablo A pesar de su nombre y de su sombrío aspecto, el diablo nunca habitó en esta fortaleza del s. XIII.A través de los siglos, este Edificio fue utilizado para diversas finalidades: vivienda noble, arsenal, monasterio, escuela y seminario episcopal. En 1623,se convirtió en asilo de enfermos mentales y en orfanato masculino. Otra parte del edificio se empleó como cárcel o correccional.

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Palacio Episcopal

Detrás del Castillo de Gerardo el Diablo, destaca la impresionante cúpula del Banco Nacional de Bélgica. Enfrente, está situado el Palacio Episcopal con su reluciente fachada blanca, terminado en 1845. Casa Gremial de los Albañiles

Enfrente de la iglesia de San Nicolás, al otro lado de la calle, destaca la auténtica Casa Gremial de los Albañiles del s. XVI. En la parte superior, de la fachada escalonada, bailan seis bufones al ritmo del viento. Bajo el edificio, que es propiedad de la federación de Turismo de Flandes Oriental, se conserva todavía un sótano del s. XIII.

Antiguo Edificio de Correos

El antiguo edificio de Correos, construido entre 1898 y 1909, se ha convertido en un centro comercial. En el momento que los primeros rayos del sol anuncian la primavera, se instalan las terrazas en el Korenmarkt.

Antigua Lonja del Pescado [Vismijn ]

En la plaza de Sint-Veerleplein, enfrente del Castillo de los Condes, se encuentra la puerta monumental (1689) de la antigua Lonja del Pescado. Neptuno parece vigilar a las estatuas alegóricas de los ríos ganteses: el Escalda (hombre) y el Lys (mujer). Desde 2010 alberga la Oficina de Turismo. Los Beateríos

Los beaterios han sido reconocidos por la UNESCO,como Patrimonio de la Humanidad. Gante posee tres auténticos. De entre ellos, destacamos Antiguo Beaterio de Santa Isabel [Oud Begijnhof ] . Aunque sus muros fueron derribados y forma actualmente partede la ciudad, el ambiente es único. Es un lugarde tolerancia, puesto que en sus terrenos, se han establecido tres iglesias de culto diferente: católico, ortodoxo y protestante.

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Capital de Bélgica, de la región de Bruselas, de la región de Flandes y de las comunidades flamenca y francesa, Bruselas es también sede de la Comisión Europea, del Consejo de la Unión Europea y una de las dos sedes del Parlamento Europeo.

Bruselas está situada en el centro del país, en un terreno que en el Medievo era pantanoso por lo que recibió un nombre que en el lenguaje franco de entonces significaba “lugar en el marjal, o en el pantano”. La ciudad tiene un aire peculiar. En sus calles confluyen gentes que hablan el francés y el flamenco (desde el XVIII primó la colectividad francófona) pero con una fuerte componente internacional, por el elevado número de funcionarios europeos que hablan todos los idiomas.

Su clima es oceánico, con inviernos moderadamente fríos y lluviosos con pocas nieves y veranos templados con una media de 16º C

.El viejo centro urbano se aglutina en torno a la famosísima Grand Place, o Plaza Mayor, que es el lugar de mayor encanto de la ciudad.

Muy cerca está la zona del parque de Bruselas y el Palacio Real, y algo más al exterior una serie de edificios de las instituciones europeas. La ciudad es capital administrativa de la Unión Europea desde 1958.

Alberga el Cuartel General de la OTAN y las oficinas centrales de más de dos mil multinacionales.

Aunque según una leyenda el primer asentamiento se formó alrededor de la capilla que Saint Gorik había construido en el siglo VI, su fundación oficial coincide con la edificación de una fortaleza en el 979. En el siglo XIII contaba con 30.000 habitantes y ya era considerado como unos de los centros comerciales más importantes de Europa.

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Gran parte de su Historia ha estado bajo el dominio de potencias extranjeras. Desde el siglo XV formó parte de varios imperios, (español, austríaco y francés). Hasta que en 1831 Leopoldo I fue coronado como rey, eligiendo a Bruselas como su capital.

Bruselas es Patrimonio de la Humanidad por su Grand Place, por los principales edificios del arquitecto Victor Horta, por el Palacio Stoclet de Joseph Hoffman y, en sus alrededores, se pueden encontrar varios ‘Beguinage’ como el de Anderlecht y alguno de los campanarios municipales también declarados Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO.

Sus símbolos más representativos son el Atomium, construido para la Expo de 1958, y el Manneken Piss.

CUATRO ENTORNOS

Bruselas es una ciudad de 1.200.000 habitantes, que puede dividirse en cuatro segmentos bien diferenciados.

Por un lado, está la denominada ciudad baja que abarca desde la imponente Grand Place hasta el minúsculo Manneken Pis, y lugar cuyos edificios datan de finales del siglo XIX y principios del XX.

Manneken Pis

En segundo lugar, la zona del Atomium como monumento dominador, además del Bruparck y el estadio de Heizel que da nombre a este segmento.

En tercer lugar se encontraría el Barrio Real con los parlamentos nacional y flamenco, el Palacio Real o los museos de Bellas Artes y Moderno como elementos más significativos.

Finalmente, el Barrio europeo que alberga los edificios administrativos de la Unión Europea.

LA GRAND PLACE Y SU ENTORNO

Alberga estilos como el gótico, el barroco o el renacentista, y sus edificios otorgan a su vez una belleza al conjunto que la hace única.

Destrozada en 1695, sólo se salvó el Ayuntamiento (que data de 1455), mientras que el resto fue reconstruido como réplica exacta de los edificios de la época.

El Hôtel de ville (ayuntamiento) se encuentra se encuentra en el flanco sur de la plaza y es uno de los monumentos góticos más importantes de toda Bélgica. Iniciado en el año 1402 por Jacob van Thienen, no fue hasta 1449 cuando Jan van Ruysbroek comenzó a construir su famoso campanario, llamado la Tour , inimitable, con 96 metros de altura. Pero si su exterior es espectacular, su interior lo es aún más. En su primera planta, se encuentra la Sala del Consejo donde hay una muestra de tapices que narra la historia de la ciudad. A lo largo de todas sus salas: Sala de Maximiliano, la galería de los Soberanos o la Sala Gótica se pueden admirar tapices, frescos y pinturas históricas de todos los estilos.

A la izquierda del Hôtel de ville, en el nº 8, se encuentra la MAISON DE L’ÉTOILE donde se encuentra el monumento al héroe que liberó a Bruselas de las tropas de la ocupación de los condes de Flandes.

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En el nº 10, se encuentra la Maison de l’Arbre d’Or en la que se encuentra el Museo de la Cerveza.

El lado este lo ocupa casí completamente el Palais de los Duques de Brabante erigido en 1698. Son siete edificios independientes pero cuya fachada común es de estilo neoclásico.

En el lado norte , frente a frente del “Hôtel de ville”, se encuentra la Maison du Roi, un precioso edificio de estilo gótico tardío, con doble galería, y en cuyo primer piso hay una hermosa balconada decorada y, en cuyo centro destaca un hermoso campanario. Fue construido inicialmente como mercado de pan, pero en el año 1551 fue renovado por orden de Carlos V. En la actualidad, alberga el Museo de la Ciudad de Bruselas.

El lado oeste de la plaza es el más pintoresco y llamativo ya que en los bajos de los edificios de estilo variado, se han instalado restaurantes y cafés que confieren a esta parte de la plaza un aspecto peculiar.

En el nº 1 y 2, se encuentra la Maison des Boulangers construida en 1867 y adornada con un busto de Carlos II de España. En el nº 4 , está la Maison du Sac del gremio de los ebanistas y en el nº 5 la Maison de la Louve donde se puede admirar un relieve de la loba capitolina y Rómulo y Remo.

Cerca de la Grand Place, unos metros detrás del Hôtel de ville, en la calle Stoofsraat, se encuentra uno de los monumentos que, a pesar de su escaso tamaño, dan colorido y más atraen al turismo: El Manneken Pis, una estatuilla de bronce de 50 centímetros de altura que lleva miccionando desde 1691. En 1698, el gobernador Maximiliano Emmanuel regaló una túnica para vestir la figura. Ése sería el principio de una tradición que continúa hasta hoy en día. Los presidentes de gobierno que visitan Bruselas donan para la estatua pequeñas réplicas de sus trajes nacionales, que se conservan en el Musée de la Ville, en la Maison du Roi, y la colección supera ya los 700 trajes.

La estatua del Manneken Pis expuesta en la calle actualmente es una réplica, pues el original que fue robado en la década de los 60, y recuperado posteriormente, se encuentra junto a una copia en bronce dorado del siglo XVII, en el Musée de la Ville de Bruselas.

El Manneken Pis tiene una réplica femenina la Jeaneke Pis que está situada a aproximadamente la misma distancia de la Plaza Mayor que éste, pero al otro lado. La estatua fue esculpida por Denis-Adrien Debouvrie en 1985 e inaugurada en 1987 y forjó instantáneamente su propia leyenda, para mayor divertimento de los paseantes. De unos 50 cm de alto y tallada en piedra caliza azul grisácea, representa a una niña con el pelo recogido en coletas, orinando en cuclillas, aparentemente con

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mucha calma. Está situada en el lado este del Impasse de la Fidélité (‘Callejón de la Fidelidad’), cerca de la Rue des Bouchers.

Justo al otro lado de la Plaza Mayor, se encuentra otro elemento que otorga personalidad al entorno, se trata de la Galería Saint Hubert, la calle comercial cubierta más antigua de Europa. Data de 1846.

En la Zandstraat , se encuentra el Musée de la Bande Dessinée, que recoge con regularidad el trabajo de un centenar de dibujantes belgas.

EL ATOMIUM

El Atomium es otro de los monumentos populares de Bruselas. Construido con motivo de la Exposición Universal de 1958, fueron necesarios 15.000 trabajadores durante tres años para finalizar el monumento. Se encuentra a las afueras de la ciudad, en el barrio de Heizel, dentro del Bruparck, y junto al estadio de fútbol y al parque Mini-Europe, que alberga representaciones en miniatura, en proporción de 25/1, de los símbolos más característicos del continente. Con sus 9 átomos aumentados nada menos que 150 billones de veces, sus 102 metros de altura y sus 2.400 toneladas de peso, la obra está realizada en acero y aluminio, el conjunto representa un cristal de hierro. La

estructura, diseñada por el arquitecto André Waterkeyn, fue planeada para permanecer seis meses; sin embargo rápidamente se convirtió en una atracción turística.

EL BARRIO REAL

El Barrio Real de Bruselas alberga una gran cantidad de edificios administrativos, religiosos y artísticos.

El primero que destaca es la catedral, inmensa, erigida bajo el nombre de Santa Gúdula y San Miguel. Construida entre los siglos XIII y XV, el título de catedral lo ostenta desde 1961, ya que antes ostentaba el título de Colegiata. De un estilo gótico, se inició a principios del siglo XIII sobre una construcción románica del Siglo XI y no se vio terminada hasta dos siglos después.

Cuenta con dos enormes torres gemelas y tres imponente naves. Las vidrieras sonl, de estilo renacentista El interior de la catedral es más sobrio de lo que debiera ya que fue saqueada en varias ocasiones por parte de los iconoclastas protestantes y los revolucionarios franceses. Pese a todo esto, la catedral conserva un aspecto impresionante.

Situado a la derecha de la nave central, llama la atención un precioso púlpito barroco tallado en madera en el año 1699, además de los originales confesionarios de roble del siglo XVII, las enormes estatuas situadas en las columnas y algunas vidrieras hechas y conservadas a la perfección.

Destaca el imponente órgano Grenzing con más de 4.000 tubos y 4 teclados.

LE PALAIS ROYAL es la sede de la monarquía belga. En él se encuentran instaladas las oficinas de los reyes, algunos ministerios, salas de reuniones oficiales y habitaciones para los jefes de estado invitados.

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Desde 1831 el palacio no es la residencia real, sino que los reyes viven en el Palacio de Laeken, en las afueras de Bruselas.

La construcción del Palacio Real comenzó a principios del siglo XIX bajo el reinado de Guillermo I, rey de los Países Bajos y durante el reinado de Leopoldo II adquirió su aspecto actual.

L’ÉGLISE NOTRE DAME DU SABLON

Es una de las iglesias góticas más bellas de Bélgica. Fue construida en el siglo XV con un estilo gótico de Bravante, el mismo que la Catedral de San Miguel y Santa Gúdula. Es conocida por su cuádruple galería con vitrales de colores brillantes, logrando un espectacular contraste con el blanco grisáceo de los arcos góticos y las paredes.

En el interior, destacan dos capillas barrocas decoradas con símbolos funerarios de mármol blanco y estatua de San Huberto, célebre por su historia: una vez robada y llevada desde Bruselas a Amberes, el ladrón fue capturado y la estatua regresó a la iglesia en 1348, donde ha permanecido desde entonces.

LE PALAIS DE JUSTICE

El Palais de Justice es uno de los edificios más grandes e impresionantes que se pueden contemplar en Europa. Hoy en día continúa siendo la sede de los tribunales de justicia de Bélgica.

Por a su tamaño, 26.000 metros cuadrados de superficie y 104 metros de altura, y su situación, en Saint Gilles junto a la Plaza Poelaert, hace que el edificio sea visible desde casi toda la ciudad.

La construcción del Palacio de Justicia no estuvo exenta de polémica. Las obras fueron encargadas por Leopoldo II al arquitecto Joseph Poelaert, quien da nombre a la plaza en la que se encuentra el fabuloso edificio. Los trabajos comenzaron en 1866 y en

principio el presupuesto era de 4 millones de francos belgas. La zona que ocupa el Palacio de Justicia hubo de ser liberada, por lo que unas 3000 viviendas fueron demolidas.

Durante los 17 años que fueron precisos para culminar la faraónica obra, el arquitecto modificó importantes partes de diseño y el presupuesto se disparó a los 50 millones de francos belgas. El Palacio de Justicia fue inaugurado en 1883, lamentablemente Joseph Poelaert, su arquitecto murió 4 años antes. El estilo del edificio se define como una mezcla de neoclasicismo y neobarroco. Durante la Segunda Guerra Mundial y con las tropas aliadas avanzando hacia la liberación de Bruselas, los ejércitos de Hitler incendiaron el Palacio de Justicia antes de retirarse. Como consecuencia, la cúpula se derrumbó. En 1947 se reparó el edificio, construyendo una nueva cúpula que añadió dos metros a la altura de la original y tiene un peso de 24.000 toneladas.

Del interior llama la atención las impresionantes columnas y el enorme vestíbulo con 100 metros de altura. El aire clásico del Palacio de Justicia, sumado a unas dimensiones espectaculares confieren al lugar un aire de grandeza difícil de superar.

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LE QUARTIER EUROPÉEN

Situación y mapa de Quartier européen

El barrio del Parlamento era una tranquila zona residencial antes de convertirse en un lugar clave para la política comunitaria europea. Los grandes edificios están enmarcados por tres grandes zonas verdes al este de la ciudad; el Parque de Bruselas, el Palacio del Cincuentenario y el Parque Leopold.

Uno de los edificios más representativos de la Unión Europea es el llamado Berlaymont. Este edificio, con una planta en forma de equis y catorce pisos de altura, fue construido en 1967 como sede de la Comisión Europea.

Edificio Berlaymont

LE PARC ET LE PALAIS DU CINQUANTENAIRE

El Parc du Cinquantenaire es uno de los espacios verdes más impresionantes de la capital belga y uno de los más grandes en el corazón urbano de Bruselas, con 30 hectáreas de césped, árboles y senderos en simetría perfecta. Por su cercanía a los edificios de la Unión Europea, es uno de los lugares habituales donde acuden los trabajadores a la hora de comer.

El Parque del Cincuentenario fue construido para albergar la Exposición Mundial, encargado por el rey Leopoldo II para celebrar el Jubileo de los 50 años de la independencia de Bruselas en 1880.

Alberga fuentes, estatuas y monumentos que se disponen en forma de U, destacando el Palacio del Cincuentenario, uno de los edificios más emblemáticos de la ciudad. Esta estructura llama especialmente la

atención por el arco de triunfo que se erige en el centro, diseñado por los arquitectos Gideon Bordiau y Charles Girault y finalizado en 1905. Coronado por una cuadriga de bronce, está construido con hierro, cristal y piedra, y representa el desempeño económico e industrial del país. Los dos brazos del arco acogen tres espacios culturales: en el brazo izquierdo se encuentra la exposición de coches Autoworld, mientras que a la derecha está el Museo de Historia Militar, que describe importantes conflictos bélicos el país y del continente, y el Museo del Cincuentenario, dedicado a la historia de la humanidad y las grandes civilizaciones del

mundo.

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5e ÉTAPE : MERCREDI, 27 JUIN

BRUXELLES-REIMS

Reims se encuentra situada en el noreste de Francia, a unos 129 km de París. Es la mayor ciudad de la región de Champaña-Ardenas, aunque no es capital de su departamento, Marne.

Está situada en una llanura en la ribera derecha del río Vesla, afluente del Aisne, y sobre el canal que conduce el Aisne al Marne. Al sur y al oeste se eleva la Montaña de Reims, y en esa misma dirección se encuentran los viñedos de Champaña.

La superficie de la ciudad es de unos 47,02 km² y cuenta con alrededor de 200 000 habitantes.

Sus dos mil años de densa vida han hecho de Reims una ciudad clave de la historia de occidente. Ya en época romana, Reims era un enclave célebre. Los galos de Rèmes se aliaron con Julio Cesar, y la ciudad quedó transformada en capitalidad de la provincia romana de Bélgica.

También tuvo importancia en el momento de la llegada de los bárbaros. Saint-Remi, San Remigio, fue el obispo de Reims que bautizó

a Clodoveo, rey de los francos, en la Navidad del 468, acto de consecuencias futuras, pues marcó la tradición de los coronamientos reales en Reims.

En la Edad Media, los coronamientos en el magnífico templo catedralicio, una joya del gótico, modelo de la catedral española de León, tuvieron una pompa inusitada. Hubo coronaciones de todo tipo, entre las famosas está la de Carlos VII, en 1429, en plena guerra de los Cien Años, con asistencia de Juana de Arco.

Tras el Medievo, la ciudad ha pasado por buenos momentos económicos, lo que se traduce en la existencia de excelentes edificios y conjuntos arquitectónicos como el Hôtel de Ville, el colegio de Jesuitas o la Plaza Real.

Aquí ganó Napoleón su última victoria, en 1814, y aquí se firmó la rendición alemana en 1945.

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Hoy es día Reims es una ciudad de gran calidad de vida, alegre y abierta, vinculada al arte y a la buena mesa. Pero, sobre todo, es la ciudad de una obra maestra del gótico, su catedral, de Saint-Rémi y del champagne. El patrimonio artístico de la ciudad sufrió gravísimos desperfecto durante los bombardeos de la Primera Guerra Mundial.

LA CATEDRAL DE REIMS

Notre-Dame de Reims es uno de los grandes templos del gótico. Fue iniciado en 1211, en el estilo marcado en Chartres. Su fachada es excepcionalmente esbelta, de líneas verticales, destacando también su imponente estatuaria del siglo XII. En 1991, fue incluida en la lista del Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO.

El origen de este imponente edificio gótico se debe a la coincidencia de diversas circunstancias. Por un lado, vino a sustituir a otra catedral anterior que había resultado arrasada en un incendio. Por otra parte, Reims era el lugar en el que desde comienzos del siglo XI se llevaba a cabo la consagración de los reyes de Francia. Las obras se iniciaron por encargo del obispo de la sede en 1211 y, probablemente en el plazo de unos setenta años el grueso de la construcción estaba ya alzado, interviniendo en su trazado, de manera sucesiva, cuatro maestros de obras cuyos nombres se conservaron en uno de los famosos laberintos trazados en el suelo de la nave central. Aunque el original fue destruido, un dibujo nos indica que en Reims trabajaron Jean d´Orbais, Jean le Loup, Gaucher de Reims y Bernard de Soisons, y señala además la parte que cada uno edificó. Posee 1303 estatuas con las que supera a todas las catedrales de Europa.

El exterior de la catedral, se caracteriza por tener dos torres unidas al cuerpo principal, con enormes vitrales y un gran rosetón rematado con un gablete. La triple portada de su fachada acoge un gran número de esculturas. En la mayor parte de ellas están presentes las novedades de la plástica escultórica gótica , siendo algunas de ellas verdaderas obras maestra como el Ángel de la Sonrisa

del grupo de la Visitación. Las torres miden 86 metros de altura. Entre otras escenas representadas, están la lucha entre David y Goliat, y la coronación de la Virgen María, en el Pórtico mayor.

La planta tiene tres naves, un transepto (también con tres naves) y un ábside con girola y capillas radiales. Esta catedral reduce la longitud del transepto casi hasta coincidir con las naves laterales.

Como elementos constructivos destaca el arco ojival y la bóveda de crucería. Las naves laterales se encuentran separadas de la nave central por una serie de columnas lobuladas.

Como rasgo más destacable de la Catedral de Reims, podemos hablar de la hipertrofia de la cabecera, una de las particularidades de algunas iglesias francesas del siglo XIII, aunque en esta catedral llega a ocupar la mitad justa de todo el edificio.

El interior destaca por la esbeltez de su estructura y presenta tres niveles: arcos, triforio y ventanas. La galería de arcos contiene (cada una), una estatua de

reyes en su interior.

Las vidrieras restauradas poseen tonos rojizos o azulados. Como resultado, la luz interior de la catedral no es la clásica de los grandes templos góticos. En la girola hay una vidriera con hermosos tonos azules, de Chagall, y es una valiosa aportación moderna al arte de los vitrales.

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LE PALAIS DU TAU

Situado al lado de la catedral de Notre Dame de Reims, le Palais de Tau fue construido por Jules Hardouin-Mansart y Robert Cotte a finales del siglo XVII. Se trata del Palacio Arzobispal.Actualmente alberga el Museo de la Obra Muestra Señora.

LA BASILICA DE SAINT-RÉMI

La Basílica de Saint-Rémi es una verdadera joya del arte románico. Con 126 m. de largo la iglesia impresiona por su profundidad y el sentido de intimidad que genera.Fue construida en el siglo XI para albergar las reliquias de Saint Rémi (San Remigio), el obispo de Reims que convirtió a Clodoveo al catolicismo en 498.Su tumba se encuentra en el centro del coro. La nave románica y sobria y el coro gótico (siglo XII) de cuatro pisos son un conjunto de impresionante ligereza y armonía. Sobresalen aspectos como las magníficas vidrieras del siglo XII, las amplias tribunas y la magnífica luminosidad.

Tras la Revolución francesa, y después de la expulsión de los benedictinos en 1793, con motivo del decimocuarto centenario del bautizo de Clodoveo, en 1896 se efectuaron diversas obras, entre ellas la magnífica lámpara de bronce dorado, circular, símbolo de la Jerusalén Celestial, con las doce tribus -doce torres- y con 96 velas que evocan los años de vida de San Remigio.

La Primera Guerra Mundial causó gravísimos destrozos y hundimientos. En 1958, –tras cuarenta años de reconstrucción, el

templo volvió a ser lugar de culto.

MUSÉE-PALAIS DU VERGEUR

Se trata de un palacete construido entre los siglos XIII y XVI. Pese a los destrozos durante de los bombardeos sufridos por la ciudad durante la Primera Guerra Mundial que arrasaron el “Vieux Reims”, el palacete pudo ser reconstruido.

El palacete presenta una fachada con basamento de piedra, armazón con entramados de madera y grandes frontones. Las habitaciones, de decoración refinada, están adornadas con hermosos artesonados y muebles antiguos que pertenecieron al barón Hugues Krafft, quien donó el palacete y sus bienes a la asociación de Amigos del antiguo Reims. En un salón se expone una colección excepcional de grabados de Durero.

Frente al edificio se puede ver parte del criptopórtico galo-romano, construido hacia el año 200 d.de C.

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LA PORTE DE MARS

Los ejes de la antigua ciudad de Reims en tiempos romanos, Durocortorum, terminaban en cuatro arcos monumentales. De aquellas estructuras de la ciudad romana sobrevive la monumental Puerta de Marte, en medio de Place de la République.

OTROS LUGARES DE INTERÉS

Pero Reims ofrece aún otros atractivos artísticos, entre los que destacan:

Hôtel de Ville

El edificio de la municipalidad de Reims fue construido por Jean Bonhomme a partir de 1627, y es un ejemplo típico de la arquitectura civil de su tiempo. En su fachada destaca la figura ecuestre de Luis XIII.

Place Royale

Diseñada hacia 1760 por Legendre. Integra una serie de edificaciones de notable dignidad y una estatua de Luis XV, de Pigalle.

Musée de l’Ancien Collège des Jésuites

En este colegio estudió Colbert. El museo alberga el Planetarium y un famoso reloj astronómico.

Musée des Beaux Arts

En una vieja sede abacial y con colecciones destacadas de pintura. Destacan obras de Cranach y de Corot.

HÔTEL DE VILLE

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VISITE À UNE CAVE DE CHAMPAGNE: LA CAVE TAITTINGER

Lo primero que llama la atención de las bodegas (caves) de Taittinger es lo austero de su aspecto exterior.

Las bodegas de Taittinger se estructuran en una única planta a la cual se accede tras bajar varios tramos de escaleras en caracol. En el recorrido uno se encuentra diversos vestigios del subsuelo de la antigua Abadía de Saint-Nicaise, incluyendo escaleras y pasadizos que conducían a la misma. Si bien no es mucho lo que se conserva, el conjunto sorprende por su belleza artística.

Curioso resulta también la existencia de diversas salas, dentro de la bodega, donde en parte de ellas se aprecia una especie de orificio en el techo que comunica con el exterior. Ello se debe a que en su día se excavó la tierra para extrayendo distintos materiales del subsuelo que fueron utilizados como construcción de diversos edificios de la ciudad de Reims, al parecer algo común y que se puede apreciar en todas las bodegas ubicadas en la ciudad.

En cuanto al proceso de elaboración, producción y fermentación del “champagne”, será explicado durante la visita que se realizará a estas bodegas.

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6e ÉTAPE : JEUDI, 28 JUIN

REIMS-CHATEAUX DE LA LOIRE : CHAMBORD-FUTUROSCOPE

Chambord es el más vasto y prestigioso de los castillos del Renacimiento francés. Nació de un sueño de François I, rey de Francia, que trajo de sus batallas de Italia muchos artistas, como Leonardo da Vinci. No

fue una residencia propiamente dicha, era solo un coto de caza con un edificio. Al rey le gustaba retirarse aquí para dedicarse al placer de la caza, reservada entonces a la nobleza.

Se desconoce quien diseñó los planos de este castillo. Algunas hipótesis apuntan a la intervención de Leonardo da Vinci, autor de la célebre escalera de hélice pero esto no se puede asegurar.

Para construir Chambord, François I agotó las arcas reales y las de numerosas iglesias. Comenzado en 1519, el exterior se terminó en 1537, pero la residencia real no se finalizó realmente hasta 1545, dos años antes de la muerte del rey.

François I, que estuvo prisionero en Madrid tras su derrota en la batalla de Pavía, quiso invitar a Chambord a su antiguo adversario Carlos I el cual visitó este castillo en 1539 y quedó muy impresionado, tal como François I pretendía.

Anticipo de Versailles, el “château d Chambord” ejercía especial atracción sobre Louis XIV, quien con frecuentaba para presenciar la representación de las nuevas obras de Molière.

El castillo, de relumbrante piedra blanca, no recuerda en absoluto una fortaleza militar, y su diseño decididamente renacentista rechaza la concepción feudal de castillo.Tiene una planta cuadrangular y está flanqueado por cuatro torres de ángulo.

Para acceder a la torre del homenaje, hay que atravesar la “cour d’honneur” (patio principal), flanqueada por una capilla a la izquierda y por los apartmentos reales a al derecha. La mayor parte del mobiliario desapareció durante la Revolución. Los aposentos reales de Louis XIV, en el primer piso, presentan un magnífico artesonado del siglo XVIII.

En el centro de la torre del homenaje, se encuentra la famosa escalera de doble hélice, diseñada por Leonardo da Vinci. Sus dos espirales concéntricas se enrollan entre sí de tal manera de dos personas que suben y bajan al mismo tiempo no se cruzan.

Antes de culminar en una espiral única, la escalera desemboca en la terraza, otra joya del castillo. Esta terraza constituye un

espectáculo único: decorado con chimeneas, cúpulas, torrecillas, linternas y escaleras secundarias.

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Le parc

Este dominio de 5.440 ha, rodeado por un muro de 32 km, es el mayor parque forestal cerrado de Europa. Es prácticamente el equivalente, en superficie, a la ciudad de París (boulevard des Maréchaux).

La construcción del muro, que comenzó a finales del reinado de Francisco I (1542), finalizó con Gastón de Orleans, hermano de Luis XIII (1642). Perfectamente conservado en la actualidad, constituye una barrera infranqueable para la fauna mayor: se han conservado seis puertas para la circulación de personas.

El dominio ha pasado por multitud de propietarios o usufructuarios que realizaron acciones forestales más o menos exitosas. Gran parte Del bosque es muy reciente ya

que, en 1820, más de la mitad de la superficie del parque no estaba arbolada: 23 granjas, landas y ciénagas dominaban la mitad norte del dominio.

Francisco I venía a cazar el ciervo en este territorio. Esta alta tradición cinegética se ha prolongado hasta nuestros días. Clasificado reserva nacional de caza y de fauna salvaje en 1947, actualmente el dominio alberga, en gran número, a todos los representantes de la fauna de Sologne, de la que el ciervo y el jabalí son las especies emblemáticas de Chambord.

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CITÉ DE L’IMAGE

Le Kinémax La cité numérique L’aventure 4D

DÉROULEMENT DE LA VISITE

16h30 : Entrée au Parc du Futuroscope

Dîner au parc.

Spectacle nocturne

21h: Retour à l’hôtel.

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3e PARTIE

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ADRESSES ET EMPLACEMENTS DES HÔTELS

PARIS

HÔTEL MÉTROPOL ***

98, rue de Maubeuge

75010 PARIS

TELÉPHONE : OO.33.1.45.26.83.90

BRUXELLES

HÔTEL CHAO CHOW****

RUE DE BABANT,80

1210 SAINT JOSSE TEN NOODE

TELÉPHONE : 00.32.2.223.07.07

REIMS

HÔTEL CAMPANILE TAISSY

2, RUE ÉDOUARD BRANLY

51500 TAISSY (REIMS)

FUTUROSCOPE

HÔTEL DU PARC

BD. RENÉ DESCARTES

TÉLÉPORT 3

89961 FUTUROSCOPE CHASSENEUIL

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TÉLÉPHONES ET ADRESSES UTILES

TELÉFONO I.E.S. DOCTOR FLEMING -centralita: 985 23 08 99

D’AUTRES ADDRESSES ET TÉLÉPHONES

Embajada de España en Paris

22, avenue Marceau

75008 Paris

Tel: 00 33 1 44 43 18 00

Consulado de España en París: 165, bd. Malesherbes 75017 Paris

Tel: (00 33) 1 44 29 40 00 / Teléfono de guardia: (00 33) 6 15 93 87 01

Embajada de España en Bruselas

Rue de la Science.19 - 1040 Bruselas

Tel: 00 32 (0) 2 230 03 40 (sin el o cuando se llama desde España)

Consulado de España en Bélgica: Rue Ducale, 85-87. 1000 Bruxelles.

Teléfonos desde España: Teléfonos desde Bélgica:

(32-2) 509 87 70 y 509 87 86. (02)509 87 70 y 509 87 86

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VOCABULAIRE UTILE

BUENAS MANERAS

Bonjour

Bonsoir (a partir de las 18h – 19 h)

Bonne nuit (cuando te vas a dormir)

S’il vous plaît (para Usted o vosotros)

S’il te plaît (cuando tuteas)

Merci! Pardon Bon appétit!

Je voudrais (quisiera/querría)

EN LA CALLE – EN UN BAR…

Ça fait combien, un coca? = ¿Cúanto vale una

coca?

Je voudrais/je veux une glace = un helado

Je voudrais une limonade ( una gaseosa)

Je voudrais un sandwich = un bocadillo - au

jambon = de jamón - au fromage = de queso

Où sont les toilettes, s’il vous plait?

=¿Dónde están los servicios, por favor

CUANDO TE CUESTA ENTENDER

Pardon, est-ce que vous pouvez / tu peux

répéter, s’il vous plaît / s’il te plaît?

Je ne comprends pas bien =no entiendo muy

bien.

Est-ce que vous pouvez / tu peux parler plus

lentement, s’il vous plaît / s’il te plaît?

(puede / puedes hablar más despacio, por

favor?)

EN UNA TIENDA

S’il vous plaît, ça fait combien? = ¿Por favor,

cúanto vale?

Je voudrais - une carte postale - des timbres

- un souvenir pour ...

Avez-vous de la monnaie, s’il vous plaît? =

¿Tiene usted cambio, por favor?

À L’HÔTEL

Le lit/ cama

La couverture/ manta

La serviette de toilette/ toalla

Le drap/ sábana

La chambre/ habitación

Cuarto de baño/ salle de bains L’étage/planta

LA NOURRITURE:LES BOISSONS

la boisson / la bebida

le café / el café

le thé / el té

le jus / el zumo

de l'eau / el agua ….

une bouteille d’eau minérale : plate, gazeuse, sans gaz

une carafe d’eau

un coca-cola

une limonade

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LA NOURRITURE : LES VIANDES ET LES LÉGUMES

la viande / la carne

le boeuf / la ternera

le porc / el cerdo

l’agneau/cordero

le poisson / el pescado

la volaille / las aves

le sauccisson/salchichón

le poulet/ pollo

les légumes / las verduras

les fruits / la fruta

la pomme-manzana

la poire-pera

l’orange-naranja

les fraises-fresas

la pomme de terre, patate / la patata,

les frites-patatas fritas

la salade / la ensalada

les poireaux-puerros

LA NOURRITURE :D’AUTRES

le pain / el pan

le sel / la sal

le sucre/el azúcar

le poivre / la pimienta

une glace / el helado

un sandwich au jambon /au fromage, au saucisson… un sandwich sans beurre / avec beurre….

LA TABLE

Le verre/ vaso

L’assiette /plato

La cuillère/la cuchara

La fourchette/el tenedor

Le couteau/el cuchillo

La serviette/ la servilleta

¡¡¡¡SOCORRO!!!! Estoy perdido

Je suis un / une élève espagnol.

Je me suis perdu(e).

Pouvez-vous m’aider, s’il vous plait? = ¿puede ayudarme, por favor?

Où est la rue X? =¿Dónde está...?

l’avenue Y? la place Z?

NO TE SIENTES MUY BIEN

Je ne me sens pas bien.

J’ai mal = me duele

- à la tête = la cabeza

- au ventre = la barriga

- aux pieds = los pies.

J’ai mal au coeur = estoy mareado/a

LES DIRECTIONS / LAS DIRECCIONES

à gauche / la izquierda ≠ à droite / la derecha

tout droit / recto, directo

en haut / arriba ≠ en bas / abajo

loin / lejos ≠ près, proche / cerca

long (m) Longue (f) / largo(a) ≠ court (e) / corto (a)

la carte / el mapa

plan/ plano

Information touristique / Información turística

office du tourisme/syndicat d’initiative- oficina de turismo

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LES NOMBRES

0 = zéro 10 = dix 20 = vingt 90 = quatre-vingt-dix,

1 = un 11 = onze 30 = trente 91=quatre-vintg-onze

2 = deux 12 = douze 40 = quarante 93=quatre-vingt-treize

3 = trois 13 = treize 50 = cinquante 100 = cent

4 = quatre 14 = quatorze 60 = soixante 125=cent vingt-cing

5 = cinq 15 = quinze 70 = soixante-dix, 200= deux cents

6 = six 16 = seize 71=soixante et onze 205=deux cent cinq

7 = sept 17 = dix-sept 72=soixant-douze 400=cents

8 = huit 18 = dix-huit 80 = quatre-vingts, 1000=mille

9 = neuf 19 = dix-neuf 81=quatre-vingt-un 1300= mille troiss cents

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DEPARTAMENTO DE FRANCÉS